Je suis célibataire depuis plusieurs années. Il m’arrive d’avoir des aventures de temps en temps, mais plutôt sans lendemain. Élodie est une collègue de travail célibataire comme moi, avec qui j’ai sympathisé. Elle a une dizaine d’années de moins que moi, c’est une femme avec des formes très agréables qui lui vont à ravir et surtout des lèvres très pulpeuses qui donnent envie, pas du tout des lèvres refaites artificiellement et qui donnent l’illusion d’un cul de poule, non, que du naturel, comme sa poitrine que je devine à travers ses vêtements.
Après une période de vacances d’été bien calme, j’ai repris le travail et j’ai revu Élodie. Elle avait passé deux semaines dans le Sud de la France chez sa tante, elle était toute bronzée. Elle m’a raconté qu’elle avait profité d’une plage au bord d’un étang et qu’elle s’était surtout reposée. Comme nous sommes dans la région d’Orléans et que le temps de la fin du mois d’août était encore bien agréable, je lui ai proposé de faire une balade à vélo sur les bords de la Loire le week-end suivant. Elle m’a répondu qu’il n’y avait pas de problème et qu’un peu d’activité ne lui déplairait pas. Nous avons donc décidé de nous retrouver le dimanche matin à un point de rendez-vous et je lui ai proposé de m’occuper du repas du midi. Le dimanche venu, j’étais très impatient de la retrouver.
Elle portait un petit short en jean et un tee-shirt bien moulant qui mettait sa poitrine en valeur et laissait apparaître ses tétons. Après quelques kilomètres de vélo où nous avons échangé des banalités, j’ai proposé à Élodie de trouver un petit coin tranquille proche de l’eau pour le repas. Après plusieurs investigations, j’ai découvert un petit banc de sable relativement discret.
Le repas terminé, Élodie m’a demandé si cela me dérangeait qu’elle fasse une petite sieste avant de repartir à vélo. Je lui ai proposé de s’allonger sur le grand plaid que j’avais apporté. À ma grande surprise, elle a retiré son petit short, son tee-shirt et s’est allongée. J’ai pu constater qu’elle portait un string relativement minimaliste et un soutien-gorge qui mettait ses seins très en valeur. J’étais ravi du spectacle. Elle s’est positionnée sur le dos et a replié ses jambes. Je me suis retrouvé face à elle et j’ai terminé mon dessert : du raisin blanc italien de gros diamètre. Peu de temps après, Élodie a écarté ses jambes et j’ai pu voir son petit string qui couvrait très légèrement sa chatte. J’ai constaté que le fin morceau de tissu faisait apparaître une certaine humidité.
La pression dans mon short était au maximum, je bandais fortement. Après un moment d’hésitation, j’ai posé ma grappe de raisin et j’ai déplacé ma main sur la jambe d’Élodie. Aucun signe de refus de sa part, j’ai donc mis ma main plus haut en direction de son entrejambe. Mon doigt s’est glissé entre sa peau et le minuscule string que j’ai écarté. J’ai alors découvert sa chatte, un minou totalement épilé, les grandes lèvres étaient déjà bien gonflées et je n’avais aucun mal à les écarter car elle mouillait déjà abondamment.
Mon doigt a bougé doucement entre ses lèvres et je pouvais facilement l’introduire dans sa fente. À cet instant-là, Élodie a gémi légèrement et j’ai constaté qu’elle mordait ses lèvres pulpeuses. Après plusieurs minutes de ce doux massage, j’ai eu l’idée de goûter sa mouille abondante. Mais au lieu de lécher mon doigt, j’ai décidé de prendre un gros grain de raisin dans ma main et de l’introduire dans cette chatte qui me donnait envie. Le grain est rentré facilement et je l’ai déplacé d’avant en arrière, puis je l’ai sorti totalement imbibé, et je l’ai goûté avec délectation. Elle avait un goût délicieux et le mélange avec le raisin n’en était que meilleur. Élodie a retiré son string et son soutien-gorge.
Elle n’avait qu’une envie : que je la pénètre. J’ai pris un préservatif dans mon sac et je l’ai enfilé sur mon sexe bien dur et en feu. Je l’ai pénétrée doucement au début, puis elle a réclamé que je la défonce, et je l’ai pilonnée vigoureusement. Quand la pression est montée au maximum, je me suis retiré de sa foune trempée. J’ai retiré mon préservatif et j’ai arrosé de mon sirop chaud le corps d’Élodie. Elle était ravie de mon initiative et a pris un grain de raisin qu’elle a imbibé de mon sirop, avant de le manger goulûment. Après notre pause coquine, nous sommes rentrés tranquillement. Depuis, nous nous revoyons régulièrement pour des pauses (très) coquines.
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