Résumé : les tourments d’un jeune masochiste.
Comme je venais de rater mon bac, ma mère m’a envoyé tout l’été suivant chez ma tante Marie. C’était sensé être une punition, mais comme j’étais le garçon le plus masochiste de la Terre, ce séjour a constitué les vacances les plus merveilleuses que j’aie jamais vécues.
Tante Marie, qui avait bénéficié d’un important héritage, habitait dans une vaste propriété entourée d’un parc immense. C’est dans le salon de jardin que Maman et moi avons été reçus, en compagnie de mes cousines Daphné et Jeanne, les deux filles de Marie ; elles avaient le même âge que moi et leurs yeux brillaient d’une grâce espiègle, ce qui m’attirait énormément. Installées à l’ombre de la balancelle, les deux ravissantes jumelles brunes étaient identiquement vêtues de longues robes blanches fermées par d’épaisses ceintures noires. Elles marchaient pieds nus dans l’herbe et la seule vision de ces quatre petons qui se balançaient suffisait à inspirer une érection au fétichiste que j’étais. Sandrine, la domestique, servait les boissons avec le sourire discret de celle qui savait à quelle sauce j’allais être mangé.
Marie a demandé à ma mère :
— Dis ton, ton fils a bien grandi depuis Noël dernier.
— N’est-ce pas ? Son pénis aussi s’est allongé. Et le coquin passe son temps à se branler en regardant des vidéos pornographiques. Il ne s’en cache même plus.
— Oh, le chenapan ! Il va falloir lui apprendre les bonnes manières et dresser sa virilité. Enfin, nous avons deux mois entiers pour cela.
— Le mieux est de commencer dès maintenant, a proposé Maman. Stéphane, tu veux bien de déshabiller s’il-te plaît ?
— Tu veux dire… tout nu ?
— Oui, le slip aussi. Allons, dépêche-toi, je t’en prie. Je vais bientôt devoir repartir, et j’aimerais emmener tes vêtements avec moi.
— Au fait, il n’a pas de valise, a remarqué Marie ?
— Non, il n’en a pas besoin. Vous n’avez pas de vêtements masculins, j’espère ?
— Aucun, je n’en jamais eu.
— C’est parfait. Comme cela, il restera complètement nu tout l’été.
Après avoir été tenu de me défaire de mon slip – Maman a dû m’aider à vaincre ma pudeur en abaissant elle-même ce dernier vêtement qui, pour ma plus grande honte, n’était pas très propre, ce que tout le monde a pu constater de visu et olfactivement lorsque le cache-sexe a circulé de main en main – je cherchais désespérément à dissimuler mes organes génitaux derrière mes mains : une pauvre stratégie, vouée à l’échec. Daphné et Jeanne pouffaient ensemble en observant ma délicate situation. J’aurais voulu me trouver cent pieds sous Terre, prêt à pleurer, sans que je sache si c’était des larmes de joie ou bien de confusion – les deux en même temps, sans doute. Je rougissais autant qu’une tomate.
— Allons mon garçon, est intervenue Marie, ne nous cache pas ces beaux trésors que tu possèdes entre tes jambes.
En prenant doucement mes poignets, elle est parvenue à me conduire à exposer ma virilité bien épanouie, nu devant la gent féminine. Puis elle a pris un centimètre de couturière pour mesurer la longueur de mon membre, son diamètre, la taille de mes testicules, etc. Elle annonçait les valeurs à voix haute. Maman a pris le petit carnet dans lequel elle notait tout cela, et a confirmé :
— Effectivement, il a bien grandi.
— Tu aimes quand je te tripote le zizi, n’est-ce pas, joli coquin ?
N’osant pas parler, j’ai fait oui de la tête. En fait, les sensations de plaisir que me procuraient ses attouchements étaient si intenses que j’aurais éjaculé si je ne me m’étais pas retenu en serrant les poings.
