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Océane, épisode 3

Océane, épisode 3



Dans ce grand dressing, elle s’étonne de ne trouver que des vêtements à sa taille, tout comme les sous-vêtements. Je lui avoue que sachant sa venue, j’avais demandé à sa mère de me donner ses mensurations. Il ne m’avait fallu que quelques jours pour rassembler ce qui me semblait le plus beau pour mon Océane.

– Alors ma mère voulait faire de moi une pute ?

– Non, je ne dirais pas ça comme ça.

– La garce, si je la vois, je la gifle rien que pour ça.

– Non, tu as mieux à faire. Ce matin, au téléphone, tu as déjà fait ce qu’il fallait. Je crois qu’elle a compris qu’elle venait de perdre toutes ses chances de faire de toi sa docile petite esclave servile.

– Et vous, Monsieur Raymond, vous plairait-il que je sois votre docile soumise ?

– À t’entendre me parler, je crois que c’est ce que tu veux être. Je me trompe ?

– Non Monsieur Raymond, vous ne vous trompez pas. J’ai si envie de répondre à tous vos désirs, de les vivre en même temps que vous. Et puis, si je me suis libérée de ma mère, c’est à cause de vous et Madame Martine, il me semble.

– C’est mademoiselle Martine.

– …! Elle baisse son regard en rougissant.

– Il ne faut pas avoir honte de ce que tu ressens, en aucun cas !

Elle s’habille si sexy que je ne peux me retenir de lui faire l’amour encore une fois. Sans même la dévêtir, je l’aime à même la moquette de mon dressing. Parfois, je pince ses jolis tétons bien épais entre mes lèvres ou mes dents. Aucun doute ne m’est plus permis, je suis tombé amoureux de cette jeune femme de 18 ans, qui, désormais, affiche son âge et sa liberté d’être, très fièrement.

Après l’amour et un bon bain, je lui montre quoi mettre pour sortir faire un tour. Devant la jupe étroite et fendue, le haut si sexy, elle redevint la fille timide qui m’était arrivée hier. Aussi, je ne demande plus, j’ordonne, mais toujours en douceur, sans ne jamais élever la voix. Elle est vite vêtue, prête à sortir, impatiente de s’afficher comme une jeune femme libérée. Main dans la main, nous avons fait le tour du quartier. Elle se colle à moi, se tenant fermement mon bras et ma main. Je sens une certaine inquiétude chez elle. Puis, nous nous dirigeons vers le centre. Là, parmi les magasins de vêtement, je la pousse à entrer dans une bien particulière boutique.

Au premier étage ce temple du sexy, devant Gisèle la propriétaire des lieux, je lui demande de faire d’Océane une soubrette très classe et coruscante à souhait. Gisèle sait de quoi je parle, elle me connait, c’est une de mes nombreuses maîtresses. Cela étant, la prenant à part, je lui demande de se montrer particulièrement entreprenante avec Océane. Ma main se perd déjà dans son corsage bien peu sage. C’est avec un grand sourire qu’elle se dirige alors vers Océane. Gisèle ne peut pas nier qu’elle ne connait pas mes gouts. Si je peux être frivole, je peux aussi être pervers, voire un brin dominateur. Et c’est exactement ce que je suis dans cette boutique, dominateur. Je m’installe donc sur un fauteuil et observe nonchalamment ce qui se passe entre les deux femmes.

Océane se montre particulièrement malléable en s’abandonnant à Gisèle qui la dénude entièrement. Nue, Océane se laisse caresser de partout sans jamais cesser de me fixer. Elle répond même au doux baiser de Gisèle, sybarite à souhait. Le visage rougit de ma douce Océane sous les caresses et les baisers voluptueux de Gisèle, sont un régale à mes yeux.

– Et tu me dis qu’elle est chez toi que depuis hier ?

– Oui, ma belle, amenée par sa mère en personne qui voulait que j’en fasse sa chienne ou son esclave, c’est selon.

