Nous prîmes donc le train en gare de Tanger, nous installant dans un compartiment vide. Nadia ma femme s’était habillée particulièrement sexy. Il faut dire qu’il faisait particulièrement beau et chaud. Ma femme était plus bronzée que jamais. Elle portait un petit haut très moulant qui découvrait son nombril. Une petite jupe très courte permettait de contempler ses longues jambes huilées que des petites chaussures à talons hauts rendaient encore plus galbées. Sous sa petite jupe, je savais qu’elle portait un petit string en dentelle rouge que je lui avais offert pour ses 25 ans (avec le soutien gorge coordonné mais qu’elle n’avait pas mis ce jour là). Elle avait particulièrement soigné son maquillage qui lui donnait un air très coquin mais pas vulgaire.
Nous étions assis côte à côte dans le sens de la marche. A l’approche de la gare de Rabat, ma femme me dit : Si par hasard un type rentre dans ce compartiment et qu’il me plaît, je préfèrerais qu’il ne voit pas que nous sommes ensemble. Alors s’il te plaît, assieds-toi sur la banquette en face et fais comme si tu ne me connaissais pas. Je ne voudrais pas que tu me fasses perdre un bon coup !
J’obéis et me plaçais dans l’angle opposé, près du couloir.
Quand le train arriva sur le quai de la gare de Rabat ville, celui-ci était bondé, nous nous retrouvâmes ainsi ma femme et moi en compagnie de 3 jeunes visiblement un peu saouls.
Bien entendu ce qui devait arriver arriva. Les 3 types étaient complètement scotchés par ma femme et ne pouvaient quitter des yeux ses jambes et ses seins. Les blagues et les réflexions lourdes commencèrent à fuser. Voyant que manifestement je n’étais pas avec cette femme, ils engagèrent la conversation. Au lieu de les ignorer et de ne pas tomber dans leur jeu, comme l’auraient fait la plupart des femmes dans cette situation, Nadia fut très causante et avenante. Elle leur expliqua qu’elle venait de Tanger. Les 3 types étaient plutôt beaux mecs, sportifs et sûrement assez endurants. Elle avait déjà son idée en tête, et profitant d’un moment où ils ne la regardaient pas, elle me fit un petit sourire narquois en passant sa langue sur sa lèvre supérieure. Un des hommes lui proposa une bière, boisson qu’elle boit rarement.
‘ Avec plaisir ‘ répondit-elle, et l’homme décapsula la canette un peu chaude qui se mit à mousser et à inonder les cuisses de ma femme.
Elle éclata de rire.
‘ Ce n’est pas grave, je vais m’essuyer ‘. Elle se leva pour fouiller dans son sac qu’elle avait posé dans le panier au-dessus de sa place. Elle mit un temps infini pour chercher un mouchoir, cambrant exagérément ses reins vers l’arrière. Ses bras levés faisaient remonter son petit haut et l’on pouvait apercevoir le bas de ses seins qui pointaient déjà beaucoup. Les types en profitèrent pour bien se rincer l’oeil et se faisaient des clins d’oeil complices. Elle resta debout pour essuyer la bière qui coulait sur ses jambes.
Les trois compères trinquèrent avec ma femme. L’alcool fit son effet assez rapidement. Nadia continuait de discuter en écartant largement ses jambes. De ma place, je pouvais apercevoir son string, et bien entendu les 2 hommes qui lui faisaient face étaient encore mieux placés.
Et puis tout s’enchaîna assez rapidement. Le voisin immédiat de ma femme, tout en continuant à discuter avec elle, posa sa main sur sa cuisse droite et remonta doucement sa main vers la jupe. Ma femme lui sourit et écarta un petit peu plus ses jambes. Les 2 autres comprirent que ma femme n’allait pas leur opposer de résistance. Un d’entre eux se leva et tira les rideaux qui masquaient le couloir du wagon et baissa le loquet.
‘ On est mieux ainsi entre nous ! ‘. En me montrant du doigt, un des types demanda à ma femme si ma présence la gênait et si elle voulait que je sorte du compartiment.
‘ Non au contraire, je suis sûr que cet homme est un peu voyeur et qu’il va se faire un plaisir de me regarder me faire défoncer par vous. N’est-ce pas monsieur ? ‘.
‘ Euh…oui… ‘ Répondis-je confus et gagné par l’excitation.
Nadia me fit un grand sourire en posant sa main droite sur le pantalon de son voisin, à l’endroit où son sexe commençait à prendre de l’ampleur. L’homme se mit alors debout devant ma femme, et baissa son pantalon et son slip.
