Rencontres libertines,
Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne.
C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
– Allô Sandra, j’ai quatre nouvelles amies qui t’attendent au club.
– Merci d’avoir pensé à moi, j’arrive tout de suite, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec comme seul motif de prendre et de donner du plaisir.
Toute à mes pensées, je m’assois devant mon boudoir pour me maquiller et mettre mes faux cils avant de me coiffer d’une perruque blonde coupée au carré.
Avec fébrilité, j’enfile ma lingerie devant la glace.
Quel plaisir! Ce temps consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.
Je ne peux plus me passer de ces moments de volupté que je vis plusieurs fois par semaine chez moi ou lors de mes déplacements à l’ hôtel.
J’agrafe ma guêpière 105/D avant de garnir mes balconnets de généreuses prothèses en silicone.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me laisse prête à faire l’amour en toute circonstance.
Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle qui met en valeur mon corps entièrement épilé par des séances au laser.
Puis, je déroule mes bas cervin sur mes jambes en accrochant mes jarretelles par dessus ma culotte fendue.
Je suis consternée par toutes ces femmes qui font l’inverse pour ne pas avoir à détacher leurs jarretelles aux toilettes.
Elles perdent ainsi tout le raffinement et l’élégance de cet accessoire si glamour.
Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre le crissement de mes bas.
Le miroir me renvoie l’image d’une fille attirante qui est le fruit de mes nombreuses années de féminisation.
Puis, je sors d’un tiroir mon préservatif féminin « le fémidom ».
Je retire le petit anneau se trouvant à l’intérieur pour pouvoir l’utiliser en anal.
Allongée sur mon lit, je l’enfonce dans ma grotte en plaquant l’anneau le plus large contre mon périnée.
Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.
Lorsqu’une pulsion irrésistible nous emporte mon ami et moi, je n’ai qu’à retrousser ma robe pour être prise discrètement sous une porte cochère, dans un parc, une cage d’escalier, une cabine d’essayage…
L’autre avantage, c’est qu’il ne risque plus de débander comme cela arrivait parfois le temps que je retire ma culotte et lui mette son préservatif.
Achevant de me préparer, je place ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un ruban adhésif.
Dans le miroir de ma chambre, je contemple mon triangle de vénus épilé soigneusement et fendu d’un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.
Puis, j’accroche à ma taille une jupe portefeuille très courte qui laisse entrevoir ma culotte fendue.
J’adore la porter car son tissu souple épouse mes fesses en amplifiant leurs balancements quand je marche.
Comme le font les femmes, j’ajuste mon corsage en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins.
Pendant quelques minutes, je m’exerce devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines.
Pressentant une journée mouvementée, j’avale un comprimé de viagra dans un verre d’eau avant de partir.
Enfin prête, je quitte mon appartement impatiente de me retrouver dans l’ambiance interlope du club.
Je descends l’escalier quatre à quatre en sentant l’excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses.
C’est par une belle journée ensoleillée que je me rends chez Steve.
Mon corsage échancré découvre mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons aiguilles sur l’asphalte.
Il me vient l’idée de provoquer les hommes quand je les croise.
Je serre les fesses en croisant les jambes et en marchant à petits pas pour avoir une démarche féminine plus fluide et un meilleur équilibre sur mes escarpins.
J’accentue le balancement de mes fesses engendré par mes talons aiguilles en faisant virevolter ma jupe pour laisser entrevoir mes jarretelles.
Le vent chaud qui s’engouffre entre mes cuisses me fait ressentir des sensations que les femmes connaissent bien…
Afin d’attirer l’attention des passants, je m’arrête devant une boutique de mode en relevant ma jupe pour ajuster mes bas.
Lorsque je retends mes jarretelles sur mes cuisses gainées de nylon, je ne peux m’empêcher de sourire en voyant le visage plein de désirs d’un de mes admirateurs se refléter dans la vitrine.
Je prolonge plus que nécessaire ce pur moment de bonheur.
Une femme m’observe quelques mètres plus loin.
Ayant pressentie ma vraie sexualité, elle me considère d’emblée comme une dangereuse rivale.
Je lui adresse un sourire pour lui montrer que je ne suis pas indifférente à son charme.
Déstabilisée et troublée, elle ne sait plus quelle attitude adopter.
J’arrive enfin chez Steve qui m’attend à la porte de son club.
– Tu es bandante dans cette tenue, s’exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
– Je suis déjà en retard, je m’occuperai de toi plus tard, lui dis-je d’un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s’offrant à ses irrésistibles caresses.
– Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m’entraînant de force dans son salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu’il fait jaillir son sexe de son pantalon.
– J’ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d’excitation.
– Laisses-moi faire, lui dis-je en m’approchant de lui les seins dressés et le bassin en avant pour lui montrer que j’ai envie de faire l’amour.
Pressée par le temps, je le pousse sur son divan en m’asseyant à califourchon sur son ventre.
Puis, je retrousse ma jupe en lui dévoilant ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.
Je vois le désir brillé dans ses yeux et cela me donne chaud au ventre.
Steve plonge sa main dans mes dessous pour retirer mon fémidom.
– Je ne veux pas que tu utilises de préservatif avec moi.
Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce privilège.
Je commence par le masturber en caressant la zone très sensible du périnée.
Sans le quitter des yeux, j’écarte la fente de ma culotte pour m’empaler lentement sur sa verge.
Le visage congestionné, Steve voit son sexe disparaître dans mon ventre.
Je me sers du poids de mon corps pour initier de lents et puissants va et vient.
Je l’entends gémir de plaisir lorsque j’entame des bascules du bassin d’avant en arrière qui provoquent de fortes tensions sur son frein.
Je reste attentive à la montée de son désir pour trouver le bon rythme et l’achever rapidement.
J’entoure la racine de sa queue avec l’un de mes bas en guise d’anneau pénien.
Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je sais qu’il va jouir et que le moment est venu de lui porter le coup de grâce.
Les yeux rivés sur lui, je serre sa queue en contractant mes sphincters et en tournant mes fesses sur son bâton de chair qui me sert de pivot tout en lui malaxant les bourses.
Le souffle court, il jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.
A mon tour, je laisse échapper un râle de plaisir en sentant ses puissants jets de sperme fuser dans mon ventre.
Lorsque je me lève, je sens sa sève couler entre mes cuisses.
– Tu m’as mis la dose, lui dis-je en m’épongeant l’entrejambe.
Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main en les accrochant à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve.
Prise par le temps, je le laisse allongé à moitié nu sur son divan en lui demandant de m’envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon»
En montant l’escalier quatre à quatre, j’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde aux traits fins.
Elle porte une nuisette transparente ainsi qu’un collant qui fait ressortir sa queue dans les moindres détails.
Les frottements du nylon sur son gland décalotté provoque son érection.
Son maquillage excessif et son rouge à lèvres outrancier témoignent à l’évidence de son manque d’expérience en la rendant provocante malgré elle…
Je prends conscience qu’il va me falloir jouer le rôle d’initiatrice lors de cette rencontre.
– Approche, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
Pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant, j’enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.
J’ai à peine le temps de dégrafer ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit.
Voulant me sentir vraiment femme, j’ai gardé ma culotte fendue pour dissimuler ma queue.
Christelle est maintenant immobile devant moi.
C’est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans son soutien gorge.
Abaissant son collant, je la masturbe en sentant sa queue épilée et lisse se raidir entre mes mains.
Je la mordille doucement en m’arrêtant dés que quelques gouttes de liqueur séminale perlent à la surface de son gland.
Dans le même temps, je caresse la peau douce et satinée de ses bourses.
Puis, je m’allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet humide de désir.
Christelle reste un moment indécise en tentant de résister à ses pulsions.
– Viens ma belle, j’ai envie de toi, lui dis-je d’une voix pressante en écartant la fente de ma culotte.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou en me laissant à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.
Pendant qu’elle s’active avec fougue dans mes reins, une pensée surréaliste me vient à l’esprit.
Je repense aux milliers de va et vient qui m’ont labouré le ventre ces dernières décennies.
Mis bout à bout, je me dis que j’ai du prendre des kilomètres de queues dans ma chatte.
Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.
Je sens sa queue se raidir en moi qui m’annoncent l’imminence de son orgasme.
– Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m’inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.
Je serre sa taille dans l’étau de mes cuisses pour l’immobiliser et finir de lui vider les bourses.
Ce n’est qu’après avoir pompé ses dernières gouttes de sève que je desserre mon étreinte.
Terrassée par l’orgasme, elle s’effondre sur moi en m’écrasant les seins.
Nous restons un long moment enlacées et soudées l’une à l’autre.
Quelques instants plus tard, Christelle m’enlève ma culotte en découvrant ma queue flasque serrée entre mes cuisses.
