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RETOUR SUR GAGE

RETOUR SUR GAGE



Quel jeu stupide que les paris stupides entre amies. Surtout quand l’amie en question …c’est vous ! Enfin, non, pas vous…moi. Bref !

C’est moi que mes trois copines poussent hors de la voiture suite à un pari que j’ai perdu. Elles, elles se régalent.
« Aller, Coralie ! Ne te dégonfle pas ! Tu peux le faire ! Tu en as que pour à peine cinq minutes ! Haha ha !! »
Elles en ont de bonnes. Le gage qu’elles m’infligent est sûrement le plus tordu qu’elles aient inventées. Mais, je dois bien reconnaître que si ce n’était pas moi la perdante, je serais également pliée de rire à voir l’une d’elle, remonter cette petite route.
Mon gage consiste à me rendre au bout, jusqu’à un petit carrefour, et revenir. Elle monte en pente douce, en longeant l’orée du bois, face à l’hippodrome.
Rien de très difficile, me direz-vous. Mais, ce chemin est juste réputé pour être fréquenté par des voyeurs et si je vous fais porter un chemisier noué sur le ventre, assez transparent sans soutien gorge, si je vous couvre les fesses d’une jupe si courte, qu’elle pourrait servir de ceinture, vous comprendrez très vite mon hésitation.
C’est le début d’aprem et la protection des feuillages du bois, laisse l’air doux et respirable, malgré une petite chaleur printanière qui c’est installée depuis quelques jours.
Le seul avantage de ma tenue, c’est qu’elle ne me tient pas chaud.
Sous l’insistance grandissante de mes amies, je m’élance, accrochée à la bandoulière de mon sac à main.
Sur la longueur de la route, je peux apercevoir une dizaine de voitures stationnées. Ce qui indique qu’il y a des gens dans les sous bois proches.
Je m’imagine déjà, des mères de familles posant leurs mains sur les yeux de leurs enfants à mon passage et des hommes tirés par le bras par leurs épouses outrées.
Trop difficile pour moi. Je fais demi tour, après seulement vingt mètres, tremblante.
Je rejoins la voiture, mais mes amies furieuses se sont enfermées à l’intérieur. Par la vitre arrière, à peine baissée, Mélanie, mon amie de toujours, me dit en brandissant un appareil photo numérique :
« Cora, si tu ne fais pas ton gage, j’envoie ses photos à Bertrand, dès ce soir! »
Puis, allumant l’appareil, elle me montre quatre photos, qu’elle a prise à mon insu. On me voit très bien. Je semble même arpenter le bord de la route très décontractée, comme si la chose était habituelle pour moi.
Si Bertrand tombe sur ça, je suis fichue. C’est mon chef de bureau. Laid comme un pou, il se prend pourtant pour un homme craquant. Il est fou de moi et m’a déclaré sa flamme à plusieurs reprises et j’ai dû le remettre en place pour calmer ses mains qui devenaient un peu trop baladeuses à mon goût. Alors si en plus il me croit coquine, il ne me lâchera plus, tant que je n’aurais pas baisée avec lui.

« Allez Cora ! Vas-y ! On va se marrer ! »

Après tout. Plus vite se sera fait, plus vite j’en rirais, moi aussi.
OK ! C’est décidé ! Je vais le faire leur fichu gage.
Je défais ma queue de cheval et laisse mes longs cheveux blonds, tombés sur mes épaules. je soulève un peu mes seins et je défais un bouton de plus à mon chemisier, pour lui donner un décolleté plus que provoquant.
Tout ce cirque provoque un éclat de rire dans la voiture. Du bout de l’index, j’envoie un baiser à mes amies, leur tourne le dos et commence mon périple vers le bout de la route, là bas, tout là bas.
Sans trop tourner la tête, je tente de voir dans les sous bois à ma droite. Quitte à être vue, j’aime autant le savoir. Mais c’est de ma gauche qu’une voix me fait sursauter.

