« Mon patron me baise »
Depuis un mois je travaillai chez un architecte. Le bureau se trouvait chez lui, le travail était varié, et me plaisait beaucoup. Mon patron « Alexandre » était assez occupé, mais sa position de célibataire lui permettait de faire de longues journées.
Nous étions en fin d’après-midi, quand il m’appela pour me demander de sortir le dossier Marek
– Ne bougez pas je viens le consulter.
– A peine avais-je sorti le dossier qu’il arriva dans mon bureau.
– Il se mit derrière moi et commença à le lire par-dessus mon épaule.
Je trouvai cela un peu curieux, mais peu important. Sa main se posa sur mon épaule, puis lentement glissa dans l’échancrure de ma chemise. Malgré la surprise, je ne bougeai pas. En l’absence de réaction de ma part, sa main descendit plus bas et frotta mon mamelon. C’était une découverte, car malgré son célibat je n’avais jamais pensé qu’il put être homo. Quand à moi, cette situation me ramenait 10 ans en arrière. Âgé alors de 15 ans, j’avais passé plusieurs années en internat. Après l’extinction des feux, nous étions plusieurs à échanger des caresses avec un petit copain. Pour ma part, presque tous les soirs je me glissai dans le lit d’un camarade. Les caresses s’enchaînaient, nos bouches se soudaient, nous caressions chacun le sexe de l’autre. Puis quand l’excitation était à son maximum je me glissai plus bas. J’adorai sucer les bites jusqu’à ce que le plaisir des jeunes mâles se répande dans ma bouche. Avec ce genre de talent, je ne manquai pas d’amis. Malheureusement depuis cette période bénie, je n’avais jamais fait de rencontres. J’avais eu quelques filles, mais bien qu’ayant éprouvé du plaisir avec elles, j’étais toujours resté sur ma faim.
Les caresses de mon patron avaient d’un seul coup ravivé ces délicieux souvenirs. Amusé, je le laissai faire. Sous ses doigts habiles mon téton s’était durci. Les yeux clos je goûtai avec délice ce moment. Voyant que je ne réagissais toujours pas, il s’enhardissait, déposant des petits baisers sur ma nuque. Cette fois je tournai mon visage vers lui et tendis mes lèvres. Aussitôt il m’embrassa. Je fourrai ma langue dans sa bouche et jouai avec la sienne. Sa bouche avait un délicieux goût de fruit. En même temps sa main était descendue vers mon pantalon et me frottait l’entrejambes. Je bandai déjà. C’en était trop pour moi. M’arrachant à son tendre baiser je tirai le zip du jean et baissai son slip. Aussitôt son sexe en jaillit dressé comme un minaret. La queue se balançait juste devant mes yeux. Je n’eus que quelques centimètres à franchir pour la prendre dans ma bouche. Il se mit à soupirer. Lentement je me mis à aller et venir sur le sexe tendu. C’était trop bon. Il y avait tellement longtemps que j’en avais oublié le goût. Chaque fois que ma bouche se retirait je voyais le sexe humide couvert de ma salive. J’avais rapidement retrouvé mes talents de suceuse pour le plus grand plaisir d’Alexandre. Sa main se posa sur ma tête, puis il se mit à la faire aller et venir sur sa queue. Un délice. Je suçai encore un peu sa tige, puis je descendis vers ses couilles. Elles étaient complètement rasées et très douces sous ma langue. Comme elles n’étaient pas très grosses je les gobais toutes les deux, pendant que ma main branlait vigoureusement la tige. A ce petit jeu je me dis qu’Alex n’allait pas pouvoir résister longtemps. Excité comme je l’étais, j’avais une envie folle de me faire baiser. Cela allait être une première, car hormis mes enculages fréquents avec mon gode, jamais aucun sexe mâle n’avait investi mes reins. Il faut bien commencer un jour.
En un rien de temps, je me relevai et me débarrassai de mon pantalon et de mon slip. Puis je m’allongeai sur le bureau la croupe tendue dans l’attente du mâle.
Alex ne se fit pas prier. Il écarta mes fesses et m’attendant à l’arrivée de son sexe je me crispai un peu. A ma grande surprise sa langue s’était mise à me lécher. Hum !! je ne m’étais jamais fait sucer la rondelle. Pour Alex cela ne devait pas être la première fois. Il prit tout son temps pour déguster. Sa langue léchai le sillon de mes reins puis s’enfonçai dans mon petit trou. C’était divin. De temps en temps il remplaçait sa langue par ses doigts et dilatait ma grotte, si bien qu’en quelques minutes je fus prête à le recevoir.
Je sentis son gland se poser sur ma rondelle. Il força un peu et d’un seul coup une partie de son sexe fût en moi. Moi qui m’attendais à quelques douleurs, il n’en fut rien. Son manche s’activa dans mes reins, jusqu’à ce qu’à mon tour je me mette à donner des coups de reins en arrière pour venir à la rencontre de sa bite, m’empalant jusqu’au bout. Cela me changeait de mes godes.
Tout en m’enculant sa bouche mordillait mon cou, et me susurrait des mots doux.
-Tu aimes mon chéri ?
-Oh oui continue surtout ne t’arrêtes pas c’est trop bon.
-Tu n’as pas mal ?
-Oh non baise moi fort j’ai trop envie de toi. Mon petit cul adore ta queue.
Notre petit manège dura encore une bonne dizaine de minutes. J’étais vraiment au Paradis.
-Je vais bientôt jouir me dit Alex.
Aussitôt je le repoussai, puis m’agenouillant devant lui je gobai à nouveau son sexe recouvert de mes secrétions intimes. Je me mis à le pomper à toute allure en le branlant à pleine main.
D’un seul coup, il se mit à jouir et inonda ma bouche de son jus tiède. Je reçus encore plusieurs giclées que j’avalai doucement pour en profiter au maximum. Pressant sa queue j’extrayais les dernières gouttes. Après avoir bien nettoyé sa queue, je me relevai et lui roulai un somptueux patin plein de sperme. Loin de le surprendre, il répondit avec fougue à mon baiser.
Après cette superbe baise, nous étions en nage tous les deux. Alex me regardait les yeux ravis.
-Eh bien si j’avais su, j’aurais fait ça plus tôt.
-Jamais je n’aurais pensé que cela finirait de cette façon. Depuis un mois que tu es là, je n’ai pas cessé d’avoir envie de toi.
-Je ne pensai pas faire cet effet aux mâles, mais tu ne vas peut-être pas me croire mais il y a au moins dix ans que je n’ai pas eu de relation avec des garçons.
-Je n’en reviens pas.
-C’est pourtant vrai, et de plus c’est la première fois qu’un garçon m’encule.
-Tu veux dire que je t’ai dépucelé ?
-Oui mon chéri et superbement, mais rassure-toi je n’ai pas eu mal, il faut dire aussi que je gode souvent mon petit trou. Il était déjà près à se faire prendre par une jolie queue.
Tout en discutant j’avais continué à masturber doucement son sexe, malheureusement il avait encore du mal à bander de nouveau.
Après un petit bisou sur le gland je me rhabillai. Je sentais mon anus m’élancer un peu. C’était agréable car j’avais encore l’impression d’avoir son sexe en moi.
-J’espère que mon petit patron baisera encore sa petite secrétaire dis-je
-Je pense que bandante comme tu es je vais avoir du mal à te résister.
Comme il se faisait tard je dis au revoir à mon patron après un dernier baiser.
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