Histoires de tromper Histoires érotiques au travail

Véronique, Collection Histoires Vécues –

Véronique, Collection Histoires Vécues –



II. Véronique, collection Histoires Vécues

Véronique aime les femmes. Lors de son adolescence, elle s’est aperçue que ses penchants allaient vers cette complicité que seules ses amantes étaient capables de lui donner.
Tendresse, amour sincère, avec des moments merveilleux où son corps s’embrasait, elle vivait par ces instants, un plaisir inouï.

A l’approche de la quarantaine, le regard de certains lui reprochait ce penchant…
Femme affirmée, voire autoritaire, cadre dans une importante entreprise de services, elle se fichait de ces regards parfois méprisants, parfois envieux, mais d’autres fois souriants…

Elle vivait pour elle, et partageait ses loisirs entre son travail, son quatre pièces, doté d’une vue magnifique sur le port et les îles, et ses amies.
Elle aimait la mode, parcourait internet à la recherche de vêtements originaux et mode au possible. Elle portait des ensembles dans son travail, strict, bon chic, parfois s’accordant un décolleté, elle aimait ses seins, et aimait qu’on les voie…

Ses tenues de marque soulignaient son statut de cadre. Elle se sentait au-dessus des filles qu’elle croisait dans les étages inférieurs, encore plus celles sous ses ordres…
Mais elle se laissait bercer par le regard intrigué de certaines, qui auraient bien voulu savoir qui se cachait derrière le tailleur jaune, jupe fendue, regard hautain…
Elle riait sous cape, parfois sentait un titillement de ses tétons qui la mettaient en émoi pour la matinée… La fille repartait encore plus intriguée d’avoir attiré le regard de son chef…

Si Véro avait réussi professionnellement, elle assumait ses échecs sentimentaux, elle n’avait jamais dépassé un an en couple.
Ses amies, dont certaines avaient partagé sa vie, formaient un cercle autour d’elle, elle se sentait épaulée, mais aucune n’avait désiré devenir sa femme…

Elle était souvent invitée, par l’une ou l’autre, et elle les invitait à son tour, heureuse de se retrouver entre femmes, qui se laissaient parfois aller à des soirées coquines…

Elle aimait bien se retrouver à 4, florilège de personnes de son âge, sauf exception, ayant l’expérience, une bonne moralité, un niveau de vie comparable au sien, et des besoins physiques compatibles…
Parfois, une nouvelle venait pimenter la soirée, amenée et présentée par sa marraine, Véronique adorait la découverte d’un nouveau corps au goût sensuel, parfumé, envoûtant, et des lèvres suaves, qu’elle embrassait avec passion.

Ses amies connaissaient sa soif de découverte et d’évasion, au travers de jeunes femmes venant découvrir ces soirées torrides, en toute sécurité dans un appartement bourgeois et des personnes douces et aimantes…

Le cercle s’étendait ainsi, uniquement grâce aux marraines, qui au hasard de leurs rencontres leurs proposaient de découvrir le salon feutré de Véronique, tenter une expérience entre femmes, pour le sexe et la libido…

Véronique y puisait sa force, sa féminité, se faufilant comme une chatte, entre les corps alanguis, attirée par les vocalises, les soupirs, aimant les ébats subtils, les contacts enivrants, les caresses immorales de ses invitées, s’imprégnant de leur féminité, parfois soumises, souvent actives et passionnées, provoquant ses orgasmes et vivant les leurs en toute complicité….

La chambre dédiée à ses jeux, meublée par deux immenses futons, de coussins moelleux, de tapis épais, de peaux et de plaids, de tables basses, d’un écran géant, de musique, était une invitation permanente aux voyages et aux rêves, elle y fumait parfois, un moyen de s’évader les soirs de spleen….
Elle aimait s’y allonger seule, pour regarder les vidéos enregistrées, où elle retrouvait l’intimité de ses soirées, ses amies, et s’endormait en se masturbant, revivant les meilleurs passages, découvrant souvent un détail nouveau, une attitude, qui la faisait savourer…