‘ Oh quelle belle bite ! ‘ Fit ma femme en ouvrant de grands yeux. Il est vrai que le sexe de l’homme, qui n’avait pas encore atteint l’érection totale était impressionnant. Elle le prit en main et finit d’en développer les dimensions. Son sexe faisait bien 22 cm de long. L’homme était puissamment musclé. Nadia se mit à genoux devant lui, au milieu des 2 banquettes. Les autres types lui caressaient les fesses et les seins. Un d’entre eux lui ôta son petit haut, dégageant ainsi sa poitrine qui pointait. Il lui prit les tétons entre les doigts et s’amusa à les malaxer, parfois sans ménagement, arrachant à ma femme des petits soupirs de plaisir. Au même moment, je vis ma femme enfiler au fond de sa gorge le sexe de cet homme qu’elle ne connaissait pas. Celui-ci accompagna les mouvements en prenant ma femme par les cheveux et en lui bourrant le fond de la gorge de manière lente et puissante.
‘ Alors c’est bon une grosse bite au fond de ta bouche ? Je suis sûr que ton mec n’en a pas une pareille ! ‘.
‘ Ah oui c’est le moins qu’on puisse dire ‘ dit-elle en ressortant le sexe de sa bouche, ‘ je rêverais qu’il soit mieux monté mais la nature l’a malheureusement doté d’un petit sexe qui en plus reste rarement longtemps en érection ! ‘.
Je baissais la tête, sachant que bien sûr ma femme cherchait uniquement à m’humilier, mais ne contestant cependant pas la disproportion entre mon sexe et celui de cet homme.
Elle reprit son travail méticuleux, suçant goulûment les couilles de l’homme, puis remontant le long de son sexe pour venir faire tournoyer sa langue autour du gland. Avec ses mains elle caressait les fesses et les cuisses musclées du type qui commençait à imprimer un léger rythme en pénétrant la bouche jusqu’au plus profond.
Après plusieurs minutes de cet exercice, l’homme contrôlait toujours son plaisir. Manifestement ce type était très endurant, ma femme le remarqua d’ailleurs.
‘ Tu ne jouis pas encore ? J’aurais fait ça à mon mari il y a longtemps qu’il aurait déjà tout lâché ! ‘
L’homme sourit : ‘ et tu n’as pas tout vu, attends un peu la suite tu vas voir comment moi et mes copains allons faire durer le plaisir pendant tout le voyage. Et si tu t’occupais un peu d’eux d’ailleurs ?’.
‘ Avec plaisir ! ‘
Nadia abandonna le sexe de l’homme et se tourna vers ses 2 amis qui étaient restés assis.
Elle en profita pour quitter sa petite jupe. Elle n’était plus qu’en string. Elle se mit accroupie devant les 2 hommes, ce qui fit ressortir encore plus sa cambrure et ses petites fesses. Le premier homme resta assis derrière elle en lui caressant les seins de sa main gauche et en la pelotant à travers son string avec sa main droite.
Elle n’eut aucun mal à sortir les 2 sexes tendus qui n’attendaient que ça. Les 2 sexes, quoique qu’un tout petit peu plus petit que celui de leur ami, étaient cependant très respectables et en tout cas plus gros que le mien. Elle s’amusa quelques instants à les branler en même temps, puis elle commença le travail. Elle s’arrangeait pour bien remonter ses cheveux longs avec ses mains afin que je ne perde aucune miette du spectacle. De temps en temps, elle me lançait un petit regard provocateur en taquinant de la pointe de sa langue le sommet des glands qu’elle congestionnait d’une main ferme.
Moi je commençais malgré le sentiment confus qui m’envahissait à être saisi d’une forte érection. Mais je ne pouvais rien faire et ma femme le savait. J’étais condamné à supporter ce spectacle sans broncher et sans même calmer la tension.
Le premier homme introduit son majeur dans sa bouche.
‘ Mouille le bien, je vais te le mettre dans un endroit où il rentrera mieux si tu l’as bien lubrifié ‘.