— Et donc, tu me dis qu’il a l’habitude de s’adonner à l’onanisme, c’est-à-dire au vice solitaire, a demandé Marie à ma mère ?
— Tout à fait. Il le fait au moins deux fois par jour, quand ce n’est pas dix.
Et encore, elle était en dessous de la réalité.
— C’est intéressant, cela. Tu veux bien nous montrer comment tu fais, Stéphane ?
— Oui, masturbe-toi devant nous, a renchéri ma mère. Je suis sûre que tes cousines sont très intéressées pour découvrir comment tu livres à cet abus de toi-même.
— Nous te regardons toutes.
J’étais effectivement sous le feu de cinq paires d’yeux féminins, sans rien sur la peau, et bandé comme un cerf en rut. Pas moyen d’y échapper : il a fallu que ma pudeur juvénile soit bafouée dans les grandes largeurs. J’ai saisi ma hampe à pleine main droite, et j’ai commencé à me branler. Comme si cela ne suffisait pas, Marie m’a chatouillé les bourses du bout des doigts, et sous cette caresse irrésistible, j’ai rapidement explosé d’une énorme giclette de sperme que ma tante a recueilli dans une carafe. Elle y a mêlé de la vodka, puis a réparti le contenu dans nos verres alors que je pantelais (sans pantalon), épuisé par un orgasme sublime, en tenant à peine sur mes jambes. Les jumelles ont éclaté de rire devant l’expression de mon visage au moment de me libérer de tout ce nectar d’homme dans un rugissement de fauve.
Nous avons trinqué alors que mon pénis qui pendait, cependant encore dur, s’épanchait encore, goutte à goutte, sur l’herbe. Deux autres filles sont venues nous rejoindre, des copines de lycée des jumelles qui venaient d’être prévenues par téléphone que quelque chose d’intéressant se passait là, et qui se plaisaient à m’humilier non seulement à cause de ma nudité devant elles habillées, mais aussi parce que toutes les quatre avaient eu la mention très bien alors que j’avais raté mon bac.
— Tchin ! À l’été, a déclaré Marie !
— C’est vraiment sympa de ta part de prendre mon fils en charge pendant les vacances.
— Tu me confies un puceau timide – parce qu’il est puceau, n’est-ce pas ? Je ferai de lui une bête sexuelle. Je vais te le transformer, tu verras.
Maman a fermé le coffre de la voiture, avec mes vêtements à l’intérieur. J’étais condamné à rester nu durant tout mon séjour – mais l’été a été torride et je n’ai jamais eu froid. En même temps, elle a déchargé un grand carton rempli de différents objets me concernant : godes-ceintures pour tout le monde, plugs anaux de différentes tailles et formes, cordes, baillons, roulettes à pointe, ainsi que cages péniennes…
— Où sont les toilettes, tante Marie, ai-je demandé ? J’ai envie de faire pipi !
— Pour quoi faire, des toilettes ? Allons, ouvre les vannes. Cela permettra aussi d’arroser l’herbe qui commence à jaunir à cause de la sècheresse.
— Ici ? Devant vous toutes ?
— Ici, mon grand, tu devras t’habituer à renoncer à toute pudeur !
Daphné et Jeanne m’ont tendu leurs jolis petons pour que les arrose avec mon pipi. Pendant ce temps, elles se bécotaient, bouche à bouche, puis elles s’amusaient de me voir nu et si vulnérable. Ensuite, sur ordre de tante Marie, je me suis mis à genoux et j’ai lapé toutes les traces de mon urine sur les pieds que les deux sœurs me tendaient. Elles riaient autant parce que ma langue les chatouillait qu’à cause de l’inconfort de ma situation – une occupation que je n’aurais pourtant troquée contre aucune autre, aussi humiliante et dégradante que fût ma posture servile. Amélie et Laurine, les deux copines, ont enfilé des godes-ceintures, sont passées derrière moi et m’on sodomisé par surprise. Les engins étaient épais et m’écartelaient la rondelle anale, mais aussi appuyaient sur ma prostate, ce qui m’a conduit à bander de nouveau. Cette fois, par contre, interdiction de me masturber. Pour s’en assurer, tante Marie m’a attaché les mains derrière le dos.
