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Argent de poche

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Salut, moi c’est Chloé et je vais vous raconter ce qu’il m’est arrivé il y a peu de temps mais je compte sur votre discrétion car il ne faudrait surtout pas que cela remonte aux oreilles de ma mère !

Ma mère, elle m’a moi et mon petit frère. Nous vivons tous les trois dans une ville moyenne de province, notre père nous ayant quitté il y a quelques années, du jour au lendemain, sans nous donner aucune nouvelle depuis. De ce fait, ma mère qui est infirmière est obligée de bosser énormément. Elle est souvent de garde de nuit à l’hôpital. Et donc c’est à moi qu’incombe souvent la surveillance du frangin.

Mais bon, ce n’est pas pour vous parler de ma mère que je suis ici. Non, c’est pour vous raconter ce qu’il m’est arrivé pendant les vacances de Pâques. Je suis en Terminale au lycée et donc j’ai droit comme tout le monde aux vacances scolaires bien méritées ! Sauf que comme nous ne roulons pas sur l’or, c’est le moins que l’on puisse dire, malgré les heures que fait ma mère au boulot pour pouvoir joindre les deux bouts, ni mon frère, ni moi ne pouvons partir en vacances. De ce fait, les journées de vacances consistent à trainer avec mes copines dans le centre commercial de la ville ou faire les boutiques du centre-ville, mais sans rien acheter.

C’est justement lors d’une journée « shopping » avec ma meilleure amie du moment que l’incroyable nous est arrivé.
Que je vous présente déjà ma copine. Sandrine a un an de plus que moi, elle est étudiante en Esthetique et on s’entend bien toutes les deux. Elle est plutôt pas mal, 1m66, 54 kg, cheveux longs châtains clairs, de magnifiques yeux marrons et une très belle paire de seins. Et elle, contrairement à moi, elle l’a déjà fait ! Quoi ? me direz-vous. Et bien coucher avec un mec bien sûr ! D’ailleurs, elle ne l’a pas fait qu’une fois. C’est vrai qu’elle plaît aux mecs Sandrine et qu’en plus, elle n’a pas froid aux yeux.

Vous vous dîtes, toi ma petite Cholé, tu ne plais donc pas aux hommes ! Vous vous trompez complétement ! Sandrine, comme mes autres copines et les copains avec qui nous traînons très souvent, me trouve carrément canon ! Pour beaucoup, je suis la plus belle du lycée, ce qui est très flatteur mais n’est pas toujours un avantage, entre jalousies, mecs ultra-timides, coups foireux,… C’est vrai qu’avec mon 1m69, 52 kg, brune aux yeux verts comme je suis (cheveux longs également) et mon 85b de tour de poitrine avec des seins en forme de poire, je suis plutôt chanceuse surtout que j’ai parait-il un cul magnifique (c’est vrai que je l’aime bien, il n’est pas gros mais ferme et assez rebondi). Bref, je plais mais hormis des French kiss et de m’être fait ploter les seins, cela n’a jamais été plus loin car j’ai toujours refusé lorsqu’un mec était plus entreprenant. Cela tient de mon éducation que nous inculque notre mère. Je dois rester vierge le plus longtemps possible, idéalement jusqu’au mariage quand je l’écoute !

Revenons maintenant à cette journée « shopping ». C’était une belle journée d’été que nous offrait ce début de mois de Mai. Forcément, Sandrine comme moi avions ressorti les tenues d’été, à savoir short en jean raz des fesses pour moi avec T-shirt et boots montantes, idem pour elle sauf qu’elle avait mis un chemiser. Après avoir passé quelques heures sous la chaleur à faire les magasins sans rien acheter car ni elle ni moi n’avions d’argent (ma mère me donne juste 20€ par mois d’argent de poche), nous décidâmes d’aller boire un verre dans le bar branché de la ville, « the place to be », c’est-à-dire le bar du plus grand et plus luxueux hôtel de la ville alors qu’il était 18h passé.

Evidemment, ni elle ni moi ne passons inaperçues lorsque nous entrons dans le bar mais nous en avons l’habitude et Sandrine a toujours été un peu provoque. Nous nous installons à une table, juste à côté de deux hommes d’affaire plutôt d’un âge avancé, tout au moins pour l’un d’eux. Le serveur passe prendre notre commande (coca pour nous deux) puis nous apporte les boissons alors que nous continuons nos discussions sur notre journée shopping, les mecs, les prochaines sorties…

Vient l’heure de payer et là, oups, ni Sandrine ni moi n’avons assez pour payer les 16€ de la note (ça fait cher pour 2 coca !). On se dit qu’il y en a marre d’être tout le temps fauchées, qu’il faut qu’on trouve un moyen de se faire un peu de blé et comment faire pour partir maintenant que nous les avons bu ces 2 cocas !