Elle rêvait alors de certaines images, mêlées de réel et de virtuel, s’imprégnant de telle ou telle de ses amantes d’un soir, s’échappant de cet appartement, pour une aventure extraordinaire, animées par une sexualité exacerbée, désirant tout expérimenter, jusqu’à inviter des hommes, pour se satisfaire et réfréner leur soif de sexe…

Véronique devenait nymphomane, cougar, et depuis quelques temps, se jetait dans des bras musclés, de plus en plus jeunes, pour retrouver ces sensations magiques éprouvées dans ses rêves…

Elle le faisait seule, la nuit, en voiture ou à pied, draguant dans des lieux de rencontres, cherchant l’aventure, en toute insécurité…
Rêve ou réalité, au matin, épuisée, elle se sentait libérée, se demandant ce qu’elle faisait ainsi, nue, face à ce gigantesque écran… Seule…

Véronique rencontra Joelle…
Une jeune épouse délaissée et cocufiée ouvertement, présentée par Marianne, une marraine de son cercle…
Joelle était atrocement belle… Une peau blanche, des seins hauts perchés, délicats, fermes et tendres à la fois. Hanches au galbe idéal, un ventre plat, des cuisses musclées, un pubis tatoué d’un papillon, vraie brune, et sa chevelure de jais, encadrait un visage aux yeux noirs, madone ou déesse…

Son sourire toujours présent, attirait le regard, Véronique craqua dans la première heure et vint se glisser contre elle…

Elles étaient nues sur ce large futon…
Joelle ne parla pas quand elle sentit la présence douce de Véro…
Elle tourna la tête pour détailler cette belle femme…
Allongées toutes les deux sur le dos, Joelle se contentait de la fixer droit dans les yeux…
Véronique se plia au jeu, restant fixée sur ce visage d’ange…

Les deux autres participantes à cette soirée, Marianne et Sylvette, parlaient à voix basse sur l’autre futon…
Délicieuse vision que ces deux blondes, dont les mains virevoltaient, parfois ensemble, découvrant le corps épanoui de leur partenaire.
Le silence était revenu, pour laisser place à une complicité naissante…

Soupirs et mouvements, étreintes, contacts appuyés, les mains glissaient, les seins se dressaient, les cuisses s’ouvraient…

Les yeux de Joelle cillèrent d’un coup, un râle venait de s’élever, Marianne était écartelée, et une main délicate découvrait ses trésors…

Véro, posa sa main sur le ventre plat devant elle…
Les yeux s’éclairèrent… Une main rejoint la sienne…

Elle remonta sous la poitrine, la main l’accompagna, se referma sur la sienne quand elle emprisonna un sein d’une douceur extrême…
Elle massa lentement, puis passa à l’autre, effleurant les tétons qui se dressaient…

Véro sentit l’autre main sur son ventre…
Elles échangèrent leurs premières caresses mutuelles, innocent jeu de mains, aux effets insidieux, déclenchant leur désir, par leur poitrine offerte…

Les têtes se rapprochaient, les lèvres se rencontrèrent et le premier baiser scella leur attirance…
Les reins se soulevèrent, ondulant de désir, tandis que la bouche de l’une se fermait sur un téton dressé…
Joelle se laissa faire, se contorsionna, ses mains accompagnèrent la tête de Véro entre ses cuisses… Elle s’écartela…
La vulve était boursoufflée, implorante, secrète…
Véro emprisonna les 2 mains et sa langue s’activa…

Les râles emplirent la pièce, la langue débusquait les trésors, écartant les grandes lèvres, le clitoris doubla en quelques secondes et se dressa, la source apparut, limpide, offerte, luisante de désir… La langue s’y nicha…
Les râles explosèrent… Lèvres et vallée, que de trésors !

