Suite à de nombreuses demandes je continue la suite de mon éducation sexuelle.
J’essaierai de rassembler mes souvenirs et de les écrire chronologiquement.
Bien évidemment je n’écrirais que les faits marquant.
Les jours qui suivirent se déroulaient de la même manière, ma tante se levais très tôt vers 04h00, sauf le dimanche, pour préparer le petit déjeuner de mon oncle, une fois parti, elle me rejoignait dans mon lit, après lui avoir fait une petite place, elle me faisait une bise, posait sa tête sur une épaule, un bras en travers de mon torse et une de mes jambe entre les siennes, sa chatte posée sur ma cuisse, on dormait ainsi jusqu’au petit matin.
Caresses, baisers doux, la journée commençait souvent en douceur mais d’autres réveils étaient ponctués de caresses buccales, de baisers gloutons.
Après le petit dej, légère collation pour moi, en tête à tête, Annie partait dans la pièce servant de bureau pour y faire de la comptabilité, passer des commandes de matériels chez des fournisseurs, contacter des clients puis une fois ces taches effectuées elle s’éclipsait dans une autre pièce, son atelier, là s’y trouvait un mannequin en pied, machine à coudre, etc…..enfin tout le matériel pour confectionner des vêtements, la rencontre d’Annie et Jean se passa dans un atelier d’un grand couturier, Annie réalisait avec d’autres les dessins du créateurs.
Pendant ce temps, je partais courir, rentré, je faisais des étirements, des abdos, reétirements, je prenais une douche et plongeais dans la piscine pour quelques longueurs, puis je prenais un petit déjeuner.
Nous déjeunions puis allongés sur nos transats ou sur un grand matelas déposé sur la pelouse, ma leçon débutait.
D’abords de la théorie, les zones érogènes, les caresses de celles-ci, sachant que toutes les femmes ne se ressemblent pas, etc…..puis la pratique, les caresses manuelles et buccales……les mains pas de problèmes, je sus vite comment maitriser ma force, rendre mes caresses légères comme des plumes……mais à forces de rouler des pelles, de lécher sa poitrine, les tétons, sa chatte, son clito, son petit trou, ma langue me faisait un mal de chien, le filet sous la langue me faisait souffrir mais je n’osais rien dire et le cours théorique sur les coups de reins, le puissant, le lent, le chaloupé, etc……..et bien sur la mise en pratique. J’eus très peu de leçons théoriques, Annie satisfaite, nous passions directement à la pratique. Les après-midi étaient parfois calmes mais souvent……très hard.
Annie si douce, si tendre au vocabulaire châtié, se métamorphosait. Excitée par les caresses, je l’amenais au bords de la jouissance puis cessais tout, là elle me suppliait presque de la prendre, que j’avais mis le feu en elle, qu’elle était en chaleur telle une chienne. Alors positionnée à quatre pates, je la pénétrais, d’instinct elle creusait ses reins, mes mains posées de chaque côté de son bassin, alternant les coups de reins, passant du lent, au chaloupé, au puissant, je la besognais.
Parfois, je cessais tout mouvement et c’est elle qui imprimait la cadence en me disant « regarde, c’est moi qui viens sur ta bite, je suis qu’une salope, une pute, ta pute, j’en ait besoin , continue prends moi fort.
A sa demande il m’est arrivé de la tenir par les cheveux d’une main, de lui tirer la tête en arrière tandis que mon autre main lui claquait les fesses, lui caressait son clito ou agaçait son petit trou.
Il est arrivé que Jean nous trouve en pleins ébats, après une douche, semi allongé sur un transat il nous regardait….. cela me troubla la première fois, perdant de la fermeté, Annie, en levrette lui demanda de venir se faire sucer, il vint se placer à genoux devant sa belle qui prit son membre illico en bouche, ma queue repris vie…..donc parfois il participait d’autres il se contentait de regarder en se caressant.
Les soirées se passaient calmement, nous avions besoin de nous détendre mais un jour…… en début de soirée, Annie se retira, alors que Jean et moi mettions le couvert elle réapparu telle une déesse, bronzée, ne portant pour tout vêtement, qu’un petit triangle de tissu orangé posé sur chaque téton et un triangle de même couleur couvrant sa féminité le tout tenu par deux cordons en haut, un ceinturant le haut du torse, l’autre faisant le tour du cou et deux cordons en bas, un ceinturant la taille, l’autre s’insinuant entre les fesses et aux pieds des mules orange à talons hauts.
Les hommes nous étions bouches bées et ce n’est pas tout nous dit-elle, elle écarta le triangle du bas découvrant ainsi sa chatte entièrement lisse, elle déclara qu’elle en avait assez d’avoir son plaisir arrêté pour un poil sur nos langues ou dans nos gorges.
La questionnant sur son ensemble, elle nous répondit que c’était son nouveau maillot de bain ou de bronzage qu’il serait dans sa valise, pour les prochaines vacances ( en Aout) chez ses parents. La maison de mes grands-parents était la maison de famille où nous nous retrouvions mes parents, Annie, Jean et moi tous les ans pour un mois.
