L’histoire qui va suivre est réelle, les prénoms ont été modifiés par souci de confidentialité.
J’ai toujours préféré les hommes mûrs à ceux de mon âge, sans jamais me demander pourquoi. C’est à l’âge de 24 ans que j’ai rencontré celui qui m’a ouvert au plaisir du sexe entre hommes, il s’appelait Laurent et avait la cinquantaine. Après avoir quitté le domicile familial et diverses colocations, je disposais enfin d’un petit appartement dans lequel je vivais seul. Ainsi débarrassé de toutes contraintes, j’allais pouvoir vivre pleinement ma sexualité et assouvir ce désir lancinant de coucher avec un homme. Je décidai de débuter mes recherches sur les sites de petites annonces après avoir défini mes critères de sélection. Je cherchais un homme d’au moins 40 ans, actif et expérimenté, propre et sain, désireux de prendre un main un jeune passif en manque de bite. Après quelques jours de recherche à saliver sur les photos d’énormes queues en érection, je trouvai l’annonce de Laurent, très bien rédigée, qui me fit immédiatement beaucoup d’effet. La main plongée dans mon caleçon, je me caressais délicatement le sexe en la relisant : Homme sain, la cinquantaine, actif et bien membré (18×4), reçoit jeune homme passif de 18 à 30 ans pour rencontre torride en toute discrétion. Laurent n’avait pas publié de photo sur son annonce, ce qui renforçait ma curiosité et mon excitation. Je décidai de lui envoyer un mail de présentation dans lequel je lui exposais mes envies. J’avais très envie de rencontrer cet homme, de baisser son pantalon puis son caleçon afin de découvrir cette belle bite de 18 centimètres. Et pouvoir la mettre en bouche pour la pomper bien goulûment. Plongé dans mes rêveries cochonnes, je m’étais déshabillé intégralement et allongé sur mon lit afin de pouvoir me masturber en pensant à la queue de Laurent. Allais-je le rencontrer ? Allait-il vouloir me sodomiser ? Cette idée loin de m’effrayer ne fit que m’exciter davantage et je dirigeais ma main libre vers mes fesses afin d’y glisser un doigt, puis un deuxième. J’imaginais l’instant fatidique où je présenterai pour la première fois mon cul ouvert à cet homme et j’enfonçais davantage mes doigts dans mon anus trempé d’excitation. J’étais en transe, ma masturbation était devenue frénétique alors que je m’imaginais pris en levrette, le sexe de cet inconnu tambourinant activement ma croupe de femelle en rut. L’éjaculation fut soudaine et une giclée de mon sperme chaud se répandit sur mon ventre. J’espérais une réponse rapide de Laurent, j’espérais surtout que nos profils correspondraient afin que mon fantasme devienne réalité.
Deux jours plus tard, en ouvrant ma boîte mail, j’eus la bonne surprise de recevoir un courriel de Laurent. Mon profil semblait beaucoup lui plaire, et nous convînmes de nous écrire quelques temps afin d’apprendre à nous connaître un minimum. Cette volonté de ne pas brusquer les choses me plut beaucoup malgré mon empressement, et cela ne fit qu’accroître mon désir de faire de cette rencontre un moment inoubliable. Après une semaine de correspondance au cours de laquelle nous avions évoqué nos désirs réciproques et échangé des photos intimes, une date et un lieu de rencontre furent choisis. Pour des raisons de discrétion, ce serait dans un petit loft qu’il louait occasionnellement, situé à 45 minutes de chez moi. Le jour J, je me mis donc en route pour le loft dont l’adresse m’avait été envoyée la veille par SMS. Nous ne communiquions que le strict minimum par téléphone, chacun de nous souhaitant rester très discrets pour des raisons personnelles. Pendant le trajet en train, je ne pouvais penser à autre chose qu’à l’imposante queue de Laurent et à cette photo qu’il m’avait envoyée pour me faire saliver. Sur le cliché, son pénis avait l’air colossal et j’étais impatient de le prendre en main afin de voir si je pouvais le rendre plus énorme encore. C’était une journée caniculaire, j’étais vêtu d’un simple short et T-shirt que je n’aurais aucun mal à faire tomber le moment venu. Arrivé au pied de l’immeuble à l’heure convenue, mon cœur battait la chamade. Après des jours d’attente à fantasmer sur cette rencontre, j’allais enfin la vivre. Je montai au deuxième étage et constatai que la porte de son loft