« Hé ! Mademoiselle ! »
Un jeune type en voiture, lunettes noires, bras à la portière, me fais de grands sourires. Je me sens glacée, d’un coup.
Regardant droit devant moi, je continue à marcher. Il enclenche la marche arrière et recule pour revenir à ma hauteur.
« Ho ! Tu pourrais répondre, non ? C’est combien ? »
Mes jambes se mettent à trembler, ma gorge se serrer.
Loin derrière moi, j’entends la voix de Mélanie qui crie et qui rie.
« Ouaiiii ! Vas-y Coralie ! Ha ha ha ! »
Je stoppe net, me tourne vers la voiture et la voix chevrotante je dis :
« J’suis pas une pute, laissez moi tranquille ! »

Puis sans plus attendre, je reprends mon chemin.
Le jeune fait crisser ses pneus, me lance un magnifique « Connasse ! » et disparaît derrière moi.
Je me surprends à sourire.
Je me retourne et au loin je vois mes amies sauter de joie, les pouces en l’air. Mais, de leurs gestes, elles me font vite comprendre que je ne dois pas revenir et continuer jusqu’au bout. Au risque qu’elles puissent m’obliger à refaire le parcourt, je préfère continuer.
Plus loin, dans une voiture en stationnement, un type lit son journal. Plus je m’approche et plus je distingue ses yeux qui sont bien plongés, mais plus dans son journal. Il me déshabille du regard et malgré les précautions qu’il prend, ça se voit.
J’ai envie de reboutonner quelques boutons de mon chemisier, mais se serrait avouer que je le trouve trop ouvert, alors, je m’abstiens et je passe près du véhicule, ma main crispée à la lanière de mon sac, priant le ciel pour qu’il ne me dise rien, ou qu’il ne descende pas de voiture pour m’aborder.
Voilà. Je suis passée. Je l’imagine reluquant mon cul dans le rétroviseur. A cette idée, j’ai l’impression que mes fesses roulent comme celui des mannequins qui défilent. Je me redresse et tente de marcher le plus naturellement possible, mais je sens très vite que ma démarche est encore plus ridicule, tant elle est forcée.
J’essaie de me calmer, de me détendre. De plus, je ne suis plus très loin et j’aperçois une fontaine. La perspective de pouvoir boire un peu d’eau, après toutes ses émotions, me réjouie.
Soudain, à quelques mètres de moi, un homme descend de sa voiture et va s’asseoir sur un banc, tout près. Il va me falloir passer devant lui si je veux atteindre la fontaine. Tandis que la distance se réduit, le rouge à mes joues augmente.
Bien que je ne le regarde pas, je sais qu’il me fixe et au moment où je passe devant lui, je pourrais dire avec exactitude où sont posés ses yeux.
Ouf ! Il n’a rien dit et je n’entends pas ses pas. Il est donc resté assis, bien sagement.
Encore quelques mètres et j’arrive à la fontaine.
Je rassemble mes cheveux en les tournants et les tiens sur mon épaule pour ne pas les mouiller. Je me penche un peu et j’appuie sur le gros bouton argenté. L’eau jaillie, venant éclabousser mes escarpins.
Je récupère un peu de liquide dans ma main que je porte à ma bouche. Je répète l’opération plusieurs fois, tout en essayant de ne pas trop m’inonder.
En me redressant, mon regard croise celui d’un homme. Il est à quatre mètres de moi, à moitié caché derrière un arbre. Il se masturbe avec vigueur !
Je comprends que je viens de lui offrir un magnifique spectacle. En effet, en me baissant et à la distance où il se trouve, ma poitrine devait être plus qu’apparente dans l’échancrure de mon corsage.
Surtout, ne pas le regarder. Faire celle qui n’a rien vue. Avoir l’air décontracté. Alors, l’air de rien, je sors un mouchoir en papier de mon sac, pour m’essuyer les lèvres et les mains. Puis je m’approche du caniveau pour le jeter.
La soif m’a vraiment rendue aveugle, car une voiture est garée là et elle n’est pas vide. Par contre les couilles de son occupant le sont. Il déverse un flot de sperme à même sa main. Voyant que je l’ai vue, il semble redoubler de plaisir.
Pendant que l’un observait mes seins, l’autre contemplait mon cul, offert à sa vue à quelques centimètres à peine. Honteuse de mettre ainsi exposée, je tousse un peu pour cacher mon désarroi et j’entame le chemin du retour.

