Une tata bien salope
Je vais aujourd’hui vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y’a maintenant 2
ans. J’ai eu l’occasion de réaliser un de mes plus vieux fantasmes, puisqu’il me
« tenaillait » depuis la puberté, peut-être même depuis mes premières branlettes le
soir, sous les draps.
Le frère de mon père, Jean, est marié depuis maintenant une trentaine d’années à une
jolie femme prénommée Chantal. Durant mon enfance, et mon adolescence, je m’en
souviens comme quelqu’un de toujours gaie, drôle et avenante avec tout le monde. Comme
je le disais tout à l’heure c’est vers l’âge de 12-13 ans que j’ai commencé à
fantasmer sur elle. J’étais jusqu’alors plutôt indifférent à ses formes que je
qualifierais de parfaites. C’est lors d’un repas de famille, l’été de mes 13 ans, où
elle portait une robe légére légerement decolletée et de petites chaussures ouvertes à
talons hauts, qu’ont germées dans mon imagination d’innombrables images, disons
« interdites ».
Le 1er Mai 2011, j’ai maintenant la trentaine bien tassée. Marié depuis 6 ans à mon
premier amour, une épouse dévouée et aimante, mais infiniment triste au lit, surtout
depuis la naissance de notre deuxième enfant(jamais autre chose que le missionnaire,
jamais de fellation, jamais de cunilingus, …), je pratiques de plus en plus la
masturbation (en moyenne une fois par jour). Parfois, je pense à ma tante, Chantal,
qui a maintenant la soixantaine, mais qui n’a rien perdu de son incroyable sex-appeal.
J’imagines qu’elle me prodigue les caresses auxquelles je n’ai jamais droit, et
auxquelles je n’aurais sans doute jamais droit, puisque je ne compte pas un jour
tromper ma femme.
J’ai prévu ce jour-là, puisqu’il est férié, de repeindre le cabanon du jardin (ma
femme me bassine avec ça depuis des mois…). Ne retrouvant pas le seau dans lequel je
range mes pinceaux, je décide d’aller en emprunter à mon oncle Jean qui habite à une
dizaine de kilomètres de chez moi. Il est 13H00, et je prends donc ma voiture pour me
rendre chez lui. En arrivant, je ne vois dans la cour que la voiture de ma Tante, une
petite Polo rouge. Le gros break noir de mon oncle n’est pas là.
J’entre sans frapper, comme à mon habitude, et trouve une maison silencieuse.
– « Hé ho, c’est Jerôme, y’a quelqu’un ? »
Ma tante me réponds, depuis le salon :
– « Oui Jerôme, je suis là ! »
Je penètres dans le salon, et y trouve ma tante, allongée sur le canapé, vêtue d’une
robe presque identique à celle qu’elle portait dans mon souvenir si excitant. Aussitôt
un tas de pensées coquines m’assaille, et mon sexe deviens instantanément dur comme du
granit.
– « Ah, salut. Tu te reposes ? »
– « Oh oui, j’ai un peu mal au dos, ça me soulages un peu de m’allonger. »
– « Ok. Jean n’est pas là ? »
– « Non, il est parti à la pêche avec deux amis. Il ne revient que demain soir… »
– « Dac. Je suis venu lui emprunter quelques pinceaux. Sophie me tanne depuis des mois
pour que je repeigne le cabanon du jardin ».
– « Ah celle-là ! Sers-toi. Mais avant veux-tu m’apporter un verre de limonade. Il y’en
a dans le frigo. Prends ce que tu veux si tu as soif ».
Lui ayant apporté sa limonade, Je m’assois dans le fauteuil, à côté d’elle. Je suis
assez prêt pour sentir son parfum (le même depuis toutes ces années) et j’ai une belle
vue sur ses magnifiques jambes.
Nous discutons de tout et de rien pendant quelques minutes, puis on se met à parler
de mon oncle. Il est à la retraite depuis peu, et a toujours été trés occupé. Ces
dernières années, il multiplie les activités, comme la pêche, le sport, la chasse,
etc, et n’est plus tellement présent au foyer. Ma tante est en train de m’avouer, à
demi-mot, et sans aucune arrière pensée je pense, que son mari la délaisse depuis des
années. Je vois bien qu’elle a envie de vider son sac. Je l’écoute poliment, quand
j’ai soudain un déclic. Et si c’était l’occasion de réaliser ce fameux fantasme, qui
me tient depuis si longtemps ? Je pèse rapidement le pour et le contre : si ça marche,
tant mieux, si ça rate, ma tante sera compréhensive : elle me connait depuis ma
naissance, elle ne m’en voudra pas. Je décide donc, non sans trembler de passer à
l’acte.