— Les hommes constituent une fraction inférieure de l’humanité. Votre chromosome Y est plus court que nos deux X. Vous êtes incomplet. Tu devrais le savoir, Stéphane, puisque tu as passé ton bac cette année. Ah oui, j’oubliais, tu as eu 1/20 à l’épreuve de biologie, et encore, le correcteur a dû t’accorder ce point par compassion, pour ton nom et l’encre. Eh bien, nous allons t’éduquer d’une autre manière que tes professeurs de lycée. Pas vrai, les filles ?
— Oh, oui !
— Pour commencer, je vais te montrer ce que tu as déjà vu des milliers de fois en vidéo, mais jamais en vrai.
J’allais me relever quand Tante Marie m’a frappé d’un coup de cravache que je n’avais pas vu venir. Je me suis retrouvé face contre terre. Les pieds des jumelles m’ont enfoncé la tête dans la boue d’humus et d’urine mêlés.
— Reste à genoux, esclave ! Tu te relèveras quand tu en recevras l’ordre. Quand on est nul comme toi, on n’est pas libre de ses mouvements.
— Bien, ma tante.
Marie a relevé sa robe et retiré sa culotte. Sa chatte se trouvait à cinquante centimètres de mon visage. J’étais hypnotisé par ce buisson herbu, merveilleusement odorant, à ma portée, mais inaccessible !
— Observe la vulve ! Tu peux juste toucher avec tes yeux. Qu’en penses-tu ?
— Elle est magnifique !
— Et que constates-tu ?
C’est alors que j’ai remarqué la ficelle qui dépassait de la fente vaginale. J’ignorais de quoi il s’agissait.
— C’est quoi ?
— J’ai mes règles. Allons, tire sur la ficelle avec tes dents, sans toucher à mon sexe. Voilà. Maintenant, ouvre ta bouche et suce.
Elle a placé le tampon sur ma langue. J’ai aimé le goût ferreux et puissant du suc qui en suintait. C’est le nectar secret de la féminité que j’ai aspiré jusqu’à l’ultime goutte : un délice étrange, qui peut sembler répugnant pour qui ne tient pas chaque femme en vénération comme moi.
Puis j’ai été autorisé à porter ma langue jusqu’au sexe adulé de ma tante. Tante Marie m’agrippait par les cheveux afin de me guider, et les larges cuisses se sont refermées autour de ma tête, broyant douloureusement les os de ma mâchoire. J’ai découvert le clitoris en vrai, appris à le choyer, à la balayer, à en faire mon alpha et mon oméga. Quand elle a joui, elle a serré de toutes ses forces. J’ai aimé cette douleur. Pendant ce temps, derrière moi, les quatre filles se relayaient pour s’introduire dans mon trou de balle avec des verges artificielles et pilonner à grands coups de reins. Même Sandrine s’y est mise. Quand elles ne me ramonaient pas, les deux jumelles s’aimaient saphiquement, enlacées dans l’herbe, ce que je pouvais entendre, mais pas voir.
Tante Marie ne s’est pas contentée d’un seul orgasme, loin de là. Puis, les filles ont voulu que je leur broute également le minou. Chacune avait un goût différent, et une odeur que je n’oublierai jamais. L’action s’est poursuivie jusqu’au soir. J’étais épuisé. Tante Marie m’a conduit jusqu’à ma niche, située dans le jardin, où je devais dormir enchaîné par des fers qui entravaient mes poignets, mes chevilles et mon cou. Je me suis endormi profondément, mais en pleine nuit, les jumelles sont venues me réveiller afin de m’enculer avec leurs godes-ceinture, parce que cela me faisait mal et qu’elles adoraient me faire souffrir. Pendant deux mois, elles allaient procéder ainsi quotidiennement.
