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Victoria

Victoria



Je m’appelle Ryan, 22ans étudiant en BTS dans un lycée plutôt bien quotter de ma région car de bons résultats chaque année pour les examens. Coté résultat pour ma part, disons minime (la moyenne et encore)
Un point positif à ce bahut, ma copine y prépare son bac, on se voit tous les jours.
Elle s’appelle Sarah, elle à 18 ans et notre rencontre à eu lieu cet été au cours d’une soirée donnée par des connaissances communes, puis on s’est perdu de vu dès le lendemain.
Quelques jours après la rentrée de septembre sur qui je tombe dans la cours du bahut ??
Sarah !! là plus la même bêtise, échange de numéros immédiat et depuis, on est ensemble.
Tout allait pour le mieux le jour où je l’est raccompagné jusque chez elle, au moment où j’allais repartir, sa mère arrive comme un diable jaillissant de sa boite.
Sarah fit les présentations, elle ne m’avait pas trop parlé de sa mère : Victoria, une franco-britannique blonde, 42-43 ans, bien conserver visiblement, de jolies formes légèrement mouler dans son tailleur bref le type MILF.
On ne sait jamais comment va réagir les parents de sa copine, cependant avec Victoria ce jour là, c’était jackpot, elle me fit la bise avec un beau sourire en coin, elle m’invita à boire quelque chose, mais devant repartir, je du décliner l’invitation
« Une prochaine fois alors !! » ajouta-t-elle avant de se diriger vers l’étage supérieur tandis que moi, embrassant une dernière fois Sarah, je m’en allais.
Avant de franchir le portail, je me retournais vers la maison et aperçu Victoria à la fenêtre de sa chambre, elle me fit un signe de main toujours souriante et ajouta un léger clin d’œil, ce qui me provoqua une contraction dans le bas-ventre. Troublé, je pris enfin la route vers chez moi, et tout le week-end, j’eu le souvenir de ce clin d’œil en tête.
Je n’arrivais pas à comprendre la situation, évidemment Victoria était plutôt attirante (vieux phantasme de la femme d’expérience), mais il y avait Sarah, je ne me voyais pas lui briser le cœur. Je décidais donc de chasser définitivement toutes pensées vers sa mère, après tout, un clin d’œil sa ne veut rien dire.
Le mois de septembre fila, et dans chaque conversation avec Sarah, j’évitais soigneusement toute allusion à sa mère et les quelques fois où je la raccompagnais chez elle, pas de Victoria, donc pas de rechute.
Mais un lundi soir, à la fin des cours, j’attendais Sarah devant le bahut quand je sentie une main tapoter mon épaule, je me retourne….face à face avec Victoria, toujours souriante : chemisier blanc, blue-jeans moulant ses fesses et bottes de cuir.
-Bonsoir me dit –elle
-Oh, euh, bonsoir Madame
-Pas de Madame s’il te plait, appelle moi Victoria
-Euh D’accord, comment allez-vous ?
-Bien et mieux encore si tu voulais bien éviter le vouvoiement,
-Comme vo, tu veux ! V.., tu viens chercher Sarah ?
-Non, ce soir c’est réunion parents profs pour je ne sais pas trop quoi
-Oh je connais, juste pour dire Ya le bac en juin, faut bosser voila
Elle ricana doucement entre ses dents finalement ce n’était pas aussi dure de résister.
-Ah, voilà celle qu’on attendait tous les deux !!! ajouta t-elle
En effet, Sarah se rapprochait de nous à grands pas et embrassa sa mère
-Bon je dois aller voir tes profs, Ryan, tu veux bien la ramener chez nous ?
-Sans problème, Madame
Elle leva le doigt comme pour protester et ajouta : « qu’est que l’on a dit pour le Madame ? Allons pas de gène devant Sarah, elle sait que je demande à tous ses copains/copines de me tutoyer, pas vrai ? » Sarah acquiesça de la tète pour toute réponse
On commença à s’éloigner tandis que Victoria se dirigeait vers le bahut. Arrivée au bout de la rue, le portable de Sarah sonna :
-Allo ? Ah maman, y a un problème ? [..] Je lui demande. Tu fais quelque chose mercredi après midi ?
-Euh…rien de précis.
-Il est libre mercredi […] OK je lui dis, Bisous à tout à l’heure.
-Me dire quoi ?
-Que mercredi, tu viens déjeuner à la maison comme convenue.
-Convenue ?
-Mais si au début du mois quand tu as rencontré ma mère pour la première fois, elle t’a proposé à boire et comme tu devais partir, elle a dit une prochaine fois, et ce sera mercredi.

Il aurait été malpoli de dire non, vu que je n’avais pas de raison de refuser, j’acceptai et raccompagna Sarah jusque chez elle avant de prendre la direction de ma maison. Cette nuit là, je repensai de nouveau à Victoria, ce qui me provoqua une érection comme j’en avais jamais eu, et je partis vite fait me soulager dans les toilettes : je ressentais un mélange de honte et de soulagement.
Mercredi est arrivé, et pour les BTS, c’est une journée de cours normale, ou plutôt une matinée, je dois retrouver Sarah devant le bahut à la fin des cours.
Les deux premières heures de cours étant les plus importantes, je passe le reste de la matinée à glander tandis que le prof débite son cours, je lance 2-3 SMS à Sarah, une petite grille de Sudoku glisser entre mes feuilles de cours, mais surtout je pense à cette après-midi : je ne sais pas quoi penser de Victoria, ni se quelle essaie de faire, d’abord ce petit clin d’œil puis cette invitation spontanée, enfin pour ne pas me rassurer, j’ai vu hier soir un documentaire sur un phénomène actuel : les femmes cougars ( femmes ayant passé la quarantaine et sortant avec des hommes deux fois plus jeune).
Dernier cours de la matinée et comme à chaque fois, le prof nous laisse sortir 10 minutes avant, je me rends aux toilettes, passe une chemise que j’ai gardé dans mon sac par-dessus mon vieux T-shirt et je tente de remettre mes cheveux en place : je ne vais quand même pas répondre à une invitation en étant débrailler.
J’attends Sarah comme convenue et décide une fois pour toute de chasser toute pensées vers Victoria, enfin Sarah me rejoints, et sans faire de commentaires sur ma tenue, on prend la direction de sa maison, bras-dessus, bras-dessous.
Arrivée à destination, je suis accueillie par Victoria et son sourire : jupe en jeans, sandales et un petit haut qui moulait légèrement sa poitrine ; difficile alors de ne pas avoir de pensées surtout quand elle vient me faire la bise : je sens ses lèvres chaudes contre mon visage, ses cheveux sentant bon la cannelle.
Elle m’invite alors à passer au jardin, pour un début octobre le temps est encore idéale pour un déjeuner dehors. Elle s’absente vers la cuisine et revient vite avec un plateau comprenant une bouteille de Coca, trois verres et des trucs à grignoter.