Je m’approche de la tête du canapé et tends mes mains vers le décolleté de ma tante,
qui baille légerement. Celle-ci s’arrête brusquement de parler. Son regard, un peu
affolé, passe de ma main à mon visage.
– « Mais enfin qu’est ce que tu… »
Ma main droite est desormais posée sur le sein droit de ma tante et elle ne dit plus
rien. Celle-ci ne porte pas de soutien-gorge sous sa robe à bretelles. Je commence
délicatement à titiller son téton du bout des doigts. Je lève les yeux vers son
visage, et constate avec soulagement qu’elle a fermé les yeux et a apparement décidé
de se laisser aller. Elle commence à pousser de petits gemissements, trés faibles.
J’abaisse doucement les bretelles de sa robe, et découvre la poitrine de Chantal. Un
magnifique 95 D (j’ai pu le vérifier à maintes reprises par le passé, lorsque
adolescent je me branlais dans ses sous-vêtements). Ses deux tétons sont en érection,
au milieu de deux aréoles parfaitement rondes. Je commence alors à pétrir sa poitrine
doucement, tout en pinçant ses tétons entre mes doigts. Ceux-ci sont durs et dressés,
tout comme ma bite à l’interieur de mon caleçon. Elle continue de pousser ses petits
gémissements. Cela m’exicte encore plus. Je commence alors à sucer ces deux
magnifiques tétons interdits, dieu que c’est bon ! C’est autre chose que le petit 85 b
de ma femme, qui m’empĉhe la plupart du temps de lui peloter les seins.
Aprés avoir longuement malaxé, léché, sucé, ces deux formidables nichons, je me lève
et me déshabille. Mon sexe est tellement dur qu’il me fait presque mal. Ma Tante ne
bouge pas, elle a toujours les yeux fermés, la bouche légérement ouverte, et semble
dans un état second. Je prends sa main droite et l’amène vers mon penis en érection.
Elle le saisi trés délicatement et commence un lent mouvement de va-et-vient. Je
savoure cet instant : ma tante, Chantal, celle à qui j’ai si souvent pensée en me
branlant, est en train de me masturber ! Après l’avoir laissé faire quelques instants,
je saisi sa main et lui fait comprendre que je veux qu’elle arrête : je suis trop
excité et cela serait dommage de l’asperger avec mon foutre, alors que je n’ai pas
encore eu l’occasion de goûter au plat de resistance !
Je m’accroupis prés d’elle et je soulève sa robe. Je découvre alors, sans réélle
surprise, que cette vieille salope de presque 60 ans porte un petit string blanc trés
séxy. Celui-ci est trempé de mouille, comme l’interieur de ses cuisses. Les grandes
lèvres de sa chatte débordent de chaque côté, cette salope est vraiment excitée ! Je
pense avec délice à l’instant ou je vais y introduire ma queue dure et gonflée.
Doucement, je commence à lécher le string et goûte le jus de ma tante : il a un goût
exquis ! Ses gémissements se font légérement plus forts. Je décide alors de lui
retirer son string. Je m’arrête quand j’aperçois, sous la table basse, ses chaussures
: de petites sandalettes à talons hauts, presque les mêmes que dans mon souvenir,
encore une fois. Je les att**** et commence à lui enfiler. Elle ouvre alors les yeux
et me lance :
– « Décidement, tu es vraiment un petit coquin Jerôme ».
Je ne réponds pas et finis de lui attacher ses chaussures, puis fais glisser son
string. Chantal écarte ensuite largement ses cuisses, me laissant entrevoir sa
magnifique chatte, complétement rasée (!) et gorgée d’éxcitation. A cette vue, je suis
à deux doigts d’éjaculer : ma tante, poitrine exhibée, jambes écartées, chatte ouverte
et mouillée.
Je me rapproche de cette chatte si longtemps désirée et imaginée de si nombreuses
fois. Je ne pensais tout de même pas que cette vieille pute avait la chatte
complétement rasée ! Je commence alors à la lécher : au début, je lèche les grandes
lévres, puis fais des mouvements circulaires pour arriver aux petites lèvre, et enfin
à son clito : Chantal mouille énormément, et je dois reprendre mons souffle entre deux
gorgées de cyprine ! Ses gémissements se font de plus en plus perçants, et je sens son
corps se tendre à chaque coup de langue. Je finis par exercer un mouvement de
pénétration avec ma langue à l’interieur de son vagin, et peut ainsi apprécier sa
chaleur douce et humide. La jouissance de ma tante est à son paroxysme, sa respiration
est de plus en plus rapide. Enfin, elle pousse un long gémissement et me sert la tête
entre les cuisses. Un jet de cyprine chaude jaillit de son sexe. Elle savoure son
orgasme pendant que je me dégage.