Progressivement, j’ai appris à aimer la douleur physique qu’elles me procuraient en défonçant ma petite rosette sans lubrification, et à les supplier à genoux, non pas de cesser, mais de poursuivre. Puis, sous la lune, elles m’obligeaient à me masturber devant elles, et à éjaculer sur leurs pieds que je devais lécher afin de boire mon propre sperme, enfonçant parfois leurs orteils jusqu’au fond de ma gorge, ce qui me procurait des nausées.
Durant la journée, nous allions souvent à la plage qui était tout près de la demeure de ma tante. J’y allais enchaîné par le cou, ou bien serré dans un lourd carcan de bois qui emprisonnait mes poignets de part et d’autre de ma tête, sans autre costume de celui d’Adam dans les rues de la station balnéaire. Des passantes nous regardaient, plus amusées que choquées, car l’endroit, interdit aux enfants, se prêtait à toutes les fantaisies sexuelles. Une pancarte accrochée à mon cou rappelait en gros caractères rouges les notes lamentables au baccalauréat qui me valaient d’être puni.
C’était une plage libertine où la nudité était permise, quoique facultative, et où tous les ébats charnels des vacanciers étaient tolérés, voire encouragés, à la seule condition qu’ils fussent consensuels. La plupart des femmes étaient dominatrices et vêtues de maillots de bain tandis que les hommes étaient nus. Des cougars y venaient discipliner leurs soumis et les mères perverses dresser leurs garçons en plein soleil, avant de les subjuguer par des relations sexuelles taboues sous le regard de tous. Beaucoup avaient le dos strié par la flagellation ; je savais que je n’allais pas tarder à leur ressembler. Ceux qui avaient de petits pénis étaient impitoyablement moqués. Montrés du doigt, ils pleuraient à chaudes larmes sous les rires de la gent féminine. Les tailles en centimètres étaient soit écrites au feutre rouge sur les torses épilés, soit indiquées sur les pancartes accrochées autour du cou. Comme il fallait absolument trouver un motif de brimade et que la taille de mon sexe était des plus honorables, mes piètres résultats scolaires ont servi de prétexte aux sévices que je subissais.
Au cours d’un après-midi où le soleil tapait particulièrement fort, j’ai participé à une crucifixion collective sur la plage, en compagnie d’une dizaine de garçons de mon âge. Il nous fallait porter nos lourdes croix en marchant dans le sable où des trous avaient été creusés exprès pour nous faire trébucher. Pas de pagne naturellement, mais des anneaux péniens pour mettre en valeurs nos organes génitaux. Ceux d’entre nous qui tombaient sous le fardeau étaient fouettés jusqu’à ce qu’ils se relèvent péniblement, de même que ceux qui ne marchaient pas assez vite. Puis nos croix ont été alignées au bord de la mer, posées à plat, et nous y avons été attachés par les poignets et les chevilles. Un sédile, petit tenon fixé sur le mat, nous entrait dans l’anus afin de nous maintenir d’une manière plus stable, et aussi de s’assurer de la solidité de nos érections, grâce à la pression continue sur la prostate.
