A une époque de ma vie, pour arrondir mes fins de mois, j’ai publié une annonce dans un journal local, disant que je donnais des cours de français de niveau collège et lycée. En une semaine j’ai reçu plusieurs réponses, mais il y en a une en particulier qui me reste en mémoire : celle d’une femme dont la fille avait de grosses difficultés en orthographe.
La fille s’appelait Sarah. Elle était en classe de première. C’est sa mère qui m’appela un soir pour me demander mes tarifs, puis on fixa un premier rendez-vous pour un cours le samedi matin suivant, à 10 heures.
Le cours se déroula plutôt bien et, après 11 heures, je sortis de la chambre de Sarah. La mère était dans la cuisine, assise devant un verre de vin blanc. Elle m’en proposa un, que je refusai poliment, puis elle me remercia d’avoir bien voulu venir donner un cours à sa fille, avant d’ajouter qu’elle n’était pas en mesure de me payer pour cette fois. Je lui répondis que je pouvais attendre la semaine prochaine, puis je rentrai chez moi.
Le samedi suivant, elle me fit le même coup. Le cours s’était bien passé, mais la mère ne pouvait pas me régler. J’ai accepté un verre de vin blanc cette fois-ci, histoire de discuter un peu avec elle.
Comme la semaine précédente, elle portait un peignoir couleur abricot.
Elle m’a dit :
« Je suis désolée, j’ai des difficultés actuellement. »
Je lui ai répondu :
« Je comprends, mais je ne peux pas me permettre de donner des cours gratuits. Quand pourrez-vous me régler ? »
Elle a levé les yeux vers moi en disant :
« Dans quelques temps, les choses devraient s’arranger. »
J’ai soupiré :
« Quelques temps, c’est combien de temps ? »
Elle a pris une gorgée de vin, puis m’a répondu :
« Je ne sais pas, je suis désolée. Je suis au chômage et je ne veux pas que ma fille en paye les conséquences. »
Je n’ai rien trouvé à répondre, alors j’ai bu et la femme s’est levée de sa chaise pour venir vers moi. Elle s’est arrêtée à un mètre et m’a dit :
« Ce que je peux vous proposer pour le moment, c’est de vous payer en nature, à moins que ça vous pose un problème ? »
J’ai répondu :
« En nature ? »
« Oui, a-t-elle dit. Vous me faites l’amour et on n’en parle plus. »
Sur ces mots, elle a ouvert son peignoir et m’a montré ses seins.
Elle n’avait pas quarante ans. Elle n’était pas très grande, brune avec un chignon. Ses seins étaient volumineux et ils tombaient sur sa poitrine. La ceinture de son peignoir dissimulait de justesse le reste de son corps, à savoir sa chatte. Elle me regardait dans les yeux.
Je lui ai dit :
« C’est embarrassant… »
Elle m’a répondu :
« Qu’est-ce qui est embarrassant ? Je ne vous plais pas ? »
« Je n’ai pas dit ça. Ce n’était pas prévu de cette façon, c’est tout. »
Elle m’a répondu :
« Je suis désolée. Je n’ai pas les moyens actuellement de payer des cours à ma fille. Mais je comprendrais que vous ne vouliez pas de moi. »
J’avais toujours ses nichons en vue, ainsi que son regard implorant.
J’ai détourné le mien, puis elle a ajouté :
« Vous préférez faire l’amour avec ma fille ? »
Je suis revenu à son regard en disant :
« Pardon ? »
Elle a dit :
« Si vous préférez coucher avec ma fille, il n’y a pas de problème. Il vous suffit de revenir dans sa chambre et de le lui dire. Elle a l’habitude. »
« Avec qui a-t-elle l’habitude ? »
« Avec le prof de maths, me répondit la femme. Il est à la retraite et il comprend mes difficultés passagères. Par contre, le prof d’histoire refuse de coucher avec elle, pour ne pas avoir d’histoire. Il couche avec moi chaque lundi soir. C’est à vous de voir. »
Je suis resté sans voix pendant quelques instants, puis j’ai regardé ailleurs et j’ai soupiré et répondu :
« Bon, écoutez… Pour cette fois, j’accepte de coucher avec votre fille, mais j’aimerais que cette situation ne se reproduise pas trop souvent. »
Elle m’a fait un sourire, puis elle a refermé son peignoir en disant :
« Merci d’être compréhensif. »
Sur ces mots, je suis revenu vers la chambre de Sarah. J’ai donné deux coups à la porte et suis entré. Elle était assise devant son écran d’ordinateur, connectée à Facebook.
J’ai refermé la porte derrière moi et je lui ai dit :
« Je suis désolé, Sarah, mais ta mère ne peut pas me payer les cours que je te donne. »
Elle a répondu :
« Oui, je sais. Vous voulez faire l’amour ? »
Aucun mot n’est sorti de ma bouche.
Je lui ai seulement fait « oui » avec mon menton.
Sur ce, elle a quitté sa chaise et a ôté sa petite robe grise. Dessous, elle ne portait rien, et je l’ai regardée se diriger vers son lit, le cul à l’air. Elle s’est assise au bord et m’a dit :
« Vous avez une capote ? »
J’ai fait non de la tête et elle a dit :
« Ce n’est pas grave, mais essayez d’y penser la prochaine fois. »
Je me suis approché d’elle et j’ai défait mon pantalon et mon caleçon. Elle a ouvert les cuisses et j’ai enfoncé directement ma queue dans sa jolie petite chatte lisse. Ensuite, je me suis permis de lui sucer un téton, tout en allant et venant dans sa moule humide.
Et, tout en se masturbant le clitoris, Sarah m’a dit :
« Ne tardez pas trop à éjaculer, je suis en dialogue avec mon mec sur Facebook. Il va encore se demander ce que je fabrique. »
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