L’entretien d’embauche
Cela faisait un mois que j’étais sans travail. Mon dernier employeur avait dû me licencier suite à la faillite de son entreprise. Malgré tout je ne m’en faisais pas trop, car il m’avait quand même octroyé une prime très substantielle.
J’avais donc envoyé un certain nombre de CV afin de retrouver rapidement une activité.
Suite à cela, une entreprise m’avait convoqué pour un entretien.
J’avais été reçu par le DRH qui m’avait posé un certain nombre de questions. L’homme était non seulement très sympathique, mais de plus il était très séduisant. J’avais beaucoup de mal à me concentrer. En un mot j’étais sous le charme.
-Bien, vos compétences me conviennent parfaitement et je suis sûr que vous serez un parfait comptable.
-Vous allez me lire ce contrat et le signer. Bien entendu lisez-le complètement et n’hésitez pas à me poser des questions si quelque chose vous interpelle.
J’étais en train de lire, quand l’homme se leva et vint se placer derrière moi. C’était un peu surprenant, il s’approcha encore un peu plus. Il se pencha vers moi, m’envoyant un flot de parfum agréable, mais envoûtant. Alors que je ne m’y attendais pas il posa une main sur mon épaule.
-Ça va ? me dit-il les termes vous conviennent ?
– Oui , mais je n’ai pas encore tout lu.
-Continuez
Je continuai ma lecture, quand sa main se mit à descendre jusqu’à l’échancrure de ma chemise.
Troublé par son geste et envoûte par son odeur, je laissais faire. Sa main continua à descendre, puis deux de ses doigts emprisonnèrent mon téton. Il se mit à les rouler en les pinçant légèrement.
– Qu’est-ce que vous faites ?
– N’ai pas peur, je te trouve très mignon et je suis sûr que je te plais. Laisse-toi faire.
– Difficile de refuser, mon avenir se jouait et il faut bien le dire je n’étais pas insensible à ses caresses. Dès que l’on me travaille mes bouts de seins cela me met dans tous mes états.
– Oui c’est bien, je suis sûr que tu es une bonne petite fiotte qui aime se faire tripoter. Pas vrai, allez dis-le
– Oh oui
– Dis-le que tu es une petite fiotte.
– Oui je suis une petite fiotte.
– Bien. Nous allons passer à des choses plus sérieuses.
Il alla jusqu’à la porte et la ferma à double tour.
– Comme cela nous ne serons pas dérangés.
Il se rapprocha à nouveau. Son entrejambes était juste en face de mon visage.
– Allez mon petit chat caresse moi.
Subjugué, je fis ce qu’il m’ordonnait. Son sexe formait une grosse bosse. Sous ma main je sentais la queue du mâle déjà bien dure.
– Sors-moi la bite mon mignon
Je m’exécutai rapidement, d’autant plus que la situation commençait vraiment à m’exciter. Ce n’était pas la première fois qu’un mâle me faisait des avances. Bien qu’ayant eu plusieurs relations sexuelles avec des filles je n’en aimais pas moins les garçons.
Mon look androgyne attirait souvent les hommes.
Je venais d’extirper son sexe et bien qu’il fût encore mou, il n’en avait pas moins des dimensions généreuses. Je tirai sur le prépuce et dégageait le gland. Sa queue était superbe, le gland plutôt gros surmontant une belle hampe légèrement courbée vers le haut. Elle avait aussi une petite odeur aigrelette comme j’aime.
-C’est bien mon chou continue branle moi bien la bite, je suis sûr que ce n’est pas la première fois n’est-ce pas ?
-Non Monsieur.
-Eh bien tu ne vas pas être déçu, tu embauches dès demain et tu feras équipe avec ma secrétaire ainsi tu pourras te consacrer à ma bite quand j’en aurai envie. Tu vas être ma petite pute toute à moi, bien docile.
-Je me mis à lécher le gland, il était superbe et une petite goutte de liquide pré spermatique sourdait du méat. D’un coup de langue je la fis disparaître. Je léchai tout autour du gland, m’attardant sur le filet. Ma salive se déposait partout humidifiant abondamment le gland.
