Je vous ai narré, il y a déjà quelques temps mes aventures biarrotes. Je pense qu’il est temps pour moi d’y ajouter une suite. La voici.
Petite précision qui a tout de même son importance, durant tout ce temps, je suis restée en contact avec le couple biarrot.
Cette année, encore, je suis partie en vacances chez ma fille et il se trouve que durant ce séjour, s’est déroulée la « Marche des fiertés ». L’occasion est trop belle pour que Delphine n’y fasse pas sa réapparition. Par ce beau samedi ensoleillé, je revêts ma plus belle parure. Une minijupe blanche, un string de même couleur et un chemisier rouge pour être aux couleurs locales. Une coiffe blonde à la coupe garçonne me servit de coiffure. Je chausse mes escarpins à petits talons rouges à lanières blanches. Sur le coup de onze heures, je me rends sur l’esplanade du phare où est situé le lieu de ralliement. Après avoir fait le tour des stands, je vais m’asseoir sur un des bancs situés à l’ombre. J’en suis à observer le va-et-vient des gens qui se regroupent, quand j’entends une voix qui dit : « ne serait ce point notre amie Delphine ? » Je me retourne et je vois arriver un couple de femmes. Quelle n’est pas ma surprise de me retrouver avec le couple de l’aventure précédente. Cependant quelque chose a changé. Il ne me faut que peu de temps pour comprendre ce dont il s’agit. L’homme que j’ai connu est à présent une ravissante jeune femme. Je me lève et vais leur faire la bise, comme si l’on s’était quitté la veille. Très vite, m’est donnée l’explication à cette mutation. Mon amie Maïté me raconte que son homme, Daniel, prenant de plus en plus de plaisirs à se comporter en femme, qu’ils ont entrepris de le faire suivre par un psychologue afin qu’il entame un traitement hormonal pour le féminiser. Les démarches administratives sont lancées pour le changement de prénom et de sexe soient pris en compte par l’administration. Désormais Daniel ne se prénomme plus Danielle comme par le passé mais porte le doux prénom d’Alicia. Je suis d’autant plus heureuse de les retrouver que deux pensées traversent mon esprit : je ne serai pas seule pour participer à cette journée mais en plus que connaissant les deux luronnes, je ne vais pas m’ennuyer de la journée. Il est l’heure de prendre l’apéritif. Nous nous dirigeons vers le bar, commandons une sangria et retournons nous asseoir sur un banc. Tout en sirotant nos verres, nous papotons comme de vieilles amies.
Maïté me prend par la main et m’entraîne dans un creux taillé à même le rocher et dissimulé de la vue, Alicia nous suit un pas derrière nous. Je comprends très vite que c’est, dorénavant, sa place quand sa femme est accompagnée comme c’est le cas. Arrivées dans la grotte, Maïté me plaque dos à la paroi, relève ma minijupe et s’empresse de caresser mon clito. Très vite, il prend forme. A ce moment là, elle appelle Alicia et lui intime l’ordre de me sucer. Cette dernière se met à genoux et commence sa douce succion. Tout d’abord lentement, puis en accélérant le mouvement, avant que de ralentir et de ré accélérer. Ce traitement me met rapidement dans tous mes états. Me sentant prête à défaillir, Maïté vient me bâillonner de sa main pour étouffer mes cris de jouissance. Je me répands dans la bouche d’Alicia qui n’en demande pas tant. Je peux constater à cet instant qu’elle ne bande quasiment plus, son clito restant recroquevillé sur lui-même. Voila à quoi se réduit le rôle d’Alicia désormais, elle suce les queues de mes amants ou les chattes de mes amies de cœur, et elle offre sa chatte, me dit Maïté dans un sourire. S’adressant à Alicia, elle lui demande de me présenter sa chatte, pour que je puisse constater l’élasticité qu’elle a acquise. Celle-ci s’exécute sans rechigner, me permettant de palper le galbe de ses petites fesses. Il n’est pas encore midi et les jeux ont déjà débutés.