Nadia lâcha temporairement le sexe qu’elle travaillait et humecta abondamment le doigt de l’homme. Elle reprit tout de suite le sexe dans sa bouche et cambra encore plus ses reins pour faciliter les choses. L’introduction fut lente et puissante, un court instant elle abandonna les 2 sexes et bascula la tête en arrière. Elle entrouvrait sa bouche de plaisir, laissant apparaître ses dents blanches et sa petite langue qui palpitait. L’homme enfonça complètement son doigt dans le petit cul de ma femme. Elle était ainsi prise comme sur un pieu qui commença à s’agiter en elle. L’homme se mit alors debout et obligea alors ma femme à se relever en la maintenant fermement avec ce doigt qui la possédait. Elle écarta ses jambes et baissa le torse pour reprendre dans sa bouche les 2 sexes des hommes qui étaient restés assis.
‘ Tu aimes ça salope hein ? ‘
‘ Oui, c’est bon, continue, défonce-moi ! ‘
Jamais je n’avais entendu mon épouse parler de la sorte. Elle n’était plus elle-même.
‘ Défonce-moi, je veux ton sexe au fond de moi ! ‘.
L’homme alors lâche sa prise. Nadia retira son petit string et se mit à genoux sur la banquette en face de moi, face au mur. Elle agrippa les barres des portes valises en levant les bras. Ses seins étaient magnifiques. Son petit cul arrogant était tendu et attendait son heure. Nos regards se croisèrent dans le miroir qui était au-dessus des banquettes.
L’homme se plaça derrière elle.
‘ Tu as un magnifique petit cul, quel dommage que ton mari ne l’honore pas à sa juste valeur. J’espère que tu penseras à moi à chaque fois que tu feras l’amour avec lui maintenant ‘.
‘ Oui je crois que je ne suis pas prête d’oublier cette aventure ! ‘
Au même moment, l’homme introduit doucement mais puissamment son sexe dans celui de ma compagne. Une fois au fond, il demeura quelques instants pour bien faire sentir à ma femme la totale possession qu’elle était en train de subir. Je vis ses yeux chavirés, ses lèvres humides entrouvertes. Elle soupira et poussa un petit gémissement de plaisir.
‘ Oh…oui…comme c’est bon de sentir un vrai sexe d’homme ‘. Elle ne me quittait pas des yeux tout en disant cela.
‘ Vas-y défonce-moi ! ! ‘
L’homme ne se fit pas prier. Il devait bien connaître ses capacités, car il ne ménagea pas son rythme. D’entrée il la pistonna violemment. Il l’enserrait par la taille avec ses mains puissantes et lui arrachait un gémissement à chaque coup de boutoir. Ma femme agitait ses beaux cheveux dans tous les sens, des petites perles de sueur commençaient à apparaître sur tout son corps. Elle gémissait de plus en plus fort. L’homme restait imperturbable, conservant un rythme de métronome et ne se souciant absolument pas de l’éventuelle douleur que pouvait provoquer la taille de son engin dans le fragile sexe de Nadia.
C’est elle qui jouit la première, en poussant un long et langoureux soupir. L’homme la rejoint peu de temps après, finissant même dans une dernière accélération. Elle s’effondra sur le dossier de la banquette, toujours vissée à l’homme qui bien qu’ayant joui, conservait toujours un sexe de taille imposante. Il sortit et fut remplacé presque immédiatement par un deuxième homme. Voyant que ma femme avait à peine récupéré des assauts de son ami, il la fit s’asseoir sur la banquette, face à lui, les fesses légèrement au bord pour bien dégager l’entrée de son sexe. L’homme se mit à genoux devant elle et la pénétra d’un coup.
‘ Alors ma belle, prête pour une deuxième petite balade ? ‘
‘ Oui la même si possible ‘ lui répondit-elle en lui caressant le torse musclé. L’homme jouit plus vite que son ami, mais il amena de la même manière Nadia à l’extase. Elle était maintenant presque face à moi. Elle ne cessait en me regardant de passer sa langue sur ses lèvres, gémissant comme je ne l’avais jamais entendue gémir. Les autres hommes s’étaient placés de part et d’autre de ma femme et lui caressaient les seins
‘ Pincez-moi les tétons j’adore ça ! ‘
Chacun d’entre eux prit l’extrémité d’un sein et s’amusa à le tordre, à le tirer, à le pincer. Nadia se mordit les lèvres pour ne pas hurler de plaisir, et enlaça son partenaire en vibrant de tout son corps. L’homme se retira et se leva devant elle. Sans la moindre hésitation elle s’empara du sexe gluant et entreprit un nettoyage complet.
Comment une fille si peu imaginative avec moi au lit pouvait-elle être aussi déchaînée avec ces hommes ? Elle lui fit une fellation extraordinaire, à tel point que l’homme reprit toutes ses dimensions.