-Oh oui ! Continue, fais-moi une bonne turlute bien baveuse. Putain ce que t’es bonne !
-Encouragé, je me mis à gober le gland puis ouvrant toute grande ma bouche j’avalais lentement sa queue. Centimètre par centimètre la tige disparaissait dans ma bouche. Brutalement l’homme mis sa main derrière ma tête et s’enfonça à fond dans ma gorge.
-Tu la voulais en entier ma bite, connasse alors bouffe la !
Il me maintint un petit moment, puis relâcha la pression sur ma tête.
Je recrachai sa bite devenue énorme, elle dégoulinait de bave.
A nouveau je la pris en bouche. Cette fois le mâle attrapa mes cheveux et se mit à me pistonner. Cette façon de faire me convenait parfaitement. Ma bouche était tellement humide qu’elle produisait des bruits de succion qui emplissaient la pièce. J’étais quasiment sûr que la secrétaire dont le bureau jouxtait la pièce ou nous étions n’en perdait pas une miette.
Peu importe j’avais une folle envie de bite et ce mâle le savait. L’homme continua ses va et vient sans se préoccuper de moi. Pour lui, ce qui importait, c’était de fourrer sa verge dans un trou bien onctueux. Quand à moi il me suffisait de le laisser faire à sa guise, mes lèvres bien arrondies coulissaient sur la tige noueuse. Autant dire que je me régalai. Il pouvait me traiter comme la dernière des putes, peu importe j’aimai. Il m’appréciait tellement ma bouche, qu’il me lima au moins un bon quart d’heure.
-Il va être temps de passer aux choses sérieuses. Tu t’es déjà fait enculer ?
-Oui Monsieur.
-Bien, allez retire ton fute que je vois ton petit cul de pédale.
Relâchant sa bite je baissai mon pantalon. J’avais un peu honte, car suivant mon habitude je portai un petit string de femme.
-Eh mais c’est mignon tout ça, ce joli petit cul bien rond avec une culotte de pute. Tu vas voir mon mignon tu ne vas pas être déçu.
L’homme me courba sur le bureau et écarta mes cuisses. Pour l’exciter je cambrai mes reins pour faire ressortir mes fesses.
-Et ben ma salope quel cul, un vrai cul de gonzesse. Je sens que je vais bien te mettre. Il cracha sur mon trou du cul, puis étala la salive avec ses doigts. Ma pastille bien salivée, fût rapidement pénétrée par un, puis deux et enfin 3 doigts. Il me travailla le cul un bon moment, enfonçant ses doigts dans mon cul, puis il me les donner à sucer, avant de me les remettre, enfin satisfait du résultat il approcha son gland de mon anneau puis il fit aller venir son sexe dans ma raie. Il cracha à nouveau sur mon cul et frotta son sexe sur mon petit trou. Je n’en pouvais plus j’étais tellement excité, que je reculai brusquement et m’empalai sur une bonne partie de sa verge. Il m’avait si bien ouvert avec ses doigts que je ressentis à peine la douleur de l’enculage.
– Et ben ma salope t’aime vraiment ça, putain quelle est bonne ta chatte. Je vais te la mettre toute entière. T’es une vraie chienne, tu prends la bite comme une pro. Bonne à mettre au tapin.
Joignant le geste à la parole il s’enfonça brutalement au fond de mes reins. Cette fois il me fit crier.
-Ouais, gueule bien ma salope, je vais te faire couiner comme une truie. Agrippé au bureau je subissais les violents coups de queue du mâle. J’avais rarement été baisée aussi fort. J’étais comme une poupée de son, mon corps cognait sur le rebord du bureau, mon petit service trois pièce ballottait inutilement sous moi, un petit filet de sperme coulait de ma queue. Mes petits cris de douleur du début s’étaient transformés en gémissements de plaisir. Les cuisses de l’homme claquaient contre mes fesses. J’étais sa chose, sa femelle, son vide couilles, totalement offert à ses désirs.
Lors de mon arrivée j’étais loin de me douter de ce qui m’attendait. Je ne regrettai rien. Non seulement les mâles ont toujours profité de moi, mais de plus j’avais absolument besoin de ce travail. Même si je devais me transformer en pute soumise, j’en acceptai l’augure. Après tout il est plus agréable de sucer une bite et de se faire mettre bien profond que de taper des lignes sur un ordi.