Le serveur revient vers nous, probablement pour encaisser, et nous nous préparons à lui dire que nous avons en tout et pour tout 5€ 50 à lui donner…quitte à prendre au choix notre plus beau sourire de drague, nos yeux de chiens battus, voire à courir si ça ne prend pas. Il nous dit que l’addition a été réglée par nos voisins de table, la prend et la chiffonne. Yes, sauvées ! Nous nous retournons vers nos voisins qui sont les mêmes qu’à l’arrivée, à savoir ces deux business men d’un âge plutôt élevé (55 à 60 ans facile mais donner un âge à un vieux, c’est pas évident !). Ils sont toujours à leur table en train de boire du champagne. Sandrine se lève pour aller les remercier puis me fait signe de venir. En fait ils nous invitent à boire une coupe de champagne ! Cool, je n’avais jamais goûté !
Nous commençons à bavarder tous les quatre, je devrais dire ils commencent à bavarder tous les trois car moi, je ne dis rien, je suis intimidée et ma nature prudente me fait mettre en retrait. Ils nous expliquent qu’en nous entendant nous dire que nous n’avions pas assez d’argent pour payer les consommations, ils ne pouvaient laisser de si jolies jeunes filles dans l’embarras et qu’en purs gentlemen, ils avaient donc demander au serveur de régler notre addition. Ils nous disent également qu’ils nous ont entendu dire qu’on en avait marre d’être toujours fauchées, qu’ils comprenaient cela très bien et qu’étant donné notre physique, nous ne devrions avoir aucun problème à trouver comment se faire un peu d’argent assez facilement.

Je suis un peu larguée par la conversation et ne vois pas ce qu’ils veulent dire par cela. Sandrine, toujours grande gueule, leur demande d’être plus explicite. C’est là qu’ils nous annoncent qu’ils sont prêts chacun à nous filer 50€ si on leur fait une pipe. Ils ajoutent qu’ils ont tous les deux une chambre à l’hôtel et que nous n’avons qu’à répondre oui et nous montons avec eux dans leurs chambres. Moi, je commence à paniquer et lance des regards apeurés à Sandrine qui pour sa part semble très intéressée. Elle me demande de la suivre aux toilettes.

Une fois arrivé, elle me dit que c’est une occasion en or, 50€ pour une pipe alors qu’elle le fait gratuitement à son copain ! Je lui dis que moi, je ne l’ai jamais fait, je ne sais pas comment on doit faire. Elle m’explique rapidement qu’il s’agit de prendre la bite du mec dans la bouche et de tourner sa langue autour, contre sa joue, de la sucer en cadence avec des petits allers-retours de la tête et que les mecs adorent. Mais qu’il faut surtout faire attention de ne pas serrer avec les dents, juste les lèvres.
– C’est une chance inouïe, Cholé, car crois-moi, le jour où ton petit copain te demandera de lui tailler une pipe, non seulement il ne te paiera pas mais en plus il ne comprendra pas que tu ne saches pas le faire. Là, tu apprends et en plus, tu prends de l’argent ! Que demander de plus !
– Et si ma mère l’apprenait ?
– Comment veux-tu qu’elle l’apprenne ! Elle est à l’hôpital, nous allons chacune monter dans une chambre, il n’y aura que nous quatre qui serons au courant. C’est un secret que nous garderons toutes les deux. Penses à ce que tu pourras acheter après ! Et sans demander l’autorisation à ta mère !

Prise par son entrain et peut-être l’effet du champagne, je me laisse convaincre tout en lui précisant encore que je ne l’ai jamais fait et que je ne garantis pas le résultat.
Revenues à la table de nos hôtes, Sandrine s’empresse de dire que nous sommes toutes les deux d’accord et que nous voulons avoir l’argent avant (trop forte cette Sandrine, je n’y aurais pas pensé). Le plus âgé des deux appelle le serveur, signe la note des boissons puis après nous avoir demandé de les suivre, nous nous levons tous les quatre pour nous diriger vers l’ascenseur de l’hôtel.

Arrivés tous les quatre à l’étage demandé (aucune conversation pendant la montée de l’ascenseur), le plus âgé me prend par la taille tandis que l’autre emmène Sandrine de la même manière mais dans la direction opposée !

Me voilà seule avec un mec qui pourrait être mon grand-père et qui, au fur et à mesure que nous marchons dans le couloir, a descendu sa main au niveau de mes fesses, et comme mon short est très très court, forcément, il a accès direct à la chair qu’il ne se prive pas de toucher et malaxer !