– Je vais la faire grandir, me murmure-t-elle à l’oreille.
Elle décalotte mon gland en tirant sur mes testicules pour provoquer une tension sur mon frein tout en exerçant des pressions sur la racine de mon sexe.
Puis, ses lèvres remontent le long de ma hampe avant de se refermer sur mon gland.
Ses joues se creusent lorsqu’elle me pompe divinement la queue avec un savoir faire étonnant pour son âge.
Dans le même temps, sa main remonte à la lisière de mes bas en me fouillant l’intérieur des cuisses.
– J’ai envie que tu me prennes, me dit-t-elle fascinée par ma queue qui se dresse maintenant devant ses yeux.
Allongée sur le dos, elle lève les jambes en les écartant sans pudeur pour s’offrir à moi.
Le contraste entre son visage juvénile et son attitude dépravée me met dans tous mes états.
Ne pouvant résister plus longtemps à son appel, je la pénètre doucement pour qu’elle s’habitue au diamètre de ma verge car elle est étroite.
Je la masturbe en même temps sur des rythmes lents et rapides.
Quelques minutes plus tard, je sens son anus se contracter sur ma verge juste avant que sa sève ne fuse entre mes doigts.
Puis, je l’entends me dire:
– Reste dans mes fesses.
Ses yeux fixés sur moi, elle croise ses jambes dans mon dos en se trémoussant avec une rare perversité sur ma queue jusqu’à ce que je jouisse à mon tour.
L’instant d’après, je sors à regret de ses reins en m’exclamant:
– Tu as un tempérament de feu Christelle!
– J’aime te baiser ma petite salope et je vais avoir du mal à me passer de toi.
Je la câline un moment avant de la laisser partir.
A peine rhabillée, une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties en affichant clairement ses penchants de dominatrice.
Claudia s’approche de mon lit d’un pas assuré.
Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.
– N’aie pas peur, me dit-t-elle d’une voix moqueuse en voyant ma mine effarouchée.
Puis, elle soulève ma jupe en me troussant sans scrupule.
Surprise par la taille de mon clito, elle le sort de son écrin de lingerie.
– On dirait que je te fais de l’effet, s’exclame-t-elle ravie.
Profitant de son emprise sur moi, elle m’entraîne dans son lit en m’allongeant sur le ventre.
Sortant une queue massive de son slip brésilien, elle vient se glisser entre mes cuisses.
D’un doigt inquisiteur, elle explore l’entrée de ma grotte en s’immobilisant sur l’anneau en latex de mon fémidom.
– Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
– Je l’ai mis pour que ses reliefs internes majorent ton plaisir.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
– Tu peux le garder, finit-t-elle par me dire.
Sans perdre de temps, elle s’allonge entre mes cuisses en appuyant son gland turgescent contre mon anneau.
– Pousse dès que je commence à t’enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Mes sphincters finissent par céder et je sens son sexe s’enfoncer d’un coup jusqu’à la garde.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo.
Elle pilonne mon point G avec une précision diabolique.
J’ai la respiration coupée lorsqu’elle me baise à grands coups de reins.
Dans le silence de la chambre, j’entends les claquements réguliers de son ventre contre ma croupe et les frottements de sa queue dans mon préservatif féminin.
Elle jouit lorsque je tortille mes fesses contre son ventre en glissant ma main entre ses cuisses pour lui serrer les bourses.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.
Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi en étant toujours tenaillée par le désir.
Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Sans pouvoir détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition en commençant par les masturber toutes les deux en même temps.
Natacha est la première à me montrer ses attentes.
– Allonge toi sur le lit, lui dis-je avec excitation.
Lui tournant le dos, je m’empale à califourchon sur sa verge en interpellant Sabrina.
– C’est le moment de réaliser ton fantasme.lui dis-je en m’étendant sur le corps de son amie qui s’active dans mes reins tout en écartant les cuisses pour faciliter ma double sodomie.
Fascinée par le sexe de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile.
Puis, elle me prend dans sa bouche en s’enfonçant en même temps dans ma grotte.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge sa queue dans mes fesses quand celle de Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je jouis longuement dans la gorge de Sabrina.
Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.
– Je vais te vider les bourses, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
Attentive à la montée de son orgasme, je me trémousse de plus belle sur son sexe.
Tremblante de la tête au pied, elle gémit de plaisir en se vidant en moi.
Excitée par ce spectacle, Sabrina m’embroche à nouveau en regardant le sperme de son amie sortir de ma chatte et couler sur sa queue.
Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle m’embroche jusqu’à la racine de son sexe.
– J’adore te baiser dans cette position, s’exclame-t-elle!
Reprenant l’initiative, je la bascule sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je serre sa taille entre mes cuisses pour l’empêcher de bouger.
Lorsque Sabrina est sur le point de jouir, je sors sournoisement mon gode de dessous l’oreiller pour l’enfoncer dans ses fesses.
Surprise, elle se cabre en tentant d’échapper à ce pal qui la fouille avec insistance.
– Non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire avant d’exploser en moi dans une série de spasmes.
Restée seule, je m’empresse de remettre de l’ordre dans ma lingerie.
J’ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne sans oublier de retoucher le contour de mes lèvres.
J’enfile rapidement ma jupette pour ratt****r mon retard car j’ai rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.
En redescendant dans le hall d’entrée, mon attention est attirée par une jeune étudiante assise dans un fauteuil.
Elle est coiffée d’une queue de cheval et porte une jupe plissée ultra courte.
Lorsque nos regards se croisent, elle écarte les jambes en me laissant entrevoir sa culotte ivoire ornée de dentelle marron.
Avec surprise, j’aperçois entre ses cuisses la sangle ajustée d’un gode ceinture qui lui scie la chatte.
Je m’approche d’elle en lui demandant ce qu’elle cache sous sa jupe.
Nullement gênée par ma demande, elle la retrousse sur son ventre.
– Je te trouve craquante en fille et j’aimerai m’occuper de toi, me dit-t-elle en exhibant un redoutable phallus de 7 cm de diamètre.
Je reste sidérée quand elle me murmure à l’oreille quelques unes de ses spécialités qui ferait rougir une professionnelle du sexe.
L’excitation me gagne en voyant cette jolie adolescente presser entre ses cuisses cette queue massive qui me fait envie.
– Viens dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, insiste-t-elle en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
Étant en retard, je la quitte à regret en lui promettant de revenir la voir rapidement.
Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.
C’est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.
En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.
C’est différent d’un plug qui a une base plus large en laissant l’anus béant en permanence.
Il donne des sensations agréables mais aussi des envies fréquentes d’aller aux toilettes, ce qui n’est pas très pratique lors des sorties.
En poursuivant mon chemin, les 600gr de mon rosebud me provoquent d’excitantes tensions dans le bas ventre pendant que sa tige en laiton vient presser mon périnée et la racine de mon sexe.
A la recherche de sensations fortes, je m’arrête devant une vitrine en écartant les jambes.
Entraîné par son poids, je sens mon bijou anal glisser de ma grotte.
La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.
Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu’il ne m’échappe.
Je frissonne de plaisir lorsqu’il remonte d’un coup en se plaquant contre ma prostate.
Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.
Ce petit jeu a l’avantage de fortifier mes sphincters en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.
Cela me fait repenser à notre dernière soirée.
A peine arrivé chez moi, il glisse sa main sous ma jupe pour s’assurer que mon bijou anal garde bien l’entrée de ma grotte.
Il exige que je le porte quelques heures avant son arrivée pour que ma chatte soit déjà ouverte et humide de désir.
Je porte également ma cage de chasteté car il aime me sauter en voyant ma queue encagée.
C’est pour lui un témoignage de ma soumission et de son pouvoir sur moi.
Il m’allonge sur mon lit en se servant de l’un de mes nombreux jouets que je laisse traîner sur ma commode pour m’exciter.
On y trouve pèle mêle: vibro, gode, gode ceinture, plug gonflable et vibrant, plug urétral, spéculum, vacuum, fleshlight, pompe anale, électro stimulation, et quelques accessoires sado maso.
Après lui avoir fait l’amour dans toutes les positions, je m’apprête à m’endormir en conservant ma lingerie coquine pour raviver ses pulsions fétichistes durant la nuit.
Avec rouerie, je lui tourne le dos en pressant sa queue dans la raie de mes fesses pour lui donner l’envie de me reprendre pendant mon sommeil.
Quelques heures plus tard, comme prévu, je sens sa main caresser mes bas et se glisser entre mes cuisses…
Heureuse de le voir tomber dans mon piège, je reste immobile pour lui faire croire que je suis endormie.
Puis, il allume la lampe de chevet en me retournant sur le ventre.
Profitant de la situation, il me trousse sans scrupule en jouant avec moi comme avec une poupée.
Il plonge sa tête sous ma nuisette en titillant mon œillet avec sa langue.