Nous rejoignons la baraque à sandwiches et servies, nous allons nous installer à une table. Nous devisons tout le temps que dure le repas, ne nous interrompant que pour saluer des connaissances de mes amies. Alicia va chercher les cafés que nous dégustons tranquillement. L’esplanade se remplit peu à peu. Pour nous mettre en jambes avant la parade dans les rues de Biarritz, nous avons droit à un concert, au cours duquel, Maïté m’apprend que la Dj est une transsexuelle. Au bout d’un certain temps le cortège se forme et nous voila parties pour une déambulation dans les rues de Biarritz. A l’issue de ce périple, le cortège se disperse après que les organisateurs nous aient remerciés de notre participation et nous rappellent que différents lieux nous attendent pour poursuivre la fête. Maïté me demande alors si j’ai quelque chose de prévu. Ma réponse fuse instantanément « non ». C’est génial, enchaîne-t-elle. Ca te dirait de venir à la maison ? Ne voulant pas m’imposer, je fais semblant d’hésiter, ce que Maïté transforme aussitôt en un oui enjoué. Nous regagnons la voiture. Au moment de monter, Alicia demande la permission de faire un petit pipi. Maïté le lui accorde en lui rappelant quelle doit être sa position. Sitôt dit, sitôt fait, Alicia s’accroupit entre deux voitures et un jet d’urine jaillit de son clitoris et inonde le bitume. Entretemps, Maïté a ouvert le coffre de son monospace et je découvre qu’il est équipé d’une cage. Son pipi terminé, sans dire un mot, Alicia rentre dans la cage. Maïté referme la porte et nous partons.
En cours de route, Maïté me caresse les cuisses. Ce geste doux et appuyé à la fois me donne des frissons. Alors que nous sommes arrêtées à un feu, Maïté me dit « j’ai envie de toi, maintenant, je veux que tu me prennes sur le champ ». Elle roule encore quelques minutes avant que d’engager le véhicule dans une allée forestière. Là ; elle se jette littéralement sur moi. En un instant, elle déboucle sa ceinture, descend, en fait le tour, ouvre ma portière, remonte ma jupe et prend mon clitoris dans sa bouche. Je suis collée au siège, jambes écartées, tandis qu’elle me fait une superbe fellation. « Descends et prends moi, baises moi, défonces moi, je te donne tout, ma bouche, ma chatte et mon cul ». Je m’exécute et me voila en train de planter mon clitoris dans sa chatte, déjà bien mouillée. Je m’enfonce en elle. Elle tend ses fesses au devant de mon organe, cherchant à le prendre toujours plus profondément en elle. Je suis obligée de la refreiner pour ne pas exploser immédiatement. Je me désengage de sa chatte, me relève légèrement et viens me planter dans son cul. Cette salope ondule des reins en m’emprisonnant. A présent, c’est elle qui rythme notre rapport. Je sens ses muscles se resserrer. Au bout d’un moment, n’en pouvant plus, je lui dis que je suis sur le point d’exploser. Je me retire d’entre ses reins et c’est dans sa bouche que je finis par jouir. Ma cyprine se répand sur sa langue. Durant un laps de temps, elle joue avec mon jus avant que de l’avaler telle une assoiffée à l’issue d’une traversée du désert. Comme si de rien était, nous réajustons nos tenues pour ne pas attirer l’attention, direction la villa.
Dès mon arrivée, je peux constater que les pièces ont été réaménagées. Le donjon, entre autre, est passé d’un coin du salon au garage qui du coup a été agrandi. Il est équipé de nouveaux appareils dont je ne me souvenais pas. Maïté me fait visiter tout en m’expliquant qu’elle reçoit de plus en plus souvent des adeptes des plaisirs sados masos, tout en restant dans la discrétion la plus totale, l’info ne passant que par le bouche à oreille. Dans cette nouvelle fonction de dominatrice, Alicia sert régulièrement de cobaye ou d’assistante selon la demande.