On trinque tout en commençant à parler de choses diverses comme les cours, la famille, j’apprends alors que les parents de Sarah sont divorcés depuis 4 ans et que son père vit aujourd’hui en Espagne. A son tour, Victoria m’interroge sur mes parents : mon père est militaire, sergent-chef de l’armée de terre donc souvent absent et actuellement en mission quelque part en Afrique, quand à ma mère elle est gérante d’une galerie d’art.
J’amorce alors la suite de la conversation :
-Et toi Victoria, qu’est ce que tu fais dans la vie ? (je n’est pas oublier la question du tutoiement et visiblement, sa lui fait plaisir)
-Oh moi, je travaille dans un magasin de vêtement du style Etam, rien de bien spectaculaire.
Elle me sourit une fois de plus et se lève pour me resservir me donnant une bonne vue de son décolté au moment ou elle se penche, une fois encore, mon entre-jambe n’est pas insensible et mon ventre réagit lui aussi.
-Ho God, s’exprimât Victoria, 13h déjà, vous devez avoir faim ! Sarah, met le couvert ma chérie, j’amène les plat
– Je peux aider ?
-Non, tu es l’invité aujourd’hui !
Elle débarrasse la table de l’apéritif et se dirige vers la cuisine en même temps que Sarah qui revient presque aussitôt pour mettre la table.
Arrive alors Victoria et son plat : bœuf bourguignon, pour une anglaise plutôt surprenant.
Elle nous a servie, et tu en mangeant, on continua nos discussions, après quoi elle nous servie le dessert.
Finalement, ce déjeuner fut moins tendu que je l’appréhendais, et c’est à ce moment là que le portable de Sarah se mit à sonner : une de ses camarades de classe avait besoin de ses conseils et donc elle se retira dans la maison pour parler tranquillement, me laissant seul avec Victoria.
Cette dernière se pencha discrètement en avant comme pour s’assurer que l’on était seul, puis se retourna vers moi :
– Bon, je ne devrais pas m’en mêler bien sur, mais comme nous sommes seul, j’aimerais savoir où vous en êtes avec Sarah ?
Et moi qui pensait que cette journée ne pouvait pas être plus gênante, voila que la mère de copine me demande des détails sur notre couple
-Allons, ne soit pas gêner comme ça, tu ressembles à une tomate !
Je ne m’en étais pas rendu compte, mais je devenais tout rouge et pour ne rien améliorer, Victoria posa sa main sur la mienne et je due me retenir de la retirer ne voulant pas être vexant : sa peau était très douce et tiède, son contact contre la mienne était très agréable. Finalement, elle la retira et repris le fil de la conversation :
-Allez quoi, dis moi au moins quelque chose sur vous deux
-Ben…c’est que… enfin, sa se passe de la même façon que les autres couples de lycéens j’imagine : on s’embrasse, je la prends dans mes bras, des trucs comme ça.
-Rien de plus « intime » ? (elle insista bien sur le dernier mot)
-Euh, N…non, pas encore, je…veux…rien brusquer…Beaucoup des mes potes ont perdus leurs copines de cette façon
-Je vois. De toute façon, de nos jours ; il existe divers moyens de protections que moi, je ne possédais pas dans ma jeunesse.
C’a y est, point culminant de le gène, la mère de ma copine me parle des mes hypothétiques relations sexuels avec sa fille, en plus de ça, je n’ai pas vraiment beaucoup d’expérience dans ce domaine.
Elle avança de nouveau sa main, mais la posa cette fois sur mon épaule et commença à descendre le long de mon bras, tout en souriant et en me regardant dans les yeux, les siens sont bleus comme les miens, mais presque électrique. Elle arrive sur mon avant-bras et commence à frotter sa main dessus, je sens alors la chaleur de sa peau même à travers ma chemise : sensation agréable, sentiment de culpabilité.
Je décidais donc d’échapper à son regard et me força à regarder par terre : erreur, je quittais le visage de Victoria mais me retrouva le regard braqué sur ses jambes croisées, laissant apercevoir sa petite culotte.
Je sentis alors pointer (c’est rien de le dire) un début d’érection : la honte, je demandai alors à aller au toilette :
– à l’étage, tu veux que je t’accompagne ?
-Non, euh…c’a ira. Merci.
Je me précipitai à l’étage, passant près de Sarah qui ne me remarqua même pas, et j’entrais dans les toilettes dont je verrouillai la porte. Trop de tensions dans mon pantalon, j’hésite à me masturber pour me soulager, mais bientôt j’entendis toquer et la voix de Victoria : Tout va bien ?
-OUI, oui, je descends dans une minute !!
Je l’entendis s’éloigner, je baissai vite mon pantalon et mon boxer, relevai la lunette des toilettes et il ne me fallut pas plus de trente secondes pour expédier 2-3 jets blanchâtres. Les jambes tremblantes, je décidai vite d’un pipi express pour donner le change et je sorti des toilettes après avoir tiré la chasse et vérifier que je ne laissais derrière moi, aucune « traces ».
Je regagnai le jardin où Sarah étais revenu :
-Ah te voila, mauvaise nouvelle, je dois partir. Amélia à besoin de moi pour bosser, désolée.
– c’est pas grave, ce n’est pas de ta faute.
-Merci. Ma mère va me conduire là bas et vu que c’est juste 2-3 rue avant chez toi, elle va te ramener aussi.
Mon regard croisa celui ce Victoria et je jurerais qu’elle me fit un des ses clins d’œil et qu’elle paraissait bien contente de la tournure des évènements. Cinq minutes plus tard, on était tous dans la voiture et je me retrouvai à la place du mort, autrement dit, à cote de Victoria.
Arrivé chez Amélia, Sarah m’embrassa, puis elle embrassa sa mère en lui disant qu’elle l’appellerait avant de rentrer. On redémarra alors, il y avait 200 mètres à parcourir et pourtant je n’étais toujours pas à l’aise.
A chaque changement de vitesse, la main de Victoria effleurait ma cuisse et elle jetait des regards sur mon entre-jambe en souriant, visiblement satisfaite de l’effet qu’elle me faisait. Une fois devant chez moi, on descendit tous les deux, elle se mit face à moi ; me prit par les épaules, s’approcha de mon visage et me fit le bise avant de relâcher mes épaules : dernier sourire, dernier clin d’œil et elle retourna à sa voiture tandis que je me précipitais vers la porte. Pourtant, une fois sur le perron, je me retournai pour distinguer Victoria qui finissait son demi-tour, elle me fit signe de la main avant de repartir pour de bon.
Je fonçais alors dans ma chambre, ma mère n’étant pas encore rentré et je me mis au travail pour oublier cette après-midi…en vain, je me remémorais la conversation avec Victoria, ses gestes affectueux, mon passage au toilette, et nos adieux devant chez moi ; une seule conclusion à tout cela : Victoria était bien une cougar, et j’étais sa « proie ».