Bien sur nous eûmes le droit de gouter immédiatement à ce magnifique fruit.
Un matin Annie décida que nous irions dans une ville proche pour l’ouverture d’une grande surface, c’était la première de ce genre dans le coin.
Après le petit dej, toujours en tête à tête, la douche en commun, caresses, baisers, savonnage, rinçage, de l’excitation rien de plus, je me retirais dans ma chambre pour m’habiller quand Annie entra avec un short à la main, je l’aie terminé hier me dit-elle, pas besoin de mettre un slip il est déjà incorporé, elle précisa qu’il serait plus confortable en cas d’érection……cela se confirmera un peu plus tard.
Sortant de la chambre j’entrais dans la sienne et la trouvait nue dans son dressing, devant son étalage de robes de saison, je pris celle avec des fleurs rouges sur fond blanc, à boutons, bon choix dit-elle, elle la mis, la boutonna pas entièrement, laissant libre deux boutons en haut et deux en bas puis dans le garage où étaient toutes ses chaussures, elle choisit une paire de tongues, je lui pris et lui tendis une paire de mules blanches à talons hauts voir même très hauts…..elle avait une allure incroyablement sexy, la robe d’été légèrement transparente à contre jour, arrivait mi cuisse, la cambrure des mules accentuait le dos du pied et la hauteur des talons affinaient encore plus ses jambes…..J’avais envie d’elle.
Pendant le trajet mes mains couraient le long de ses jambes, mes doigts titillaient ses tétons à travers le fin tissu de sa robe ou parfois la mains passait sous le tissu pour caresser un sein.
Sur le parking elle réajusta sa robe, dans la grande surface les regards d’hommes mais aussi de femmes se tournaient vers elle à notre passage, j’étais fier d’être à ses côtés et qu’elle m’appelle chéri.
On précipita les courses, elle ressentit une envie pressante, les courses payées, vite posées dans la méhari direction la maison.
Ne pouvant tenir plus longtemps, elle arrêta le véhicule à l’entrée d’un petit bois en pleine campagne, sortit du véhicule, en fit le tour et quelques pas de moi, s’accroupit, déboutonna le bas de sa robe, avec une impudeur et un esthétisme incroyable, elle allongea sa jambe gauche, le pied à plat, genoux légèrement fléchit, écarta la droite, des deux mains elle écarta les lèvres de son sexe, un jet jaune très pâle jaillit, la tête en arrière, les yeux clos, elle dit » que c’est bon, c’est comme une jouissance », mon sexe tendu me faisait mal, elle ouvrit les yeux, fit passer deux doigts sous le jet d’urine, veux tu gouter, c’est comme un bouillon de légume, je me levais, intéressant dit-elle en voyant mon érection, accroupis près d’elle je suçais ses doigts.
Toujours accroupis je caressais ses fesses, son œillet, son pipi fini elle s’assit dans la méhari, descendit mon short et pris dans sa bouche mon membre gonflé de désir, après quelques va et viens , elle fit courir sa langue du gland jusqu’aux couilles puis me demanda de la prendre.
Elle se leva, pris appui sur le toit de la voiture, recula, écarta les jambes, je posais mon sexe à l’entrée de son antre et la pénétrais avec v******e, elle lâcha un oui sonore de satisfaction, j’aime comme ça, encore fort, très fort, tournant la tête vers moi elle ajouta, je suis ta putain , défonce moi encore plus, prends moi le cul…..ma queue à l’entrée de son petit trou je l’enfonçais doucement centimètre par centimètre comme elle me l’avait appris, entièrement à l’intérieur je laissais le conduit s’habituer au diamètre.
Mon membre coulissait sur toute sa longueur dans ce conduit qui se dilatait, alternant le doux au violent, les jouissances furent fulgurantes, plus intenses que si je lui avait pris la chatte, tout juste passées, elle en réclamait encore, encule moi encore plus fort, elle était comme entrée en transe, elle en réclamait que je l’encule plus et toujours plus fort, j’en pouvais plus de retarder ma jouissance, je lui en fit part, donne moi ton jus, je sorti de son cul, elle se mit à genoux, je me branlais au dessus de sa bouche grande ouverte, la langue sortie, elle reçu tout mon foutre dessus et dans sa bouche, elle avala tout sans en perdre une goutte et passa sa langue sur mon gland pour récupérer les dernières traces de mon nectar.
Elle me félicita pour tout le plaisir donné, nous remontâmes dans la méhari, je lui demandais de ne pas fermer sa robe
elle ouvrit les boutons du hauts restés fermés, elle pris la ceinture de sécurité , la plaça correctement entre ses seins.
Un rapide coup d’œil à ma montre m’indiqua que la pose pipi avait duré deux heures. A l’entrée du village, tenue correcte exigée.
Les jours passèrent bercés par le rythme des caresses, des baisers et de nos sexes mêlés. Le mois de Juillet terminer nous prîmes Annie, Jean et moi la route de la maison de famille, mes parents devant nous y rejoindre.
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