De nouveau debout, sexe dressé, je regarde ma tante refaire surface. Elle regarde mon
sexe et me lance :
– « Maintenant tata va te faire du bien ! »
Elle se lève et commence à me rouler une pelle langoureuse. Son haleine est fraiche et
a goût de limonade. Elle me caresse le sexe et les bourses pendant que je branle son
clito. Nous goûtons nos langues respectives pendant quelques instants, puis ma tante
se met à genou et prends mon sexe en bouche.
Mon dieu, j’avais oublié cette sensation (la dernière pipe que ma femme m’a prodiguée
remonte à plus de 10 ans !) ! Je sens la bouche de Chantal descendre sur mon membre,
et sa langue titiller mon gland. La salope semble experte dans ce domaine, mon oncle
ne devait pas s’ennuyer étant plus jeune ! Tout en me malaxant les couilles, elle
commence à insister sur mon gland : ses lèvres ensérrent celui-ci et exercent une
succion ni trop forte, ni trop faible. Je suis à deux doigts de gicler dans sa bouche
!
Je m’assois sur le canapé et lui dis :
– « Suce moi encore salope »
Elle s’agenouille de nouveau entre mes genoux et recommence à me sucer le dard. Je lui
malaxe les nichons pendant qu’elle m’astique. Ceux-ci sont ronds et lourds dans mes
mains, et leur peau est d’une douceur exquise, que seules les femmes de cet âge
possèdent à mon avis.
Après quelques instants, je l’att**** par les épaules et la fait se relever.
C’est le moment de lui pilloner la chatte.
Elle s’allonge sur le canapé, dans sa position initiale, jambes largement ecartées. A
genoux sur le canapé, j’approche mon gland de sa chatte offerte. Je lui carresse
délicatement le clito avec mon gland : elle commence à gémir comme durant les
préliminaires. Aprés 2 ou 3 minutes de branlette, je la pénètre d’un seul coup. La
chatte de ma tante est trempée de désir et légérement détendue (sans doute dû à son
âge), la pénétration est trés facile. Je commence alors à la pilonner comme un
bourrin, et elle se met à crier. Elle jouit la vieille salope ! J’attrappe ses
chevilles et les amènes au niveau de ma tête. La vue des ses chaussures à talons me
procure un plaisir indescriptible ! Ma tante a les jambes en l’air, les yeux fermées,
la bouche entrouverte.
– « Dis moi que tu jouis vieille pute ! »
– « Oh oui ! »
– « DIS LE ! »
– « OUI JE JOUIS, JE JOUIS !!! »
– « Tu aimes ça te faire baiser comme une salope ! »
– « Oui j’aime ça, je sens bien ta bite, bourres moi la chatte ! »
– « Je vais te remplir avec mon foutre vielle salope ! »
Sentant l’orgasme monter, j’arrête aussitôt mon pilonnage. Je fais se retourner ma
tante. Celle-ci est à quatres pattes sur le canapé, chatte largement offerte, ses
lours seins pendant. Aprés lui avoir bouffé la chatte, je la pénètre à nouveau
vigoureusement. Elle gémit et a l’air d’adorer ça. Je recommence à la pilonner de
toutes mes forces. Cette vieille pute en redemande ! J’att**** ces lourds seins et
continue de la pilonner. Sa respiration se bloque et elle lâche un long cri de
jouissance. Je sens sa chatte se resserer sur ma queue et ne relâche pas mes efforts.
De la cyprine jaillit de son vagin et ma tante crie de toutes ses forces. N’y tenant
plus, c’est également le moment que je choisi pour lui remplir la chatte avec mon
foutre. Celui-ci gicle à l’interieur de Chantal, et je me crispe sur ses seins en la
pilonnant à chaque fois qu’un nouveau jet de sperme arrose son vagin.
Je relâche alors mon étreinte et ma tante se rallonge sur le canapé. Elle semble dans
un état d’extase avancé.
Je me rhabille rapidement et lui roule une pelle vigoureuse avant de quitter la pièce.
ELle me lance alors que je suis sur le point de sortir :
– « Bonjour à Sophie, et bon courage pour le cabanon ».
Je lui réponds avec un sourire.
En rentrant chez moi, j’embrasse ma femme, qui regarde la télé et lui lance.
– « Tu avais raison pour le cabanon, j’aurais dû m’y mettre depuis longtemps ».
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