Dans l’immédiat, Maïté ouvre une cage dissimulée sous une banquette de molesquine noir dans laquelle Alicia entre sans rechigner. Nous voici toutes les deux. Maïté m’entraîne vers l’étage. Pour toi, aujourd’hui, pas de souffrances, que de la douceur et de l’amour. Une porte est ouverte, nous nous engouffrons. Maïté me pousse d’un coup sec et me voila à plat ventre sur un grand lit. Maïté m’y rejoint et me dit « j’ai envie que nous fassions l’amour, que tu me baises avant que je ne te rende la pareille. Cette invitation, je ne me la fais pas répéter. Je me retourne en me redressant et assise, je commence à me dévêtir. Maïté m’interrompt. « Tu gardes ta lingerie, je te veux en dentelles ». « Bien Madame », que je lui réponds. « Pas de Madame entre nous ma chérie, Maïté me suffira amplement, surtout si tu me donnes autant de plaisirs que tout à l’heure dans le bois ». Dans le même temps, elle s’est intégralement mise nue avant que de venir s’allonger à mes côtés. Son corps est toujours aussi magnifique. Elle m’attire vers elle et m’embrasse à pleine bouche. Nos lèvres s’entrouvrent et très vite nos langues se mêlent. Ses mains ne restent pas inactives bien longtemps. Très vite, elles partent à la reconnaissance de mon corps. Pas un centimètre de ma peau n’est oublié dans sa fureur. Mes petites fesses reçoivent caresses, pincements et petites claques. Ce traitement produit rapidement l’effet escompté par Maïté. Mon clito se sent bien vite à l’étroit dans sa prison. En un tour de mains, elle le libère en faisant glisser ma petite culotte le long de mes jambes. « Puisque tu veux que je te baise, ma chérie, tu me laisses prendre la direction de la manœuvre. Commences par t’allonger sur le dos en écartant bien tes belles jambes que je puisse admirer ta petite chatte ». Je rampe vers son objet de plaisirs, tout mouillé de désirs. Mon visage est à présent juste au-dessus de son minou. Je commence par écarter les petites lèvres de mes doigts. Je titille son petit bouton. Maïté se met à onduler du bassin. N’y résistant pas plus longtemps, c’est à présent ma langue qui s’insinue dans sa grotte. Ses mains appuient sur ma tête pour que je m’enfonce plus loin dans sa cavité. Très vite, je ressens sur ma langue le goût de son jus de femme. Je n’en perds pas une goutte, aspirant goulument tout ce jus dont elle me fait don. Je change de position. Je continue de remonter le long de son corps en déposant de petits bisous sur sa peau. Je m’attarde sur ses seins que j’aspire avidement pour en faire durcir les bourgeons. Au moment où ma bouche arrive à hauteur de son cou, je sens que mon clito frappe à l’entrée de sa chatte. Je me redresse, le prends en main pour mieux le guider vers l’intérieur. Une fois en place, tandis que j’entame de lents mouvements, ma bouche retrouve la sienne. A nouveau, nos langues se nouent dans des baisers humides et passionnés. Là encore, ses mains se plaquent sur mes fesses et appuient pour que je me plante encore plus loin dans sa chatte. Quelques longues minutes plus tard, je finis par exploser dans son calice que j’inonde de mon jus. « C’était excellent » me dit-elle « tu baises toujours aussi bien ». Je rougis de plaisir sous le compliment. Il n’en faut pas plus à Maïté pour inverser l’ordre des choses. Elle se lève, ouvre le tiroir de sa table de nuit et en sort un joli gode ceinture dont elle orne sa taille. Je comprends que c’est à mon tour de subir ses assauts. Elle vient se placer devant moi, le gode devant ma bouche. Je commence par le lécher sur toute sa longueur sans oublier de pomper les deux boules. Je continue en prenant le phallus de vinyle dans ma bouche. Par petits coups de reins, Maïté, l’enfonce de plus en plus loin dans mon palais. Un haut le cœur me fait comprendre qu’il vient de heurter le fond de ma gorge. Je deviens folle. Je le pompe bien à fond