Nous étions tout les deux dans la salle de bain.
Moi, nu comme au premier jour devant le lavabo en train de finir de me raser. Toi dans la douche.
Donc je me trouvais devant le lavabo lorsque tu sortais de la douche. Tu te rapproches de moi par derrière, et à ton habitude tu m’enlaces et me faisant de petits bisous dans le dos. Tes mains me caressent le ventre ayant tendance à descendre vers le bas.
C’est à ce moment là que tu t’aperçois de mon érection. Je vois ta tête apparaitre sur mon coté et dans la glace jeter un coup d’œil.
Je te dis alors: « je ne sais pas ce qu’il se passe ce matin mais çà fait bien une demi heure que je bande et çà ne baisse pas ».
Tu me dis: « il te faudrait peut être un coup de main !! «
Joignant le geste à la parole, tu viens sur mon coté droit. Je passe mon bras par dessus tes épaules. Ta main droite descend, se saisie de ma bite
dressée et commence délicatement et doucement de me branler. Ta main court sur toute la longueur de ma hampe raidie, petit à petit décalottant le gland. Ta main gauche ne reste pas inactive et par derrière me caresse le dos, descend le long de ma raie fessière puis continu entre mes jambes vers mon périnée et mes couilles. Tu les prends dans la main, les massant doucement, les faisant rouler dans la paume.
Ta main droite, pendant ce temps, poursuit la branlette. Tes mains agiles produisent leur effet. Du fond de mon ventre, je sens une contraction puis mon plaisir qui remonte le long de ma bite. Mon ventre se contracte de plaisir, mes muscles des cuisses se raidissent. Ta main décalotte complètement mon gland, masturbe en accélérant. Finalement, fermant les yeux de plaisir, mon sperme gicle et sous le mouvement de ta main se déverse dans le lavabo. Ta main entre mes jambes pressent délicatement mes couilles comme pour en faire sortir les dernières gouttes.
Mon jonc reste ferme entre tes doigts qui continuent la masturbation.
Comme ma bite ne s’assouplit pas, tu me regardes interrogative. Je t’embrasse à pleine bouche. Nos langues s’emmêlent. Tu t’appuies sur le lavabo. Je continu de t’embrasser goulument.
Ma main descend le long de ton ventre. Mon doigt passe entre tes jambes, le long de ta fente. Au passage, je masses ton clito et le branle lentement. Tu fermes le yeux. Mon autre main caresse tes seins en prenant les bouts, les roulant. Sous la caresse ils s’érigent, durcissent, se raffermissent.
Ma bouche abandonne tes lèvres, descend vers ta poitrine dont je tête les tétons dressés. Je suce, je lape, je lèche.
Mon doigt entre tes jambes poursuit sa douce caresse sur ton clito. Puis repart plus avant vers l’ouverture de ton sexe. Tu écartes les jambes pour faciliter le passage. Doucement il pénètre ce fourreau doux et humide de plaisir. Je te prends m’enfonçant profondément. Puis allant et venant, je te branle. Je me met à genou devant toi, et alors que mon doigt poursuit sa branlette, ma langue s’insère dans ta fente, léchant ton clito humide. Du bout des lèvres, je le tête et le suce. Levant les yeux vers toi, tout en œuvrant, je te vois les yeux fermés, la tête légèrement en arrière, les mains crispées sur le lavabo prenant plaisir. Brutalement, sans crier gare, je vois ton ventre se crisper et je pressens l’arrivée de ton plaisir. Ta tête se renverse un peu plus, et tes muscles intérieurs du sexe serrent mon doigt qui poursuit son mouvement de haut en bas. Ma bouche continu de sucer ton clito errigé qui a grossi comme si je suçais une petite bite. Une de tes mains quitte le lavabo, prends ma tête et l’appuie sur ton mont de Venus pour que ma bouche accentue sa caresse. Le long de mon doigt je sens ta liqueur couler. Puis tout ton corps se détend, la pression de ta main sur ma tête s’allège. Je te vois baisser la tête pour me regarder, tes yeux sont encore dans le vague de l’orgasme, embués. Je sors mon doigt de ton sexe et en me relevant j’en goute la saveur. Désireux de partager avec toi, je le porte à ta bouche, ta langue le lèche et, me regardant droit dans les yeux, tu le prends en entier dans la bouche comme pratiquant une fellation.
C’est à ce moment là que tu remarques que ma bite n’a absolument pas débandée. Je suis encore raide.
Tu m’en fais la remarque. Je t’embrasse à pleine bouche. Je t’enlace, passe mes mains par derrière sous tes fesses et te soulève. Tu passes tes cuisses autour de mes hanches et met tes bras autour de mon cou. Je continu de t’embrasser tendrement. Lorsque je te soulève, tes seins arrivent à hauteur de ma bouche qui en goutte les pointes courant alternativement de l’un à l’autre. Mon sexe bande raide comme un pieu. Te tenant par les fesses, te léchant et te sucant, je darde ma bite vers ton minou, puis te laisse redescendre t’empalant sur moi. Au fur et à mesure de la pénétration, je sens ton souffle expirer, tes yeux sont fermés. Une fois bien au fond de toi, je fais des mouvements de vas et vient avec mon bassin, je te soulève et te laisse descendre et ainsi j’accentue l’ampleur de la pénétration. Le plaisir remonte très vite et c’est ensemble que nous prenons notre plaisir. Tes muscles se contractent, ton souffle raccourci et au moment où je gicle au plus profond de ton sexe tu émets un son au milieu de ton souffle de plaisir. Pendant un moment, nous restons là, debout l’un dans l’autre tout à notre orgasme.
