suite et fin
…les minutes m’ont paru interminable tellement mon cul était forcé mécaniquement par la fuck machine, j’avais l’anus en feu d’autant que le gode ressortait entièrement de mes fesses pour me perforer à nouveau à répétition ; j’étais enculée inlassablement par un métronome…
De temps à autre on avait pitié de moi, on venait mettre du lubrifiant sur le gode sans oublier au passage de se faire remercier en m’enfonçant leurs queues dans la bouche. Une salope s’est mise à jouer avec la vitesse de l’engin, elle a même poussé le vice à bien m’écarter les fesses pour mieux voir la bite de latex entrer et sortir de mon fion. Pour finir elle est venue coller son cul gluant d’excitation à ma bouche pour se faire plaisir sur ma langue. Enfin au bout de minutes qui m’ont parues des heures on est venu me détacher pour m’amener dans la pièce voisine, on m’a faite asseoir sur un tabouret et on m’a dit que la pute (ma maîtresse) avait envie de pisser. J’ai compris qu’elle était supendue par des chaines et des sangles car j’ai entendu comme des bruits de poulies et je me suis retrouvée avec sa chatte à hauteur de ma bouche, Sonia visiblement écartelée dans son harnais allait pouvoir se soulager dans ma bouche. Tellement elle avait dû se retenir j’ai immédiatement reçu un jet puissant dans la gorge me provoquant des hauts le cœur.
« Allez avale tout sale chienne, on ne va pas perdre de temps à la détacher, elle nous a dit que t’avais l’habitude de lui servir de chiote t’as pas intérêt d’en mettre partout ».
Bien sûr, j’ai bu tout son champagne sans en perdre une goutte. On m’a félicité et dit que j’aurais droit à une récompense plus tard mais en attendant il fallait que je soulage quelques messieurs que la scène avait passablement excité. J’ai sucé une première queue qui n’a pas tardé à me donner son jus, puis à 4 pattes j’ai resucer une autre queue. Pendant que je suçais j’ai enfin pris une vraie queue dans mon cul, elle était longue et grosse, je sentais bien ses couilles qui venaient buter sur les miennes à chaque coup de queue. Je me sentais bien remplie, sans douleur car même de belle taille sa bite n’avait rien à voir avec le gabarit supérieur de la machine. Le mec m’enculait énergiquement et sans ménagement en me traitant de chienne et en me fessant le cul. Il a bien joui dans sa capote en gueulant que j’étais bonne et j’avoue avoir pris du plaisir à me faire prendre comme ça.
Puis on m’a amenée devant un canapé et on m’a collé la bouche sur une paire de couilles et une queue qui était en train de sodomiser une partenaire. C’est la femme qui imprimait le rythme, elle montait et descendait façon « grenouille » s’enculant elle-même sur la queue. Moi, un coup je léchais la queue et les couilles, un coup je bouffais une chatte bien humide. C’est elle qui a joui en premier m’envoyant dans la bouche sa fontaine en criant son plaisir. Son enculeur n’avait pas joui il a continué sa sodomie tout en m’ordonnant de ne pas arrêter de lui lécher la queue et les couilles, car il était sur le point d’exploser. Juste au moment où il allait venir, elle a déculé d’un coup et m’a attrapé la tête pour que j’embouche cette queue. J’ai reçu un véritable flot de sperme, j’avais l’impression qu’il ne s’arrêterait jamais de jouir mais j’ai tout recueilli sans broncher !
J’avais bien travaillé m’a-t-on dit, maintenant on va te récompenser. On m’a ramenée dans la première pièce où ma queue fut l’objet de toutes les attentions. J’ai senti plusieurs mains et plusieurs bouches s’occuper d’elle tout en prenant quelques doigts dans le cul, si bien qu’elle n’a pas tardé à être bien grosse. On m’a alors amenée à la place de la « fuck machine » et guider ma queue bien dure dans un anus qui n’était autre que celui de Sonia, à son tour bien attachée et immobilisée comme je l’avais été avant. Je n’avais jamais enculé ma maîtresse et j’avoue avoir pris un pied d’enfer à lui éclater son petit cul serré ! Elle n’avait pas l’habitude de se faire prendre de ce côté-là, son cul était étroit, mais elle qui m’avait si souvent enculée ou faite enculée c’était maintenant à son tour d’y passer et en plus par sa soumise. Elle ne voulait pas, pas par moi, mais on lui fit fermer sa bouche en y mettant une queue à sucer. Oui, j’en ai bien profité, je me suis lâchée, me surprenant même à la fesser, la traiter de chienne, de pute, de salope tout en l’enculant, moi qui n’aurais jamais osé en temps normal. Mais j’étais aux ordres, je savais de toute manière qu’elle se vengerait et reprendrait son contrôle sur moi après la séance, alors autant en profiter…
Après quelques minutes de ce traitement, on lui ordonna de me faire jouir avec sa bouche et de tout avaler. Elle refusait d’ouvrir la bouche et faisait non de la tête, pour éviter qu’on y mette ma bite ; alors ils ont repositionné la fuck machine derrière son cul et actionné le gros gode. Quand il a perforé son anus elle a poussé un tel cri de douleur que j’en arrivais à la plaindre surtout après y être passée et sachant qu’elle était bien plus étroite que moi. Malgré tout j’aurais donné beaucoup pour voir sa tête et ses yeux larmoyants à ce moment-là. Elle se faisait démonter le cul par la machine et à chaque mouvement, elle suppliait qu’on arrête son calvaire, qu’elle ferait tout ce qu’on lui demanderait.
On m’a alors ordonné de lui représenter ma queue qu’elle s’est empressée d’engouffrer goulûment dans sa bouche. Ils ont arrêté la machine et elle m’a octroyé une pipe de rêve. J’étais debout, devant elle et je baisais la bouche de ma maîtresse ! Mes jambes se sont mises à trembler, je sentais mon plaisir arriver. J’ai failli en tomber quand je lui ai balancé tout mon foutre dans la bouche tellement mon plaisir était intense. Elle a tout avalé sans rechigner et bien nettoyé ma queue…
Quelqu’un a sifflé la fin de la séance et pendant que Maîtresse se faisait débriefer, on m’a ramenée dans le coffre de la voiture et après quelques minutes d’attente on nous a reconduites. FIN
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