Joelle aimait l’amour, elle ondula, écartant les cuisses, genoux pliés, s’offrant à sa complice pour une tendre envolée lesbienne…

Véro était aux anges, cette femme était une liane, et se contorsionnait pour sentir ses caresses, sa langue démoniaque et sa chatte grande ouverte, mettait le feu en elle, elle le lui dit…

Joelle partagea un 69 de rêve, elles perdirent toute notion, n’entendaient plus les gémissements du couple en plein extase, qui frottaient leurs sexe en un combat létal…

Véro se dépassa, s’écartelant sous la langue démente…
Joelle était aux cieux, elles s’aidèrent de leurs doigts, écartant les chairs rosées de plaisir, enfilant un doigt dans le vagin trempé, allant jusqu’à la sodomie, légère, mais jouissive, elles partagèrent des minutes de pur bonheur… Passant dessus-dessous, chacune à son tour, pour partager…

Véro sentit le doigt, quel toupet de le faire maintenant ! Mais c’était divin…
Il tournoyait en elle, tandis que l’autre main pénétrait son vagin, des doigts de fée venant tout exciter !…

Elles s’aimèrent pleinement, laissant chacune prendre possession de l’autre, se contorsionnant pour améliorer une position, sentir venir l’orgasme, embrasser par pur plaisir…

Elles firent plusieurs pauses, récupérant un peu, lovées l’une dans l’autre, emportées par les gémissements de chatte de leurs voisines, en train de jouir copieusement et sans gêne aucune…

Elles se rencontrèrent, s’emmêlèrent, partageant, doublant leurs efforts, proches de l’extase, dans un combat de chattes, à la recherche du plaisir qui la fera crier son orgasme délirant, ventre contre ventre, sexe contre sexe, en sueur, râlant toutes les 4, dans un ultime tableau vivant.

Epuisées, elles recherchaient la fraîcheur, étanchaient leur soif, souriaient en se glissant contre Véro, reine de la soirée, hôtesse parfaite, qui les incitait à continuer toute la journée, se libérant de toute morale, pour des unions intenses, des baisers d’amoureuses, des étreintes sans fin…

Véro connut le plaisir d’être emportée par 6 mains, et s’offrit aux délires de ses amies, leur donnant tout ce qu’elles attendaient, en retour, et chacune y passa, soumise, exploitée, écartelée, sodomisée, contrainte, mais respectée…

Quelle soirée, quelle suite le dimanche, elles n’en virent pas la fin, prirent des douches ensemble, rejouèrent des scènes intenses, malmenées comme des poupées de chiffon…

Le silence revint enfin, nues toutes les quatre, rafraîchies, détendues, câlines, elles partirent peu avant minuit, Véro laissa échapper une larme en fermant sa porte…

Elle arrêta la caméra, elle avait de quoi s’éclater plus tard…
Mais il lui semblait manquer de quelque chose…
Elle avait joui certes, profondément et de tout son être, elle avait laissé libre cours à ses vocalises, s’était donnée plusieurs fois sans réserve, allant chercher son plaisir au plus profond de leurs ébats.

Ce soir, elle regardait un ancien enregistrement, d’un garçon qu’elle avait connu en boîte, et qu’elle avait ramené ici… Quel pied !…

Elle était en manque ce soir-là, ils avaient dansé, elle avait envie de lui…
Il était beau, parlait bien, instruit et doux… Elle avait accepté un verre, puis un autre, ils avaient flirté sur la piste, puis sur la banquette et enfin il s’était décidé à la ramener, flirtant de plus belle avant de monter en voiture…
Elle s’était jetée sur lui dès sa porte refermée, le suçant à outrance, puis elle lui avait ouvert ses cuisses, et une langue démente l’avait électrisée…

Elle avait une envie folle, irréfléchie, sa robe s’était déchirée quand il l’avait prise sur le lit, sans même ôter sa culotte…
Démon, dément…

Elle le ressentait, il la pilonnait en entendant les râles qui emplissaient la chambre…
Il avait réussi enfin à la déshabiller, lui aussi, et sa bite la transperçait, énorme, géante…

– Heu !… Heu !… Heu !……

Elle jouissait sans cesse, il s’arrêtait, la calmait, attendait, prenait ses seins dans ses mains…
Il poussait de nouveau et son pieu obéissait, dilatant son vagin, arrivant en vagues merveilleuses, qui butaient sur son utérus…

Elle n’avait plus de règles, comme épuisée, à 40 ans…
A moins que ce ne soit un souci passager…
Tant pis, elle prendrait une pilule… Celle du lendemain pour être certaine…

Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas joui comme cela….
Elle voulait s’en prendre plein la chatte… Voire plus…

C’était un ténor… Il la reprenait sans cesse, par devant, par derrière, en levrette, en capitaine de navire… Elle avait traversé tout le lit, maintenant il la plaquait à plat-ventre, et la besognait, fourrant sa grosse bite dans son vagin, à grands coups de reins qui faisaient trembler ses fesses…

C’était maintenant… Pourquoi pas ça aussi ? Oui…

– Viens ! Prends-moi par derrière… Baise-moi comme une putain…

Il la mit en position, elle enfouit sa tête entre ses bras, attendit…
Le doigt la fit gémir…
Il la préparait lentement, amenant leurs sucs sur son anus, glissant une phalange, tourna en elle…
Elle se sentait prête…

Il saisit ses hanches, et le sexe s’enfonça lentement…
Oui, elle n’était pas vierge, de là, non plus…
Le gland passa le plus étroit, puis il entra peu à peu, elle gémissait, et elle se libéra quand il se mit à la baiser avec fougue…

Ses cris dépassèrent les premiers, il la violait, fourrant son derrière comme un taureau, elle agrippa les draps et jouit…

– Oh, oui… Oh !… C’est bon !… Prends-moi encore plus doucement… Ne viens pas encore en moi, je te veux dans ma chatte…

Il sembla d’accord et s’appliqua à la porter sur un nouveau nuage…
Par vagues successives, il la lutinait, la bousculant, ouvrant ses cuisses, elle sentait la verge glisser en elle, jusqu’au fond, elle eut un autre orgasme, soulevant ses fesses à sa rencontre, il la percuta… Elle poussa un petit cri de surprise…

Elle se retourna et écarta ses cuisses, ouvrant son vagin…

Ce fut magique…

Elle coulait de désir en le sentant la reprendre, il l’amena lentement puis accéléra…

Elle était écartelée, il savourait son fourreau si doux et si ouvert, plantant son dard en cadence…

– Heu !… Oui !… Heu !… Hou !… Ouiiiiii…. Viens !… Baise-moi… Donne-toi… Prends-moi !!!…
– Oui ! Je viens… Tiens !… Ecarte les cuisses ma salope, ouvre ta chatte, Ouh !… Tiens ! Là !… Han ! Han ! Oh !… Ouh !… Oui !…

Elle sentit le sexe cracher sa semence, lui en lâchant une sacré dose, et il continua à la prendre, le sperme devenant crème autour de sa chatte, puis liquide, il en inonda ses fesses, coulant sur les draps…

– Oh, oui… ! Tu es génial !… Tu m’as défoncée, reste cette nuit…
– Suce-moi. Suce ton maître… Donne-moi ton cul que je te nettoie…

Elle se plaça en 69 sur lui et suça sa bite comme une artiste, décalottant le gland, massant les bourses, aspirant pour l’enfoncer dans sa gorge, hommage mérité…
Il faisait pareil, laissant son petit cul propre et sa chatte vierge de toute trace… Mais elle se sentait vidée, repue, même quand la langue venait attiser son clitoris…

Il passa le reste de la nuit avec elle, elle adora prendre une longue douche ensemble, une éternité où rien ne lui fut épargné…

Il était élégant, jouait au dur, il la traita en soumise, la prenait dans ses bras comme un vieil amant, en ami intime, elle se souvint de ses mots : « Maintenant je sais que Véro nique… »

Peu élégant sur le coup, mais réel… Elle aimait tant ces instants de plénitude, lorsqu’elle était comblée, et se sentait femme au fond de son lit, prête à recommencer…

Quand elle se rhabillait le lundi matin, elle pensait à son amant du samedi soir, ajustait ses bas, parfois elle mettait un string, juste pour elle, pour le fun, qui lui rappellait le dernier qui le lui avait retiré avec les dents…

Son tailleur moulait ses formes, sur un décolleté de cadre, juste au corps, chemisier transparent que personne ne verrait d’assez près de toute la journée… A moins que…

Mais rien ne se passait au bureau, son visage et son maquillage reflétaient un vide émotionnel, parfaite maîtresse de ses émotions…
Elle présidait les réunions du lundi, déroulant ses directives pour le mois, ou la semaine. Elle écoutait les retours de ses chefs, donnait des précisions sur tel ou tel dossier, expliquait, démontrait, les escarpins rouges claquaient sur le sol parfois, appuyant ses paroles…
Elle se sentait heureuse, rayonnante, en femme libre et sensuelle.