Toutes les croix ont été élevées en même temps, plantées verticalement dans le sable. Daphné, comme bien d’autres, filmait la scène avec son téléphone. Vu d’en bas, ce devait être un spectacle magnifique. Nous étions dix éphèbes bandants, verges dressées vers le soleil. Nous avions chaud, nous transpirions beaucoup et la crucifixion était une posture pénible. J’avais dit, au moment d’être fixé sur le bois du supplice, que j’aurais préféré de vrais clous, comme font les Philippins lors du Vendredi Saint, mais on m’a répondu que c’était trop dangereux et que de toute manière, suspendu ainsi, j’aurais largement mon lot de souffrances, ce qui était vrai. Mon titulus, c’est-à-dire l’écriteau fixé au sommet de la croix indiquant le motif de ma condamnation, était : 4/20 au bac, comme d’autres avaient : petite bite, échec au permis, etc. Nos tortionnaires trouvaient toujours un crime justifiant le châtiment. Celui-ci était terriblement érotique. J’en bande encore. Ma couronne d’épines était une culotte sale qui sentait très bon la chatte en sueur. À cause des sédiles qui, progressivement, nous entraient de plus en plus profondément dans les tripes, nous étions obligés de nous cambrer, ce qui mettait en valeur nos organes génitaux d’une manière particulièrement indécente. Les dames et les filles se moquaient. Le garçon timide et pudique que j’étais était ainsi tenu de se changer en exhibitionnisme, et j’ai beaucoup aimé cela.
À tous ceux qui se plaignaient d’avoir soif, on donnait à boire du sang menstruel. Ceux qui voulaient pisser devaient se soulager sur place, ce qui ne manquait pas de provoquer l’hilarité. Des dames venaient nous branler ou nous sucer, d’autant plus facilement que nos sexes se trouvaient à la hauteur de leur visage, tout en évitant de nous laisser éjaculer afin que nous soyons désespérés. D’autres étaient au contraire masturbés encore et encore, de sorte qu’ils n’en pouvaient plus, tandis que les tortionnaires se régalaient du sperme qui tombait en fontaine. Parfois, nous étions chatouillés, ce que j’ai trouvé particulièrement insupportable. Elles s’ingéniaient toutes à découvrir pour chacun la forme de supplice que nous ressentions comme la plus odieuse. Quand j’ai entendu les autres gars supplier leurs bourreaux en pleurnichant, j’ai compris que l’objectif était de nous ôter toute dignité humaine afin de faire de nous des poupées érotiques. Certaines s’étaient déguisées en légionnaires romaines. Elles se moquaient de nous, particulièrement de ceux qui pleuraient. Pour ma part, j’affectais de rester stoïque et de profiter de chaque instant. Au soir, quand on nous a décrochés, nous étions tous épuisés. Nous avons dormi sur la plage.
Le lendemain, il y a eu un combat de gladiateurs – le thème de l’année était l’Empire romain, et j’avais entendu dire que celui de l’année précédente était l’inquisition. Nous avions tout le corps abondamment enduit d’une huile parfumée par des masseuses qui ne se gênaient pas pour en profiter pour glisser leurs doigts dans les endroits les plus intimes de notre corps. Les séances de massage étaient publiques, en plein soleil.
Puis les combats ont commencé, avec des duels issus d’un tirage au sort. Chacun disposait d’une épée et d’un boulier de plastique, sauf les rétiaires auxquels on avait confié un filet. C’était l’un de ceux-ci que j’ai eu à combattre. J’étais malhabile. Il a tôt fait de m’emprisonner entre ses mailles dont je ne pouvais pas me dépêtrer. Tante Marie, couronnée de laurier, jouait l’impératrice et tournait son pouce vers le bas lorsque la foule de spectatrices le lui demandait, c’est-à-dire systématiquement. Malheur au vaincu. Nous étions censés avoir une petite chance d’obtenir la grâce en nous agenouillant humblement, aux pieds de l’impératrice assise sur son trône, et en lui bécotant les orteils sales qu’elle nous tendait, altère et pleine de morgue. Il n’y avait aucune pitié pour ceux qui perdaient, car tout ceci n’était qu’une mascarade – mais une mascarade excitante pour mon fétichisme des pieds féminins, et je n’étais pas le seul. En guise d’exécution capitale, j’ai dû me courber en deux sur le pilori, les jambes écartées, flagellé avec des orties, puis sodomisé au gode-ceinture par la totalité des femmes présentes – et même par les garçons vainqueurs qui ont répandu leur foutre dans mon petit trou, ce qui était une épreuve supplémentaire à ma stricte hétérosexualité. Mes testicules étaient considérés comme des punching-balls de boxe française, les orteils repliés en boule. Quand elles m’ont empalé sur un immense godemiché de métal, si long qu’il procurait une bosse à mon ventre une fois qu’elles l’avaient complètement enfoncé dans mon anus, malgré ma résolution de rester imperturbable dans l’épreuve, je n’ai pas pu m’empêcher de hurler – heureusement que je m’étais purgé au matin. À la fin, j’avais la rosette comme un chou-fleur. Une fois détaché du pilori, je me suis mis à genoux et j’ai supplié pour que l’on mît fin à mes tourments.