Ses attouchements deviennent de plus en plus précis et je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.
Je sens maintenant sa queue coulisser dans le sillon de mes fesses et son gland frapper à l’entrée de ma grotte.
Faisant semblant d’avoir un sommeil agité, je l’aide en écartant les cuisses et en cambrant les reins pour qu’il me pénètre plus facilement.
Il s’enfonce alors en moi de tout son poids en me basculant sur le côté pour aller et venir sans fatigue.
Dans cette position, il peut me baiser longuement sans jouir.
Je me laisse alors bercer par les va et vient de sa queue…
Le lendemain matin, je sais qu’il m’a violée plusieurs fois pendant la nuit car en me levant d’abondantes coulées de sève s’échappent de mes fesses en dessinant d’étranges arabesques blanchâtres sur mes bas.
En passant devant la glace, je ne peux m’empêcher de sourire en voyant ma nuisette satinée imprégnée de larges auréoles à l’endroit de mes fesses témoignant de ses nombreux assauts durant mon sommeil.
Perdue dans mes sulfureuses pensées, j’arrive enfin chez Mirella.
C’est une cubaine qui habite Paris depuis cinq ans.
Elle m’ouvre la porte habillée d’un superbe déshabillé ivoire qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse planer aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie transparente trahit la présence de sa queue d’ébène.
Elle est massive et épaisse comme je les aime.
-Tu es en retard, me dit-t-elle sur un ton comminatoire.
Je l’embrasse longuement en caressant ses seins splendides pour me faire pardonner.
Elle esquisse un sourire forcé en m’invitant à m’asseoir dans son divan et en m’offrant une tasse de thé.
Au cours de notre conversation, je croise et décroise lentement mes jambes pour lui laisser entrevoir mes jarretelles.
En me fixant d’un regard lourd, Mirella glisse sa main sous ma jupe en explorant ma culotte satinée qui moule ma queue dans ses moindres détails.
Lorsqu’elle écarte la fente de ma lingerie, je serre son bras entre mes cuisses pour stopper sa progression et faire monter son désir.
Excitée par mon attitude, elle me caresse avec sa main restée libre.
Poursuivant son exploration, elle aperçoit le bijou anal qui garde l’entrée de ma grotte.
Ses yeux sont attirés par le saphir en cristal incrusté dans son socle qui brille de tous ses feux.
– Il est splendide, me dit-t-elle admirative.
– Il semble aussi très efficace, rajoute-t-elle en passant son doigt sur mon gland tout humide.
Soudain, son attention est attiré par des tâches blanchâtres qui maculent le haut de mes bas.
– Mais, c’est du sperme, me dit-t-elle d’un air outré.
– Viens que je t’examine, rajoute-t-elle d’une voix autoritaire en m’enlevant mon corsage et ma jupe.
Ses mains s’attardent avec sensualité sur mes seins avant d’explorer l’intérieur de mes cuisses.
Elle contemple un moment mon triangle de vénus, ma chatte et ma queue épilée.
– Je te trouve craquante ma chérie, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
Elle m’allonge sur sa table d’examen en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, se plaçant entre mes jambes, elle joue avec mon rosebud en le tiraillant avec ses dents.
Peu après, elle le retire ainsi que mon fémidom.
– Combien de queues as tu prises dans les fesses aujourd’hui? me dit-t-elle en agitant mon préservatif d’un air outré devant mes yeux.
– Il est rempli de sperme, rajoute-t-elle scandalisée.
– Puisque tu es si bien disposée, je vais en profiter, me dit-t-elle en me lançant un regard ambigu.
Elle me plonge son spéculum XO dans la chatte en le laissant en place de longues minutes pour m’assouplir l’anus avant de le retirer.
Peu après, ayant enfilé des gants en latex, elle glisse ses doigts un à un dans mes fesses.
Elle les fait coulisser lentement dans mon fourreau anal tout en me masturbant.
Puis, forçant mon passage, elle plonge sa main dans mon ventre en m’arrachant un cri de douleur.
– Te voilà prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle en m’entraînant dans la pièce voisine.
Je découvre alors un étrange cheval d’arçon équipé d’une selle.
– Enfourche le, me dit-t-elle avec autorité.
A l’aide de vérins, elle règle minutieusement la hauteur de la selle pour que mes jambes restent bien tendues tout en bloquant mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Puis, elle me bâillonne avec l’un de ses bas en me liant les mains dans le dos.
