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Stage de salopes (2)

Stage de salopes (2)



Une fois sur le chantier, Paul nous demande :
« Les filles, montez sur l’échafaudage, les gars vont vous passer les sceaux de crépit. Nos salopettes ne cache pas nos très généreux décolleté qu’ils ne se lassent pas de mater à chaque fois que nous nous penchons pour prendre les seaux qu’ils nous tendent.e Willem ne se lasse pas d’admirer à chaque fois que Christine se penche.
Quelque gars nous proposent de monter pour nous aider à monter des seaux d’argile sur l’échafaudage. Nous acceptons bien volontiers. D’en bas, les autres se rincent l’œil. Nos hommes sont aux anges de nous voir ainsi livrés. Rapidement, ils se mettent à nous balancer de la boue argileuse fraîche.
En rigolant, on en fait autant et c’est une bataille en régle qui commence où nous n’avons bien entendu pas le dessus. Nous sommes retournée de boue glaiseuse quand d’un ton sec Paul lance :
« Allez, les gamines ! Ca suffit comme ça ! Au boulot et plus vite que ça ! Si non Christophe m’ dit que j’avais le droit de vous punir ! »
Katia et Marina ose demander :
« Mais on est toutes dégueus ! On peu aller prendre une douche quand même ! »
« Arrêtez de vous comporter comme des gamines et d’agicher mes hommes en leur montrant vos culs et vos loches ! Au boulot ! Si non vous gouterez de ma ceinture ! » 
Sofia en meneuse lui rétorque :
« Bon ça va… Ne te fâche pas. T’en râte pas une non plus pour nous mater ! »
Ignorant ses propos, il dit :
« Je crois que vous avez un mur à enduire, non ? »
Dociles, de peur de recevoir une correction, nous nous mettons au travail en marmonnant entre nous.
« Quel connard ce Paul ! »
« Oui ! Il nous baise et on se fait mater… »
« Il nous fait bosser comme des esclaves !!! »
« T’as raison ! En plus il voudrait nous fouetter pour nous punir de quoi ? »
« En plus nos hommes ne nous défendent pas ! »
«  Que croyez-vous les filles ? Ils sont bien trop content de nous mettre dans une telle situation ! » Termine Sofia.
En fin de journée, retournée de boue séchée, sans rien demander à personne, nous filons aux douches.

Pendant nos ablutions, nous en profitons pour nous détendre et une partouze endiablée commence entre nous. Nos gémissements de femelles en chaleur, résonnent dans la pièce. Prises dans nos ébats féminins, nous n’entendons pas des spectateurs entrer. L’équipe de foot du village vient s’entraîner et nous sommes dans leurs vestiaires.
Tout à coup, on entend des rires et quelques secondes plus tard, des baraques nus, beaux et musclés comme des athlètes de l’antiquité, entrent dans le local des douches. Des commentaires salaces fusent. Ils nous traitent de petites salopes, de chiennes, de putes, de sacs à foutre….. Excitées comme nous sommes et voyant leurs désir dressés, les injures sont comme des aiguillons qui nous électrises. Le Capitaine de l’équipe me colle sa bite dans la bouche en l’enfonçant profond à m’en étouffer. Je m’empresse de le sucer en l’avalant au maximum. Il me baise la bouche. Je sens des mains sur mes seins, sur mon corps tout entier. On a chacune une grappe de joueurs sur nous. Des langues agiles fouille nos chattes trempée. J’ai une bite dans chaque main, une autre dans la bouche et on me bouffe la chatte. Je me laisse aller, totalement soumise à leurs plaisirs. Les bites s’enchaînent à une vitesse folle dans nos gorge. Je sens s’’activer en moi, un chibre vigoureux. Nous sommes baisées comme des chiennes et j’adore ça. Un défilé de bites s’organise autour de nous. Mais combien sont-ils. Des bites nous labourent nos vagins pendant que d’autres s’engouffre dans nos bouches.une autre fouille ma bouche. L’orgie est dantesque et dans une sorte d’éclair, je me dis…Nos hommes ne sont pas là…Dommage. On a à peine quelques quelques secondes de répit entre chaque pénétration. Nos bouches, nos chattes et bientôt nos cul sont constamment remplis Nous sommes baisées à la chaîne. Nous jouissons en cœur. Leurs éjaculations arrivent par vague et j’essaye d’avaler comme je peux. Ils sont déchaînés. Les joueurs de foot, nous baise par tout les trous. A un moment, on me soulève pour me faire empalée sur la bite d’un mec allongé par terre. Les joueurs ne ressortent de nos culs ou nos vagins que pour nous asperger de sperme ou se vider dans nos bouches. Pour ma part, je suis comblée et je pense que mes copines aussi quand j’entends leurs couinements. Avant d’enter dans les douches, on étaient recouverte de glaise et maintenant on est recouverte de sperme. J’en ai partout. Mon cul et ma chatte coule du trop plein et je crois que je vais faire une indigestion de semences masculines.

Vidés, les mecs partent pour s’entraîner. Je pense que leur séance d’entraînement va être lamentable avec tout ce qu’ils nous ont mis. L’excitation retombée, j’ai un goût infâme dans la bouche.
Nous reprenons encore une douche. C’est totalement vannées que nous rejoignons notre troupe pour le repas du soir. Ils ne comprennent pas que nous refusons leurs avances et allons nous coucher prématurément. Les mecs sont déçu et ne comprennent pas notre comportement, mais tant pis, on en a vraiment trop pris avec les footeux.

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