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Une folle comédie au lycée (3)

Une folle comédie au lycée (3)



La philosophie ! Qu’est ce que je peux trouver ça ennuyeux comme matière. En plus, le prof est très prétentieux. Il m’agace plus qu’autre chose. Rien d’étonnant à ce que je me sois installé au fond de la classe.
Plusieurs jours sont passés depuis la journée dans le parc. Au début, Maude s’est montré plus distantes avec moi. Elle n’a rien dit sur ce qu’il s’est passé mais j’ai remarqué qu’elle se laissait moins toucher. Je m’en suis voulu. J’avais surement été trop loin. C’est ma sœur tout de même et je l’ai obligé à me sucer. Elle m’en voulait probablement beaucoup. En tout cas, elle a quand même continué à jouer la mascarade au lycée, sauf qu’elle se montrait plus distante.
Je suis perdu dans mes pensées sans écouter ce prétentieux prof de philo quand soudain ma voisine de table, qui n’est qu’autre que Mélanie, me fait revenir au temps présent.
– Alors, ça a eu l’air de te plaire la dernière fois dans les bois ! me chuchote-t-elle avec un sourire espiègle.
Rien que d’y repenser mon sexe réagit. Même si j’ai eu quelques remords après, une chose est sûre, c’est que c’est surement l’une des meilleures choses qui me soient arrivées.
– Oui, c’était très intéressant.
– Dis-moi ou je me trompe, ta copine Maude, elle n’a pas vraiment l’habitude de ce genre de pratique !
Mélanie est semble-t-il observatrice.
– Pour être honnête, oui, c’était la première fois qu’elle me suçait. Tu as l’œil dis donc !
– Oui, je l’ai ! J’ai vu aussi que tu avais une très jolie bite. Elle a l’air très appétissant. A sa place je n’aurais pas attendu si longtemps pour la gober. D’ailleurs, j’aimerais bien y gouter.
– Pardon ? fais-je surpris !
– Ben oui, on pourrait aller aux toilettes pendant la pause, m’explique-t-elle pendant qu’elle pose sa main sur ma cuisse. Je te montrerais ce qu’une habituée de la pipe est capable de faire.
Je n’en crois pas mes oreilles et la regarde incrédule. Elle me sourit comme si de rien n’était et attend ma réaction avec un regard provoquant. Sa main migre en plein sur mon sexe et le frotte pour bien me faire comprendre son invitation. Je me sens soudain serré dans le caleçon. Merde, cette fille est un canon et n’a visiblement pas froid aux yeux. Je ne m’attendais pas du tout à ça de sa part. C’est vrai qu’elle est très désirable. Je vois très bien deux magnifiques bosses tendre sa chemise. Elle porte aussi une jupe ample qui lui est remonté à mi-cuisse.
– Et Marc ? lui demande-je.
– Il n’en sera rien si tu ne lui dis rien, tout comme Maude d’ailleurs. Ils n’ont pas besoin de savoir.
– Ce sont nos compagnons, proteste-je, c’est mal !
– Mal ? Je te propose juste de jouer un peu tout les deux. Il n’y a rien de mal à tout ça.
– Je ne sais pas…
– Allez, je sais très bien que tu en as envie, insiste-elle. Je le sens sous ma main, ta bite est toute grosse et ne demande que ça. Pour être honnête, moi aussi j’ai très envie de toi, et ce, depuis la rentrée. Mais si tu préfères, tu peux me baiser à la place, ou me la mettre dans le cul. Je ne dirais absolument pas non, bien au contraire !
– Je…je dois y réfléchir.
En temps normal, j’aurais accepté sans hésiter cette proposition mais avec l’histoire avec ma sœur, je ne sais pas trop ce que je dois faire. Il est vrai que je ne suis pas vraiment son petit-ami mais je suis sensé jouer se rôle. Un vrai petit-ami repousserait les avances d’une autre fille, aussi canon soit-elle ! J’ai comme l’impression de trahir ma sœur si je couchais avec Mélanie. Mais quand même, quand une brune aussi sexy vous propose de la baiser ou de la sodomiser, comment peut-on lui dire non ? Je ne pense pas que Maude apprécie que je me fasse cette fille. Que faire ?
– Comme tu veux, mais sache que si tu veux me caresser pendant le cours je ne porte pas de culotte sous ma jupe.
Ma parole mais c’est une vraie salope cette fille là ! C’est la goutte qui fait déborder le vase. Impossible de lui résister maintenant. Ma main se pose sur une de ses cuisses qu’elle écarte et se glisse sous la jupe pour atteindre son sexe qui est déjà bien humide. Je commence à caresser ses lèvres doucement ce qui provoque un léger gémissement. Je promène mes doigts le long de ses lèvres, agace son clitoris et finalement glisse un doigt dans son sexe bouillant. Je suis en train de doigter l’une des plus magnifiques filles de ma classe et ceci en plein cours. Étant donné notre position au fond de la salle, personne ne peut rien remarquer. Le prof est lui, trop occupé à regarder le décolleté d’une fille du premier rang qu’il vient d’interroger pour s’occuper de ce qu’il se passe au fond. Tant mieux !
Un second doigt rejoint le premier dans le sexe de ma voisine. Elle gémit de plus en plus. J’ai peur qu’elle se montre trop indiscrète.
– Hum, c’est délicieux, continue, m’encourage Mélanie.
Un troisième doigt rejoint le reste et s’active dans sa chatte. J’accélère le mouvement de va et vient. Mélanie a du mal à tenir en place, sa respiration est de plus en plus forte. J’ai l’impression qu’elle va bientôt jouir quand soudain, la sonnerie retentit et nous coupe. Merde, c’est la première fois qu’une heure de philo passe aussi vite. Nous rangeons nos affaires et sortons rapidement de la salle. Je n’ai qu’une seule idée en tête : aller s’enfermer aux toilettes. Je ne sais pas encore ce que je vais lui faire, mais je sais que ça va être jouissif.
Mais nous n’avons pas le temps de parcourir dix pas que nous tombons sur Maude. Elle est souriante ce qui n’est pas habituelle ces derniers jours. Sa vue me fait rapidement revenir à la réalité. Maude dépose un baiser sur mes lèvres et me dit qu’elle a fini son cours légèrement à l’avance. Voyant cela, Mélanie nous dit qu’elle va aller attendre Marc devant la salle de math où il avait cours et s’en va en nous laissant tout les deux.

