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Une séparation brutale

Une séparation brutale



Je me rappelle m’être masturbé une fois dans une culotte en dentelles de ma mère. J’étais jeune, ça avait été une experience, mais qui m’avait marqué, car contrairement aux autres fois où je m’étais masturbé, il y avait un coté tabou et interdit qui m’avait fait bander beaucoup plus fort, et j’étais nettement plus excité.
C’était une periode où tout allait bien dans ma famille, mes parents étaient heureux, et j’étais insouciant.
Quatre ans plus tard, après de multiples disputes, dont une très violente, ma mère vint me chercher dans ma chambre, et me dit de venir avec elle. Il était tard, je dormais à moitié. Elle avait une valise. Je compris vite qu’elle voulait partir. Mon père lui dit simplement que si elle sortait de la maison, elle ne pourrait plus jamais y revenir. Elle lui cria dessus. Elle me prit par la main.
On se retrouva dans un hôtel Formule 1, en banlieue de la ville. Il n’y avait aucun réceptionniste, juste une borne automatique à l’entrée, qui rejeta sa carte bleue au moment de payer.
– Ton père ! il a déjà fait opposition sur ma carte ! regarde ce salop !
Sans dire un mot, je lui tendis ma carte bancaire, et elle règla avec. J’avais environ cinq mille euros sur mon compte, donc j’avais de quoi voir venir pour quelques temps. Mon père m’avait fait un virement pour mon dernier anniversaire, et j’avais également gagné un peu d’argent en travaillant dans un magasin dont mon père connaissait le patron.
Ma mère m’expliqua que le lendemain, on essaierait d’aller chez sa sœur, qui habite à 200km d’ici. Qu’on allait changer notre manière de vivre. Qu’elle n’en pouvait plus.
J’avais 19 ans, j’étais en deuxième année de fac, et j’avais ma copine. Mes amis aussi. Je passais mon permis de conduire. Je n’étais vraiment pas chaud pour partir comme ça.
– Tu ne peux pas regler tes problèmes autrement avec papa ? lui dis-je.
– Non, fit-elle. Je n’en peux plus !
– Mais j’ai ma vie ici… Tu ne peux pas tout m’enlever…
– J’ai besoin que tu restes avec moi.
Ma mère était en pleurs et elle m’enlassa.
– Mais j’ai ma copine, je peux pas partir comme ça… Je l’aime !
– Tu en trouveras une autre, je te le promets.
– Comment tu peux me promettre ça ? Je comprends que tu sois mal, mais ne me dis pas qu’on doive partir !
Ma mère alla dans la salle de bain, et voulut se changer rapidement. Elle ouvrit sa valise sur le lit, sortit quelques affaires ; elle s’énerva parce qu’elle était parti précipitemment, elle n’avait presque rien pris.
– J’ai oublié ma trousse de toilette ! hurla t-elle en faisant les cent pas.
– Calme toi maman, ce n’est pas grave, je t’achéterai quelques affaires demain matin.
– Oh mais ça ne me plait pas, pas du tout, d’être dépendante de toi. Bon sang, je n’ai pas de compte à mon nom, je n’ai que le compte joint… il va tout me bloquer…
– Tu me rembourseras plus tard maman, quand les choses se seront calmées. Mais s’il te plait, n’allons pas chez ta soeur. Je ne veux vraiment pas quitter ma vie ici.
Ma mère prit quelques affaires, et alla dans la salle de bain. Je fus un peu attéré par cette manière à elle de prendre l’échapatoire et ne pas répondre à ma demande. J’entrais à mon tour dans la salle de bain – la porte était fermée, mais il n’y avait pas de verrou.
Ma mère, qui était seins nus et en culotte, sursauta. Je l’avais déjà vu une ou deux fois seins nus, pendant qu’elle bronzait autour de la piscine, mais là d’aussi près, face à moi, jamais. Elle avait des seins généreux, sans doute du 95D, qui s’affaissaient très légèrement, mais les aréoles étaient bien droites.
– Attends, je me change, fit-elle, en se couvrant la poitrine avec une serviette.
– J’aimerai que tu répondes à ma question. Ca me fait du mal que l’on parte. C’est ce que tu veux vraiment ?
– Je n’ai pas le choix mon bébé. Et non, te faire du mal, c’est la dernière des choses que je souhaite.
– Pourtant, en partant de cette ville, tu me fais souffrir.
– C’est ton père que je veux faire souffrir. Tellement.
Je regardais ma mère pendant un moment. Sa chevelure brune, complètement détachée, tombait sur ses épaules et bas dans son dos.
– Il y a une chose qui ferait souffrir papa. Et qui me ferait plaisir.
