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Moi, la femme de Karim

Moi, la femme de Karim



J’ai entamé, sous la direction éclairée de mon mari Karim, une double vie. La première étant celle d’une enseignante dans un lycée à Rabat, ayant une réputation de femme et de mère de famille sérieuse et respectée de tous. C’est ce que j’appelle ma vie officielle, une vie en apparence bien ordonnée et bien rangée. Aucune irrégularité qui puisse faire jaser quiconque.
Mais ma vie réelle, ma deuxième vie, correspond mieux à ma nature profonde. C’est une vie vouée au sexe et à l’érotisme débridés. C’est une vie secrète, remplie de ce que la société appelle le vice et l’immoralité. Immoralité par rapport à l’environnement social dans lequel est plongé notre pays depuis la nuit des temps, mais surtout depuis sa prise en charge par le phénomène du fondamentalisme islamiste et ses multitudes d’interdits.
Notre pays est devenu maintenant la proie de cette morale islamiste qui condamne absolument tout ce qui n’est pas « halal » : la femme non totalement couverte, la mixité, les comportements « impudiques », les couples non légitimes, l’amour hors mariage, l’égalité des sexes, le plaisir pris par les femmes…

Les personnes qui, comme moi, veulent vivre pleinement leur sexualité « anormale », n’ont plus aucune place dans ce pays. Du moins aucune place qui soit en évidence. Elles doivent pratiquer intensivement l’hypocrisie sociale : avoir un comportement apparent, conforme aux règles sociales en vigueur, pour ne pas s’attirer les foudres des gardiens barbus du temple et vivre, en cachette, une vie dissolue, répondant mieux à leur nature profonde.
Ma sexualité « anormale » consiste à croquer, comme une affamée, la pomme de la vie, guidée par mes seuls fantasmes érotiques et ceux de mon mari.
Pour moi, il s’agit d’assouvir mes besoins sexuels tyranniques (à la limite de la nymphomanie) et prendre le maximum possible de plaisir, sous les coups de boutoir d’amants bien montés, super résistants et infatigable dans la pratique de la « chose ».

Pour Karim, mon mari, qui m’avait mis le pied à l’étrier de l’érotisme débridé, il s’agit essentiellement de prendre des tonnes de plaisir à nous regarder, mes amants et moi, baiser et jouir comme des bêtes. Et aussi, parfois, à participer à nos ébats.
Depuis que mon mari Karim m’avait annoncé son candaulisme et m’avait poussée à prendre des amants, à lui raconter tout le plaisir que je prenais entre les bras d’autres hommes et à le faire participer à mes ébats, soit en tant que spectateur, soit en qualité d’acteur, j’ai vécu une vraie vie de rêve. Une vie complètement dédiée au sexe et à l’érotisme.
Nous avons eu, Karim et moi, au début de notre relation, de longs moments de parfait bonheur et d’extase. Nous nous sommes toujours énormément aimés. Pendant longtemps, le couple que nous formions s’était suffi à lui-même. A aucun moment, nous n’avions eu besoin d’un « complément » pour assouvir notre besoin de jouissance et d’orgasmes. Tout se passait parfaitement entre nous, y compris en matière de sexe où nous atteignons régulièrement le nirvana des amants.

Mais depuis que Karim m’avait fait part de son envie de me partager avec d’autres hommes, et que nous sommes passés à l’acte, nous sommes passés à un palier supérieur de l’érotisme et du plaisir. Depuis, nous vivons pleinement nos fantasmes et, notre amour l’un pour l’autre, n’a fait que grandir : nous nous aimons encore plus intensément.
Je ne compte plus les amants que j’ai eus jusque là : parfois plusieurs en même temps. Je ne compte pas non plus les innombrables moments où je m’étais retrouvée en train d’être tirée dans toutes les positions et en tous lieux par un ou plusieurs mecs montés comme des étalons, qui prenaient possession de tous mes trous et me faisaient vivre des instants d’extase intense.
Je n’ai jamais été aussi heureuse dans ma vie de femme, que depuis que je suis devenue la femme que je suis maintenant : une machine à faire fantasmer les mecs, à leur donner un maximum de plaisir sexuel et à en prendre moi-même, sans aucune retenue.
En langage vulgaire, on dirait que je suis devenue une vraie salope qui ne vit que pour et par le sexe. Qui vit uniquement pour prendre son pied et profiter de tout ce que la vie peut lui offrir comme plaisirs sexuels à travers ses amants.
Depuis mon premier amant, je n’ai plus tenu la comptabilité de mes aventures adultérines : les hommes qui m’ont partagée avec Karim étaient très nombreux. Les relations que nous avons entretenus avec eux avaient été souvent longues et super jouissives.
Très rarement, mon mari et moi sommes restés longtemps sans avoir dans notre lit au moins un autre partenaire. Parfois deux ou trois, si l’on compte le nombre de femmes qui ont elles aussi joué le jeu du partage et de l’échangisme.
Je m’étais même découvert une vraie tendance à la bisexualité avec des femmes belles et sensuelles, offertes à ma concupiscence et à mes perversions sexuelles. Des hommes et des femmes ont donc bénéficié de mes charmes. Ils (elles) m’ont donné autant de plaisir qu’ils (elles) ont en pris avec moi. Mais j’avoue que ce que j’ai toujours vraiment adoré, plus que tout le reste, ce sont les hommes montés comme des ânes et brutaux dans leur manière de me baiser. J’ai pu ainsi jouir de partout : par ma chatte et par mon cul qui ont reçu des zobs tellement immenses que je craignais pour leur intégrité et même par ma bouche et ma gorge qui ont reçu des quantités immenses de foutre épais, chaud, et visqueux.

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