Arrivés devant une porte, nous nous arrêtons, il sort une carte magnétique de sa poche et déverrouille la serrure puis me donne une claque sur les fesses et me fait entrer avant de refermer la porte.
Il me tend un billet de 50€ que je m’empresse de mettre dans la poche arrière de mon short puis me dit
– A voir ton air lorsque nous discutions avec ta copine, j’en déduis que tu n’as jamais sucé de bite
– Non, Monsieur
– Et tu es encore vierge ?
– Oui, Monsieur
– Tourne sur toi que je te regarde un peu (je m’exécute – Il s’approche de moi et commence à me toucher les seins au travers de mon T-shirt puis mon sexe qui, Dieu merci, est protégé par mon short, puis encore mes fesses qu’il claque encore une fois ) Tu es vraiment très jolie, tu as l’air d’avoir un corps magnifique. Et quel cul tu as ! A réveiller un mort ! Comment t’appelles-tu déjà ?
– Chloé
– Bon écoute Chloé, tu vas faire comme je te dis et tout se passera bien. Pour commencer, tu te mets à genoux devant moi (je viens m’agenouiller devant lui)
– C’est bien ma jolie. Pour éviter de tâcher tes vêtements si j’éjacule fort, je vais te retirer ton T-shirt (Avant que je n’ai pu répondre quoique que ce soit, il a déjà soulevé le bas du T-shirt et je suis obligée de lever les bras pour qu’il me le retire complétement)
– T’es une bonne petite. Tu vas desserrer ma ceinture et déboutonner mon pantalon, voilà comme ça, maintenant tu l’abaisses et tu abaisses aussi mon slip (je m’exécute, tire sur son slip pour me retrouver nez à nez avec sa queue, l’une des premières queues que je vois de près, hormis celle de mon petit frère mais ce n’est pas pareil). Maintenant tu prends ma queue avec ta main droite et tu commences à la caresser et à me branler (je lui prends, c’est tout chaud mais plutôt flasque et je commence à faire des petits va-et-vient. Rapidement, je sens que le membre se raidit et gonfle dans ma main) – C’est bien Chloé, tu apprends vite ! Maintenant tu vas la sucer avec ta langue (je commence donc à sucer ce bout avec ma langue même si l’odeur n’est pas des plus agréable)

– Ouvre la bouche Chloé que je te la foutte bien dans la bouche (là encore j’ouvre en grand la bouche et un gros truc me rentre dedans) Suce maintenant petite salope ! Et regarde-moi dans les yeux !(En même temps qu’il me dit cela, il me prend par les cheveux qu’il me tire et appuie sur ma nuque, ce qui fait que je me retrouve avec ce membre au fond de ma gorge et manque m’étrangler. Je lève les yeux comme il me le demande et fais glisser ma langue tout autour de son membre comme m’a expliqué Sandrine, en faisant bien attention que mes dents ne serrent pas – De lui-même, il prend son membre et vient le frotter contre l’intérieur de ma joue puis commence à faire aller ma tête d’avant en arrière en me tenant la nuque et les cheveux et ce de plus en plus vite – Je manque régurgiter tellement ça va vite et profondément dans ma gorge. En même temps, il me caresse les seins avec son autre main au travers de mon soutien-gorge. Puis il passe sa main derrière mon dos et me le dégrafe, ce qui a pour effet de le libérer mes seins même si mon soutien-gorge reste attaché via mes bretelles. Il remet sa main sur mon sein droit et se met à le malaxer)

– T’aimes ça petite coquine ! C’est bon ! T’es vraiment une bonne petite suceuse ! Attends, je sens que ça vient ! me dit-il juste avant de gémir. Qu’est-ce qui vient ? Je ne comprends pas sur le coup mais sens juste après un liquide chaud qui m’arrive dans la gorge et sur la langue. De surprise, je fais un mouvement arrière qui fait que son membre sort de ma bouche et je me retrouve aspergée de sperme sur le visage également !

– Avale, c’est plein de protéines, c’est bon pour la santé ! (Je ne m’attendais pas à ce liquide à l’intérieur de ma bouche et je l’avale comme il me le demande. De son doigt, il racle le reste du sperme que j’avais reçu sur le visage et me l’étale puis une fois que j’ai fini d’avaler me demande de tirer la langue et ensuite de sucer son doigt, ce que je fais) Pour une première, tu as bien assuré ! Viens nettoyer ma queue avec ta langue (Je m’exécute). T’es une bonne petite pute me dit-il tout en me caressant le visage. Voilà, tu t’es fait 50€ tout en me donnant du plaisir ! C’était facile, non ? Et je vois que ça t’a plu ! C’est dommage que tu sois encore vierge car j’aurais eu plaisir à te baiser ! Ça ne te dit pas ? Je suis prêt à allonger !