Là bas, très loin, toutes petites, j’aperçois mes amies qui me font de grands signes de leurs bras. L’homme qui c’était assit sur le banc n’y est plus. Il n’est pas dans sa voiture non plus. Je ne le cherche pas longtemps. Je l’entrevois dans les sous bois, pantalon à moitié baissé, la queue à la main, il fait des petits appels « Psittt ! Psitttt ! » pour attirer mon attention.
Pour épater mes amies qui semblent complètement hystériques, je m’arrête et me tourne vers le bois. L’homme n’en revient pas et se cambre comme pour mieux me présenter son sexe. Ne me sentant plus trop en danger et pour finir mon défi en beauté, je glisse une main dans mon chemisier et me caresse un sein.
« Viens me sucer ! Viens me sucer ! » Me dit il.
Là, c’est un peu trop, sa bite n’a pas l’air très propre, mais pour lui faire plaisir, je sors mon sein, puis l’autre et me les caresse en attendant sa jouissance. La bouche ouverte, les yeux exorbités, il accélère le mouvement, râle et je vois du sperme épais couler de sa queue suintante.
Je n’attends pas qu’il s’en remette et réajuste mon chemisier, pour rejoindre rapidement mes amies.
Plus loin, l’homme au journal, les yeux rivés sur son rétro, me regarde arriver. Quand je suis presque à la hauteur de sa portière, je jette rapidement un œil dans la voiture. Lui aussi tient son sexe à pleine main. Je vois son gland turgescent, prêt à exploser. Il a dût apercevoir mon exhibition et espère sûrement avoir sa part.
Je ne suis plus qu’à quelques dizaines de mètres de mes amies et il me suffirait de passer pour les rejoindre et gagner mon défi.
Qu’est-ce qui me prend ?
Peut-être suis-je en train de découvrir ma vrai nature ?
Ne suis-je pas qu’une simple coquine qui adore le sexe, mais une pure salope qui aime exciter les hommes ?
Toujours est-il que je m’arrête une fois de plus. Je cherche dans mon sac un autre mouchoir en papier, tourne le dos à la voiture et me penche pour essuyer mes escarpins.
Le mouvement ainsi exécuté, fait remonter ma jupe presque dans mon dos. Pas de doute que l’homme au journal fixe mon cul ainsi offert. J’entends la vitre électrique se déclencher et j’ai à peine le temps de réagir, que déjà mes fesses son empoignées par une main puissante.
Surprise, je me redresse d’un bond et me retourne vers lui et lance un :
« Ben ! Ne faut pas vous gêner ! »
Avant de me sauver en courant vers mes amies, je peux apercevoir du foutre qui coule sur le journal encore ouvert sur ses genoux.
Je m’engouffre dans la voiture et nous démarrons en vitesse, comme des voleuses.
Mélanie me prend par le cou et m’embrasse en riant. Je suis félicitée, applaudie. Je rie aussi, mais nerveusement.
Je dois reconnaître que je me suis fait très peur.
Nous finissons la soirée dans un bon restaurant et nous rentrons toutes chez nous.
Je prends une douche bien chaude et me glisse dans mes draps. Deux heures sont passées et je ne dors toujours pas. Les images défilent, je me refais le film en me disant, « Et si j’avais fait ça ? Et si j’avais dis ça ? »
Je réentends la voix de Mélanie. « Ça t’a plu ce gage, avoue ? ».
La nuit va être longue.
Mes mains glissent sur mon ventre vers mon sexe bouillant.
Je me fouille, m’écarte, me touche comme une folle. Je jouis en criant :
« OUI ! Ça m’a plu, ça m’a pluuuuuuu !!! »

Impossible de trouver le sommeil depuis deux semaines.
Je ne pense qu’à ça. Toutes mes pensées sont axées sur cette journée, sur ce que j’ai ressenti, sur ce que j’ai fait où ce que j’aurais dû faire.
Je dois devenir cinglée. Chaque fois que j’y repense, mon corps devient brûlant, mon cœur s’accélère et une boule de plaisir vient s’installer dans mon ventre.
Mon réveil indique quatre heures trente. Il faut que j’en parle à quelqu’un. Je me fou de l’heure, j’appelle Mélanie.
A la quatrième sonnerie, elle décroche.

« Mais ça va pas bien de m’appeler à cette heure là !!! Faut te faire soigner ma vieille ! »
« Ben oui, justement, c’est pour ça que je te dérange. »
« Ne me dis pas que c’est encore cette histoire de pari qui te travaille ?! »
« Mélanie, te fâche pas. Ce n’est pas le pari… ce serait plutôt… la conséquence du pari. Si tu vois ce que je veux dire. »
«Quoi ? T’es choquée ? pffff ! Je ne le crois pas, ça ! Tu me réveilles pour ça ? Écoute moi bien, ma belle, on soigne un choc par un choc, alors retournes-y et laisse moi dormir ! »