Le pire vint juste après, car je sentis au fond de moi que, d’une certaine façon, c’a me plaisait.
Les 3 semaines passèrent après ce déjeuner inoubliable, le programme de BTS étant chargé, Sarah et moi avions de moins en moins de temps pour nous voir hors des cours, donc moins d’ocrassions de revoir Victoria, déesse de mes rêves et des mes plaisirs solitaires.

Les rares fois où j’ai eu l’occasion de la voir alimentait mes pensés du soir : ses tenues moulantes, son sourire et ses clins d’œil ainsi que la petite bise à chaque fois. Le pire, c’est que tu cela se passait devant Sarah, mais soit elle l’acceptait soit elle voyait que dalle, d’ailleurs je me suis surpris plusieurs fois à penser : Coucou, Sarah ! Ta mère hyper bandante et bien gaulé me drague ! Je crois qu’elle voudrait bien regarder dans mon boxer et moi je lui arracherais bien son string avec les dents !! Rien a faire, du coup, j’avais moins de scrupules à fantasmer sur sa mère, sans compter que mon programme de BTS prévoit un stage de 3semaines avant les vacances de Noel, et quand j’ai annoncé cela à Sarah et à Victoria, c’est cette dernière qui avait été la plus triste de me savoir loin tout ce temps, donc, si je voulais faire quelque chose avec Victoria, je devais faire vite.

Mon plan était de m’arranger pour me retrouver seul avec Victoria pour l’amener doucement à quelque chose de plus « intime » comme elle l’avait si bien mentionnée. Malheureusement, toute mes tentatives furent vaines et jamais je n’est eu une bonne raison d’être seul avec Victoria sans attirer l’attention.
Je ne l’est croiser qu’une fois à la superette, je sortais du magasin lorsque je l’aperçue à une caisse, je lui est bien sur tout de suite proposer de porter ses courses et visiblement, elle était bien contente de me voir. Une fois tous ses paquets dans sa voiture, elle me proposa de me ramener chez moi ce que j’acceptai, bien sur.
Sur la route, on recommença le petit jeu de l’effleurage, d’ailleurs à un moment où une fois encore, elle allait effleurer ma cuisse, je mis ma main dessus et lui effleura la sienne au passage ce qu’elle appréciât. Elle se redressa sur son siège soit disant pour rectifier sa position, mais c’était clairement la position de sa poitrine qu’elle réajustait au niveau de ma vue, je plongeais dans son décolté tandis qu’elle paraissait concentrée sur sa route, je fis alors un geste que je n’aurais jamais osé imaginer : je mis ma main sur sa cuisse droite. Surprise apparemment, elle laissa échapper un gloussement et sa poitrine fit un petit bond bien agréable à regarder, finalement, on arriva chez moi et je dus me résigner à lâcher cette magnifique créature. On descendit tous les deux, elle se mit face à moi et remis ses mains sur mes épaules tandis que je mettais ma main gauche sur son épaule gauche, elle me déposa une bise encore plus appuyée que la dernière fois tandis que je passais ma main droite dans ses cheveux, son parfum m’enivrait. Quand elle retira ses mains, la mienne fu entrainer dans le mouvement et j’effleurais alors son sein gauche ce qui lui fit lâcher un autre gloussement qu’elle accentua d’un clin d’œil et d’un sourire plutôt coquin. Elle se dirigeât ensuite vers sa voiture tandis que je me dirigeais vers la porte, je l’entendis alors me dire : « Minute », je stoppai net, et me retournais vers elle pour la voir…tenant mon sace de course !
L’espace d’une seconde , je me suis pris pour le plus grand con de la Terre, puis elle brisa ce moment en rigolant doucement de la situation et je me mis à rigoler aussi, après quoi, je récupérai mon sac et me dirigeait pour de bon chez moi tandis qu’elle repartais.

La période de mon stage approchait doucement et je due me rendre à l’évidence que je n’arriverais à rien d’autres avec Victoria pour le moment et qu’a défaut, je pourrais passer ma dernière soirée avant le stage avec Sarah.
On organisa alors notre soirée, chez elle, en amoureux, bien qu’elle est beaucoup de travail (en période de stage, je ne vais plus en cours, mais pas elle). Au programme, soirée DVD dans son canapé et petit câlin.
Le soir venue, je me rendais chez elle et arrivée devant sa porte, un papier à mon nom y était accrocher et me disait que la porte était ouverte et m’invitait à entrer m’installer dans le salon.
A l’intérieur, je déposais mon blouson sur le porte-manteau et m’avançais dans le salon : personne, j’appelais alors, pas de réponses, je pris alors mon portable pour m’assurer qu’elle était bien là, elle décrocha au bout du deuxième appel :
-Sarah, je suis chez toi là, j’ai trouvé ton mot sur la porte
-Oui, je sais, je l’est laissé au cas où, je ne serais pas là
-Pourtant tu as finis plus tôt que moi aujourd’hui
-Et du coup, je suis allé travailler chez une copine mais on n’a pas encore fini
-Mais c’est notre dernière soirée avant 3 semaines !
-Je sais, écoute, attends moi je fais au plus vite, promis
-Ok, mais fais v…
-Qu’est ce que tu dis ? J’ai pas bien compris.
-Euh, rien. Arrive vite s’il te plait
-Promis .Bisous
Si j’ai agit ainsi, c’est parce que j’avais droit devant moi, une charmante surprise.
Victoria venait d’apparaître dans le salon, vêtue d’un peignoir en satin blanc : une vrai déesse grecque (Aphrodite peut se rhabillée).
Elle rapprocha alors de moi, toujours debout, incapable de bouger. Arrivée à ma hauteur, elle mit sa main sur ma joue, toujours en me souriant et de façon si troublante que je ne sentis pas qu’elle plaçait son pied gauche derrière le mien, de bout de ses doigts, elle me fit alors basculer sur le canapé.
Elle se pencha alors contre moi, en me regardant droit dans les yeux :
-Bonsoir, me dit-elle d’une voix très sensuelle
Pour ma part, j’étais incapable de répondre, comme hypnotiser par son regard : belle comme une déesse, mais dangereuse comme Méduse
-Je ne sais pas pour toi, mais moi, j’ai beaucoup aimé notre petit jeu de l’autre jour dans ma voiture
-Ouai, euh…Moi aussi, j’y repense tout le temps.
-Dommage que ce fut si court, j’aurais bien continué. Toi aussi, pas vrai ?
-Je mentirais si je disais non.