Le soir, après une douche, elle mangeait une salade, parfois un plat préparé, puis s’installait dans la salle de télé, repassait des clips, dont le dernier, qui décidément l’avait marquée et resta longtemps à son hit-parade personnel…

Un samedi, elle se rendit dans ce club select, dans lequel elle avait rencontré Max…
Elle le vit aux bras d’une blonde de 25 ans environ, soit une bonne dizaine de moins…
Son cœur chavira, elle pensa ‘Merde ! J’ai trop tardé à revenir le relancer… !’

Un autre l’invita, elle se laissa emporter dans un rock enivrant, riant et se libérant…
Elle oublia Max, accepta le verre qu’on lui tendait, il dansait bien, elle avait soif.

Quand les slows arrivèrent, elle se sentit en manque de bras…
Elle resta sur la piste avec son rockeur…
Il ne fallut que quelques minutes de tendresse et de douceur pour qu’elle sente le désir arriver contre sa cuisse…
Phénomène naturel et si tentant…

Les mains de son danseur profitaient de son hésitation, palpaient, effleuraient, insistaient…
Elle croisa les yeux d’une blonde, appuyée sur l’épaule de son partenaire…
C’était elle, donc c’était Max… Mais elle ne le voyait pas dans l’obscurité et la distance…

Le slow se termina, elle s’excusa, devant s’absenter quelques minutes…

Dans les toilettes, elle remit de l’ordre à sa coiffure, lissa sa robe, corrigea son rouge…
La blonde entra, alors que Véro sortait…
Un regard, un sourire esquissé…
– Belle soirée, non ?
– Oui, excellente… On se connait ?
– Véronique, je viens parfois le samedi me fondre dans la foule de ce super club…
– Oui, super, je suis Carla, je travaille parfois ici.
– Oh, vous êtes barmaid ?
– Oui, à l’occasion, le patron, c’est mon frère…
– L’établissement est si bien tenu et on s’y sent très à l’aise, de plus bien fréquenté, des hommes de classe, charmants…
– Vous trouvez de quoi vous amuser alors ?
– Oui, mais pas que ça, après la danse et la musique, il y a le sexe…
– Vous êtes directe vous… Oui, Max sait tenir ses troupes…
– Max, le garçon avec lequel vous dansiez ?
– Non, ça c’est mon copain, l’autre tout à l’heure…
– Max est le patron ! Je l’ai rencontré il y a quelques semaines…
– Oh, il est discret… Il vient de divorcer, mais il ne reste pas souvent en soirée, il travaille ici la journée, fait les comptes, contacte les fournisseurs, etc… Il a un gérant…
– Ah !… Je vois…
– Oui, vous voyez… C’est moi son gérant !… Je ne dis jamais tout d’un coup… Mais vous semblez si sympathique… Vous venez seule ?
– Oui, lorsque j’ai besoin de musique douce, de parler, de draguer…
– Et ça marche ?
– Oui, j’aime les hommes, je cherche le bon…
– Oh, oui… Bonne chance alors… Je dois retourner au bureau… Surveillance et sécurité… Max doit attendre… Heu…
– Oui ?
– Il vous avait charmée ?
– Il est très beau garçon, et oui…
– C’était allé plus loin ?
– Beaucoup plus loin…
– Elles font barrage pourtant autour de lui !… Vous avez eu de la chance de l’avoir pour vous… Une soirée ?…
– Oui, soirée agréable, nuit torride et dimanche passionné…
– Bien, dis-donc, on va se tutoyer, intimes à ce point… Tu es belle, bravo… Tu ne désirais pas le revoir ?
– Pas dans mon habitude, je laisse faire le destin… C’est à lui à me téléphoner…
– Il était à Londres pour un grand show mondial. J’étais avec lui, un régal, on a été invités par tous les fabricants, voir les nouveautés pour les discothèques, les clubs. 5 jours dingues… Viens avec moi, on sera tranquilles pour parler…