Devant mon absence de réaction et mon visage fermé, il en déduit à juste titre que c’est non et remonte son slip et son pantalon. J’en profite pour me relever, mon soutien-gorge se fait la malle en même temps, me voilà seins nus devant lui !
– Je te file 100€ en plus si tu acceptes de me montrer ton cul, que je puisse te le caresser, le lécher ainsi que ta petite chatte. Pas de pénétration sexuelle, juste des caresses !
Et je le vois tirer un billet de 100€ de sa poche. Autant dire qu’un billet de 100€, je n’en ai jamais eu, ni même je crois jamais vu ! Que faire ? D’un côté, je me dis que ce n’est pas raisonnable et que je suis plutôt pudique, d’un autre 100€ juste pour me montrer à poil devant un vieux que je vois pour la première fois et que je ne verrai plus ensuite, c’est assez tentant. En plus, il veut juste me caresser, il n’y a pas d’acte sexuel et de surcroit, je suis déjà à moitié nue donc ce serait dommage de passer à côté. Seul risque, c’est que Sandrine m’attende un peu à l’entrée de l’hôtel où nous avons décidé de nous retrouver après nos séances respectives… mais je suis sûre qu’elle comprendra une fois que je lui aurai dit ce qu’il m’a proposé.

– D’accord, juste me montrer nue et vous me caressez ?
– Oui ; c’est ça, tu te fous à poil, tu me montres ton cul, je le caresse ainsi que ton petit minou, je les lèche et tu as gagné 100€ !
Il me tend le billet que je m’empresse de mettre dans la poche arrière de mon short avec l’autre.
– Retire ton short
Je m’exécute, déboutonne mon short et le laisse glisser le long de mes jambes puis le retire complétement de mes pieds.
– T’es vraiment magnifique, tourne toi que je vois ton cul
Là encore, je me tourne (je suis juste en boots et petite culotte) et je le sens qu’il se rapproche derrière moi.
– T’as vraiment un cul magnifique ! J’ai hâte de le voir complétement

En même temps, il commence à le caresser au travers de ma culotte puis me redonne quelques claques sur chacune de mes fesses tout en venant poser son autre main sur mon intimité, toujours protégée par ma culotte. Tout en étant juste derrière moi, il caresse en mettant de plus en plus de pression, en appuyant sur ma chatte, ce qui provoque un petit émoi dans mon ventre. En même temps, son autre main est venue se poser sur l’un de mes seins qu’il se met à caresser puis att**** le têton et le fait rouler entre ses doigts, je sens que mes seins durcissent.

– T’aimes ça, petite salope, ça t’excite, t’es une chaude toi !
Juste après ces paroles, il passe sa main à l’intérieur de ma culotte, caressant mes fesses et je sens un de ses doigts qui descend le long de ma raie. Je suis à la fois surprise mais toutes ces caresses me donnent des bouffées de chaleur. Ensuite, il s’accroupit, me retourne afin que je lui fasse face et m’abaisse ma culotte qu’il me retire en me levant chacun de mes pieds et la jette sur la moquette à côté. Me voilà complétement nue devant lui (hormis mes boots montantes !)

– T’as une jolie petite chatte. En plus, bien épilée !
Bah oui, Sandrine, ma copine, fait un bac pro esthétique et je lui sers de modèle parfois ! Comme en plus, la tendance est à l’épilation intégrale mais que je n’ai pas les moyens d’aller en institut me faire épiler, ça tombe plutôt bien !
Ensuite, il commence à me caresser ma chatte, passe doucement ses doigts sur les lèvres jusqu’à mon petit bouton puis se met à les lécher. Autant vous dire que je commence à ne plus rien sentir ou plutôt à ressentir des choses que je n’avais pas expérimenté jusque-là !

En même temps qu’il me lèche avec sa langue, il commence à faire remonter ses deux mains le long de mes cuisses jusqu’à mes fesses qu’il se met à palper et à pincer avec ses mains. J’ai de plus en plus de bouffées de chaleur et sens ma chatte s’humidifier puis je deviens haletante alors qu’un liquide commence à couler.

– Mais c’est que tu mouilles, ma petite ! Je vois que mes caresses t’excitent ! Bon, vas te mettre à quatre pattes sur le lit que je puisse un peu mater ton cul !
Je grimpe sur le lit comme il me l’a demandé et me mets à 4 pattes, visage face au mur. Il a ainsi la vue sur mes fesses et tout ce qui va avec !