Visiblement satisfaite de ma réponse, elle approcha ses lèvres des miennes, mêla sa langue à la mienne et m’embrassa alors avec fougue. Je posai ma main droite contre sa cuisse, mon autre main lui caressant le dos tandis qu’elle prit ma tête entre ses mains sans arrêter notre baiser de feu. Ses lèvres pulpeuses et merveilleuses qui avaient si souvent toucher ma joue était encore plus agréables.
Mais bientôt, elle se retira et mis sa main contre ma nuque tandis que je caressais ses cheveux :
-Ma fille t’a fait faux bond si j’ai bien compris ?
-Ouai, à se demander si elle s’intéresse encore à moi. Je vais être absent 3 semaines et elle bosse juste avant notre soirée.
-Dommage pour elle, surtout avec ce que tu as apporté avec toi
Sur le coup, je n’est pas compris de quoi elle parlait jusqu’à ce qu’elle dépose sa main sur mon entre-jambe : je bandais à mort. Elle caressa lentement ma bosse et ajouta :
-Moi je suis là, et j’adore les « surprises »de ce genre. Ce qui me fait penser que j’en est une pour toi aussi.
Elle se redressa alors légèrement, détacha la ceinture de son peignoir qu’elle fit glisser lentement sur sa peau, elle n’était pas nue comme je l’espérais mais portais un ensemble lingerie complet : soutien-gorge blanc en dentelles légèrement transparent qui laissait apercevoir ses tétons, string blanc assortie surmonté d’un porte-jarretelles et de bas blancs et un paire de chaussures à talons. Elle me fixa à nouveau, en mordillant légèrement sa lèvre inférieure.
Elle se rapprocha alors de mon visage et nos lèvres fusionnèrent de nouveau, puis elle se redressa davantage et amena sa merveilleuse poitrine à mon visage, je ’attrapais alors par les hanches et plongeais dans ce décolté dont j’avais tant rêvé. J’embrassais sa dentelle, remonta jusqu’à son cou en la parsemant de baisers la forçant à pencher la tête en arrière, ce qui mit davantage sa poitrine en valeur. Je fis remonter mes mains le long de son dos et entrepris de la dégrafer, mais elle me stoppa et, en me fixant de nouveau ajouta « pas si vite, il faut attendre le bon moment » après quoi, elle mêla de nouveau sa langue avec la mienne avant de plaquer avec fougue ma tête entre ses seins. Je me mis à lécher sa poitrine, son cou avant de la glisser dans son jolie sillon inter mammaire, tandis qu’elle agrippait mes mains pour les amener à ses fesses que ‘j’empoignais aussitôt. Le plaisir était intense, la soirée plus belle que ce que j’espérais, j’entendais mon amante de ce soir pousser des petits gémissements

Elle m’arracha ensuite à son étreinte et se mit à caresser la bosse de plus en plus grandissante qui déformait mon jeans. Elle se retourna, s’assit délicatement sur mon entre-jambe et commença des mouvements de bas en haut avec son bassin, ses fesses généreuses buttant contre mon sexe. Je l’a pris alors par les hanches puis je parcourais son corps : ses jambes, son ventre avant de remonter jusqu’à sa poitrine, toujours emprisonné dans cette jolie pièce de lingerie : le « bon moment était arrivée » pensait-je, pour la deuxième fois, je ramenais mes mains dans son dos sans qu’elle tente de me bloquer cette fois, je l’a dégrafait alors sans la brusquer, elle fit glisser les bretelles le long de ses bras et envoya valser son soutien-gorge à travers le salon.
Elle stoppa ses ondulations, attrapa mes mains et les amena sur ses seins que j’empoignais sans ménagement : je les pétrissais avec passion, les sous pesais, pinçais les tétons qui durcissaient sous mes doigts tandis qu’elle reprenait ses mouvements. Je parsemais son dos de baisers, remontant jusqu’à sa nuque, puis basculant jusqu’à son visage où j’atteignais ses lèvres à nouveau, mélangeant nos langues fougueusement, après quoi, elle rompu ce moment :
-Alors, elle te plait ta surprise ?
-Sa pourrait pas être mieux !!
-Oh si sa peut l’être, t’as pas eu toute la surprise !!Mais là, c’est à mon tour de découvrir la mienne.
Elle se leva, se mit face à moi et détacha son porte-jarretelles qu’elle fit glisser à ses pieds, puis elle se rapprocha de moi, glissa ses mains sous mon T-shirt et caressa mon torse avant de le retirer et l’envoyer valser comme son soutien-gorge. Elle déposa quelques baisers sur mon torse tout en descendant vers mon entre-jambe. Là ; elle détacha ma ceinture, déboutonna mon jeans et glissa sa main dans mon boxer où elle saisit ma’ »surprise »
-Eh bien, eh bien, eh bien, dit-elle
Et sans rien ajouter, elle sortit mon sexe, je me levais doucement pour faire glisser mon jeans, par terre, elle se rapprocha encore, titilla mon gland du bout de la langue avant de me prendre en bouche. Sensation divine que celle de ses lèvres si expertes le long de ma hampe, elle alternait mouvement lents et profonds avec des mouvements plus rapides, entrecoupés de gémissements : j’étais au paradis. Au bout de quelques minutes, elle se retira et continua de sa main droite, puis m’invita à me mettre debout, elle me branla alors à deux mains, lécha mon sexe sur toute sa longueur et s’attarda su mes testicules, qu’elle aspira l’une après l’autre.
J’attrapais alors sa tête et dirigeais ensuite mon sexe jusqu’au fond de sa gorge, elle continua ainsi tout en me fixant des ses yeux électriques. Elle se retira de nouveau, cracha sur mon sexe et étala sa salive avant de le prendre entre ses seins, elle me branla doucement entre ses magnifiques obus : la sensation était géniale d’autant que sa langue rencontrait mon gland par moment.
Sans crier garde, elle me remit en bouche et fit des mouvements très rapides, une vraie furie, elle me rebascula sur la canapé avant de reprendre une branlette entre ses seins tout en se pinçant les tétons, puis elle continua de sa main droite, puisqu’elle avait descendu l’autre dans son string et jouait avec son clito tout en poussant des jappements. Elle me souriait avec un regard vorace, de plus qu’elle m’a promis d’autres surprises.

Ma surprise à moi, c’est qu’il faut attendre demain soir…ou lundi soir, je sais pas encore.
Et toi, el garcon, si ta des connaissances sur ce forum qui aiment ce genre d’histoire , hésite pas à les diriger vers la mienne, je veux des coms meme si c’est pour critiquer mes fautes d’orthographe

Je fixais cette tigresse, m’arrêtant sur ses jolies mamelles aux tétons tous durs et pointus qu’elle caressait sensuellement. Dire qu’il y a 3 mois, j’appréhendais le moment que je suis en train de vivre, là je voudrais que le temps se fige, et d’ailleurs , cela faisait quelques minutes qu’on s’observait sans rien dire :
-Alors, est-ce que toi, tu aimes ta surprise ?