Elle a raccroché. Je reste prostrée un instant. J’ai bien peur d’avoir perdu ma meilleure amie. Je me ressaisis. Non, je ne l’ai pas perdu, elle m’aime trop. Un bon restau et elle oubliera.
Aller, je dois réagir. Une bonne douche me fera du bien, ensuite je pourrais sûrement me rendormir.
L’eau glisse sur ma peau, l’odeur du gel douche m’enivre. Mes mains l’étale sur mon corps, mais quand celles-ci atteignent mon ventre, elles réveillent encore cette boule de chaleur en moi. Je m’appuie au mur et tandis qu’une main empoigne un de mes seins, l’autre glisse directement entre mes cuisses.
Je me masturbe ainsi depuis un bon moment, mais, rien n’y fait, je suis toujours dans un état second. Je coupe l’eau et enfile un peignoir.
J’ouvre l’armoire de ma chambre, fouille ma garde robe et en sort une robe blanche, à fines bretelles, se boutonnant sur le devant. Je la passe et la boutonne.
Encore mouillée, elle colle à ma peau, se maculant de-ci de-là d’auréoles plus sombres. C’est décidé, je sors faire un tour prendre l’air de la nuit.
Une touche de maquillage plus tard, je suis dans l’ascenseur qui me conduit au parking.
Les grands miroirs, me renvoient l’image d’une belle blonde, bien foutue, sa robe moulant de belles formes généreuses sans être aguicheuse ou vulgaire.
Les portes s’ouvrent.
Les semelles de caoutchouc de mes tennis, couinent sur le sol peint, répercutant le son en dizaine d’échos. Ça me fou la trouille et je courre jusqu’à ma voiture.
Installée au volant, je défais deux boutons, pour ne pas êtres gênée dans les mouvements de mes jambes.
Je tourne la clef de contact et démarre, direction…Le bois.
Il commence déjà à faire chaud et pourtant il n’est que six heures moins le quart.
Je m’engage sur la petite route de l’hippodrome.
Je me sens bizarre, comme si je faisais quelque chose de mal.
La rue est déserte. Pas étonnant, il faut ou être taré pour venir au bois à cette heure là.
Je ne m’arrête pas, mais je prends le temps de regarder les sous bois, là où il y a quelques semaines, des hommes se masturbaient pour moi.
Je fais le tour du champ de course, me demandant ce que je fou ici. Je devrais partir, mais animée par une force intérieure, je me réengage sur la petite route. Je m’arrête à égale distance des deux carrefours. Quand j’éteins le moteur, je suis frappée par le silence qui règne. Seuls, quelques oiseaux troublent cette sérénité.
Je descends et ose quelques pas sur le trottoir de terre battue.
Un sentier m’invite à entrer dans le bois.
Je marche depuis quelques minutes, quand j’aperçois entre deux arbres, une table de pique-nique avec deux bancs en bois. Après avoir pris garde qu’elle ne soit pas sale, j’appuie mes fesses sur le bord de la table. Un vent léger me caresse les bras et les jambes. Je sens mes tétons se dresser sous ma robe et c’est tout naturellement que je les caresse de mes pouces.
Grosse erreur, car insidieusement, s’installe en moi une envie de sexe bien supérieure à celle ressentie chez moi.
Tout en guettant au alentour, je glisse ma main sous ma robe et la passe à plusieurs reprises sur ma chatte brûlante.
Le mal est fait et le contrôle devient dur.
Quand je fais pénétrer deux de mes doigts dans ma vulve humide, mon autre main, s’affaire à ôter les boutons de ma robe. Je me masturbe maintenant avec vigueur. Ma robe ouverte, les jambes bien écartées, mes doigts vont et viennent, frottent mon clito gonflé de plaisir. De mon autre main, je malaxe mes seins, étire mes pointes durcies.
Le risque potentiel d’être vue, m’excite au plus haut point et lorsque j’imagine un homme derrière un arbre, je craque et jouis très vite.
Je reste encore quelques minutes, à me caresser lentement, pour me faire redescendre sur terre.
Ma robe rattachée, je retourne doucement à ma voiture. Je reprends la route de mon domicile, mais le souvenir du plaisir que je viens de prendre, me donne soudain envie de recommencer. J’accélère pour contourner l’hippodrome et reviens à mon point de départ.

