Je devais dire « oui » devant le maire dans deux mois. Et pourtant je continuais de venir sur xhamster pour discuter avec cette femme qui tentait tant et avec qui j’avais discuté en viso. Mais on n’avait pas fait que ça. On s’était excité mutuellement.
J’avais pris du plaisir à baisser mon pantalon et à sortir ma grosse queue de mon boxer, et voir sa réaction. Toujours la même : elle se mordillait les lèvres et deux doigts partaient de sa bouche pour descendre et ouvrir son chemisier pour en dévoiler sa superbe lingerie dont je raffolais tant.
A force de me voir me branler et gicler, et moi de la voir se goder, nous avions sauté le pas pour se rencontrer. Mais j’avais toujours en tête mon mariage. Pour moi ce ne devait être qu’un café partagé. Il en fut autrement.
Nous nous sommes d’abord retrouvés chez un marchand de journaux pour ensuite se rendre dans un petit restaurant où nous avons discuté. Simplement. Mais rapidement elle m’a bien fait comprendre qu’elle voulait plus qu’une discussion. Et pourtant elle savait que je devais me marier le mois suivant ! Mais franchement elle m’excitait tellement… Elle passait sa langue sur ses lèvres et je n’y étais pas insensible. Elle s’en rendait bien compte puisqu’elle faisait remonter son pied le long de ma jambe pour aller caresser ma queue qui commençait à durcir. J’ai pris mon téléphone et écrit dessus « J’ai envie de toi » et je lui ai montré. Elle m’a souri puis m’a fait un clin d’oeil. Nous avons vite payé puis nous sommes partis pour rejoindre nos voitures. Un parking à plusieurs étages. Et comme par hasard elle avait décidé d’aller au dernier… Il fallait prendre l’ascenseur. Une fois les portes closes, nous nous sommes littéralement jetés l’un sur l’autre pour nous embrasser. Mais nos mains ont dévié. Elle m’a caressé la queue par-dessus mon jean et j’en ai fait de même avec sa chatte. Quelques secondes plus tard, les portes se sont ouvertes. Mais avant d’en sortir, elle m’a laissé son adresse. Qui n’était qu’à cinq minutes d’ici.
– Laisse-moi dix minutes d’avance coquin… m’a-t-elle glissé à l’oreille en caressant de nouveau ma queue.
Dix minutes ? Ce fut dur mais j’y suis arrivé.
Un quart d’heure plus tard, quand elle m’a ouverte sa porte, elle avait littéralement changé de tenue : chemisier blanc, jupe noire, bas noirs, talons et lunettes… Un look de secrétaire qui m’a vite fait bander…
J’en ai oublié mon mariage et j’ai refermé la porte. Je l’ai plaqué contre et ouvert son chemisier pour lécher ses seins et les mordiller. Je l’ai ensuite embrassé pendant qu’une de mes mains pétrissait sa poitrine et que l’autre lui caressait la chatte. Elle gémissait. Elle aimait ça. Et ça me plaisait.
Les rôles se sont vite inversés. Elle m’a à son tour plaqué contre la porte et a remonté mon tee-shirt pour me lécher le torse. Une fois la ceinture défaite, elle m’a baissé le pantalon et sorti ma queue pour la prendre dans sa bouche. Que c’était bon putain ! Elle m’a léché les couilles, avalé la bite en entier, l’a enfoncé dans sa gorge, m’a titillé le gland… Et en même temps elle se doigtait ! Mais quelle salope !
– Tu vas me baiser maintenant, ça fait trop longtemps que j’ai envie de ta queue !
Elle a sorti une capote qu’elle a enfilé sur ma bite puis s’est relevé. Moi qui pensais qu’on allait faire ça sur son lit ou son canapé je me trompais…
Je l’ai baisé contre la porte, sans me préoccuper de ce que pourraient penser les voisins passant derrière. Je lui ai enfoncé ma queue dans sa chatte tout en lui tirant les cheveux. Elle criait, j’adorais ça. Plusieurs fois je me suis arrêté pour m’agenouiller et lui lécher la chatte tout en la doigtant. Elle était trempée.
Mais j’en ai vite eu marre de la baiser debout. Elle m’a emmené dans sa chambre et m’a jeté sur le lit. Elle m’a de nouveau sucé et gobé les couilles. Puis elle est venue sur moi et m’a chevauché. Nous étions encore habillés… J’ai déboutonné entièrement son chemisier puis lui ai enlevé pour libérer sa poitrine.
– Prends-moi en levrette ! Baise-moi comme une chienne !
Tout en la prenant à quatre pattes je lui mettais de bonnes grosses claques sur le cul et lui tirait encore les cheveux. J’aimais la dominer. Puis je lui ai enfoncé délicatement un doigt dans son petit trou. Elle a lancé un petit cri qui m’a vite fait comprendre qu’elle aimait ça.
– Encule-moi ! Prends-moi le cul ! Je suis ta pute !
Avant de lui enfoncer ma queue dans le cul, je lui ai mis dans la bouche en lui tenant les cheveux. Je lui ai enfoncé jusqu’aux couilles tout en me tenant au-dessus d’elle pour lui fesser le cul et le doigter. Elle m’a vite supplié d’arrêter et de la baiser.
J’y suis allé doucement au début puis je lui ai enfoncé pour enfin faire des va-et-vient qui la faisait gémir de plaisir. Je me suis vite allongé pour qu’elle vienne sur moi, dos à moi et qu’elle s’enfonce ma queue à la vitesse qu’elle voulait.
Je n’ai pas tenu longtemps. Elle était tellement chienne. Je lui ai dit que j’allais jouir. Et bientôt en plus.
– Gicle-moi sur la gueule. J’ai envie de ton foutre sur moi.
Là encore j’ai été surpris mais quand elle s’est retirée, je me suis mis debout pour la laisser me branler alors qu’elle était agenouillée. Plusieurs longs jets de foutre lui ont recouvert le visage. J’étais complètement HS, mais elle m’a encore sucé alors que je venais de me vider.
C’est la seule fois où nous nous sommes rencontrés, et même aujourd’hui, plusieurs années après cette putain de baise, je ne regrette pas.
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