J’avais enfin accepté l’avilissement total que ma tante voulait m’imposer afin de briser en moi toute résistance.
Mais comme j’avais été jugé comme un garçon bien soumis et courageux devant l’épreuve, obéissant à tous les ordres et d’une parfaite allégeance à Tante Marie ainsi qu’à ses deux filles, j’ai eu ma récompense : pénétrer dans un vagin, enfin ! Pour cela, elles m’ont ligoté sur une table per poignets et chevilles, dans le jardin. Mes bras et mes jambes formaient un X, la face tournée vers le soleil. Je bandais parfaitement et dégoulinais de rosée du désir. Tante Marie la première s’est mise nue et s’est assise sur mon sexe, tortillant du bassin. Pendant ce temps, Daphné et Jeanne me chatouillaient les pieds. Je riais convulsivement. Cela ne m’a pas empêché d’éjaculer, pour la première fois, dans la gaine d’une femme. Plus les jumelles m’ont chevauché tour à tour, puis Sandrine et d’autres femmes que je ne connaissais pas, mais qui avaient des vagins merveilleusement étroits à l’intérieur desquels je répandais ma semence sans compter, tant et si bien qu’à la fin, mes testicules et ma prostate me faisaient mal. C’était pour moi une joie immense.
Épilogue
Quand ma mère est revenue à la fin du mois d’août, j’étais un garçon dressé, prêt à obéir à tous les ordres d’une épouse qu’elle avait choisi pour moi, et qui avait trente de plus. Le mariage a été célébré en septembre. Le bac ne m’aurait, de toute manière, été d’aucune utilité pour les tâches ménagères que ma femme m’imposait. J’étais son esclave. Privé à demeure de vêtements, j’accomplissais toutes les tâches ménagères, par exemple à quatre pattes pour nettoyer le sol carreau après carreau, avec une brosse à dents usée. Obèse autant que j’étais fluet, elle avait de gros besoins sexuels que je satisfaisais de mon mieux : elle me saisissait lorsqu’il lui en prenait la fantaisie, en tirant sur la chaîne qui me reliait à mon collier d’esclave. Lorsqu’elle jugeait que je n’avais pas été à la hauteur de ses désirs, elle m’attachait sur une table, bras et jambes écartés, et elle m’infligeait d’affreuses tortures sexuelles, en utilisant des instruments barbares qui provoquaient mes pleurs et mes hurlements. Je lui servais également de WC humain, quand elle vidait sa vessie dans ma bouche ouverte. Elle prenait de nombreux amants, en particulier ceux qui avaient de très gros attributs virils et qui ne se gênaient pas pour forniquer sous mes yeux de mari candauliste, ou bien ils participaient aux supplices que ma femme m’imposait. Parfois, ma mère venait dîner à la maison et assistait à tout cela. Tante Marie se joignait au groupe, accompagnée de ses deux jumelles. Toutes abusaient de ma virilité jusqu’à l’épuisement complet, et même au-delà.
