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Une journée de luxure

Une journée de luxure



Je m’appelle Juliette, j’ai 24 ans et je suis une chienne…

Je suis arivée du Cameroun il y’a 2 ans avec mon petit ami de l’epoque pour vivre le rève européen. Mais à peine arivées, ce salopard s’est tiré avec toutes nos economies. Sans logement, sans argent et sans connaitre personne en ville…les choses auraient pu virer au cauchemard.
Mais j’ai deux atouts incontournables…Tout d’abord, je suis une très jolie fille. J’ai un corps mince mais pulpeux comme il faut et un visage angélique. La perle noire comme disent mes amis…ensuite, et c’est le plus important a savoir…je suis une vraie chienne en chaleur lorsqu’il s’agit de sexe. Pour moi, c’est partout, n’importe quand et avec n’importe qui.
Voila pourquoi aujourd’hui je m’en suis sorti et pourquoi je suis loin d’être malheureuse.
Vous ne me croyez pas?…Et bien laisser moi vous raconter ma journée d’aujourd’hui par exemple.
7h50 : A peine mon petit déjeuner engloutie, j’ai pri mes affaires et j’ai frappé à la porte de mon voisin. Mr Charles est un quadra timide et solitaire. Depuis que je suis installé ici, il m’aide pour des tas de petits problèmes de tous les jours dans mon appartement..et depuis maintenant 6 mois, il me conduit au travail en se rendant au sien.
« Aah..bonjour Juliette…je suis prêt, juste le temps de finir mon café et on peux y aller »
Tandis qu’il nous sert une tasse, je m’agenouille devant lui et ouvre sa braguette afin de m’emparer de sa bite en érection. Et comme chaque matin, je me régale de sa grosse queue en écoutant les infos du matin à la radio. Je le suce et je lui caresse les couilles pendant 5 bonnes minutes (rarement plus) jusqu’à ce qu’il décharge son foutre dans ma bouche en grognant de plaisir. Ensuite, je bois mon café en sa compagnie et nous prenons la route

8h30 : Je travaille comme femme de ménage chez Michel Langlois, un de ces trentenaires à qui tout réussi en affaire. Patron de sa petite société d’import-export, plutôt avenant et très sûr de lui, il a le profil du gendre idéal. Il m’emploi depuis presqu’un an et me paye franchement bien (au black bien entendu). Lorsque je suis arrivée ce matin, il était fort stréssé.
« Bonjour Juliette, j’ai rendez-vous avec un gros client allemand ce matin, je serais donc absent toute la matinée, concentrez-vous sur la cuisine et puis faites tourner quelques machines de linge… »
Tout en me donnant ses consignes pour la journée…il me pencha en avant sur la table de salle à manger et relava ma jupe.
« Si il vous reste du temps avant 13h…vous ferez alors les vitres du salon… »
Il baissa ma culotte et enfonça sa queue dans ma chatte sans ménagement. Il m’agrippa les hanches et commença à me pilonner de grands coups de bite.
« Aaaah ouais..exactement ce dont j’avais besoin…une bonne chatte à défoncer »
Il me baisa ainsi assez longuement tout en me triturant les fesses et les seins. Puis en gémissant un dernier « Prend tout dans ta chatte saloooope », il gicla en moi. Ensuite, il se retira, frotta les dernières gouttes de sperme sur mes fesses et s’en alla comme si de rien état sur un simple « Bon travail »

13h : Je m’apprêtais a quitter le travail lorsque Michel rentra avec son client allemand, Mr Karl Schroeder. Leur réunion avait du se finir en apero, car il semblait tout deux très joyeux.
« Aaaah…Juliette, parfait vous êtes encore là…déshabillez vous…Mr Schroeder vient de signer un important contrat avec ma société…j’ai pensé qu’avant de prendre son avion, il pourrait avoir droit à un petit extra.
Il ne me vint même pas à l’idée de refuser ou de m’indigner. Je me contentais donc d’obeir et de me mettre toute nue. A la demande de Michel je me mis a quatre patte au beau milieu du salon.
« Allez y monsieur Schroeder, baisez moi ce petit cul…vous m’en direz des nouvelles »
Il ne s’en fit pas prier. Il vint s’agenouiller derrière moi et me prit en levrette avec ardeur. Tout en me bourrant la fente, il me gratifia de quelques bonnes fessées et semblait beaucoup aimer me tirer les cheveux pour que je me cambre. Après s’être un peu branler devant ce spectacle, Michel vint s’agenouiller devant mon visage et m’offrit sa queue à sucer.
« -Ach…Ja…ca être bonne salope Michel
-une vraie pute en effet…mais essayez donc son cul vous verrez…un regal »
Schroeder vint alors lubrifier mon anus avec sa langue et puis il me sodomisa sans douceur. Sa queue me dilata le cul et je m’appretais à protester lorque Michel vint engloutir sa bite jusqu’au couille dans ma bouche pour me faire taire. Ils me prient ainsi comme une chienne durant près d’une demi heure. Se relayant dans mon cul et ma bouche, m’insultant comme si je n’étais pas là et me crachant même parfois dessus sous le coup de l’excitation. Finalement, ils éjaculèrent ensemble sur mon visage, copain comme cochon. Ils se rhabillèrent ensuite sans un regard pour moi et Michel raccompagna son client jusqu’à son taxi.