***

Je ne sais pas ce qu’il s’est passé mais depuis la dernière fois, Maude est redevenu comme avant. Elle est beaucoup plus souriante, câline et même collante. Ce n’est pas plus mal et je ne vais pas m’en plaindre. J’avais peur qu’elle m’en veuille mais apparemment cette histoire est passée. Finalement, je crois que je suis content qu’elle m’ait rejoint avant que je n’atteigne les toilettes avec Mélanie. Ça aurait probablement était une bêtise de coucher avec elle, et puis, j’ai retrouvé ma Maude d’avant, et ça, ça vaut bien plus !
N’empêche que j’ai beaucoup repensé à ce cours de philo ; je dois l’avouer avec beaucoup d’excitation. J’ai pris la décision que je ne coucherais pas avec Mélanie. Du tout moins, tant que la mascarade entre Maude et moi durera. Je sens au fond de moi que c’est mieux ainsi. Cependant, cette histoire m’a donné quand même une idée que je compte bien exploiter. J’espère que cela marchera.
Aujourd’hui c’est le week-end et nous faisons une sortie en famille dans des bois pas très loin de notre village. Mon beau-père et notre mère avance devant nous sur un chemin plutôt bien entretenu. Maude et moi sommes à quelques mètres derrière eux et les suivons tout en discutant du lycée. Je ne peux m’empêcher de jeter mon regard dans son magnifique décolleté.
– Maman, demande-je. Ça dérange si on s’enfonce un peu plus dans les bois ?
– Oh faites comme vous voulez les enfants. Nous ont va continuer sur le chemin, c’est plus pratique. On se donne rendez-vous vers la zone de pique-nique de tout à l’heure.
– Ok, m’man. Ça marche !
Parfait ! Je prends la main de Maude et l’entraine plus profondément dans les bois. Nous quittons ainsi le chemin. Elle me regarde l’air interrogateur. Nous marchons pendant plusieurs minutes, traversons divers obstacles du style : arbre tombé au sol, végétation importante…
– Qu’est-ce que tu fais, me demande-t-elle. Pourquoi on n’est pas resté sur le chemin ?
– Au diable le chemin ! L’aventure et l’exploration sont bien plus fascinantes et excitantes que le chemin paisible déjà tout tracé à l’avance, tu ne trouve pas ?
– Euh, si tu le dis !
J’observe les alentours avidement. Je recherche quelque chose de particulier. Cent mètres plus loin, je l’ai trouvé.
– Et si on faisait une pause, lui dis-je.
Je l’entraine vers un rocher et je m’assois dessus. Elle se positionne devant moi.
– Ça ne te rappelle rien ? lui demande-je.
Elle me mentirait si elle me disait non. Tous les deux dans les bois, moi assis sur un rocher et elle debout devant moi c’est à peu près la scène dans laquelle on s’est retrouvé la dernière fois dans les bois à côté du parc. Je la vois rougir, preuve qu’elle a très bien compris à quoi je faisais référence.
– Maude, commence-je. Il y a une fille dans ma classe avec qui je n’avais pas beaucoup discuté. Mais la dernière fois elle est venue me voir et m’a avoué avoir des sentiments pour moi.
– Oh ! fait-elle surprise.
Elle ne devait pas s’attendre à ça. Je poursuis donc mon histoire :
– Elle est très jolie et en temps normal j’aurais accepté très volontier de sortir avec elle mais il y a toi ! Cette comédie qu’on joue tout les jours au lycée, je le fais parce que tu me l’as demandé. Je le fais pour te venir en aide petite sœur mais j’ai conscience maintenant que je rate beaucoup des occasions. Je pourrais avoir une vraie petite-ami en ce moment-même, une fille avec qui je pourrais faire tout ce que je désire mais je ne peux pas.
– Je suis désolé, fait-elle sincèrement.
– Pour être honnête ma chère sœur, je ne supporte plus beaucoup cette situation. Comprends-moi, j’ai des besoins et ce n’est pas en restant avec toi que je pourrais les assouvir. Je me dois donc de mettre fin à cette comédie à laquelle nous jouons.