Une nuit, j’ai brisé mes chaînes et je me suis évadé. Mes cousines Daphné et Jeanne m’y avaient aidé. Nous étions amoureux tous les trois les uns des autres. Afin d’assurer la tranquillité de notre fuite, nous avions ligoté ma femme, Maman et tante Marie sur leur lit, toutes nues, des boules de Geisha vibrantes enfoncées dans le vagin et l’anus, et bâillonnées. Nous les avions abandonnées alors qu’elles jouissaient encore et encore. Oui, l’esclave que j’étais s’était rebellé.
Cependant, je n’allais pas tarder à découvrir que toute cette cavalcade n’était qu’une comédie jouée par les deux sœurs jumelles qui avaient feint d’être amoureuses de moi afin de me jouer un tour. On appelle cela la torture par l’espoir : j’y croyais vraiment, et ma déception a été un choc. Quand Daphné et Jeanne, très fières de leur coup, m’ont ramené tout enchaîné à la maison, Maman, tante Marie et mon épouse m’y attendaient de pied ferme. Elles ont réuni un conseil de famille afin de juger. Je n’ai pas eu le droit de me défendre. En attendant l’application de la sentence, je restais enfermé nu dans une petite cage dont les trois quarts étaient immergés dans la piscine, de sorte que je ne pouvais respirer qu’au prix de grands efforts musculaires.
Pour les esclaves insoumis, il n’y avait pas d’alternative : une croix m’attendait dans le jardin, avec de vrais clous cette fois, fins et trempés dans l’alcool pour les désinfecter. Tout un public de femmes s’était rassemblé pour assister à mon supplice. J’ai d’abord été sévèrement flagellé, suspendu à un portique par les poignets, puis les spectatrices se sont toutes ruées sur moi avec leurs godes-ceintures. Chers amis, vous ne pouvez pas savoir comme je bandais en apercevant cet instrument de bois qui m’était destiné. Cette fois, le titulus ne portait plus sur mes piètres résultats scolaires, ni même sur mon évasion ratée, mais il mentionnait : croit en l’amour. Effectivement, hier comme aujourd’hui, j’assume aimer toutes les femmes, quitte à souffrir pour elles.
Mes bourreaux ont accepté ma demande, qui était de pouvoir sucer les pieds de Daphné et Jeanne pendant qu’on me fixait sur la croix. À ce moment-là, émerveillé par le goût et l’odeur de ces petons si charmants, j’ai pardonné à mes cousines leur trahison. Pendant ce temps, elles s’embrassaient à langues roulées l’une contre l’autre, et les mains se glissaient mutuellement sous les culottes humides. Elles ont ri et m’ont craché à la figure pour me signifier qu’elles méprisaient mon pardon et que, de toute manière, mes sentiments ne comptaient pour rien, parce que j’étais un esclave et non pas un humain. Puis elles ont frappé dans mes testicules à grands coups de pieds ; mes cris de douleurs mes amusaient beaucoup. J’ai vu que ma mère se masturbait en observant la scène, et qu’elle jouissait d’un orgasme sadique alors que les clous s’enfonçaient dans mes mains et mes pieds.
Lorsqu’on a redressé la croix, les vibrations étaient si douloureuses que j’ai hurlé. Mais en même temps, grâce au sédile que j’avais planté dans l’anus et au fait que Daphné et Jeanne me branlaient, j’ai éjaculé une petite fontaine de sperme qui a impressionné les spectatrices. Ce n’était que la première d’une longue série d’éjaculations qui allait ponctuer mon supplice, car j’étais si excité sexuellement qu’il semblait ne plus y avoir de limite à ma capacité à répandre de la semence. Puis j’ai dit à l’assemblée de femmes que je leur donnais ma souffrance comme un cadeau afin qu’elles en éprouvent des voluptés perverses. Entre elles, l’orgie a commencé : entre femmes, elles se tripotaient à la manière lesbienne. J’assistais à tout cela depuis ma position haute qui était certes très inconfortable, mais le spectacle n’en était pas moins magnifique. Je ne sais pas combien de temps a duré mon agonie avant qu’on me descende de la croix.
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