Toujours fiché en moi, ses mains tenant fermement mes hanches il continuait à me besogner, comme on dit je prenais grave. Peu importe, quand on a le bonheur de tomber sur un mâle vigoureux et endurant il faut en profiter.
La séance de pilonnage dura un bon moment, je ne m’en lassai pas, ravi d’être aussi bien baisé. De temps en temps il se retirait complètement, il admirait mon trou du cul. Il devait être bien ouvert. Puis à nouveau m’enculait à fond. Mes muqueuses me chauffaient mais c’était trop bon. C’était un enculage en règle. L’homme se préoccupait uniquement de son plaisir. J’étais complètement soumis.
Tout en me baisant il ne se privait pas de me traiter de tous les noms possibles, sans parler des commentaires sur mon cul. Tous les qualificatifs y passaient. Garage à bites, sac à foutre, pompe à sperme, vide burnes etc. Ce n’est pas le genre de chose qui m’offusque. Après tout, c’est ce que je suis. Incapable de résister à la vue d’une bite. J’imagine tout de suite l’effet qu’elle me fera lorsque la sucerai et que je me la prendrais bien au fond de mon cul de petite lope.
-Hum !! ma belle ton cul est trop bon je vais finir pas décharger, mais pas question que mon jus se perde dans ton trou du cul. Tourne-toi et finis-moi avec la bouche.
Il décula, puis m’offrit sa verge dégoulinante. J’ouvris grand ma bouche et l’avalai. Elle avait le goût de mon cul, c’était encore plus excitant. Je lui pompai le nœud vigoureusement, tandis que je lui fourrai un doigt dans l’anus.
-Salope ! tu m’encules, ouais, continue, tu peux même en mettre un deuxième.
Je ne m’en privai pas, j’avais si bien mouillé mes doigts de ma salive qu’ils lui pénétraient le fondement à fond.
-Putain de mes burnes je vais jouir.
Son sperme se mit à jaillir. Une grosse giclée me remplit la bouche, suivie rapidement d’une deuxième presqu’aussi abondante. Les giclées de jus tiède se succédaient. J’avais du mal à déglutir tant ma bouche était remplie de son foutre. Ce mâle était un vrai bonheur.
-Eh ben ma salope je t’ai bien remplie, vas-y pompe moi bien les dernières gouttes je n’aime pas que l’on gâche la marchandise.
Consciencieusement j’essorai la bite. Par jeu, je crachai un peu de sperme dessus, avant de la lécher à nouveau. Tout le temps de ma fellation je n’avais pas cessé de lui fourrer le trou du cul. Mes doigts y glissaient comme dans un piston bien huilé. Vu l’aisance avec laquelle mes doigts l’enculaient, j’étais sur que ce macho prenait du rond lui aussi.
Lorsque j’eus nettoyé complètement sa queue je la rangeai dans son pantalon, puis me mis debout et sans prévenir l’homme, j’écrasai mes lèvres encore pleines de foutre sur sa bouche. Il ne se déroba pas et me fourra sa langue dans ma bouche.
-T’es vraiment une bonne petite lope, j’espère que cette petite séance t’a plu.
-Oh oui Monsieur.
-Dis-moi : tu es libre ce soir ?
-Oui Monsieur.
Aussitôt il appela sa secrétaire sur l’interphone.
-Carole ma belle tu es libre ce soir ?
-Oui Monsieur.
-Bien, je t’envoie le nouveau comptable que j’ai embauché, et je vous attends toutes les deux chez moi ce soir pour vous emmener au restaurant fêter son embauche.
-Ça te dit ?
-Oh oui Monsieur.
-Bien tu prépareras notre nouvel ami pour cette sortie, tu connais mes goûts.
-Bien Monsieur
-Tu prendras la carte bancaire de la broîte pour acheter le nécessaire.
-Il coupa l’interphone, puis s’adressant à moi il me demanda de rejoindre sa secrétaire.
-A ce soir mon mignon.
-A ce soir Monsieur.
A suivre…….
Une suite ?