Chapitre IV : Enfin !
A peine leur petit jeu en extérieur terminé, Emmy et son nouveau « jouet » se dirigèrent vers l’appartement d’Emmy situé non loin pour se mettre au sec. L’homme qui ne savait pas exactement ce que la belle nymphomane entendait par « Je n’en n’ai pas fini avec toi », au point où les sensations qu’il venait de vivre, lui suggéraient que ce n’était que le début d’un voyage vers le plaisir de la chair. Emmy qui menait le chemin, n’avait pas repositionné son sous vêtement et avait fait exprès de coincer l’arrière de sa jupe comme pour appâter l’homme avec ses magnifiques fesses rebondies et luisantes grâce à la pluie.
Les deux amants venaient d’atteindre l’immeuble d’Emmy, et cette dernière n’attendait pas que l’ascenseur les emmène au bon étage pour se jeter sur lui et l’embrasser goulument, lui offrant alors son premier jeu de langue exquis. L’homme voulant essayer de se mettre à ce niveau de luxure, lui demanda de tirer la langue et de ne pas bouger, avant qu’il ne la lui aspire et la lui suce vaillament d’avant en arrière comme si c’était une glace à l’eau et jusqu’à ce que l’ascenseur indiqua son arrêt. Emmy n’avait jamais executé ou reçu ce traitement lingual, mais cela ne lui déplaisait pas, bien loin de là. Elle n’hésitera pas à s’en rappeler pour ses futurs jeux coquins. Mais pour l’heure, il fallait ouvrir cette fichue porte : Emmy avait du mal à trouver ses clés dans son sac trempé. Il faut dire aussi que le fait que l’homme lui caressait la chatte tentatrice ne l’aidait pas vraiment à se concentrer sur le contenu du sac. Emmy se retenait de crier de plaisir pour ne pas attirer l’attention des voisins, mais une fois entrée chez elle, et grâce à la très bonne isolation, elle compte bien exprimer son plaisir. Elle se contenta pour le moment de jeter ces quelques mots : « Retiens-toi le temps que je trouve cette fichue clé et l’insère dans la serrure, et bientôt, tu pourras enfin mettre ta clé dans la mie… Haha ! la voilà ! ».
Les deux excités entrèrent précipitamment, continuant à se rouler des pelles pendant quelques instants jusqu’à ce que l’homme brisa le silence : « Tu vas attrapper froid, tu ferais mieux d’aller te réchauffer sous une bonne douche froide. »
– « C’est pareil pour toi qui n’a pas de vêtements secs ici ! La douche est par là, va donc te réchauffer sous l’eau, je la prendrai ensuite, j’ai un truc à faire d’abord. Tu as un peignoir dans le placard du haut le temps que tes vêtements sèchent », lui répondit Emmy.
L’homme n’insista pas et se dirigea dans la salle de bain. Jamais il n’aurait pensé se retrouver dans la salle de bain d’une fille ce soir. Et encore moins, après s’être fait sucé par une telle beauté qui semblait ne jamais être rassasiée !
Il se déshabilla, le sexe encore un peu gluant à cause du sperme et de la bave, suite à ce que lui avait fait subir la belle. Puis il pénétra dans la douche et mis en route l’eau.
A peine quelques instants plus tard, Emmy, entièrement nue, se faufila discrètement dans la salle de bain, puis rentra à son tour dans la douche sans éveilller le moindre soupçon chez son nouveau jouet. Elle se colla à lui dans le dos et lui saisi le sexe d’une main et les testicules de l’autre. Sa poitrine excitante était compressée sur le dos de l’homme. Cela l’excitait de sentir de si beau seins fermes qu’il imaginait à peine arriver à saisir à pleines mains, tant la poitrine rebondie de la demoiselle était généreuse. Pas autant qu’il ne l’imaginait dans l’obscurité de la ruelle et avec ce soutien gorge trompeur, mais elle n’avait rien à envier à qui que ce soit avec sa poitrine digne des plus grands top models. Et ces tétons tous durs venant se lover contre lui ne faisaient qu’amplifier les mouvements de va et vient qu’Emmy faisait exécuter à son sexe. Le malaxage des bourses était un magnifique bonus. L’homme était de nouveau tout dur.