était entrouverte, comme convenu. En pénétrant chez lui, je lui fit un petit sourire coquin qu’il me rendit dans la foulée. Il était tel que sur les photos, un bel homme grisonnant dans la force de l’âge, et tel que je me l’étais imaginé en échangeant avec lui. Sans perdre un instant, il me prit par la taille et je lui rendit son étreinte en posant mes mains sur ses fesses. Ma main droite fit rapidement demi-tour pour venir se plaquer sur la braguette de son jean, déjà bien bosselée. Il retira mon T-shirt, je retirai mon short, ce qui lui permit de constater que je n’avais pas pris la peine de mettre un slip. Mon effronterie lui plut beaucoup, il savait qu’il avait en face de lui un jeune loup affamé venu pour lui et sa divine queue. Désormais nu comme un ver, à genoux devant lui, il était temps pour moi de me mettre à l’ouvrage. Je déboutonnai son jean, baissai sa braguette et son caleçon et me retrouvai face à son puissant pénis que je m’empressai d’enserrer de ma main droite. Il était si dur et ardent que j’avais l’impression de tenir un tisonnier tout juste sorti du feu. N’y tenant plus, j’engouffrai cette merveilleuse bite au fond de ma gorge tout en la branlant bien fort. Les râles de plaisirs de Laurent se mêlèrent aux bruits de succions de ma petite bouche gourmande et saliveuse engloutissant chaque centimètre de son incroyable queue. Je n’oubliais pas non plus sa belle paire de couilles que je gratifiais régulièrement de coups de langue humide.
Après quelques minutes de fellation, Laurent me releva, me retourna vigoureusement et me demanda de me pencher en avant pour venir prendre appui sur une petite table de salon. Je m’exécutai, impatient de ressentir son membre turgescent brûlant au plus profond de mon anus. Il appliqua une couche de lubrifiant sur mon orifice puis y inséra son index. Cette première pénétration m’arracha un cri de plaisir, il continua à me doigter ainsi pendant quelques secondes. Mon excitation atteint son paroxysme et n’y tenant plus, je le suppliai de me baiser, maintenant. Après avoir enfilé un préservatif, Laurent commença par faire claquer son pénis sur mes fesses dégoulinante de sueur avant de l’insérer délicatement dans mon cul. Je ressentis immédiatement son gland massif pénétrer mon petit anneau de vierge et regrettai un instant d’avoir jeté mon dévolu sur un homme si bien membré. Mais après quelques va-et-vient, la douleur fit de nouveau place à la jouissance et j’implorai Laurent de me baiser plus fort encore. Le quinqua me prit au mot et accéléra la cadence. Les avant-bras posés sur la table, je vibrai à chaque pénétration et j’entendais distinctement le claquement de ses couilles sur mes fesses. J’étais complètement soumis à cet homme qui me sodomisait en levrette et sans ménagement. Après quelques minutes de ce traitement, Laurent m’accompagna jusqu’au canapé où il me demanda de m’allonger sur le dos. Je lui obéissais, impatient de découvrir de quelle façon cet étalon allait vouloir m’enculer. Resté debout, il saisit vigoureusement mes deux jambes, les écarta puis les souleva légèrement pour découvrir ma rondelle totalement dilatée. Ses mains étreignant mes jambes, il se remit à me fourrer sauvagement. Je le contemplais tandis qu’il me sautait avec passion, son corps trempé de sueur, et je commençai à me branler. Au plaisir de la masturbation s’ajoutait celui de voir cet homme prendre son pied avec mon corps, nous gémissions ensemble tandis que sa queue me tambourinait, me défonçait le cul à un rythme effréné. Je sentais Laurent au bord de l’explosion et après quelques derniers va-et-vient, il se retira vivement, enleva son préservatif et une giclée de sperme chaud jaillit puissamment de son gland pour venir se répandre sur tout mon torse tandis qu’il poussait un orgasme de délivrance. Le contact chaud de son foutre sur ma peau et son orgasme provoquèrent le mien et j’éjaculais à mon tour sur mon ventre, nos liquides séminaux se confondant sur mon corps vaincu par cette intense session de sexe viril.
Nous nous quittâmes en nous promettant de nous revoir et ce fut effectivement le cas. Ces autres rencontres feront peut-être l’objet de récits, j’espère que celui-ci vous aura plu.
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