‘ Encule-moi maintenant que tu es à nouveau prêt. Ton troisième copain n’a qu’à s’occuper de mon sexe qu’il n’a pas encore goûté ! ‘
Elle se mit debout sur les banquettes, un pied sur chacune d’entre elles, et s’accrocha aux barres des portes bagages, formant ainsi comme un pont, son sexe humide et son anus écartés et offerts à tous. Les 2 hommes se mirent aussi debout de part et d’autre, face à face. Puis elle fléchit les jambes et descendit ainsi à la hauteur des 2 pieux qui attendaient leur orifice respectif. Ma femme s’empala en même temps sur les 2 hommes, absorbant toute leur longueur. Je ne voyais pas son visage mais j’imaginais son sourire de bonheur d’être ainsi totalement envahie par ces sexes larges et fermes. Elle gémit puis au bout de quelques secondes commença un mouvement de va et vient vertical. Les hommes lui caressaient tout le corps, les fesses, les seins, les cuisses. Elle poussait un petit soupir à chaque descente. Elle accéléra le rythme, remontant bien à chaque fois pour dégager presque entièrement les sexes qui ne conservaient que leur gland en elle, pour mieux ensuite redescendre en butée.
‘ Si vous saviez comme c’est bon de vous sentir en moi, vous êtes de vrais étalons ‘.
L’orgasme était proche, elle accéléra encore le rythme et au moment de l’explosion elle tourna la tête dans ma direction, les yeux mi-clos, la bouche ouverte, l’air de dire ‘ tu as vu ce qu’ils sont en train de me mettre et comme j’aime ça ! ‘.
Elle dut lâcher prise au moment de jouir, elle s’agrippa à l’homme qui était devant elle. Elle ne pouvait presque plus bouger, ce fut donc les 2 types qui se mirent en mouvement jusqu’à leur orgasme. Ils explosèrent en elle et elle resta encore au moins une minute empalée pour profiter encore de leur présence.
‘ J’ai joui comme jamais, merci messieurs ‘
Nadia descendit des banquettes, un des hommes lui prêta une serviette pour qu’elle essuie la transpiration que cette heure de ‘ sport ‘ avait provoquée. Puis ils se rhabillèrent tous.
Elle s’adressa à moi : ‘ j’espère que le spectacle ne vous a pas trop dérangé monsieur, et même que cela vous a plu. Est-ce que cela vous a plu ? ‘
Les 3 hommes me regardèrent en rigolant
‘ Euh…oui… ‘ Répondis-je embarrassé.
‘ Euh oui quoi, dites que cela vous a plu ‘ renchérit ma femme.
‘ oui ça m’a plu ‘
‘ J’imagine que vous n’avez pas souvent l’occasion de vivre des choses pareilles, quel dommage pour vous. Je vous aurais bien proposé de vous joindre à nous mais vous n’êtes pas mon genre d’homme. Je préfère les mecs sportifs, ils sont en général mieux montés ! ‘.
La petite séance d’humiliation prit fin, tout le monde se rassit et profita des derniers moments du voyage pour dormir et récupérer des tous ses efforts.
Nous arrivâmes enfin à destination. Les 3 hommes quittèrent notre compartiment, non sans avoir embrassé une dernière fois ma femme et en la complimentant sur ses charmes.
‘ Alors le cocu tu as apprécié le spectacle ? J’ai pris un pied pas possible, ces types étaient vraiment de vrais étalons. ‘.
Ma femme baissa les stores qui donnaient sur le quai et referma le loquet du compartiment.
‘ Mets-toi à genoux, les mains sur la tête et répète ce que je vais te dire ‘.
Je dus m’exécuter.
‘ Répète : je suis un pauvre cocu incapable de donner du vrai plaisir à une femme. Je préfère voir ma femme se faire défoncer par d’autres hommes plutôt que de lui présenter mon petit sexe qui ne lui fait aucun effet ‘.
Pendant que je répétais ces mots, Nadia me regardait en souriant et en se caressant le sexe et la pointe de ses seins.
‘ C’est bien, maintenant tu vas lécher mon sexe et tout ce que mes amis y ont laissé. Je veux que tu nettoies tout sans broncher ! ‘
Je dus alors lécher le sexe gluant du sperme des trois hommes. Ma femme jouit une dernière fois en me maintenant fermement la tête par les cheveux puis me repoussa violemment.
‘ C’est bien laisse-moi maintenant ! Il faut qu’on rejoigne notre hôtel et tu dois écrire sur ton cahier tout ce qui s’est passé durant le voyage ‘.
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