-Généralement, je suis déçue par les surprises, mais tu es l’exception.
-Cela veut dire que je vais découvrir le reste de ta surprise ?
-Bien sur ! D’ailleurs je crois que nous allons pouvoir découvrir nos surprises en profondeur.
Elle se releva, glissa ses deux mains dans son string et recommença à se caresser, après quoi, elle attrapa les bords de son string avant de le faire glisser le long de ses magnifiques jambes et j’aperçue enfin sa jolie chatte rose surmontée d’une magnifique toison, rasée de près.
Elle se rapprocha et se mit à califourchon sur moi, je replongeais sur ses mamelles si attirantes : je les embrassais, les mordais, suçais ses tétons tandis qu’elle agrippait ma surprise et titilla l’entrée de sa grotte avec le bout de mon gland. Après, je compris la signification de en « profondeur » puisqu’elle s’empala brutalement sur ma verge et, avant que je puisse réagir, elle ramena ma tête entre ses seins et se mit à me chevaucher mieux qu’une amazone. Je ne pourrais jamais oublier la sensation à ce moment là : je sentais la chaleur de son minou le long de ma hampe, amplifié par l’absence de préservatif (et dire que c’est Victoria qui avait abordée le sujet), sa poitrine ballotait sous ses va et viens et frottait contre mon visage. Elle plaqua ensuite sa bouche au niveau de mon oreille si bien que j’ai pu profiter de tous ses gémissements de plaisirs, les miens étaient étouffés par sa poitrine. Elle accéléra ses mouvements, cria de plus en plus forts, et je sentais arriver ma jouissance mais je ne voulais surtout pas venir maintenant, c’est a ce moment qu’elle ralentie l’allure (l’expérience a parlé), me libera de l’étreinte de sa poitrine, je l’ai prise alors par les hanches pour guider ses mouvements et je pouvais profiter du claquement de ses fesses contre mes cuisses. Elle agrippa le haut du canapé, alternait à nouveau mouvements rapides et lents, puis elle stoppa mais ne se retira pas encore :
– Dis-moi que tu aime !
-J’adore !
– Dis-moi que c’est bon !
-C’est divin ! Tu es toute trempée on dirait
-Exact, je suis adepte du squirting, une « femme fontaine » si tu préfère
-Ok, voila pourquoi sa glisse si facilement !
-Eh oui….D’ailleurs, on va y gouter tous les deux
Elle se retira alors, me poussa à m’allonger sur le dos, tandis qu’elle s’allongeait dans l’autre sens et rapprocha son minou tout luisant vers ma bouche, tout en agrippant mon sexe encore bandé : j’allais tester la position du 69, gouter son intimité, j’agrippais alors ses fesses pour bien la positionner et m’approcha lentement de son fruit défendue tout en ressentant sa bouche et sa langue s’activer sur ma verge, je plaqua alors ma bouche sur son sexe tout mouillé, lui faisant lâcher un gémissement sans qu’elle arrête son exploration buccale.
J’embrassais son petit minou, je me mis à le lécher doucement puis de plus en plus vite et de plus en plus profond, goutant sa mouille, je lui enfonçais un doigt, puis deux à la fois, je fouillais son clito pour dégager plus de liquide et à un moment, j’aspirais goulument son sexe si brutalement, qu’elle se retira de ma verge pour pousser un cri de jouissance. Je recommença alors à la lécher, le sentant frémir et gémir avant qu’elle me reprenne dans sa bouche avec des mouvements énergétiques, la furie était revenue et à nouveau , je sentais remonter ma jouissance ; mais trop occupé avec son clito, je n’est pas réussie à l’arrêter : un, deux, trois spasmes me parcouraient alors le ventre et je sentis ma semence couler dans sa bouche tandis qu’elle s’employait à ne rien laisser échapper, j’entendis alors des claquements de langues, des pressions contre ma verge pour en sortir les dernières gouttes de nectar, puis elle se retourna, m’arrachant à son intimité et je l’observais se léchant les babines pour récupérer la moindre trace de ma semence. Une fois qu’elle eu tout nettoyé, je me sentis un peu honteux d’être venu comme ça, mais elle dissipa tout cela :
-C’était délicieux ! Le mélange de ma mouille et de ton sperme, incomparable
– Je ne voulais pas venir si vite !!!
-Pas d’inquiétude, rien n’est terminé
Elle attrapa alors ma verge, et je sentis que je bandais encore
-Tu vois ?…Tu as aimé se que tu as gouté ?
-Oh, oui. J’en redemanderais bien !!!
-Aucun problème !!!
Et là, telle une panthère noire(les plus dangereuses de l’espèce), elle s’assit sur mon visage en tenant ma tête fermement, j’attrapais alors ses cuisses et repris l’exploration de son mont de Vénus pendant qu’elle caressait et léchait sa poitrine. Par moment, elle ondulait un peu du bassin et j’aspirais encore son minou, elle agrippa alors mon sexe et se mit à me branler doucement et je durcissais encore ; j’abandonnais alors ses cuisses et continuas mon exploration avec mes doigts. Elle avança alors sa ma droite vers sa chatte alors que sa main gauche œuvrait encore sur ma hampe, et se mit à se caresser en surface, puis à se doigter, je l’accompagnais alors de mon index droite tandis que ma main gauche écartait davantage les lèvres de son vagin et j’ajoutais ma langue à ce travail en commun.
On continua ainsi pendant de longues minutes, puis soudainement (j’adore cette femme, elle est très spontanée), elle retira mes doigts, les siens et se remis à se masturber énergiquement, mon instinct me commanda de m’éloigner légèrement, elle se mit à pousser des cris de plaisirs, de plus en plus fort, se figea et je reçue en plein visage une explosion de mouille, une vrai inondation, elle ne mentait pas pour sa pratique du squirt. Son nectar me brouilla un peu la vue, mais de mon œil droit, je distinguais son visage, la voyais se mordre la lèvre, puis elle s’allongea contre moi, ses seins buttant contre mo torse et elle se mit à lécher mon visage ; elle se rapprocha ensuite de ma bouche et mêla nos langues de nouveau, puis nos bouche fusionnèrent alors en un baiser très »mouillé », elle me mordillait la lèvre de temps en temps, et moi j’agrippais ses seins et pinçais ses tétons tout durs.
Quelle tigresse !!!!

Au bout de quelques minutes, nos lèvres se séparèrent, j’abandonnais les seins de Victoria et me mis à caresser ses cheveux, elle se remit à califourchon sur mon ventre et je l’agrippais de nouveau par les hanches :
-Monsieur est satisfait ?
-C’était parfait !
Elle apposa ses mains sur mon torse, y planta légèrement ses ongles et fit glisser ses doigts jusqu’au dessus de mon bassin : une vrai féline. Elle continua à caresser mon torse et mon ventre puis se releva, m’attrapa par les mains et me poussa à me rasseoir.