– Dis moi, fit ma mère.
Je me rapprochais d’elle. Elle rangea ses vêtements dans un coin du lavabo, tout en gardant la serviette collée contre elle, puis me regarda dans les yeux. Sentant quelque chose taper sur son ventre, elle baissa ses yeux, et fut stupéfaite de me voir la queue à la main, gonflée, en train de me branler, tout en frottant un peu mon gland vers son nombril.
– Mon Dieu !! Tu arrêtes ça ! Tu es fou ??
D’un geste, je tirais sur la serviette que tenais ma mère, et parvint à la lui arracher des mains par surprise. Je me rapprochais d’elle, ma poitrine se colla contre ses seins. Je me branlais encore plus fort.
Ma mère était complètement en panique, n’arrivant pas à analyser clairement la situation. Elle recula un peu, mais se retrouva vite coincée par un mur. Je restais collé à elle.
– Arrête, marmonna t-elle.
– Oh maman, lui dis-je, en me penchant vers un de ses seins. Je pris un mamelon en bouche, il devint vite dur et gonflé, et je lui malaxais l’autre sein en même temps.
– Arrête ! hurla ma mère, en me poussant et réussissant à se dégager. Elle sortit de la salle de bain et se retrouva dans la chambre. Je restais calme, je savais qu’il était inutile de me précipiter, elle n’irait pas plus loin.
Je la rejoins dans la pièce. Elle était à coté du lit, son téléphone à la main.
– Tu veux faire quoi maman ?
– Je… J’appelle ma soeur… reste là. Je ne veux pas de ça.
– Maman, je me suis branlé en pensant à toi pendant des années. Et puis j’ai grandi, ça m’a passé. Mais ce soir, tout est tellement particulier, tout a été si brutal… J’ai besoin de ça. De cet amour. De ton amour. Que tu me donnes ça.
Ma mère tremblait et faisait passer ton téléphone d’une main à l’autre.
– Tu te rends compte de ce que tu dis ? Je suis ta mère. On ne peut pas.
– Pourquoi ?
– Parce que ! Je suis ta mère ! fit-elle en s’énervant.
– Peut etre, mais tu as bien une chatte non ?
Ma mère posa le téléphone sur la commode et prit un ton froid.
– Alors là on touche vraiment le fond. Comment tu peux me parler comme ça ?
– Si tu me la donnes, tu réaliseras mon fantasme, cette nuit horrible me paraitra douce au final, et tu auras fait quelque chose qui blessera mon père. Tu me prouveras surtout que tu m’aimes, au dela de tes interdits et de tes représentations.
Ma mère secoua la tête.
– Si tu refuses, je te prendrai de force. Tu envisages de détruire la vie que je suis en train de construire sur un coup de tête. J’estime que j’ai le droit de me venger sur toi.
Je fis un pas vers ma mère.
– Dans tous les cas, continuais-je, il te reste dix secondes pour te décider, mais quoi qu’il en soit, je vais te prendre.
Elle ne dit rien. Elle ne bougeait pas. Au terme des dix secondes, je me mis à marcher vers elle.
– Attends, fit-elle. Attends…
– Non, la décision est prise.
– Attends, je… je suis d’accord. Je peux juste aller dans la salle de bain trente secondes ? je reviens tout de suite.
– Tu veux faire quoi ?
– … je… je ne peux pas baisser ma culotte devant toi. C’est que ça me met trop mal à l’aise. Laisse moi l’enlever dans la salle de bain, et je reviens.
Je trouvais cela un peu bizarre, mais pourquoi pas. Je pouvais comprendre que le fait de baisser sa culotte devant moi, c’était un léger signe de soumission, surtout de la part d’une père devant son fils.
Je la laissais aller à la salle de bain. Elle ferma la porte. Et j’attendis.
Je trouvais dommage qu’elle agisse ainsi. Au bout de cinq minutes, je me levais. Je pris la poignée de la porte, et je sentis de la résistance, qu’elle la tenait de l’autre coté.
– Arrête ! fit ma mère.
Je forçais un peu davantage, et ma mère en fit autant de l’autre coté. Je tirais trois coups très fort, et au troisième coup, ma mère céda et la porte s’ouvrit à la volée. Je me ruais sur ma mère, tira sa fine culotte vers le bas, dévoilant son pubis brun fourni, mais taillé méticuleusement pour le maillot. Je la tirai fermement vers la pièce, et la poussa sur le lit. Elle trébucha, avec sa culotte à mi-cuisses, et s’affala sur le couvre lit. Je me précipitais entre ses cuisses et plaça mon visage sur sa chatte. Je fus envahi par son parfum intime, et pu voir sa fente bien distinctement. Je bandais furieusement, tandis que je commençais à lui lécher la chatte et à enfoncer ma langue en elle.