16h : Après quelques courses je rentrais à mon immeuble prendre un peu de repos. Mais mon proprio, Mr Durieux, m’attendais dans le hall. J’avais totalement oublié que c’était le jour du loyer. Je l’accompagnais donc dans son vaste appartement du rez de chaussée ou sa femme regardait la TV en grignotant des chips. Mr et Mme Durieux ont la soixantaine, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils ne respirent pas le bonheur. Elle doit peser près de 100 kilos, avachit toute la journée dans son fauteuil à raler et manger. Et quant à lui, il est rondouillard, pas très propre et toujours de mauvaise humeur. Il me fit m’assoir sur le fauteuil a coté de sa bonne femme qui me grommela un petit « bonjour »…puis il vint s’agenouiller devant moi, tira ma jupe et ma culotte..et vint fourrer sa langue dans ma chatte. Avec des bruits de sucions peu ragoutant, il suca mes grands lèvres et joua avec mon clitoris. Voyant que je gémissait, il accompagna vite son jeu de langue d’un doigt dans mon anus.
Sa bonne femme nous regardait. Sans totalement se desinteresser de la TV, elle semblait aimer voir son mari me devorer la moule. Il me fit ensuite gouter son doigt qui avait longuement fouiller mon cul, puis il vint s’assoir, pantalon baissé, a coté de moi et m’aggrippa par les cheveux pour m’obliger à le sucer.
« Ouais, mange moi la bite salope…regarde Jeanine comme elle aime me sucer cette pute »
Jeanine eu un rire
« Mouais…si elle pouvait payer le loyer…elle se passerait sans problème de ta vielle bite de porc »
Tandis qu’il se chamaillait un peu, je continuais de gober la queue de Mr Durieux. Aucun d’eux ne savait que j’aurais parfaitement pu payer mon loyer, mais que cet arrangement que j’avais accepté lorsque j’étais sans le sou me convenait parfaitement.
Durieux m’ordonna ensuite de le chevaucher. Une fois bien empaler sur sa bite, je le gratifais de solides mouvements de bassin, le faisant raler de plaisir. Sa femme finit tout de même par m’aggripper un sein et à le malaxer tandis que je faisais jouir son mari en quelques secondes. Il déversa son foutre en moi puis me prit par les cheveux et me roula une pelle bien baveuse.
« Aaaa quel pied…bon, je vais prendre ma douche…tu peux te tirer »
Il quitta donc la pièce et sa femme me fit alors allonger sur le dos. Comme toujours, sans que son mari le sache, elle vint avec sa langue recolter le foutre coulant hors de ma chatte puis l’échangea avec moi dans un long baiser.
« Mmmmmh..t’es vraiment mignone toi tu sais…un de ces jour, tu me lecheras la chatte devant lui…allez tire toi maintenant. »

23h : Après cette journée haute en couleur, je décidais de me changer les idées en sortant boire un verre avec ma copine Mélanie et son mari. Mélanie est une chic fille, mais son mari est un macho vulgaire et aggressif. Je n’ai jamais bien compris ce qu’elle faisait avec ce mufle. Ils me rejoignirent donc à mon appart vers 22H…mais nous ne sommes pas sorti. Mélanie semblait un peu genée quand elle me dit que son mari avait découvert que je n’avais pas de papiers en règle…et qu’il ne dirait rien a personne si j’étais bien sage avec lui.
Et voila comment je me retrouvais a quatre patte, lechant la fente de ma meilleure amie tandis que son mari me sodomisait sans vergognes. Il était encore plus pervers que je le pensais. Il me forca à lecher le cul de Mélanie et le sien, me fessa jusqu’à faire rougir mon cul tout en me baisant, Il me gifla, me tira les cheveux et me crachat souvent au visage. Le pire, c’est qu’il se comportait de la même façon avec Melanie. Elle aussi fut contrainte d’enfoncer sa langue dans mon anus tandis qu’il lui labourait le cul en nous insultant
« Bande de grosse truie », « Leche la bien salope », « bouge ton cul de conasse », « Suce mes boules chienne »
Bref…un vrai poete. Quand son endurance eu atteint ses limites…il gicla son foutre entre les fesse s de Melanie…Puis m’ordonna de lecher le tout.
« Tu vois cherie…je t’avais dit que c’était qu’une pute ta copine…et on doit même pas la payer. Allez…a la prochaine…On viendra te faire reluire de temps à autre »
En quittant le pièce, je vis le regard désolé de Mélanie…Elle n’avait pourtant pas à s’inquieter…le silence de son mari ne serait jamais qu’une chose de plus que je paierais avec mon cul.

Voila, sur ce je vous laisse, je vais aller me coucher. Demain je me lève tôt…et je ne voudrais pas mettre Mr Charles en retard.

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