Elle se repositionna alors sur moi et recommença à frotter son bassin contre mon entre-jambe, sauf que la sensation était plus intense parce qu’on était nus, et je savais qu’elle allait me chevaucher de nouveau. C’est alors que j’ai réalisé que, depuis le début de la soirée, c’est elle qui menait la danse : toujours au dessus de moi, à décider de la suite des évènements, de plus qu’elle s’est montrer spontanée à plus d’une reprise, alors pourquoi pas moi ? Après tout, c’est ma soirée !!!
Je glissais alors délicatement ma main droite sous son genou et ma main gauche sur son épaule, faisait mine de l’aider à se repositionner. Elle releva alors légèrement pour remettre mon sexe dans le sien, et c’est à ce moment là que je resserrai l’étreinte de mes deux mains et je la fit basculer sur le dos, après quoi j’agrippais ses jambes et écartais amplement ses cuisses.
J’aperçue alors son visage, l’expression du plaisir à laisser place à la surprise, je rompue alors le silence :
-Eh oui, j’avais aussi d’autres surprises…Madame
A ces mots, elle retrouva son air vorace et son regard de braise
-Je vois cela, mais tu prends des risques avec le Madame. Je pourrais décider de tout arrêter là.
-Oh, mais je ne crois pas t’avoir laissé le choix
Et avant qu’elle n’ajoute quoi que se soit, je l’a pénétra sans ménagement, lui faisant lâcher un gémissement et je commençais alors mes vas et viens. J’alternais des mouvements lents et profonds et d’autres plus rapides et répétés : j’avais pris les commandes de la soirée et je m’appliquais à donner le plus de plaisir à ma charmante amante ; je pouvais d’ailleurs l’observer se caresser sensuellement la poitrine, se pincer les tétons, elle se mordillait la lèvre, la tête penchée en arrière, les yeux clos, elle ramena sa main droite à son visage et se mit à sucer ses doigts tout en gardant son autre main sur sa poitrine.
Au bout d’un moment, je me retirai de ma compagne, elle releva la tête, visiblement déçue, je lui souris, puis je la pénétrais de nouveau jusqu’au fond de son minou, lui faisant lâcher un cri de jouissance, je me retirai encore avant de me réintroduire, à chaque fois, elle poussa un autre cri de plus en plus fort : je me délectais de sa jouissance, appréciais le claque ment des mes cuisses contre ses fesses. Je relevai davantage ses jambes, ramenant ses genou au niveau de son visage si bien que ses fesses et son sexe étaient légèrement relevés, je me positionnais au dessus, mon sexe presque à la verticale : certainement pas ma position préférée ni la plus confortable, mais j’étais bien trop excité pour m’en soucier.
Je repris mes vas et viens dans son minou détrempé tandis qu’elle agrippait ses chevilles pour me faciliter la tache, je fermais alors les yeux sans arrêter mes mouvements, et je pensais dans ma tête : je suis en train de faire l’amour à la mère de ma copine, si elle l’apprend, on est foutu tous les deux…et je m’en fous complètement. Même si elle découvrait tout, je n’aurais aucun regret, car j’avais assouvie le fantasme de presque tous mes copains de BTS : coucher avec une femme d’expérience, une MILF. J’ouvris les yeux, attrapais les jambes de Victoria pour les remettre dans leur position initiales, je pris appui sur ses hanches et accélérais mes mouvements dans son minou tandis qu’elle resserra ses jambes autour de moi : elle m’avait emprisonné, mais je dominais toujours la situation.
Je commençais a haleté, mais je me sentais quand même la force de continuer et je décidais de changer de position. Je me retirai alors pour de bon et me mis debout observant Victoria, toute aussi haletante que moi, en train de jouer avec son clito :
-T’aimerais bien reprendre le contrôle pas vrai ?
Elle ne dit rien, abandonna son clito pour se relever face à moi :
-En fait, je dois t’avouer que j’aime dominer les autres, mais que j’apprécie davantage d’être soumise.
-T’aurais pas du me dire ça tu sais ?
-Et qu’est-ce que tu vas faire ? Me manger ?
-Idée très alléchante, mais je pensais à autre chose. Tourne-toi
Elle s’exécuta, j’appuyai alors fermement sur sa tête pour qu’elle se cambre, elle agrippa à nouveau le haut du canapé pour se stabiliser et moi, je m’agenouillai devant ses fesses, écarta les lèvres de son sexe et l’explora des mes doigts. Je collais ensuite ma bouche sur son minou, le léchai et aspirais son jus. Je me relevai, titillai l’entrée de son clito avant de me fondre de nouveau en elle en l’agrippant par les hanches : je la pris alors en levrette, reprenant le même rythme que sur le canapé, je donnais de violent coup de reins pour aller au plus profond, elle criai de plus en plus fort et moi, j’augmentais la cadence. Au bout de quelques minutes, je sentis une sorte de liquide couler le long de ma verge et compris qu’elle avait jouie de nouveau, la sensation était si bonne que j’accélérais encore le rythme dans son minou, éclaboussant ses fesses à chaque fois, entendant le clapotis à chaque fois, je me couchais alors sur son dos, parsemant sa nuque de baisers et la sentie frissonner jusque dans sa grotte. J’avais perdu toute notion du temps, tellement j’étais excité par la situation, et je sentis alors comme une chaleur dans mon entre-jambe, je compris ce que cela annonçait, mais je ne me retirai pas pour autant, Victoria avait du le comprendre également car elle se mit à onduler du bassin et à resserrer les lèvres de son vagin. J’étais en sueur, je me collais encore sur son dos, continuant à lui faire l’amour, quand je sentis un spasme dans mon ventre, je me redressais alors et stoppa tous mouvements, je poussais alors un cri de jouissance et me laissai venir en elle : 1, 2, 3, 4, 5 spasmes, je venais de lâcher 5 jets de foutre à l’intérieur de cette merveilleuse blonde, je sentais mon fluide se mêler au sien tandis qu’elle se délectait de cette sensation.
Je me retirai alors d’elle et je m’assis sur le canapé, les jambes toutes tremblantes, et j’observais Victoria se redresser et fouiller son vagin avec ses doigts, elle les ressortait tout couverts de mon sperme et de sa mouille, elle se suça les doigts et avala le tout après quoi elle s’agenouilla et entrepris de nettoyer mon sexe. Elle me prit en bouche ; et contre toute attente …je bandais encore !!Je sentis alors sa langue et ses lèvres s’affairés sur ma hampe et je l’entendis avaler bruyamment le mélange qu’elle semble tant apprécier. Elle entreprit ensuite de me branler à deux mains, très délicatement tout en me fixant, mais cette fois, d’un regard tendre et affectueux :
-T’es pas facile à épuiser toi !