« Et bien, tu es en forme mon cochon ! » lanca-t-elle de manière taquine.
– C’est tellement bon ce que tu me fais ! », répondit l’homme.
Mais Emmy ne comptait pas en rester là, et le surpris d’une autre manière alors qu’elle stoppa toute excitation du sexe pour s’accroupir et lui enfoncer la langue dans son anus tout en se pénétrant la chatte avec deux de ses doigts.
« Mais.. Qu’est-ce que tu fais ? » lança-t-il surpris de ce qu’il subissait.
Tu m’as appris un jeu de langue dans l’ascenseur, je t’en apprend un. « Détends-toi, ça va te faire du bien, je te le promets. »
L’homme dubitatif se dit que finalement, il n’y connaissait rien, et qu’entre eux deux, c’était elle l’experte. Il se laissa faire et fut rapidement séduit par la langue chaleureuse de sa partenaire visiter son petit trou. Emmy avait l’air d’adorer ce qu’elle était en train de lui faire et de se faire : sa chatte recommencait à laisser couler quelques gouttes de son jus.
« Ta bite est toute dure, je suis toute mouillée et tu me sembles détendu. Ca te dirait de venir me sauter maintenant ? Ma chatte toute serrée ne demande que de recevoir ton engin. »
L’homme se retourna juste après avoir entendu ces paroles, puis prit son sexe en main, le masturbant un petit peu pour le maintenir dur. Ce coup-ci c’était lui qui ne disait plus un mot, pris par la concentration vers l’inconnu. Mais son visage ne faisait aucun doute quant à son accord à cette proposition plus qu’excitante. Quoi que Emmy pouvait y lire le doute en regardant l’homme contempler son sexe sans protection.
« Je suis allergique au latex. C’est pourquoi j’utilise des préservatifs féminins. Et puis une queue c’est meilleure nature, surtout quand le génie sort de la lampe après l’avoir frottée intensément. »
Ce n’était pas la principale crainte de l’homme, mais comme les maladies graves étaient évitées avec cette protection qu’elle avait en elle, il ne chercha pas plus loin.
Emmy se releva, puis une fois debout, leva sa jambe droite pour la poser péniblement l’épaule haut placée de l’inconnu, puis elle approcha son vagin vers la verge de son partenaire. Ce dernier, avec sa main, dirigeait son outil de plaisir pour conserver le bon cap vers le délice charnel. Les deux sexes à peine frôlés, il enfonca d’un grand coup son pénis dans la chatte de sa partenaire, qui bien que surprise, apprécia cette entrée en force, annonciatrice qu’elle allait peut-être enfin prendre cher et calmer ses pulsions au moins pendant quelques heures. L’homme restait sans bouger au fond de la chatte de sa partenaire, puis la regarda dans les meveilleux yeux verts, l’air fier et commenca délicatement à reculer son bassin pour mieux l’avancer encore délicatement.
Ces mouvements faisaient hurler de plaisir une Emmy enfin soulagée qui n’hésitait pas à insérer sa langue au fond de la gorge de son partenaire pour éviter de réveiller les voisins tellement elle avait envie de hurler de joie à s’en rompre la gorge. Cette sensation de libération était encore plus excitante pour elle et elle s’imaginait recommencer ce vide sans sexe pour regoûter à ce plaisir. Mais elle aimait trop se faire sauter pour arriver à tenir ce jeûne. Finalement cette expérience sera unique et elle décida de s’y plonger encore plus corps et âme et déguster chaque frottement de ce sexe épais contre ses parois vaginales, déjà en lubrification intense. Et comme pour céder à sa frustration, elle hurla : « Plus fort, plus vite ! Je ne suis pas ta cousine, bordel ! Défonce-moi la chatte, petit puceau ! ». Tout en continuant de se faire limer son trou d’amour désormais pleinement lubrifié de jute, elle baissa sa jambe et sauta au cou de l’homme, la bite toujours à l’intérieur d’elle.