C’est ainsi que te tenant dans mes bras, tes jambes passées autour de mes hanches, mon dard bandant toujours planté en toi, que je te porte vers la chambre. Là je te soulève, m’enlève de ton con et tu poses les pieds par terre. Tu t’assoies sur le bord du lit levant la tête vers moi quand même étonné de la vigueur constante de mon sexe qui n’a toujours pas baissé la tête. Ma bite et à la hauteur de tes seins. Je m’avance vers toi et écartant les jambes je pose ma bite entre tes globes. Je les presse sur ma hampe et effectue des mouvements de branlette. Tes mains m’enlacent caressant doucement mon cul. Tes doigts passent entre ma raie fessières pénétrant la vallée de mon cul. Je me détend un peu.La raideur de ma bite entre tes seins accélère la venue de mon plaisir. J’éjacule entre tes seins. En baissant la tête tu essaies d’en saisir quelques gouttes avec ta bouche.
Je ne débande toujours pas. Tu me tiens toujours enlacer mais je me sors d’entre tes seins. Ta bouche me prends. Je sens ta langue lécher ma hampe dressée, téter le gland goutant les restes de mes éjaculations et le suc de ton sexe restant de ma pénétration. Tes doigts caressant toujours mes fesses, ta tête fait des mouvements d’avant en arrière pratiquant cette caresse dans laquelle tu excelles : la pipe. Longuement tu me suces. Ta langue me lèche. L’une de tes mains, venant pas devant, pendant que l’autre poursuit sur mes fesses, prends mes couilles et les masse, les pressant. Je prends ta tête entre mes mains et la maintenant, j’effectue des mouvements d’avant en arrière comme faisant l’amour à ta bouche. Je sens mon plaisir monter du fond de moi et poussant un dernier coup en avant, je lâche mon tapioca au fond de ta gorge. Tu avales ma semence avec délectation. Tu sors ma bite de ta bouche et, tel un sucre d’orge, tu lèches avidement mon poireau et son gland pour en ramasser les gouttes.
Je me baisse vers toi et t’embrasse à pleine bouche. Je caresse tes seins et du bout des doigts en roule les tétons. Tu soupires de plaisir.
Je bande toujours et tu regardes ma bite avec envie.
Je me penche, passe mes bras sous tes cuisses et te bascule à plat dos sur le lit. Tenant tes cuisses grandes ouvertes, debout au pied du lit, je pointe mon dard à l’entrée de ton minou. Je pousse en avant et te pénètre profondément tirant de ta gorge un soupir et un souffle rauque d’extase. De plus en plus vite je vais et je viens en toi. Te repoussant sur le lit tout en te maintenant empalé sur moi, je me mets à genou sur le lit. Je soulève ta croupe et continu ma pénétration. Mon orgasme précédent étant assez proche, je sens mon plaisir remonter bien vite et j’explose au plus profond de ton con adoré.
Me retirant de ton corps, nous constatons que mon érection se poursuit et ne semble pas vouloir fléchir.
Je t’aide alors à te tourner et te mets à quatre pattes dans la position de la levrette. J’écarte tes cuisses et m’installe derrière toi. Je te tiens par les hanches et pointe mon gland. Tirant tes hanches vers moi, et poussant mon bassin en avant, a genou derrière toi, j’entre dans le fourreau de ton sexe chaud, humide et lubrifié par tant de pénétrations. Je vais et je viens en toi. Toujours emmanché dans ton minou, je me met sur mes pieds et dans une position accroupi, posant mes mains de chaque coté de toi sur le lit, je te lime ardemment. Je dépose des petits bisous dans ton cou. Tu tournes la tête vers moi et, tout en te faisant l’amour, je prends possession de ta bouche. Tu suces ma langue. Je sens ton souffle raccourcir, tu fermes les yeux et prends ton plaisir. Je sens tes muscles se raffermir. Après coup, alors que je sens ton plaisir diminuer, je prends le mien. Je sens mon sperme exploser au fond de toi.
Toujours en toi, et la position aidant, une envie me prends. Je te demande si tu acceptes que je te fasse l’amour par ton petit trou.
Tu me dit: « avec la raideur que tu as ce matin, ce serait dommage de s’en passer ».
