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Ma plus belle expérience de voyeur.

Ma plus belle expérience de voyeur.



Depuis longtemps je voulais raconter ce moment étrange que j’ai vécu il y a plus d’une quinzaine d’années. Pendant une longue période j’ai été un peu mal à l’aise face à cette histoire ; mais comme souvent les sentiments évoluent et maintenant le fait de le me remémorer provoque une certaine excitation. Bien sur les faits sont vrais, même si encore aujourd’hui je me demande parfois, en y repensant, si je n’ai pas rêvé…

Nous étions à la fin du mois de juin une belle journée chaude mais supportable ou l’arrivée de l’été ne fait plus aucun doute. Ces jours de ciel azur sans un nuage où l’on a l’impression que le temps s’est arrêté et que tout est possible. Malgré la prévision d’une journée chargée (une réunion professionnelle importante, à plus d’une centaine de kilomètres), je me sentais radieux. Afin de partager les frais, j’avais accepté le co-voiturage avec une collègue, même si cette dernière n’était pas du tout ma tasse de thé. Son style très « sérieuse » et son coté très « coincée » me faisait craindre le pire pour la conversation durant le trajet.
Durant le voyage aller, cela fut absolument comme prévu. Entre notre travail et les banalités sur la scolarité de ses enfants, je m’ennuyais ferme. Par chance à l’époque les radars étaient plus rare et je pouvais ainsi me concentrer sur ma conduite et la rendre plus sportive. Cela avait pour double effet de faire taire ma passagère, et de raccourcir le temps de trajet.
La réunion fut comme prévue longue et éprouvante. Pourtant nous n’avons pu nous soustraire à un petit verre offert par un collègue très apprécié de tous qui nous quittait.
Est-ce la chaleur, la fatigue, ou aussi l’arrivée toute proche des vacances qui nous ont poussés à accepter de rester assez longtemps. Je ne cache pas que le fait de voir ma collègue (que nous appellerons Valérie), et qui avait l’habitude de toujours se défiler face à l’alcool, accepter de fendre l’armure en prenant une coupe, m’amusait assez. Je la laissais se faire remplir son verre, par notre hôte, sachant que cette fois, elle ne pouvait fuir faute de chauffeur prêt à la ramener. Ainsi le retour serait surement plus drôle…