– Ecartes plus les cuisses, que je puisse voir ton petit abricot ! (Je bouge légèrement mes genoux de part et d’autre afin d’avoir les cuisses plus écartées comme il le souhaite) Ouah ! Quel cul tu as ! Il est superbe ! En plus avec ton petit abricot luisant, c’est magnifique ! Tu sais que tu as des sacrés arguments, toi !

Après un certain temps pendant lequel il m’admire dans cette position, je le sens s’approcher du lit puis s’assoir juste à côté de moi. Il passe sa main délicatement sur mes fesses (ce qui a pour effet de me crisper un peu) et la fait descendre le long de mes cuisses jusqu’à ma chatte avant de me redonner une claque sur chacune de mes fesses.

– Détends toi ma jolie ! Je veux juste te caresser et te lécher ton joli petit cul !
En même temps qu’il me dit cela, il passe son doigt le long de ma chatte toute humide et le remonte le long de ma raie puis tourne autour de mon petit trou. Cela me fait une sensation bizarre que l’on touche ainsi à mon cul, je me crispe davantage. Il se met à genoux sur le lit puis m’att**** une main qu’il met derrière mon dos puis la deuxième, ce qui a pour effet que je me retrouve épaule et visage sur le lit ! Il me tient fermement les deux poignets avec une de ses mains et me redonne deux claques sur les fesses. Cela fait un peu mal et je pousse un cri de surprise.

– Tends ton cul vers le haut ! Je veux pouvoir bien le voir ! Je veux que tes fesses soient bien écartées.
Il se met à me lécher la chatte puis remonte avec sa langue le long de ma raie jusqu’à mon petit trou qu’il lèche également. Beurk ! Je trouve ça un peu sale mais bon, si ça lui fait plaisir ! J’ai même l’impression qu’il essaie de rentrer sa langue dedans ! Avec son autre main, il écarte une de mes fesses et continue à mettre de plus en plus de pression avec sa langue sur mon petit trou. Je frémis de plus en plus. Puis il redescend sa main et caresse ma chatte. Je commence à devenir haletante. Enfin, il s’arrête. J’ai la raie toute humide !

– Tu sais que tu as un joli petit œillet. Tout rose ! Il est bien mignon. Ça te plait que je te le titille ! Tu es une sacrée mouilleuse en plus !
Il repasse son doigt sur ma chatte, racle la mouille puis la remonte le long de ma raie jusqu’à mon petit trou. Il recommence à faire tourner son doigt autour de mon petit trou, devenant de plus en plus insistant, passe sa langue dessus puis appuie jusqu’à y rentrer son auriculaire! Je pousse un cri de surprise et aussi d’excitation ! Je n’aurais jamais cru qu’il aurait rentré son doigt !

– T’aimes ça, hein, petite salope ? Et tu m’as l’air assez sensible du cul ! Ça rentre comme dans du beurre. Tu vas voir, t’y prendras de plus en plus de plaisir !
En même temps qu’il me dit cela, il enfonce un peu plus son doigt puis le fait tourner à l’intérieur avec des petits va-et-vient. C’est vrai que cela me procure des sensations bizarres. Il le retire puis recommence avec un autre doigt, le majeur, qu’il rentre sans problème bien que je le sente nettement plus. Je pousse des petits gémissements alors qu’il recommence ses va-et-vient tout en allant de plus en plus vite. Enfin, il le ressort puis me redonne deux bonnes claques sur chacune de mes fesses !

– T’es une bonne petite pute tu sais ! Je suis là encore toute la semaine, si ça te dit d’apprendre de nouvelles sensations ! En tout cas, t’as un cul qui est fait pour baiser ! Alors profites-en ma petite ! Allez, va te rhabiller maintenant.
Il me relâche les poignets et se retire du lit. Je me redresse puis descends également du lit. J’ai l’impression d’avoir les fesses en feu ! D’ailleurs, je peux voir au travers d’un miroir posé à côté qu’elles sont bien rouges ! C’est sûr, à la force de me donner des claques ! Je renfile ma culotte puis mon mini short. Le vicelard, il me regarde m’habiller ! En même temps, il me demande si cela m’a plu.

– Oui, Monsieur !
– Je suis sûr que c’est la première fois que tu as eu de telles sensations !
– Oui, Monsieur !
– Bon allez, vas t’en ! Et n’oublies pas ma proposition ! Elle reste valable jusqu’à la fin de la semaine.
Je m’exécute et sors de la chambre pour aller rejoindre Sandrine qui doit m’attendre depuis un petit moment.

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