– Pas gênée la mère, dis-moi.

– Demande le à Océane. Ce matin, au téléphone, elle lui a tout dit en pleine face. J’aurais payé cher pour vois la tronche de cette chère Isabelle !

– J’imagine. Enfin, une femme de plus dans tes bras.

– Oui, à ce propos, pendant un temps, celui de son éducation, si tu pouvais espacer tes visites. Par exemple, ne viens pas demain, mais lundi.

– Aucun souci, mon chou. Bien, ma petite, il veut que tu ressembles à une servante aussi classe que sexy et avec tout le toutime. Tu es prête, ma belle ?

– Oui madame, je suis même prête à tout pour Monsieur Raymond.

– À la bonne heure, tu commences à bien me plaire, ma chérie. Pour commencer, mets-toi à quatre pattes sur cette table que je puisse mieux t’imaginer en parfaite soumise. Extra, oui, là, j’ai tout ce qu’il faut pour toi.

– Si madame veut m’utiliser, je ne pense pas que Monsieur Raymond soit contre.

– Il ne sera jamais contre, ma petite. C’est même le plus grand libertin que je connaisse et certainement celui qui gagne le mieux sa vie. À propos, mon Raymond, elle t’a donné combien sa mère ?

– Tu ne vas pas me croire, 1250.- par jour, tout frais comprit et j’ai carte blanche pour en faire sa dévouée esclave.

– En combien de temps ?

– 10 jours, enfin 2 au début puis les 10 pendant les vacances d’Océane. J’ai décidé que 20 jours serait un bon délai et sa mère a dit oui, payant même d’avance et cache. En fin de compte, vu ce qu’elle veut être, je crois qu’elle va rester avec moi.

– La conne. Enfin, te voilà blinder pour quelque temps. Tu as raison si c’est ce que veut cette petite. En tout cas, c’est bien la première fois que je te vois aussi attaché à une femme.

– Oui, je connais enfin ce qu’amoureux signifie.

– Monsieur Raymond…???

Sur la table, Océane subit les caresses de Gisèle. Elle ne déteste pas à la voir remuer son joli cul. Quand elle jouit encore en me fixant, ce fut pour mieux se libérer ce peu de réticence encore présent en elle. Pendant que Gisèle abuse de son corps pour le bien d’Océane, elle l’interroge sur sa vie, son métier. Tout ce que je n’suis pas censé savoir, tout ce que sa mère m’a soigneusement et délibérément caché. Ainsi, ma petite travaille dans une bibliothèque, voilà qui est diaboliquement passionnant. Aussi, je m’approche d’Océane, l’embrasse tendrement pendant que Gisèle lui enfile une jolie petite culotte à froufrou.

– Ma belle, tu vas tout me dire ce que je ne suis pas censé savoir de toi.

– Avec plaisir, monsieur Raymond. Bon, là, je suis en vacances durant encore deux semaines. Durant tout ce temps, je le sais désormais, maman voulait que je sois éduquée au sexe et soumise par vos soins. Puis, je devais reprendre mon travail et démissionner peu après pour…ben pour servir ma salope de mère. Mais si Monsieur Raymond exige que je démissionne, je le ferais sur le champ.

– Oh que non, surtout pas, bien au contraire. Parce que tu vois, je veux que tu lises tous les livres coquins et libertins de ta bibliothèque. Je veux que tu sache dans quoi tu mets les pieds avec moi. Je veux que tu prennes ta décision en toute connaissance de cause. Alors, le tout premier ouvrage que tu liras sera l’histoire d’O, c’est clair ?

– Oui monsieur Raymond, très clair. Je le lirais, croyez-moi !

– Bien, très bien Océane.

– Dis, elle en veut cette petite. Tu sais, ma petite, cet homme peut faire de toi sa maîtresse, son jouet sexuel ou son esclave comme le voulait ta mère.