J’avoue moi-même que je ne pensais pas pouvoir tenir aussi longtemps
-Tu m’inspires ! Je ne veux pas écourter cette soirée si parfaite !
-Dans ce cas, et si tu es d’accord pour que je reprenne les choses en main, j’ai une idée à te proposer !
A ce moment, j’entendis le bruit de l’horloge, il était plus de 22h : on faisait l’amour depuis plus d’une heure ! Et toujours pas de Sarah. C’était évident qu’elle ne viendrait plus, mais je voulais m’en assurer :
-Alors ? Tu veux connaître mon idée ?
-Euh. Laisse-moi deux minutes, tu veux bien ?
On se leva en même temps, je m’approchais de son visage et lui déposa une baiser rapide qu’elle apprécia et je ramassais ensuite mon jeans tandis qu’elle s’assit sur le canapé. Je sortis mon portable et composa le numéro de Sarah…à trois reprises ! Aucune réponse, sauf son répondeur les trois fois.
Je remis alors mon portable à sa place, laissait retomber mon jeans par terre, et me tournais vers Victoria, qui entortillait ses cheveux autour de son index en me souriant :
-C’est quoi ton idée ?
Elle se leva alors, se mit face à moi, me fixant de ces yeux électriques, elle embrassa le bout de son index et le déposa sur mes lèvres :
-Domme moi deux minutes toi aussi, je reviens.
Et je l’a vis se diriger vers l’escalier, je l’ai suivie du regard jusqu’à se qu’elle disparaisse à l’étage : a quoi a-t-elle pu bien penser ?
Assis dans le canapé, j’attendais le retour de Victoria en imaginant ce que pourrait être la suite de la soirée : Un gadget ? Peut être un vibro, un gode ou bien des menottes pour l’attacher, une tenue spéciale ? Elle s’est déjà déshabillée devant moi, ça ne risque pas de me faire beaucoup d’effet.
Finalement, je l’entendis redescendre et cela me sortie de mes réflexions, elle était toujours nue et ne tenais en main qu’une petite trousse de toilette qu’elle déposa à cote de moi, elle se pencha sur moi et s’approcha de mon oreille :
-Tu te poses des questions, pas vrai ?
-Ouai. Alors, c’est quoi cette idée ?
-C’est tout simple, et c’est surtout quelque chose que j’ai jamais eu l’occasion d’essayer, mais puisque tu me sembles bien en forme : je veux que tu me prennes par derrière !
-Par derrière ? Tu veux dire…
– Sodomise-moi ! J’en est trop envie !
Et là, elle redescendit au niveau de mon entre-jambe, saisit mon sexe, l’engloutie complètement et le ressortie progressivement en l’inondant bien de sa salive :
-Allez, fais ça pour moi ! Tu fais comme pour dans ma chatte, sauf que tu culbute mon cul.
-Mais, j’ai un peu peur de te faire mal
-C’est la but ! Et puis, je vais bien te préparer et sa glissera tout seul
Elle attrapa sa trousse et en sortit un petit tube qui ressemblait à un tube de colle, mais c’était de la vaseline. Elle recracha sur mon sexe, étala sa salive, puis appliqua de la vaseline et se mit à masser ma hampe qui devenait toute luisante, et une fois qu’elle lui paraissait bien lubrifiée, elle se mit à 4 pattes sur le canapé, son cul bien en évidence :
-Viens, viens, qu’est ce que tu attends ? Ma permission ?
J’étais pas sur d’être chaud pour cela, mais avec son cul livré à moi, ma verge tout luisante et ses paroles crues, je ne pouvais pas reculer, j’approchai alors mon gland se son trou et me mit à le titiller, j’allais commencer à m’introduire quand elle me stoppa.
Attends ! Toi tu es prêt, maintenant tu dois ME préparer
Là c’était trop, fini les appréhensions, j’allais la prendre par derrière sans ménagements puisqu’elle le désire et sans hésiter, je plongeais sur son trou pour le lécher comme j’avais lécher son minou, j’allais au plus profond d’elle puis j’humidifiai mon index et l’introduis pour préparer le terrain : elle lâcha un cri, mais pas de jouissance, c’était plutôt de la douleur !
-C’est plutôt pas mal comme ça ! Viens vite en moi !
Je sortis vite mon doigt, l’enduis de vaseline et l’étala vivement dans son trou, après quoi, je commençai à la pénétrer, évidemment ça ne glissait pas comme dans sa chatte, mais ça ne m’arrêta pas, par à-coups, je m’introduisais une première fois jusqu’au bout avant de ressortir, je refis le même chemin une seconde fois et à la troisième, ça allais beaucoup mieux : j’accélérais alors la cadence.
A chaque fois, Victoria lâchait un cri de douleur et je distinguais ses seins qui ballotaient, je continuais mes aller-retour sans sortir de son cul.
-Tu aimes ça, hein ?
-T’arrête pas surtout ! Défonce-moi !!!
Je l’a sentis alors resserrer son cul sur mon sexe, si bien que j’avais du mal à continuer ma pénétration, pas de doute, elle voulait avoir mal et d’ailleurs, ça commençait à bien frotter contre mon pénis, j’étais chauffer à vif !
Soudain, je sentis quelque chose de visqueux contre ma verge, et ce n’était pas de la vaseline et cela ne pouvait être de la mouille : pour le troisième fis ce soir, je venais d’éjaculer dans le corps de mon amante, je stoppai alors mes mouvements et je me retirais, trop fatiguer pour continuer, Victoria tourna alors légèrement la tète vers moi :
-Finalement, j’ai réussie à trouver ta limite
-Tu m’as tué ! Mais si je meurs, je n’aurais pas de regrets
Elle se retourna vers moi, toujours à 4 pattes :
-Bien, je crois qu’il me reste encore à gouter à mon cul
Et à nouveau, elle entreprit un nettoyage buccale, puis releva va la tète vers moi en se léchant les babines, puis ajouta :
-Je crois que je préfère mon minou à mon cul.
Elle s’assit alors sur mes genoux, ma main gauche sur sa hanche, la droite caressant son ventre et remonta t jusqu’à son sein gauche, on se mit joue contre joue, sans rien dire, pendant quelques minutes, je sentais mon cœur battre à pleine vitesse.
Elle regarda alors vers l’horloge et rompue à nouveau le silence
_ Si je devais choisir un amant, pas d’hésitations, se serait toi
-Moi je te prendrais bien comme amante dès ce soir. J’ai envie de te comblé !
-Ca tu viens de le faire. Mais je crois qu’il est temps de rentrer chez toi, je penses que se serait dangereux que tu reste dormir ici
-Je m’en doute
Je l’embrassais de nouveau, entremêlant nos langues, puis on se releva tout les deux et on ramassait nos affaires :
-Euh, tu vois une objection à ce que je prenne une douche ici ?