Je me sors alors de toi, prends sur la table de chevet un préservatif. Tu m’aide à enfiler ce petit capuchon protecteur sur ma bite. Un moment tu me caresses, branlant un peu mon sexe. Puis tu te remet à quatre pattes, écartant les cuisses prête à l’amour. Je m’installe derrière toi, et afin d’aider à la pénétration que je m’apprête a faire, je mouille mon doigt au jus de ton sexe humide. Puis remontant, je masse doucement ton anneau fessier. Je pousse en avant pénétrant mon doigt dans ta caverne en humectant un peu les parois et détendant un peu ton petit trou. Puis je sors mon doigt, présente mon gland contre toi et écarte légèrement tes fesses. Lentement, faisant attention de ne pas te faire mal, tenant tes globes écartés, je pousse en avant mon bassin. Doucement, j’introduis d’abord mon gland. Ton anneau anal est serré autour. J’entre et sors deux ou trois fois, puis pousse un peu plus te sentant moins contractée. Lentement, faisant de petits aller retour, je te pénètre bien profondément. Je te tiens par les hanches pour bien m’enfoncer en toi. Du bout des pouces, je masse tes reins et ta raie fessière pour te détendre un peu plus. Je te donne de petites tapes sur les fesses dans une petite fessée d’amour. J’alterne les massages et les petites fessées. Je me penche vers toi, dépose un petit baiser dans ton cou et t’enlaçant, je te fais te redresser sur les genoux. Tu cambres un peu plus ta croupe pour me garder entre tes fesses. Je m’assoie sur mes talons t’entrainant avec moi et tu te retrouves assise sur ma bite, empalée sur mon pieu. T’enlaçant, je caresse tes seins, les prenant à pleine main. J’en roule les tétons les faisant se dresser, pleins de plaisir de la caresse. Je caresse ton ventre et continue de déposer de petits bisous dans ton cou. Mes mains cherchent les tiennes et finissent par les trouver. J’en prends un dans chacune des miennes.
J’entraîne la gauche vers un de tes seins et t’indique ainsi qu’il serait agréable que tu te caresse, ma main se porte vers l’autre sein et à l’unisson nous caressons ta poitrine. Mon autre main, enrobant la tienne se porte entre tes jambes. Un moment, nous caressons ton clito érigé de plaisir. Il bande, raide. Puis toujours couvrant ta main, nos doigts prennent possession de ton minou. Ils te pénètrent bien profondément. Nous allons et venons ensemble en toi t’arrachant des soupirs d’extase. Pendant que nos doigts majeurs te font l’amour, nos autres doigts caressent par en dessous mes couilles. Nos doigts à l’intérieur de ton sexe caressent ma hampe profondément enfoncée et immobile dans ton cul le branlant. Tu tournes la tête vers moi. Je t’embrasse à pleine bouche. Nos mains caressent tes seins, ton sexe, ma bite, mes couilles. Je sens ton souffle raccourcir en même temps que tes muscles se contractent. Ton anneau cutal se resserre autour de ma bite enfoncée en toi. Tes muscles du sexe serrent nos doigts. Ton plaisir monte et renversant ta tête en arrière tu exhales dans un orgasme. Simultanément, je sens mon plaisir remonter du profond de mes couilles pour emprunter le canal le long de ma verge. En même temps que tu prends ton plaisir, j’explose à l’intérieur de toi. Nos corps sont tendus sous cette décharge d’extase. Puis tout aussi brutalement la contraction retombe. Je suis toujours emmanché dans tes fesses, caressant encore tes seins et ton minou.
Finalement, toujours pris en toi, nous tombons sur le coté, sur le lit. Je caresse tes seins, passe ma main entre tes jambes et un moment titille ton clito. Tu es couchée sur le coté en chien de fusil. Je suis tout contre toi, mon sexe pénétrant tes fesses. Pour garder encore un moment l’excitation de cette pénétration, je vais et je viens en toi. Nous y prenons encore du plaisir.
Lentement, après avoir déposé un baiser dans ton cou, je m’enlève de toi. Me retournant, je loupe mon coup et tombe du lit sur la carpette.
C’est a ce moment, que je me réveille. je suis assis sur le tapis. Il fait nuit. Tout est tranquille. Tu dors tranquillement dans le lit, me tournant le dos, nue. Ta respiration est posée. J’ai donc rêvé tout ce qui vient de se passer. C’était impossible que je te fasse l’amour à répétition comme çà. Quoi qu’il en soit, mon sexe tout à son rêve bande dur.
Doucement, je me glisse sous le drap. Je me colle à ton dos. Je pose mon sexe bandant le long de ta fente. Un de mes bras t’enlace et je caresse doucement un sein. Je vais et je viens le long de ton sexe excitant un peu ton clito. Tu t’éveilles à moitié et peut être inconsciemment, tu cambres ta croupe, et soulèves un peu une jambe pour ouvrir ton sexe à ma caresse. Je pointe mon gland, pousse en avant. Mon état d’excitation est tel, que j’explose presque aussitôt. Malgré ton demi sommeil, il semble que tu ressentes du plaisir: je sens ton souffle.
C’est ainsi que le sommeil me surprends. Je suis encore pris dans ton minou, légèrement mollissant. Je m’endors contre toi, t’enlaçant. Tout à mon plaisir.
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