comme si ma vie en dépendait, tout en étant encouragé par les mots crus que Maïté prononce. Puis vient l’instant que j’attends, elle me fait mettre à quatre pattes, les épaules enfoncées dans les coussins. Elle vient se positionner derrière moi et après avoir tartiné ma rosette de gel, elle présente le gode à l’entrée de ma chatte. Cette dernière fait mine de résister, mais pas bien longtemps, car sous la pression qu’exerce Maïté, elle s’ouvre rapidement pour laisser pénétrer entre mes reins, ce gode avec lequel elle va me donner tant de plaisirs et me conduire vers la jouissance. Tout en exécutant son œuvre, Maïté se fait vulgaire, me traitant de tous les noms. Ce faisant, elle décuple mon excitation. Me sentant sur le point d’exploser, elle se retire un instant et vient passer sa langue sur ma rosette. A cet instant, je pense que je vais défaillir sous ses caresses mais il n’en n’est rien car très vite le gode revient se mouvoir dans mes chairs de femme qui s’abandonne. Cela dure un temps infini. Finalement, après avoir été bien ramonée, je finis par éclabousser les draps de mon jus. Ce jus que nous partageons ensuite, après l’avoir léché, dans des baisers fougueux. Histoire de nous remettre de nos émotions, nous restons immobiles toutes les deux, dans les bras l’une de l’autre. Maïté finit par regarder sa montre et me dit « le début de soirée s’est révélé prometteur, je te propose que nous allions délivrer Alicia pour qu’elle nous prépare un petit remontant avant que de poursuivre nos libations, ailleurs. La soirée ne fait que commencer et la nuit risque d’être longue, fais moi confiance ». Petit passage par la salle de bains pour nous rafraîchir et nous refaire une beauté et nous redescendons. Au pied de l’escalier, Maïté me dit « tu vas libérer notre petite soumise, ma chérie, je te laisse cet honneur ». Je ne me fais pas prier.
Je me dirige vers le garage, ouvre la cage, et tandis qu’Alicia en sort, je lui dresse le programme de la soirée. Toujours à genoux, les yeux au sol, elle me demande alors comment elle doit m’appeler, je lui réponds « Delphine » tout simplement. Nous rejoignons Maïté dans le salon.
Maïté m’invite à venir m’asseoir à ses côtés tout en intimant à Alicia de nous servir l’apéritif et de préparer quelque chose à manger. Quelques instants plus tard, Alicia revient, portant un plateau sur lequel se trouvent une bouteille de whisky, deux verres, un seau rempli de glaçons et quelques mises en bouche. Je me tourne vers Maïté et lui dit « Alicia ne trinque pas avec nous ? » Maïté me répond « normalement, lorsque je reçois, elle n’est pas admise, je vais donc faire une exception parce que c’est toi qui me le demande ». Se tournant vers Alicia, elle lui dit « tu as entendu, exceptionnellement, et à la demande de Delphine, je t’autorise à venir t’asseoir avec nous ». Alicia remercie Maïté qui ajoute « tu peux également remercier Delphine, c’est à elle que tu dois ce privilège ». « Merci infiniment Delphine » me dit-elle alors avant que de prendre place dans le fauteuil. Je me tourne vers Maïté et lui demande une faveur. « Laquelle » me répond-elle ? Je souhaiterais deux choses. « Lesquelles » me coupe Maïté ? Je prends sur moi et me lance : la première, qu’Alicia se mette entièrement nue devant nous, la seconde, que tu m’autorises à lui rouler une pelle en titillant ses tétons » Maïté acquiesce en me disant « tu es mon invitée, je ne peux rien te refuser » Dès qu’Alicia est déshabillée, je me lève, l’enserre dans mes bras et l’embrasse à pleine bouche. Alicia me rend mon baiser avant que de me laisser la caresser et jouer avec ses petits seins. Pendant ce temps, Maïté observe du coin de l’œil comment se comporte Alicia pour la réprimander le cas échéant. Je sens qu’Alicia est toute émoustillée par mes caresses, aussi, je m’arrête net, la laissant sur sa faim.