-Au contraire, j’allais te proposer que l’ONT prennent une douche, après quoi, je te ramène chez toi.
On se dirigea alors vers la salle de bain, je déposais mes affaires sur le panier à linge, Victoria entra la première dans la douche, fit couler l’eau, je pris un instant pour l’observer toute mouillée, puis je la rejoignis.
Collée l’un contre l’autre dans cette atmosphère chaude, on commença a se frotter l’un l’autre, puis elle pris du gel douche et entrepris un minutieux nettoyage de mon sexe, après quoi, elle me demanda de faire pareil avec ses deux orifices. J’attrapais alors le pommeau de la douche tandis qu’elle se tournait en se penchait pour me faciliter l’accès, je passais alors le jet le long de sa croupe et glissait mes doigts dans sa chatte et son cul pour bien le nettoyer, cette petite séance lui arrachât encore quelques cris.
On se savonna ensuite mutuellement, je pris bien mon temps pour nettoyer ses seins et ses fesses, puis je frottais son dos, si je n’étais pas aussi crever, çà m’aurait bien mis en condition.
Elle sortie la première, se sécha rapidement et remis son peignoir qui devint transparent sur les zones encore humides, notamment ses tétons et ses fesses ? Je sortis à mon tour, elle me tendis une serviette et ajouta :
– Habille-toi, je vais me préparer en vitesse
Seul dans la salle de bain, je me séchais en vitesse puis me rhabillais avant de sortir sur le palier et je repérais la seule porte entrouverte, celle de la chambre de Victoria, j’y entrais et malheureusement pour moi, elle était déjà rhabillée, mais toujours aussi sexy. Elle m’aperçue et m’invita à entrer, Un lit à baldaquin occupait la plus grande place de la chambre et les draps étaient en soie blanche, idéal pour un petit câlin crapuleux, mais pas ce soir.
Une fois prête, on sortie de sa chambre et de retour sur le palier, je la plaquai contre le mur et l’embrassais passionnément, et c’est à ce moment que mon portable vibra : c’étai Sarah :
-C’est moi, tu es toujours chez moi ?
-Ben, ouai, je…j’ai du m’assoupir en t’attendant, mais si tu m’appelles si tard c’est que..
-Désolée, vraiment, mais c’est très important pour moi cette année.
-C’est bon, on remettra ça à l’occasion.
-Sinon, ma mère n’est pas encore rentrée ? Elle devait sortir pour nous laisser la maison
-Non, sinon elle m’aurait réveillé je pense
-Bon, tu peux lui laisser un mot de ma part, je dors chez Claire ce soir
-Ok, pas de problème…Bisous
-Oui, je te fais plein de bisous. Appelle-moi avant ton départ.
Je sentis alors Victoria, se plaquer contre mon dos, sa poitrine s’écrasant sur moi, elle me fit une de ses fameuses bise sur la joue. Elle me relâcha, me pris par la main et on descendit l’escalier, je l’aidais à enfiler son manteau, je mis le mien et 2 minutes plus tard, on était dans sa voiture. Ce trajet allait être mon dernier moment avec Victoria avant 3 semaines, et encore je n’étais pas sur de pouvoir la voir pendant les congés de Noel.
Sans hésiter, je mis ma main gauche sur son entre-jambe et la caressas, puis je cherchais désespérément quelque chose à dire :
-Ce soir, tu à été…enfin, je veux dire…Tu es…
-« Bonne », c’est le mot que tu cherches ?
Elle se mit à rire, puis profitant d’un feu rouge, elle suça son index puis l’introduis dans ma bouche, je le suçai à mon tour, et finalement, on arriva devant chez moi : le moment des adieux était venu.
On sorte de la voiture tous les deux, on était fin novembre et l’air était un peu frais, mais je m’en moquais, elle s’approcha de moi, je la saisie par les hanches et la collais contre moi, sans se lâcher des yeux, elle caressa ma joue et on fusionna une fois encore nos lèvres et nos langues dans un baiser tendre et chaleureux.
On se sépara lentement, toujours en se fixant : son regard était vraiment intense :
-J’oublierais jamais cette soirée
-Moi non plus, tu fus un amant mémorable
-Je veux te revoir !!!
Ma bouche avait fonctionnée plus vite que mon cerveau, je m’attendais à ce quelle le prenne mal :
-C’est très tentant, je mentirais en disant ne pas en avoir envie, mais une soirée comme celle-ci ne se représentera surement pas. Et puis, il y a Sarah.
-Je pourrais peut-être rompre
-Non !!Surtout pas, sinon là, c’est sur que plus jamais, on aura de raisons de se revoir !
Elle se mit à fouiller dans ma poche, en sortie mon portable et se mit à manipuler le clavier.
-J’ai mis mon numéro en mémoire, pour le nom j’ai juste mis un « v » majuscule
Elle sortie ensuite un papier et un crayon
-Met ton numéro dessus, Sarah utilise parfois mon portable, elle pourrait reconnaître ton numéro si je le mets en mémoire.
Je m’exécutai, repris mon portable, puis j’ouvrais son blouson, et je glissais le papier dans son décolté, sans qu’elle puisse réagir. Elle se colla à nouveau contre moi et se mis à murmurer à mon oreille
-Ne romps pas avec ma fille ! Moi aussi, je veux te revoir, qu’on puisse refaire l’amour comme ce soir, je t’appellerais pour te dire quand se sera possible.
Elle colla ensuite son front contre le mien, je voulu l’embrasser de nouveau, mais elle mit sa mains sur ma bouche et m’embrassa sur le front. Elle me lâcha et commença à retourner à sa voiture à reculons, je levais alors mon portable et pris une photo d’elle, elle me sourit, se mit au volant, je lui fis un signe de main qu’elle me rendit, après quoi, elle démarra et je l’a regardai s’éloigner.
Quand elle fut hors de ma vue, je retour nais chez moi sans bruit, verrouilla la porte d’entrée, fonçai vers ma chambre, pas de risques de croiser ma mère qui a le sommeil lourd. Je me déshabillais en vitesse, et me glissai dans mon lit. Il était 23h30, je devais prendre le train demain vers 13h, direction Bordeaux ou se déroulait mon stage et ou des amis de ma mère pouvaient m’héberger. Je passa un bon moment à observer la photo de Victoria, repensant à cette soirée dans les moindres détails, puis imaginant nos éventuels ébats futurs : j’en avais envie et elle aussi, Sarah ne voyait rien, on pourrait le faire devant elle, se serait pareil.
Finalement vers 1h du matin, je m’endormis et mon sommeil fut habité par les pensés de la plus belle créature de ma vie : Victoria.

Et voila, un premier récit de terminer ‘en moins d’une semaine)
J’espère vous avoir satisfait, je n’envisages pas de suite, mais plutôt de faire d’autres histoires,

écrit par roiducul le 08-03-2012

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