Véro n’avait jamais vu un homme avec des yeux si grands lorsqu’elle se retrouva devant lui !
En un instant tout bascula… Elle se sentit prise de mal au ventre, les yeux noirs la regardaient, perçant son regard… Elle sentait ses jambes flancher, trembler… Sa sœur expliqua notre rencontre, nos propos, et voilà…

– Véronique… Merci Carla… Tu veux qu’on aille ailleurs, tu as du temps, tu as mangé ?
– Je… Oui… Si tu veux… Je ne m’attendais pas à te retrouver…
– Je t’ai vue danser le rock, tu étais sublime, mais pour le slow, j’ai moins aimé…
– Il m’a invitée à boire, je devais compenser…

Un beau jeune homme fait son entrée…

– Véro, voici mon copain… Chéri, Véronique est une amie de Max…
– Oh, enchanté !… On y va chérie ?
– Je dois rester, c’est mon tour de garde…
– Ah, bon, alors je vais rester aussi… Vas-y Max, on gère…
– Merci, à demain Carla, merci Yan de faire la sécurité.

J’ai bien fait de le mettre ce soir…
Me voici dans ses bras, ma robe passe par-dessus ma tête, ses mains continuent à me mettre le feu, dégrafant mon soutif avec adresse…
Il s’est déshabillé pendant qu’il m’effeuillait, mon string reste mon seul rempart…
Il me dépose au creux du lit, et ses dents viennent emporter ce bout de tissu…

Il se glisse entre mes cuisses écartées, sa langue me fait mourir de désir…
Plus rien ne compte, que mon ventre, ma chatte et ce que je ressens partout sur et dans mon corps…

Ce n’est plus une simple baise de routine, mais un vrai duel amoureux, Véronique se donne à lui, elle vient le dominer, empalée sur son sexe et refaisant « la chevauchée fantastique », c’était la seule chose qu’elle n’avait pas expérimenté avec lui…

Elle s’envole, emplissant la pièce de ses râles, elle aime glisser sa vulve sur la bite, puis l’enfoncer dans son vagin, détrempée par ses sucs, excitée par cette caresse, puis revenir au point de départ.
Voir et sentir regrossir le sexe, onduler doucement sur lui, sa vulve le léchant avec ses grandes lèvres étalées, enroulées, puis recommençant à s’en délecter, se retournant parfois de dos, pour avoir une autre sensation, très intimes, de ses cavalcades…

Elle aime le pomper longuement avec son vagin, ses grandes lèvres soudées autour de sa tige, malmenées, bien huilées, vibrant en le prenant, pleurant en ressortant, mais revenant s’empaler à la limite de le perdre…
Une série plus active, plus rapide, ses fesses devenant une immense bouche, allant et venant le long de sa hampe, un plaisir sans fin, très intense qu’elle doit cesser, si elle ne veut pas le voir se lâcher tout de go…

Elle sent lorsque l’homme va jouir et arrive à prévenir cet incident, après avoir « raté » quelques montées en puissance, coupant ainsi tous les préliminaires, au moins pour un long moment…

Maintenant, c’est au millimètre qu’elle le fait, pratiquant avec art le fait de le masturber avec son vagin, dominante, terriblement sensuelle, ils ne résistent pas…

Dans un dernier sursaut de folie, elle l’emprisonne, resserrant tous ses muscles intimes, il grogne, s’affole, c’est intenable… Il va jouir… Mais elle le relâche à temps et attend un long moment, l’abritant au fond de son fourreau, le laissant reprendre ses forces et le contrôle…

Elle aime… Elle l’aime, elle savoure…

Temps de repos entre deux tableaux, elle l’abreuve, partage, se love contre lui et se fait chatte…

Il se venge ou la remercie, il la défonce par derrière, son gros sexe planté dans ses entrailles, l’anus dilaté, elle se laisse emporter par cette sodomie magique. Il la lutine en macho, et éjacule dans son fondement pour la première fois…