« Au fait, Delphine », me dit Maïté j’ai quelque chose à te montrer. Elle se saisit de la télécommande de sa télévision connectée, fouille le disque dur, trouve le dossier qu’elle cherche et démarre la lecture. Qu’elle n’est pas ma surprise de me voir apparaître sur l’écran. Elle me regarde et me dit « tu ne te souviens pas que nous avions filmé nos jeux ? » Devant mon air ahuri, elle ajoute, « si tu veux, je te fais une copie et j’y rajoute les images de nos ébats de tout à l’heure ». Je suis d’autant plus surprise que je n’ai distingué aucune caméra dans la chambre, mais je ne peux qu’accepter ce présent inattendu. Le premier film est à peine terminé, qu’elle enchaîne avec le suivant. Celui-ci n’est pas monté, je m’en occuperai plus tard. Ces images torrides nous mettent dans tous nos états, d’autant qu’Alicia les visionnent en même temps que nous et qu’elle découvre ce que nous avons fait pendant qu’elle était enfermée dans sa cage.
« Et si nous passions à table » dis je. Excellente idée, renchérit Maïté. Nous allons nous contenter d’un repas léger car il faut que nous nous préparions pour notre sortie de tout à l’heure. Quelques charcuteries et un morceau de fromage, arrosés de rosé bien frais, plus tard, nous sommes repues et prêtes pour la suite des réjouissances.
Maïté nous conduit vers un immense dressing. S’adressant à moi, elle me dit, « ma chérie, si tu veux te changer, ne te gênes pas, fais ton choix, j’ai tout un tas de fringues dans toutes les tailles, tu devrais pouvoir y trouver ton bonheur. Pour être en harmonie, toutes les trois, il serait bien que tu te choisisse une tenue en vinyle … » Me laissant seule, elle se dirige vers un coin particulier. « Pour toi, je sais déjà comment je vais te préparer » annonce-t-elle à Alicia. Je reste sans voix devant un tel choix. J’interpelle Maïté et lui demande « peux tu me dire où nous allons et si tu as une envie particulière pour ma tenue ? » Elle me répond « tu as entendu les annonces, au moment de la dissolution de la promenade, je te propose d’aller passer une partie de la soirée voire de la nuit dans un sauna, qu’en penses tu, Delphine chérie ? » Je ne peux qu’accepter cette idée. Je me décide donc pour une minijupe, un string, en cuir noir, un chemisier et un soutien gorge ouvert en vinyle noir que je complète d’une paire de bas auto-fixant avant que de choisir une paire de talons à plate forme et talons de 13cm. Cela fait, je demande à Maïté son avis. « Tout cela me parait très bien, ma chérie, mais il va te falloir une autre coiffure que celle que tu portes » Elle ouvre une porte et je découvre toute une collection de perruques. Là aussi, je n’ai que l’embarras du choix. Devant mon hésitation, d’autorité, Maïté en choisit une. Je serai donc coiffée d’une perruque mi-longue, brune. M’examinant, elle ajoute, ton maquillage ne va pas du tout, files dans la salle de bains et refais toi une beauté. Tu prends ce que tu veux. Tout ce qui est à moi est à toi. Je suis sur le point de quitter les lieux quand Maïté me rejoint menant Alicia derrière elle. Je découvre la tenue que porte Alicia. Un bustier en cuir noir à plusieurs attaches la comprime. Celui-ci est agrémenté d’une cage de chasteté qui la maintient en état de contrainte tout en laissant, sur le devant, ses seins libres de toute entrave, et derrière, ses fesses nues et disponibles. Maïté me dit alors « ce soir, nous sommes les heureuses propriétaires d’une pouliche que nous amenons au haras pour qu’elle y soit saillie par tous les étalons qui voudront bien la monter ». Sur l’air de la plaisanterie, j’ajoute « une pouliche ne doit-elle pas porter un mors dans sa bouche pour être guidée ? ». « Tu ne crois pas si bien dire », me répond Maïté. Je libère la place laissant Maïté peaufiner le maquillage d’Alicia. Cela prend quelques minutes mais le résultat est bluffant. Cette dernière porte à présent un harnachement de cuir sur la tête avec un mors qui lui barre la bouche. « A mon tour d’aller me préparer » me dit Maïté et elle ajoute « je te confie notre pouliche, vas la faire gambader dans le jardin ». Il faut un certain temps à Maïté pour se préparer mais quand elle apparaît, elle ressemble à s’y méprendre à une véritable cavalière de concours mais version cuir. A la main, elle tient un grand sac de sport dont elle sort un plug en acier agrémenté d’une superbe crinière noire. « Alicia mets toi en position » dit alors Maïté. Alicia s’exécute en prenant appui sur le montant de la portière, jambes écartées. Après quelques passages bien appuyés sur l’entrée de la chatte d’Alicia, Maïté fait disparaître la partie acier du plug entre les reins d’Alicia ne laissant, pendant de façon visible et obscène la crinière de notre pouliche. Maintenant que tu es équipée, tu montes dans la voiture, comme tu le fais d’habitude. C’est donc couchée sur le ventre, entre les deux sièges qu’Alicia prend place. Je m’installe sur le siège passager. Maïté monte à son tour et tout en bouclant sa ceinture, me demande si je veux bien remonter ma jupe sous mes fesses et garder les jambes ouvertes. N’ayant rien à lui refusé, j’obtempère, ce qui me vaut la réplique suivante « tu es vraiment toujours aussi cochonne, ma petite Delphine que j’aime ». « Le trajet ne doit durer que quelques minutes » me dit ensuite Maïté. Comme un fait exprès, chaque fois que nous arrivons à un feu, il passe au rouge. Maïté s’arrange alors pour se mettre sur la file de gauche de façon à ce que le conducteur du véhicule d’à côté, puisse bien nous voir.
Ca y est, nous sommes enfin arrivées au club-sauna. Je suis la première à descendre, en laissant voir, comme me l’a demandé Maïté, le haut de mes cuisses et la lisière entre mes bas et ma peau. Une vingtaine de personnes ont donc tout loisir de m’observer, certaines n’hésitant pas à faire quelques commentaires. Les sifflets fusent quand Maïté sort à son tour. Par contre, le silence se fait quand, après avoir installé une selle sur le dos d’Alicia, et mis en place une plume sur son masque de cuir, nous la faisons sortir. Maïté me tend les rennes, et me voilà, faisant parader notre pouliche sous les yeux ébahis des témoins présents. Maïté lance alors à la cantonade : « cette pouliche est à vous pour la nuit, n’hésitez pas à la couvrir, elle adore ça, messieurs et si vous aussi, mesdames, êtes intéressées, j’ai avec moi quelques godes dont elle est friande » et d’ajouter « pour commencer, elle sera mise en exposition dans la cage puis vous sera livrée sur le sling » Autant dire qu’après une telle présentation, notre entrée dans le club ne passe pas inaperçue, loin s’en faut. Maïté règle le prix des entrées et nous franchissons le sas. L’arrivée dans le bar de notre équipage fait se retourner les têtes. Certains gens présents viennent nous complimenter pour l’originalité de la tenue d’Alicia. Delphine, ma chérie, commandes moi un whisky pendant que je mets notre pouliche en exhibition. Quelques personnes suivent Maïté et Alicia jusqu’à la cage. Maïté me confiera plus tard dans la soirée que si certaines personnes l’avaient félicité pour l’éducation donnée à Alicia, d’autres, au contraire, s’offusquaient de voir « un être » accepter un tel traitement. Les plus intéressés ne se firent pas priés pour palper la croupe de notre pouliche pour certains au travers des barreaux, d’autres n’hésitant pas à entrer dans la cage. Une dominatrice vint demander à Maïté, l’autorisation de prendre des photos d’Alicia, ce qu’elle accepta à la condition d’en recevoir un jeu dans sa broîte mail. Elles échangèrent donc leur adresse respective. Mais revenons à nous deux.
Maïté me fait remarquer discrètement qu’un couple ne me quitte pas de l’œil. Je me tourne vers eux et leur adresse mon plus joli sourire. Il prend cela comme une invitation et vient se joindre à nous. L’homme se montre très intéressé par ma personne. La dame n’est pas pour me déplaire. Au fur et à mesure de l’avancée de la conversation, le monsieur se fait entreprenant. Maïté me souffle dans l’oreille que puisque l’affaire se présente bien pour moi, je n’ai qu’à les suivre, elle reste à proximité pour surveiller la pouliche dans son box. J’invite le couple à me suivre dans un des box situé à l’étage. Il accepte et nous voilà partis. Nous nous enfermons dans une cabine et je m’allonge entre eux. Très vite, les choses s’accélèrent. Je me retrouve à quatre pattes. La femme devant moi, remonte sa jupette, je plonge tête baissée vers sa petite chatte dont les poils dessinent un petit cœur que je trouve du plus bel effet, ce dont je m’empresse de lui faire compliment. Pendant ce temps là, le mari vient se placer derrière moi. Il baisse mon string et dépose des bisous sur mes fesses. Alors que je fais minette à la dame, je sens l’homme qui écarte mes fesses. Je sens le gel qu’il étale tout autour de ma chatte. D’un coup sec, après avoir enfilé une capote, il entre en moi et commence à me limer. Plus le temps passe, plus mes muscles se détendent, ce qui facilite grandement sa présence au plus profond de ma grotte. Son rythme s’accélère. Ses mouvements se font saccadés. Il finit par inonder le réservoir du préservatif et se retire. Il vient se positionner devant sa femme et celle-ci ouvre grand la bouche pour recevoir sur sa langue, tout son sperme. La dame s’allonge alors et me demande de la doigter. Je me positionne et commence par introduire un doigt, très vite suivi d’un second puis d’un troisième. Tandis que son homme nous regarde, elle me fait comprendre que trois doigts ne lui suffisent pas, elle réclame ma main toute entière. N’osant répondre, je me tourne vers le mari qui d’un regard me fait comprendre que je peux y aller, que sa femme apprécie d’être fistée. Je retire mes doigts, j’enduis ma main de gel et délicatement je m’introduis en elle. A l’intérieur mes doigts s’agitent, elle me dit alors « n’ai pas peur, enfonces toi plus loin encore ». Je m’exécute. Je plonge en elle si loin que mon poignet tout entier est avalé par cette moule aspirante. Je la pilonne à présent de mon bras que je plante quasiment jusqu’au coude. Soudain, elle pousse un feulement et se met non pas à jouir comme je m’y attendais mais à délivrer un flot de pisse. Je suis stupéfaite. Jamais jusqu’à ce jour, je n’avais eu à faire à ce genre de résultat. Le mari me dit alors que je ne suis pas au bout de mes surprises. En effet, l’épouse perverse après s’être relevée, se met à quatre pattes et nettoie le sol de sa langue, récupérant ainsi sa propre pisse. Ceci fait, nous nous posons quelques instants. En posant la main sur la queue de l’homme, je sens qu’il est prêt à remettre le couvert. Sa femme ne dit pas non. Nous voilà repartis. Il se positionne devant moi et m’intime l’ordre de lui tailler une pipe. Il va sans dire que je ne vais pas lui refuser ce plaisir. J’aime trop sentir une belle queue dans ma bouche. Madame ne reste pas inactive elle non plus. Elle entreprend de jouer avec mon clitoris. Elle le prend bien en bouche, passant sa langue partout me procurant ainsi des ondes de plaisir. Au moment fatidique, elle se retire et je jouis sur le skaï du lit. Elle change de position. A son tour, elle enduit ma chatte de gel et sans plus attendre, y enfonce trois doigts. Cette action a pour effet de me donner un petit coup de fouet et tandis que je poursuis ma pipe avec plus d’ardeur, c’est bientôt sa main qu’elle m’introduit. Elle n’hésite pas pour m’exciter davantage à m’insulter. Ces propos injurieux à mon égard jumelés à son pilonnage me revigore et retend mon clitoris. L’homme me demande de me retenir car s’il souhaite jouir dans ma bouche, il veut également se régaler de mon jus de femme. Nos libations terminées et contents de nous, nous libérons la cabine et je descends rejoindre Maïté. Je la retrouve dans la pièce où est situé le sling. Alicia y est allongée sur le dos, les pieds coincés dans des étriers, entourée par un groupe d’hommes. Le premier est planté en elle et la pilonne. Deux belles queues se partagent sa bouche tandis que ses mains ne restent pas inactives, s’employant à branler les bites de tout ce qui se présente. Maïté me dit alors discrètement « ma petite salope, j’espère que tu as bien pris ton pied, vu le temps que tu as passé avec eux ». Je lui demande alors « serais tu jalouse, ma chérie ? ». « Pas vraiment, mais j’apprécierai à mon tour de me faire tirer par de beaux mâles bien membrés, sans compter que je compte bien batifoler à nouveau avec toi » renchérit-elle. Peu de temps après, je vis Maïté disparaître à son tour, suivie par quatre jeunes éphèbes. Durant son absence, je prends sa place pour surveiller notre pouliche, qui au vu des commentaires que j’entends s’en tire excessivement bien. Quand Maïté fait sa réapparition, au bout d’un certain temps, si elle est décoiffée, son visage rayonne de bonheur. Je n’ose lui demander ce qu’elle vient de subir mais je devine qu’elle vient de prendre un super pied. De toute manière, je me doute qu’elle va m’en parler plus tard dans la nuit, quand nous serons rentrées. Il se fait tard, le propriétaire des lieux annonce que la fermeture a lieu dans une demi-heure. Nous commandons un nouveau verre et Maïté me propose de finir la soirée dans le jacuzzi. J’accepte volontiers. Verre à la main, nous allons libérer Alicia de ses liens, la dirigeons vers le vestiaire pour qu’elle ôte tous ses accessoires de pouliche. Cela fait, nous la mettons sous la douche. Enfin, toutes trois, nous pénétrons dans le bain bouillonnant. Les bulles venant chatouillés nos sexes respectifs nous remotivent pour d’autres jeux. Maïté vient se coller à moi et me dit à voix basse « tu vas voir ce que je te réserve pour la fin de la nuit ». Ces mots sonnent doux et je me penche vers elle pour lui rouler une pelle. Les derniers clients nous applaudissent avant que de s’éclipser. Nous sommes les dernières à passer par le vestiaire. Maïté jette un manteau sur les épaules d’Alicia et lui donne une paire d’escarpins qu’elle s’empresse de chausser. Nous rejoignons la voiture.
Contrairement à l’aller, Alicia est autorisée à s’asseoir normalement sur le siège arrière. Maïté reprend le volant et démarre dès que je suis assise à ses côtés. Le retour à la villa se fait dans le calme avec en fond sonore un cd de jazz. Comme vous devez vous en douter, le reste de la nuit fut courte car nous sommes allées nous coucher, toutes trois, dans le même lit et si Alicia participe peu car elle est fourbue de sa soirée, Maïté et moi ne sommes pas du tout dans le même état. Les jeux de mains, de langues, de sexes, de godes s’enchaînent et le soleil était déjà dans le ciel quand le sommeil nous fauche. Nous dormons une grande partie de la journée. Le soir est déjà tombé quand nous nous levons. Alicia nous précède dans la cuisine et s’affaire pour nous préparer une collation. Après ce frugal repas, Maïté m’entraîne dans la chambre pour me révéler la présence des différentes caméras qui filment la pièce avant que de me montrer le studio de montage vidéo qu’elle a installé dans une autre pièce de la villa. Là, elle s’installe à la table et telle une magicienne aux doigts de fée, elle réalise, en un tour de main, le montage des scènes de la veille. S’estimant satisfaite, elle se tourne vers moi pour avoir mon avis. Je ne peux que la féliciter. Pendant que je te grave une copie pour toi, nous allons boire un verre sur la terrasse car figures toi que j’ai encore envie de toi, ma chérie. Comme elle met dans ses propos des intonations devant lesquelles on ne peut rien lui refuser … Je vous laisse imaginer la suite.
En conclusion, cette journée de participation à la Marche des fiertés biarrotes où je ne devais faire qu’une apparition, dura grâce à mes deux amies, un week-end de trois jours de folies. Au moment de la séparation, Alicia me fit deux tendres mais chastes bisous. Maïté, quant à elle me dit, en me donnant les deux dvd, « pour toi, ma chérie, notre porte te sera toujours ouverte » avant que de me rouler une dernière pelle.
C’est une fois rentrée à Paris que je prends l’initiative de vous raconter tout ça. J’en préviens par téléphone, Maïté et Alicia. Elles seront mes premières lectrices, je leur dois bien ça.
J’espère que, tout comme vous, elles prendront plaisir à lire ces quelques lignes.
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