– Monsieur Raymond peut tout exiger de moi, il m’a ouvert les yeux et le corps au plaisir de la chair.

– Alors restes bien près de lui car il te fera découvrir des choses dont tu ne soupçonnes même pas l’existence.

– Il me l’a promis et je lui fais entièrement confiance.

Gisèle et Océane s’embrassent sans autre forme de procès, un vrai baiser. Une fois vêtue en une superbe soubrette, j’exige qu’elle le soit en tenue de ville, même chose, distinguée mais terriblement aguicheuse. Cette fois, plus question d’être à quatre pattes pour Océane. Elle obéit au doigt et à l’œil, je n’avais jamais vu ça chez une femme, du moins jamais aussi vite. Là, ma Gisèle en fait une femme bandante. Puis, après la tenue de ville, une tenue de soirée avec les mêmes critères. Je décidais qu’Océane porterait une tenue différente pour chaque occasion désormais.

Après quelques courses, nous sommes rentrés, sa main dans la mienne. Dans ma cuisine, Océane s’occupe de tout, de même que dans tout mon vaste appartement. En soubrette, elle m’émoustille comme aucune autre femme n’y était parvenue. Parfois, je joue avec Océane et son corps. Elle sait se montrer coquine, provocatrice et j’adore quand, déraisonnable, elle se dévoile à moi avec ce brin de folie que j’adore.

Passant l’aspirateur, elle abaisse sa culotte sur ses chevilles de manière négligée. D’un peu de lubrifiant, je lui vole tendrement son dernier pucelage, son mignon petit trou du cul. Appuyée contre une commode, je la pénètre lentement, massant ses seins. Soubrette, elle m’excite. Soumise, elle me stimule mon côté pervers, impur. Aguicheuse, c’est encore pire, je l’aime. Je la sodomise en prenant tout mon temps. Océane jouit à plusieurs reprise avant que je n’éjacule longuement en elle. Cela étant, quand elle veut remettre sa culotte, je refuse. Son sourire coquin, elle se baisse sur mon sexe pour me le lécher sans me montrer le moindre signe de dégout. Avant de reprendre mon ménage, je vois mon foutre couler de son cul encore béant.

– C’est très bien Océane, j’apprécie ce que tu fais. Une fois que mon sexe sera propre, je veux que tu continues le ménage comme jusqu’à présent mais sans ne plus porter de culotte autrement que sur tes chevilles. Je ne t’autorise à la porter que quand tu auras tes menstruations. Cela te plait-t-il ?

– Oh oui, Monsieur Raymond, c’est même un plaisir que de vous obéir.

– Chut ! Oui allo… Isabelle ? c’est Raymond…bien et toi… Oui, j’imagine… Pardon… Non, je n’étais pas au courant, je dormais… Oui, on a couché ensemble, c’est bien ce que tu voulais, il me semble… Attends, ne crie pas comme une truie qu’on égorge. J’ai là, ta demande écrite, je te site : « Faire d’Océane une salope soumise et prête à tout pour me servir »… Oui, et c’est ta signature… Non je te dis, je dormais. Hein ? Non, elle t’a dit ça… OK, je vais la punir une fois qu’elle aura terminé le ménage. À plus ma belle.

– Maman ?

– Oui et pas contente de ton coup de téléphone.

– Je m’en moque, c’est même bien fait pour sa pomme.

– Seulement, je me dois de te punir, c’est dans l’accord entre ta mère et moi.

– Je suis au courant Monsieur Raymond, je suis prête.

Je ne l’ai pas punie au sens où le voulait sa mère, cruellement à coup de fouet. Je me montrais plus doux en ne menottant que ses poignets, sur le devant et la fessant comme je l’avais déjà fait quand Océane me l’avait si joliment demandé. Quand Océane hurle son plaisir, c’est que sa punition a magnifiquement fonctionné. Elle ne m’en remercie que plus longuement en baisant mes pieds de partout et léchant chacun de mes orteils.

En début de soirée, je lui demande de mettre sa tenue de sortie, la coquine. Une fois prête, je l’emmène au cinéma. Un de ces petits cinémas qui ne passent que des pornos en boucle. Celui que nous allons voir parle d’un couple dont le monsieur, mécontent après un repas trop salé, fesse durement sa femme qui découvre un plaisir nouveau et n’a de cesse de réclamer à son mari de la soumettre, ce qu’il fait en l’obligeant sans cesse à plus de soumission jour après jour, parfois, à coup de cravache. Océane ne perd pas une miette du film à très petit budget. Elle semble beaucoup apprécier quand l’homme fouette cruellement sa femme avec un gros martinet devant des hommes et des femmes qui se branlent. Surtout que juste après la punition, la femme est offerte aux vices de ces personnes prêtent à tout pour assouvir leurs plaisirs. La main d’Océane me branle quand l’épouse soumise branle deux hommes. Sur le pont de jouir, je force Océane à me sucer. Je n’ai pas posé ma main que sa nuque que son corps s’incline déjà, que sa bouche s’empare de ma queue, que sa langue s’entortille autour de ma bite.

En sortant du film, Océane me presse de question. Une seule me parait digne d’une réponse.

– Monsieur Raymond, est-ce que je devrais me plier, moi aussi, à faire jouir autant de personne devant vous, comme dans le film ?

– Un jour, oui, peut-être, mais tu verras, tu seras comme cette femme, folle de plaisir.

– Avec vous, je n’en doute pas. Seulement, il est dommage que vous ayez demandé à Mademoiselle Gisèle de ne pas être des nôtres demain.

– Oh toi, tu veux aller plus vite que la musique. Alors viens, on retourne au cinéma, le second film devrait aussi te plaire.

C’était un classique du SM. Cela étant, dans ce film, connaissant celle qui en est la réalisatrice, je savais qu’absolument rien n’était truqué. Je crois même bon d’en avertir Océane. Le film retrace la vie de deux couples soi-disant mariés. Si dans le premier c’est monsieur qui domine, dans l’autre, c’est madame qui fustige son mari, un mec tout maigrelet. Durant tout le film, autant l’un que l’autre des soumis sont copieusement malmenés, humiliés en place public. Vers la fin du film, les deux couples se rencontrent dans un club fétichiste. Pendant que l’homme punit sa femme pour ses maladresses de la semaine, près de lui, l’épouse de l’autre couple fait de même sur son époux et c’est le coup de foudre entre eux. Du coup, dans une somptueuse maison, les deux couples se retrouvent. Les deux dominants divorcent pour se remarier entre dominants et les deux soumis sont leurs dévoués esclaves. La toute dernière scène montre les deux soumis en train de se faire percer les tétons pour se les faires annelés. Là, quand l’aiguille traverse les tétons de la femme, qu’elle hurle sa douleur, Océane se blottit tout contre moi sans pour autant détourner son regarde de la scène.

– Voilà, ce que tu viens de voir c’est l’ultime étape d’une soumission. Je ne te cache pas qu’il y a pire.

– Monsieur voudrait me faire anneler mes seins ?

– Pas dans l’immédiat. Du reste, seulement si tu m’en fais l’exprès demande.

– Si monsieur me le demande un jour, je voudrais qu’il me fasse anneler mon nez, aussi.

– Pourquoi ça, ça défigurerait ton si joli visage.

– Oui, mais pour faire comme cet homme, promener sa soumise en laisse. Oui, dans le film, il l’a promène avec une laisse accrochée à son nez quand il l’oblige à pisser dehors, nue, sous la pluie.

– Et tu imagines te voir à sa place, à la place de cette femme ou de cet homme soumis ?

– Si vous l’exigez, oui. Et puis, ça fait tellement mouiller ma petite chatte, Monsieur Raymond.

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