« Tapes bien dans le fond maintenant ! Fais-moi jouir, je suis ta pute ! »
L’homme, les mains pleines, profitait de cette excitante position pour malaxer les fesses de sa compagne, tout en les levant et en les baissant sur son sexe à un rythe régulier, mais intense, au point que ses mains finirent par ne plus arriver à suivre l’entrechoquement de ces deux sexes. Emmy appréciait les frottements intenses dans sa chatte, mais n’était pas pour autant complètement satisfaite à cause de la position qui l’empêchait, tout comme lui, d’utiliser ses mains pour autre chose que de la maintenir suspendue à cette verge toute dure.
Emmy désenclencha la position, descendit de sa « monture » et suça quelques secondes la bite, plus par gourmandise que pour faire plaisir à son partenaire.
Emmy se releva et dit à son partenaire : « On est assez chaud maintenant, passons aux choses sérieuses dans un lieu plus confortable. »
L’homme ne dit toujours pas un mot et se contenta de suivre. En même temps, il n’avait pas trop le choix, puisqu’Emmy le dirigeait en lui tenant fermement le sexe, le branlant délicatement jusqu’à ce qu’ils arrivèrent à la chambre. Ils n’avaient même pas pris le temps de se secher qu’Emmy poussa son sauveur sur le lit, se moquant totalement que le mobilier devienne tout trempé : il l’aurait été de toutes façons quelques minutes après. Elle se remis à sucer lentement la verge déjà bien dure, puis cracha dessus avant d’y empaler littéralement sa bouche. Emmy avait l’habitude d’avaler des queues et ça se voyait. On n’aperçevait plus aucun bout de ce pénis, tellement il était enfoncé dans cette gorge gourmande, qui se préparait à refaire le coup de la langue. Elle tint cette position cinq secondes avant de se désengager pour ne laisser qu’une verge bien baveuse.
L’homme était aux anges, mais faisait signe qu’il pouvait encore tenir. Emmy n’hésita pas un instant et empala sa chatte toute trempée sur ce sexe bien lubrifié. Tout en étant assise sur ce baton tout dur, elle remua ses hanches comme pour tenter de faire de la place, tellement sa chatte était toute serrée par le manque de visites récemment. Une fois plus confortablement installée, elle commenca a glisser sa vulve, de haut en bas d’abord sensuellement, puis augmentant progressivement le rythme. L’homme tendit ses mains pour malaxer les jolis seins encore mouillés et luisants. Il faut dire que les filles luisantes à cause de l’eau ou d’huile de massage l’avaient toujours excité dans les pornos.
Cette initiative plaisait à Emmy qui intensifiait un peu plus le rythme des allers-retours, comme pour répondre à l’homme. Elle se plaqua contre lui pour l’embrasser, sans cesser les mouvements du bassin, laissant encore une fois cette poitrine se coller à celle de son partenaire, mais cette fois de face. L’homme ceintura Emmy, comme s’il ne souhaitait pas que cette position ne s’arrête. Puis il commenca à intensifier les coups de bite dans le trou d’amour. Ils devenaient plus forts et rapides à chaque fois. Et à chaque fois, Emmy criait encore plus fort de jouissance. Il fini par lâcher l’emprise d’une main pour venir taper maladroitement les fesses d’Emmy qui ne semblait vraiment pas indifférente à cette intention. Après quelques fessées, sans s’arrêter, l’homme tenta de glisser un doigt dans la chatte de son amante, comme pour tenter quelque chose de plus serré. Malheureusement pour lui, Emmy était bien sauvage et alors qu’elle remuait son derrière, le doigt pénétra de quelques milimètres, mais dans un autre trou…
« Il t’en aura fallu le temps pour venir t’occuper de lui ! » lui lanca t-elle avec taquinerie et un brin de leçon. « Plonge ton doigt encore plus profondément, j’aime qu’on me doigte le cul pendant que je me fais sauter ! », rajouta-t-elle.
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