Elle écroule la levrette, bras en croix, le sexe encore planté en elle, lui sur son dos, épousant son corps, emprisonnant ses seins avec ses larges mains… Ils roulent sur le lit, tombent…

Elle n’arrête pas de jouir, dès qu’il la caresse, qu’il la prend, qu’il la retourne ou l’emporte dans le salon obscur, devant la grande baie ouverte sur le port et la mer, allongés sur le tapis de laine, calés par les nombreux coussins…

Il lui fait d’autres positions, face à face, en ciseau, et termine en la prenant dans ses bras, écartelée face à l’immensité devant eux…
Ses doigts viennent lui jouer une partition de l’amour, un moment de relaxation d’un pur plaisir que de sentir les doigts ouvrir son sanctuaire, jouer avec ses tétons, pour finir accouplés tous les deux, pour une nième étreinte…

Véronique en tomba amoureuse, c’était le second qui l’amenait à ce niveau d’entente sexuelle, mais surtout celui qui venait hanter ses nuits, puis ses journées, souriant sur l’écran de son portable ou ressentant l’appel de ses mains entre ses cuisses…
Elle ne put lutter longtemps et se rendit à l’évidence…

Elle épousa Max quelques mois plus tard, tomba enceinte (ou l’inverse) et le couple devint une référence des lieux à la mode, enviée par toutes les femmes de la ville, surtout par ses anciennes marraines…
Elle poussait son ventre le sourire aux lèvres, surtout qu’un second suivit de près le premier…

Les hommes n’en revenaient pas, Véro !… Ils la reconnaissaient, une bien belle soirée, c’est vrai qu’elle était un peu sauvage, mais c’était un bon coup, pour celui qu’elle choisissait pour la sauter…

Au bureau, l’atmosphère changea peu à peu, devint moins pesante lorsqu’elle était là.
– Être mère est donné à toutes les femmes, mais avec cet homme, elle a de la chance…
– Il doit être parfait pour le rodéo, dompter une telle bête…
– Pour nous, cela ne change rien, mais elle est moins agressive, elle devient plus humaine…
– Il paraît que c’était une sacré salope sous ses airs de bourgeoise BCBG ???
– Elle se libérait le samedi en boîte, un truc huppé…
– Oh, oui, je l’ai croisée un soir… Je lui ai fait un sourire, elle ne m’a pas reconnue. Elle a dansé avec un de mes copains, puis ils sont revenus près de nous…
– Ils ont flirté longtemps, elle le caressait, elle buvait, il l’a raccompagnée chez elle, je crois…
– Il m’a dit plus tard, que c’était un sacré coup cette fille, mais elle savait ce qu’elle voulait…
– Au bureau, elle ne sortait avec personne, et même les Boss et les commerciaux n’ont pas pu la sauter. Ils ont essayé pourtant, lors des congrès…
Hôtels de luxe, habillée comme une cougar, ils étaient scotchés, mais nib…
– Ce n’est pas vrai, un l’a eue au moins, Frank B., le patron de la région Est, à Paris… Il l’a sautée dans un spa privé de l’hôtel, elle était bourrée…
– Ça ne compte pas alors… Car on m’a dit qu’elle aimait les femmes… Elle en recevait chez elle, elles faisaient la fête…
– On peut aimer les femmes, et se faire un mec de temps en temps, et je crois que c’est ce qu’elle faisait jusqu’à Max…
– Est-ce que vous connaissez une femme qui l’a baisée ?
– Non, juste un ragot. Elle avait un aéropage de copines mal mariées, mal baisées, déçues et se rencontraient pour s’envoyer en l’air, afin de se libérer…
– Personne ne l’a fait ici ?
– On n’est pas lesbiennes dans cette boîte, ça couche à tour de bras dans tous les services, sans compter les promotions !
– Si, moi !
– Candice ! Toi ? Tu… Raconte-nous…. Tu l’as connue ?…
– Il y a trois ans, je m’étais faite larguée, je n’allais pas bien, elle est venue me parler dans mon bureau…

FIN
Marika842010 Mai 2019

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire