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Je revenais de la plage avec mon pote chez qui je passais des vacances. La chaleur était épouvantable. Nous avions passé l’après-midi à mater les filles en train de bronzer. J’en aurais bien abordé une ou deux mais Stéphanie, la sœur de mon pote, n’arrêtait pas de me coller. Il suffisait que je veuille me baigner ou acheter une glace pour qu’elle s’en trouve l’envie aussi. Je ne pouvais pas faire trois pas sans qu’elle me demande où j’allais. J’ai même réussi à la traîner devant les toilettes des hommes pour lui fiche la honte. Rien du tout, elle m’a attendu devant, tout juste si elle ne me parlait pas au travers de la porte.

Le soir approchant, il était temps de rentrer. J’avais quelques légères brûlures due au soleil mais rien de grave. N’ayant rien à faire, je me proposais pour préparer le dîner. Cinq minutes seulement après, Stéphanie apparut dans la cuisine.

– Tu aurais dû me dire que tu faisais à manger, dit-elle.
– Je ne savais pas que tu étais fan de cela
– Tu cherches le grand plat, il est dans le placard. Tiens, le voilà.
– Super, merci. Heureusement que t’es là.

Pas moyen d’être tranquille. Ensuite, elle voulait que je vienne dans sa chambre pour regarder ses posters. Comme si j’avais que cela à faire. En plus, sa chambre était dans un désordre indescriptible. Des livres et ses vêtements traînaient par terre. Des petites culottes et des collants débordaient des tiroirs à moitié ouverts. Un nounours tout déglingué trônait au milieu du lit.

– Regarde, c’est lui mon préféré ! dit-elle.
– Ah oui ! Le chanteur ?
– Il est trop cool !
– Euh, je crois que le dîner brûle, Stéphanie. Je reviens.
– Attends ! Je voulais te montrer autre chose.
– Bon, alors fais vite.

Elle restait là, debout, sans bouger. Puis, tout rouge, elle sortit une tenue sexy de dessous son lit. Un ensemble en dentelle noire dont l’étiquette était encore visible.

– Je voulais avoir ton avis. Comme tu es un mec. Mes copines, ce n’est pas pareil.
– Stéphanie ! Dis-je.
– Si tu veux, je l’enfile et tu me diras.
– Pas maintenant. Il faut que je m’occupe du dîner, voyons !
– Je serais très rapide !

Stéphanie, encore plus gênée, enleva son haut de maillot de bain. Ses petits seins qui tenaient fièrement en l’air étaient déjà plus intéressants que les posters. On aurait dit deux petites poires bien fermes. Je me demandais si elle allait aussi retirer le bas. Après avoir croisé les bras sur sa poitrine quelques secondes, elle baissa son slip jusqu’en bas de ses jambes, laissant apparaître son triangle noir. D’un pied, elle envoya valser sa culotte vers un tiroir et resta là, un bras tenant l’autre, cachant son ventre, attendant ma réaction.

– Et alors, cette tenue ? Demandais-je.
– C’est celle-là que je voulais te montrer.
– Ah !

Elle avait baissé les yeux. A présent, ses bras pendaient le long du corps, suivant le mouvement de son bassin. Je la détaillai pendant quelques minutes. En remontant mon regard, je vis que sa mine était toute triste.

– Je ne te plais pas ? dit-elle, tremblante.
– C’est-à-dire que si, mais…
– Montre le moi !
– Comment ça, je te le montre ?
– Si je te plais, je veux te voir bander. Vous les mecs, quand une nana vous plait, vous bandez. Je veux te voir bander pour moi.

J’hésitai quelques instants. Elle n’avait pas tort. Je bandais. De là à lui montrer… Je sentais que ça allait mal finir, cette histoire.

– Montre le moi ou je crie ! dit-elle plus fort.
– Du calme, du calme. Je vais te le montrer.

Je baissais mon pantalon d’été et mon slip dans le même mouvement. Stéphanie avait les yeux rivés sur mon sexe jaillissant de sa prison. Elle ouvrit la bouche, laissant échapper un soupir muet. C’était mon tour d’être gêné. Elle s’avança et le prit dans sa main qui était légèrement froide. La sensation raviva mon érection. Mon sexe était à la verticale, collé à mon nombril, dur et gonflé.

– Serre-moi contre toi ! dit-elle.
– Stéphanie, ton frère peut arriver d’une minute à l’autre.
– Il est parti acheter le journal télé.

Elle se colla contre moi. Sa peau était douce et ferme. Mon sexe se plaqua délicieusement contre son ventre. Ses seins pointus vinrent s’écraser doucement contre ma poitrine. J’avais soudain envie de lui toucher les fesses, de les lui caresser. Ma main glissa dans son dos, glissa encore jusqu’à sa raie. J’entendais Stéphanie respirer plus fort. Ses bras m’enserraient au niveau du cou. Son parfum délicat me ravissait les narines.

J’avais envie d’elle. Mon sexe perlait à son bout.

– Viens en moi, dit-elle dans le creux de mon oreille.
– Stéphanie, il ne vaut mieux pas.
– Je prends la pilule. Ne t’en fais pas. Viens en moi, dit-elle encore. J’en ai envie.

Elle me quitta pour aller s’allonger sur le lit. Ses cuisses s’écartèrent légèrement me laissant admirer son sexe sous un nouvel angle. Ses seins étaient cachés par l’affreux nounours qu’elle serrait contre elle. Je m’allongeai sur elle, lui mordillant un sein au passage. Son vagin, ses cuisses étaient parfaitement lubrifiées. Mon sexe tendu par le désir glissa en elle irrémédiablement, se frayant un passage étroit. Le ventre de Stéphanie se contractait lors de mes va-et-vient. Ses yeux étaient fermés. Elle se laissait aller, au fil des minutes, soupirant de plus en plus fort. Le nounours me gênait mais elle ne voulait pas le lâcher. Il fallait compter avec.

Je la pris de plus en plus fort, ne répondant plus qu’à mon irrésistible envie de jouir. Sous mes profondes pénétrations, elle décolla en plusieurs vagues de plaisir. De mon sexe jaillit ma semence, brûlante, épaisse, lui irradiant l’intérieur du ventre. Elle me regarda droit dans les yeux et jouit une seconde fois, dans le même temps. Je pus enfin virer le nounours du lit et prendre Stéphanie entièrement dans mes bras, me collant tout contre elle, profitant de sa chaleur, de son souffle. J’embrassai chaque centimètre de sa peau, découvrant les endroits lui procurant des sensations. Puis, je me laissai rouler sur le dos, à côté d’elle.

– Je vais aux toilettes, dit-elle. Je reviens.
– Je vais en bas, surveiller le dîner.

Stéphanie, du pas assuré de la femme épanouie, se dirigea vers les toilettes me laissant admirer son postérieur en mouvement. Mon sexe s’était à nouveau dressé mais je préférai ne pas en tenir compte. J’enfilai mon slip et mon pantalon et descendit les marches des escaliers quatre à quatre.

Dans la cuisine, tout était cramé. Je jetai le repas à la poubelle, ouvrit la fenêtre et entreprit de cuire autre chose. Une clé tournait dans la porte d’entrée. Mon pote revenait. C’est alors que Stéphanie surgit derrière moi en me prenant les côtes. Je sursautai malgré moi.

– Qu’est-ce que tu nous fais de bon, après cela ?

Elle portait une robe rouge. Sur ses épaules, je reconnaissais le haut de la bretelle de l’ensemble noir. Je l’embrassais sur la bouche, une dernière fois, entendant le bruit de la porte d’entrée se refermant. Mon pote nous trouva rapidement. Il n’avait qu’à suivre l’odeur de brûlé.

– Je pars dix minutes et c’est la catastrophe, plaisanta celui-ci.
– Il n’a pas voulu que je l’aide et voilà le résultat, mentit Stéphanie.

Je ne suis rien répondre car Stéphanie m’avait agrippé le sexe au travers de mon pantalon. Elle se débridait complètement et osait tout. Son frère ne remarqua rien, heureusement. Quant à moi, je pinçai les fesses de sa jeune sœur dès que celui-ci fut retourné au salon.

C’est d’un commun accord que je décidai, quelques jours plus tard, de prolonger mes vacances pour encore une semaine ou deux. Tout le monde en fut ravi, moi le premier. J’allais pouvoir profiter de Stéphanie encore et encore, ou elle de moi (ce n’était pas clair). Bien sûr, vous vous demandez qui de moi ou du nounours a eu le dernier mot… ça, je ne le vous dirais pas.

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