Après les adieux, et malgré le risque pour moi d’être un peu limite au niveau de la législation, j’ai repris le volant. Toutes vitres ouvertes (pas de climatisation de série à cette époque) et cette fois, beaucoup plus doucement, nous traversons les champs de blé de la Beauce, sur une départementale déserte en ce soir d‘été. La conversation était plus difficile avec les bruits du vent. Nous étions assez fatigués mais étrangement bien et décontractés. Valérie souriait et se laissait bercer par la brise douce du soir. Ses cheveux libérés de leur pince virevoltaient au vent. Elle était manifestement sous l’emprise de l’alcool et cela la rendait beaucoup plus détendue et disons le : belle…
Au bout d’une demi-heure, je ressentis déjà le besoin de faire une pause afin d’assouvir un besoin évident. Sans la prévenir je reculais sur quelques mètres dans un chemin entre deux parcelles de blé. J’ai quitté la voiture sans un mot pour ma passagère, et plus loin face au blé et au soleil couchant j’ai pu épancher ma vessie. Au retour je m’excusais maladroitement sans trop savoir quoi dire au juste. J’allais repartir, lorsque Valérie m’interrompit dans ma manœuvre. Je ne sais plus trop comment elle me présenta son problème en minaudant… Elle voulait, elle aussi satisfaire le même besoin urgent. Je ne comprenais pas trop ou était le « problème ».
– Oui, vas-y, si tu veux… loin dans les blés, j’ai le temps.
– Euhhh
– Quoi qu’est-ce qu’il y a ?
– Tu ne vas pas me croire mais je déteste faire cela dans la nature, depuis toujours, j’ai peur…
Je savais que les femmes craignent toujours d’être vues et qu’elles n’aiment pas se trouver visibles ainsi accroupies, mais ici dans cette mer de jaune avec rien à l’horizon cela frisait la parano. Tant qu’à la route avec mon véhicule reculé dans le chemin et les blés de chaque côté bien malin celui qui pourrait la voir en passant. Elle était vraiment coincée celle-là.
Elle finit par me parler de sa phobie des petits animaux au sol qui lorsqu’elle serait ainsi livrée nue, pourraient la … « pénétrer »… Est-ce l’alcool et la fatigue, je n’en croyais pas mes oreilles la BCBG coincée me racontait ses phobies… assez sexuelles d’ailleurs.
Elle finit, par admettre que le chemin était parfaitement lisse et désherbé. D’ailleurs avec tous les produits épandus maintenant par les agriculteurs, il ne devait pas rester beaucoup de « petites bêtes ».
Au bout de quelques très longues minutes elle revient… Et on repart sans un mot. Je tente de parler mais elle semble vraiment moins détendue. Elle doit s’en vouloir d’avoir livré « son secret » si facilement. Il n’y a pourtant pas de quoi fouetter un chat.
Une trentaine de minutes plus tard elle rompt le silence…
– Arrête toi vite, je ne peux plus me retenir !
Elle m’avoua qu’elle n’avait pas pu se libérer dans le chemin et que la cela devenait maintenant intenable. Je m’arrête dans le premier chemin venu, cette fois en pleine forêt. Une barrière à l’entrée m’empêche d’aller plus loin. Il va falloir y aller à pied cette fois ou faire sur le bord de la route… Elle minaude encore, les bois, la tombée de la nuit maintenant, la route trop proche… Elle a l’air paniquée.
Je compatie et je lui propose de chercher un autre endroit un peu plus loin dans les champs, même si nous venons de rentrer dans la forêt d’Orléans et que la Beauce est derrière nous. Mais pour elle impossible de supporter les secouses de la voiture à nouveau. Elle serre les jambes comme une petite fille…
Finalement, elle me supplie de l’accompagner dans la forêt. L’envie de rentrer pas trop tard et aussi peut-être la curiosité d’une situation très particulière me pousse à accepter. Ces jambes serrées cette moue de petite fille, me trouble vraiment. Nous sortons du véhicule, elle a du mal à marcher comme si à chaque instant elle pourrait à tout moment se libérer. Elle m’avoue ne pas s’être soulagée depuis notre départ, tôt ce matin. Car elle n’aime pas non plus les toilettes dans les lieux publics.
Là c’est vraiment de la phobie…
Après plusieurs dizaines de mètres à pied nous trouvons l’endroit idéal, lisse et sans feuilles un vrai billard. Je vais pour retourner à mon véhicule, elle me supplie de rester… Elle m’avoue que le seul moyen d’être rassurée c’est que quelqu’un soit présent. Je me retourne et attend donc tranquillement…
Elle minaude encore et finit par me demander d’une petite voix de surveiller autour d’elle afin de la prévenir si par hasard une « bête » venait à s’approcher par derrière. On est en plein délire !!!!
Amusé et un peut-être déjà un peu excité à l’idée de voir ses fesses, j’accepte de « monter la garde ».
Elle se tourne relève très haut sa jupe et baisse sa culotte en dentelle. J’avoue avoir eu un début d’érection. Elle s’accroupie à 1 mètre de moi et mécaniquement ses fesses blanches s’écartent. J’ai une vue imprenable sur sa raie épilée ce qui n’était pas très courant à l’époque. Quelques secondes plus tard un jet d’abord faible puis beaucoup plus fort s’échappe ainsi qu’un souffle libérateur sort de sa bouche. Presque une jouissance…. Je ne dis rien mais j’ai une érection de folie et je ne peux détacher mon regard de ce jet qui dure sans fin. Elle doit sans rendre compte car ma respiration c’est accéléré et je suis vraiment très excité. Tout en continuant à uriner accroupie, elle se pivote sur une jambe doucement sans raison, et me fait face maintenant. J’ai les yeux rivés sur son minou très soigneusement épilé d’où sort ce jet puissant. Elle pousse en avant son pubis comme pour me montrer mieux encore.
Un long silence et cela dure une éternité, elle se vide entièrement.
Je fini par croiser son regard un peu gêné après m’être bien rincé l’œil.
– Alors ça te plait ?
Ce n’est plus une voix de petite fille qui s’exprime. Manifestement l’épanchement de la vessie lui a redonner de l’autorité.
– Euhhh
C’est moi le petit garçon pris en faute maintenant.
– Ça te plait de me voir pisser ? profites en tu l’as bien mérité… sans toi je n’aurai jamais pu y arriver içi.
Valérie la coincée est donc exhibitionniste… incroyable, je n’en reviens pas, mais je profite de l’instant et ne pose pas plus de questions.
Le jet vient de ralentir, ça va se terminer quelques gouttes maintenant. Elle sautille sur place pour faire tomber les dernières gouttes. Je n’en perds pas une miette. Je sais que ce sont les dernières secondes.
Tu as un kleenex ?
Je lui passe un paquet, elle relève la tête et le prend. Je reste là, les bras ballants face à cette femme qui s’essuie méthodiquement le sexe, et qui écarte sans pudeur ses lèvres avec le mouchoir en papier.
J’ai vraiment un début d’érection à cet instant.
– C’est bizarre, j’ai l’impression que ça t’a fait de l’effet. Tu n’as jamais vu une femme ainsi ?
Moi qui d’habitude à la répartie facile surtout sur les sujets grivois, je reste muet. Il faut dire que j’ai une érection de folie facilement visible et que je ne sais pas trop quoi faire. Rentrer à la voiture sans un mot, ou se jeter sur elle. Vue son passé et sa réputation de « bonne sœur » coincée personne ne croira à mon histoire, et elle par contre, peut me griller à vie en me faisant passer aisément pour un sadique violeur.