– Non !! Nonn !! fit elle. Je suis ta mère !
Je continuais de lécher ma mère, tout en laissant glisser deux doigts dans sa fente, qui entrèrent tous seuls. Je me mis à le doigter tout en léchant son clitoris. J’accélerais la vitesse de mes doigts.
– Mon Dieu ! mais tu me fais quoi ??!! Arrête !
Je relevais la tête, et regardais ma mère dans les yeux, tandis que sa chatte produisait de multiples bruits mouillés à chaque passage de mes doigts.
– Maman, ta chatte est délicieuse, meilleur que dans mes reves.
Je remontais sur elle doucement, prenant ses seins en bouche, puis montant encore, me retrouvant mon visage devant le sien, mon corps couché sur le sien, mon sexe collé contre le sien.
– Maman, demande moi de te baiser… J’ai pas envi de te violer, mais je vais le faire si tu ne dis rien.
– J’ai honte de toi.
Elle n’aurait pas du dire ça. Pas après les souffrances qu’elle voulait me faire traverser. Je me redressais sur le lit, elle me considéra sans bien comprendre, et je lui administra deux giffles violentes sur son sein droit. Ma paume claqua à deux reprises. Ma mère se recroquevilla et gémit de douleur. D’un coup sec, je la retournais, et lui ouvrit le cul. Son petit anus apparut, au dessus de sa fente mouillée. Je présentais mon gland contre son anus, et me mit à forcer. Ma mère se cambra et poussa un juron que j’avais du mal à comprendre, sa voix était un peu inodible, mon gland entra dans son cul, et je poussais fort, donnant des coups de reins répétés. J’enculais ma mère. Et vu sa réaction, et vu son étroitesse, je pense bien que je devais être le premier. Je regardais ma queue complètement entrée à l’interieur de son cul. Je me dis à donner des grands coups de bite, rentrant et sortant mon sexe presque integralement de son cul à chaque fois. J’étais serré dans son fourreau. Elle n’arrêtait pas de m’insulter. J’ignorais que ma mère connaissait autant de mots vulgaires.
– Maman, ça aurait pu être quelque chose de beau, mais tu n’as pas voulu me donner. Alors je te le prends.
Je sortis de son cul et plongea mon sexe dans sa chatte. Elle était tellement trempée que des gouttes de mouille coulèrent sur le couvre lit.
– Tu aimes bien ça quand meme, on dirait ?
Ma mère, haletante, prit son téléphone.
– Attends, deux secondes… J’aimerai prendre une photo, où tu me la mets dans les fesses. Je vais l’envoyer à ton père. Il a toujours insisté pour ça, mais je n’ai jamais voulu. Ca va le blesser. Mais je ne veux pas que l’on voit ta tete.
Je sortis de la chatte de ma mère. Ma queue, luisante de mouille, glissa presque sans mal dans son cul. Je sentis ma mère s’enfoncer sur moi également. Elle tendit son téléphone sur le mode photo, et en gros plan, le plaça devant mon cul largement défoncé.
– C’est mieux si on voit ta main aussi, avec ton alliance.
Ma mère mit en évidence son autre main dans la photo.
– Mets pas juste ta main comme ça, ouvre ta chatte avec… Fais lui bien comprendre que tu t’éclates.
Ma mère ne dit rien, mais je la vis ouvrir sa chatte à l’aide de sa main gauche, et, l’alliance bien visible, ma queue bien dans son cul, elle prit la photo.
Elle se précipita de faire ton texto, tandis que je l’enculais de plus belle. Elle cambrait les fesses sans rien dire, me laissant faire. Une fois son texto envoyé, elle se tourna vers moi, et me murmura :
– Et si on faisait ça plus doucement. Et si maman te demandait de lui faire doucement l’amour.
Je m’interrompis, calmant mes ardeurs, et sortit de ses fesses. Ma mère s’allongea sur le dos, et ouvrit doucement les jambes. Je m’allongeais sur elle. Mon sexe glissa dans sa chatte, et je m’allongeais contre elle.
– Doucement, voilà, ça fait du bien. Jouis pour maman si tu as envi. Je t’aime mon bébé.
Je ne sais pas, je n’en avais pas particulièrement envi, mais je me sentis éjaculer presque aussitot dans ma mère.
– C’est bien mon coeur, c’est tellement bien…
Le téléphone de ma mère n’arrêtait pas de vibrer. Elle ne regardait pas. Elle imaginait mon père furieux. Et elle me voyait heureux et détendu.
Je regardais ma mère. Je me posais une seule question : ‘est ce que demain, elle voudra que l’on recommence’.

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