– Oh non ! fait-elle. Les gars de ma classe vont recommencer à me harceler. Je t’en prie Nico, je ne supporte pas ses types et ils ne me laisseront pas tranquille quand ils apprendront que je suis célibataire.
C’est bon, elle a mordu à l’hameçon. Cette histoire est complètement inventée mais je me suis inspiré de ce qu’il s’est passé avec Mélanie. Mon bluff a fonctionné. Elle ne le sait pas mais jamais je n’aurais abandonné la relation ambiguë que j’ai avec elle depuis que nous jouons cette mascarade. J’attends quelques secondes en faisant semblant de réfléchir.
– Il y a peut-être une autre solution à ce problème, propose-je tout en lui prenant les mains.
– Une solution ? demande-t-elle avec une lueur d’espoir.
– Oui, tu pourrais peut-être te comporter un peu plus comme une vraie petite-amie. Je dois avouer que tu es très attirante. Tu me plais beaucoup. Je sais que tu t’en ais déjà aperçu, que tu as senti plusieurs fois ma bite bander sous tes fesses.
Elle est rouge de honte. Elle semble de plus en plus nerveuse et détourne ces yeux des miens.
– J’arriverais mieux à supporter cette situation si tu me satisfaisais…sexuellement !
– Tu es fou, ça va trop loin cette histoire. Nous ne pouvons pas faire ça.
– Tu sais sœurette, ça fait déjà un bon bout de temps que nous sommes allé trop loin. Allons, souviens-toi, nous nous sommes roulés des pelles, je t’ai peloté et tu m’as même sucé. Ça n’a pas l’air de t’avoir posé trop de problème jusque là. Tu as fait ce qu’il fallait afin que ton mensonge puisse se prolonger. Je te demande juste de poursuivre sur cette voie. C’est la suite logique. Si tu es incapable de le faire, alors mieux vaut arrêter cette mascarade sur le champ ! Tu devras alors te débrouiller seule avec ces types.
– Non, fait-elle les yeux baisser vers le sol. Je les hais ! Je ne supporterais pas qu’ils m’embêtent.
– Alors feras-tu tout ce que je te demande ?
– Je crois….oui…
– Très bien ma chère sœur. J’ai très envie que tu me suces maintenant la bite comme tu l’as fait la dernière fois.
Je la vois hésitante. Elle semble réfléchir. Je ne la force pas plus et attends qu’elle m’obéisse d’elle-même. Sérieusement, cette histoire avec les types de sa classe m’étonne. Elle est quand-même prête à accepter tout ce que je souhaite pour éviter d’avoir ces types sur le dos. Je me demande ce qu’ils ont bien pu lui dire pour qu’elle évite autant leurs avances. A moins qu’elle ait d’autres raisons de se soumettre à moi. La situation ne lui plairait-elle pas un peu, par hasard ? Peut-être qu’elle n’ose pas s’avouer que ça l’excite, alors elle se trouve des excuses pour s’offrir à moi.
– J’accepte de te faire jouir. Mais je ne veux pas que tu me pénètres. Je ne le ferrais qu’avec la bouche. Je suis vierge et je veux pouvoir être dépuceler par un garçon que j’aurais choisi.
Tiens, je ne m’attendais pas à ça. Elle tente de négocier.
– Très bien sœurette ! Mais tu me suces quand je te le demanderais, qu’importe le lieu et l’heure. Tu t’habilleras aussi comme je te l’ordonnerais. Et je veux pouvoir te toucher et te caresser n’importe où mais je ne te pénètrerais jamais avec ma bite. Acceptes-tu ces conditions ?
– Oui, lâche-t-elle après plusieurs longues secondes d’hésitation.
C’est le plus beau mot que j’ai entendu de toute ma vie. Je vais maintenant avoir ma sœur adoré à mes pieds et je pourrais jouir dans sa bouche tant que je le voudrais. Un peu déçu qu’elle n’ait pas accepté de coucher avec moi, mais des pipes à volontés de sa part, c’est toujours ça de gagner pour le moment. J’arriverais bien à la convaincre de me donner son pucelage plus tard.

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