– Tu peux te soulager aussi si tu veux, tu le mérites bien.

Je suis encore plus pétrifié, ça veut dire quoi cette invitation, elle sait bien que j’ai déjà été faire mes besoins il y a peu de temps et que vue mon état ça ne sera pas la première chose à faire. Elle vient de jeter le mouchoir un peu plus loin mais n’a toujours pas remonté sa culotte. Elle est accroupie toujours face à moi, sa main droite continu ses petits mouvements entre ses lèvres qu’elle avait effectués avec le mouchoir. Elle se caresse maintenant sans pudeur en fixant la bosse sur mon pantalon. Là le délire est total. Parfois dans des situations comme celle-là, le raisonnement laisse place à la folie. Je ne pense plus aux risques de la situation. Je décide de suivre son conseil et je sors mon sexe face à ma collègue. Elle n’en perd pas une miette les yeux fixé sur mon sexe. Je m’enhardis et me caresse doucement. Elle continue de plus en plus vite ses caresses et elle va jusqu’à se doigter avec deux doigts et ramener la cyprine sur son clitoris…
C’est de la folie, je suis excité comme un fou et me branle comme un ado devant son premier film X. En moins de 3 minutes je laisse échapper un long ralle et des jets qui passent tout proche de son visage. Valérie se finit tête baissée frénétiquement en se martelant 2 ou 3 doigts dans la chatte, et hurlant carrément sans retenue.
Elle reprend un mouchoir dans le paquet posé à terre et s’essuie cette fois rapidement puis se redresse et remonte sa culotte qu’elle ajuste méthodiquement. Je referme aussi mon pantalon. Elle me fixe dans les yeux, avec un regard de braise dont je la croyais incapable 15 minutes plus tôt. Elle s’approche en se déhanchant telle une entraineuse dans un bordel, et me glisse un baiser brulant sur les lèvres. Je suis scotché.
– Ouah ça fait du bien. Inutile de te dire que l’idéal pour nous deux est que cela soit, et reste le fruit de notre imagination.

Je balbutie quelques mots inaudibles et l’on repart. Je ne rappelle plus de la fin du voyage, aucun souvenir comme si mon cerveau avait coupé l’enregistrement. J’étais tellement « ailleurs » comme sur un nuage, que je n’ai surement pas dû lui adressé la parole.
A l’arrivée en me quittant, elle me fait deux bises très chastes, elle n’a déjà plus le regard de la Valérie de la forêt.

Après plusieurs années de travail en commun elle n’a plus jamais eu ce regard, et jamais plus, elle n’a eu une attitude ambiguë. J’ai tenté à de multiples reprises d’à nouveau me trouver seul avec elle, mais jamais plus rien ne s’est produit. Elle n’a pas non plus été distante ou à l’inverse plus familière… J’ai jamais eu le courage d’aborder ce sujet avec elle… Alors ai-je rêvé ?

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