A ma grande surprise, j’aperçois une voiture stationnée un peu plus bas. Je ralentis, passe devant la fontaine au bouton argenté et me gare à bonne distance de l’autre véhicule. En face de celui-ci, un homme est assis sur un banc. Malgré une bonne distance, il doit sûrement distinguer que je suis une femme. En tout cas, ou il a vu ou il a un doute, car il se lève et viens vers moi, doucement, les mains dans les poches.
C’est un type d’une cinquantaine d’années, plutôt bien foutu et bien habillé.
Pour me donner de la contenance, je prends mon portable dans mon sac et fais semblant de téléphoner. Je me sens ridicule.
Ma vitre est légèrement baissée, alors, lorsque l’homme passe près de moi, je parle toute seule.
« Mais oui, chéri, bien sur que je t’attends. Chez toi ? Ok ! Oui, ensuite nous irons ensemble, promis. »
Dans le rétroviseur, je le vois faire demi-tour et revenir sur ses pas.
Il s’arrête juste derrière moi.
Sait-il que je le vois dans le petit miroir ? Il fait encore un petit pas. Je le sens qui m’observe.
Il faut dire que je lui offre le spectacle. Ma robe est ouverte presque à mi cuisse et un bouton du haut c’est défait sans que je m’en aperçoive et laisse entrevoir tout le dessus de ma poitrine.
Je ne vois que le haut de son pantalon et ses mains qui commencent à s’agiter dans ses poches. Il se caresse, c’est sur.
« Non, je dois rentrer me changer d’abord. Oui, je serais à l’heure. »
Tout en continuant à parler à mon téléphone, je rabats les cotés de ma robe sur mes cuisses.
Immédiatement, il reprend sa marche, passe devant moi et se rend au début d’un chemin qui s’enfonce dans le bois. Là, il se retourne dans ma direction, descend sa braguette et sort sa queue, plutôt de bonne taille, je dois l’avouer.
Il entame une lente masturbation du bout des doigts, les plaçant bien à la base de son sexe, pour que je ne perde rien du spectacle de son érection. Mais, tout à coup, il fait une chose étrange.
Tout en continuant à se caresser, il recule, lentement, hors du chemin et disparaît dans les feuillages des buissons.
Aucun doute, c’est une invitation.
J’en tremble un peu. Pourtant, je descend de voiture en me traitant de folle et me dirige vers l’endroit où je l’ai perdu de vue.
En avançant près des buissons, l’intérieur du bois se fait plus visible. Je scrute le moindre mouvement, mais rien.
Je passe exactement au même endroit que lui. En fait, l’endroit a déjà été piétiné et un passage c’est dessiné. Mais où est-il ?
J’ai l’air ridicule, plantée là comme une courge au milieu de ses grands arbres. Il doit être planqué quelque part et rigoler de ma connerie.

Je vais pour faire demi-tour quand je suis brutalement ceinturée par des bras puissant. Il s’est plaqué derrière moi, m’agrippe un sein d’une main, tandis que l’autre cherche l’ouverture de ma robe et vient directement se perdre entre mes cuisses.
Ma première réaction, sous l’effet de la surprise, est de me débattre. Je me penche légèrement pour tenter de me dégager, mais cette action plaque mes fesses contre lui. Son sexe est encore sorti et je le sens, dur, collé à moi.
Je me redresse et m’abandonne à ses caresses.
Elles sont maintenant moins sauvages et plus appliquées. Ses doigts me fouillent délicieusement, tandis que son autre main, après avoir défait quelques boutons, pétrie tendrement mes deux seins à tour de rôle.
Puis, il passe devant moi et m’embrasse goulûment.
Ses mains sont maintenant passées sous ma robe et il malaxe mes fesses avec application.
Nous n’échangeons aucun mot. J’att**** son sexe et le frotte doucement contre ma vulve, trempée.
Je ne comprends pas tout de suite pourquoi il enlève sa veste et me la pose sur les épaules. Il me prend par la taille et me fait reculer. Je manque de tomber en trébuchant sur une racine et je me retrouve plaquée à un arbre. Sa veste protège ma robe blanche. Je trouve cette attention charmante.
Il défait les trois derniers boutons et ouvre en grand ma robe.
Il contemple mon corps ainsi offert à sa vue.
Ni tenant plus, il lève une de mes jambes en m’agrippant derrière le genou. Je sens son sexe frotter le mien. Une pression plus forte et il disparaît dans mon ventre d’un coup, tout entier, comme aspiré.
La chaleur de son membre m’envahit. Je sens que je suis une vrai fontaine. Cramponnée à ses épaules, je saute à chaque coup de butoir.
Ma tête tourne, je ne sais plus rien. Seul le plaisir occupe ce court instant de ma vie.
J’explose.
Je jette ma tête en arrière. Il m’embrasse avec vigueur dans le cou. Il me lèche, de gauche à droite, de droite à gauche. Je mords mes lèvres, mais laisse tout de même échapper un « Ouiii !! » qui résonne dans le bois, à l’instant précis où sa jouissance chaude et liquide s’empare de moi. Il me prend fort et rapidement. Il se vide en moi, jusqu’à ses dernières forces. Encore deux ou trois coup de reins et il se retire doucement.

J’ai à peine le tant de reprendre mes esprits que mon inconnu n’est plus là, il s’est enfui dans le bois, dans la nuit il a déjà disparu.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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