Je suis totalement en son pouvoir lorsqu’elle actionne sa télécommande qui déclenche l’ouverture d’une trappe sous mes fesses.
– Il y a un cône en inox de trente centimètres qui va t’empaler, me dit-t-elle en écartant la fente de ma culotte.
Lorsqu’elle pianote à nouveau sur son clavier, je sens le pal s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon anus se contracte au contact du métal.
– Détends toi ma chérie, me dit Mirella en me masturbant d’une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au départ, j’éprouve plutôt des sensations agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter m’excite les sens.
Les pieds cloués au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte.
Un quart d’heure plus tard, je ressens un plaisir mêlé de douleur.
Puis, vient le moment où j’ai vraiment l’impression d’être ouverte en deux.
J’ai la respiration coupée quand cette énorme masse s’enfonce toujours plus loin en m’écartant implacablement les chairs.
J’éprouve alors des sensations à la limite du supportable.
Souhaitant abréger cette pénétration devenue éprouvante, je pousse pour m’ouvrir l’anus et m’embrocher plus à fond.
Malgré mon regard suppliant, Mirella laisse le cylindre poursuivre sa lente progression dans mes entrailles.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en ayant ma queue dressée prête à exploser.
– J’ai orienté le pal pour qu’il presse ton point G, m’explique-t-elle.
– C’est pour cela que tu bandes si fort, rajoute-t-elle en riant.
– Tu es maintenant bien ouverte, me dit-t-elle d’une voix suave.
Je craque lorsqu’elle fait glisser son ongle le long de mon frein.
– Tu jouis du cul, s’exclame-t-elle en voyant une épaisse coulée blanchâtre s’échapper en continu de ma verge.
Elle la prend en bouche pour finir de pomper ma sève.
Puis, elle me détache en me faisant enfiler une ravissante nuisette en satin rouge.
– Va m’attendre dans ma chambre pendant que je me prépare.
Elle me rejoint revêtue d’un corset moulant son corps à la perfection.
Sur son ventre est plaqué un énorme gode ceinture creux dans lequel elle a glissé son sexe.
– Comme tu aimes les gros calibres, j’ai mis cette prothèse pénienne pour ne pas te décevoir.
Elle m’embrasse à pleine bouche en pressant ses seins splendides contre moi.
L’instant d’après, elle m’allonge sur le dos en s’agenouillant entre mes jambes.
– Remonte ta nuisette, ma chérie.
Elle contemple un instant ma chatte restée largement béante par les pénétrations précédentes.
Puis, elle enfonce trois doigts en les recourbant vers le haut pour stimuler ma glande d’amour.
Sans me quitter du regard, Mirella poursuit son fist en sentant mes sphincters se contracter sur son poignet.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de ma culotte ouverte.
– Tu aimes ça, n’est ce pas ma belle, s’exclame-t-elle en me masturbant de l’autre main.
Quelques instants plus tard, elle m’écarte les cuisses en pointant son gode ceinture contre mon œillet.
Brûlante de désir, j’attends avec impatience d’être prise.
Elle me sodomise lentement pour faire passer le gland avant de s’enfoncer jusqu’au fond de mes entrailles.
Puis, elle glisse sur ma queue l’un de ses luxueux bas cervin.
Tout en s’activant dans mes reins, elle me masturbe avec ce fabuleux manchon.
Les frottements répétés des mailles satinées sur mon gland me provoquent une forte érection.
– J’aime sentir ta queue se durcir dans ma main quand je te baise, me dit Mirella en souriant.
Je suis devenue une machine à jouir dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, je vois ma sève transpercer le bas nylon et se répandre en coulées blanchâtres sur ma nuisette.
Peu après, elle se retire de mes fesses en m’interpellant:
– A ton tour de me donner du plaisir!
Décidée à la surprendre, je l’allonge sur le dos avant d’enfiler un mini bas en latex sur mon pied que je le plonge dans son œillet brûlant de désir.
Grâce à de lentes rotations, je le fais rentrer peu à peu jusqu’au talon.
Très excitée, Mirella saisit mon pied à deux mains en le faisant coulisser en elle.
La voyant tremblante de désir, je décide de m’empaler sur sa verge dressée.
Je la fais jouir rapidement dans une série de spasmes
Lorsque je vois sa queue ruisselante de sève sortir de mes reins, je ne peux m’empêcher d’envier les femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sperme à leurs amants durant leurs vies.
Épuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.
Merci de me dire si vous avez aimé ce récit.
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