Ca fait quelques jours que nous déconnons dans le bureau sur cette visite médicale. Les hommes qui y sont allés ont été surpris que le toubib leurs tripote les testicules avec insistance pour déceler un éventuel problème. Les langues vont bon train et c’est vrai que l’on se marre à chaque fois que l’un d’entre nous revient du cabinet. Il y a deux camps : les partisans du « c’est une tante ! », minoritaires et moqueurs, et ceux du « c’est normal, c’est pour le cancer », majoritaires et honteux.
Moi, je dois avouer que je m’en fous un peu. 32 ans, une belle nana sexy, et cadre respecté de la boîte, on me prend à témoin pour attaquer tel ou tel célibataire menacé de « s’être laissé tripoté comme un pédé ! » mais rien de plus.
Le jour ou c’est mon tour d’aller à la visite, l’engouement pour « Docteur pelote couilles » est tombé depuis longtemps. Je n’y pense même plus lorsque j’attends patiemment mon tour dans la salle d’attente. Une femme maigre d’une quarantaine d’années , pas aimable du tout, vient me chercher pour les examens oculaires. C’est tout juste si elle m’adresse la parole et elle est particulièrement désagréable en apprenant que je n’ai pas envie d’uriner dans son tube à essais. Les tests des yeux finis, elle décroche son téléphone pour signifier au docteur que j’ai passé les tests préliminaires. Un grand type légèrement dégarni au visage avenant surmonté de lunettes à monture acier arrive et me tend la main :
_ Bonjour, monsieur Malard, je suis le docteur Vernier. Veuillez me suivre s’il vous plaît.
Je lui serre la main en contenant un sourire. J’espère qu’il s‘était lavé les mains après avoir tripoté sa dernière paire de roubignolles !
Il me dit d’entrer dans une cabine attenante au cabinet et de me mettre en chaussettes et en slip. Curieusement, je n’arrive pas à m’empêcher de penser qu’il va me toucher les parties et, à mon grand énervement, je sens poindre une érection bien gênante. Je n’ai jamais eu de relation homosexuelle et je peux dire honnêtement que cette éventualité ne m’a jamais excitée, loin de là. Pourtant, en retirant mon pantalon, je sens ma queue grossir de plus en plus à mon grand effarement. Je dois bien sortir de la cabine lorsque le docteur dit d’un ton un peu cassant :
_ Je vous attends, monsieur Malard.
Je rentre dans le cabinet, certainement rouge comme une pivoine. Le docteur me désigne une chaise. Il a mon dossier entre les mains et me pose des questions anodines sur ma santé, les passifs de pathologie éventuels dans ma famille… Finalement, il se lève et se dirige vers la table d’auscultation.
_ Allongez-vous sur le dos, je vous prie.
Je suis très mal à l’aise car ma bite est en semi érection et elle déforme mon slip sans équivoque. Tout en me palpant le ventre d’une main ferme, il me demande :
_ Vous faîtes du sport, monsieur Malard ?
_ Je n’ai plus vraiment le temps en ce moment. Avant, je faisais régulièrement du tennis et j’allais deux fois par semaine à la piscine.
Sans prévenir, il me regarde de ses yeux froids cachés derrière ses strictes lunettes, att**** les petites « poignées d’amour » disgracieuses qui bordent mon ventre sans douceur.
Je pousse un petit cri, plus de surprise que de douleur.
_ Allons ! coupe-t-il. Vous êtes douillet comme tout !
D’habitude, j’aurais envoyé ce taré se faire voir et j’aurais quitté le cabinet sur le champ. Je ne sais pas ce qui me prend lorsque je réponds :
_ Excusez-moi. Je ne recommencerai pas.
Il sourit. Un regard glacé et cruel. Je sais alors que je dois partir tout de suite ou regretter toute ma vie ce qui va se produire.
_ Je vais vous ausculter les testicules, maintenant.
Il baisse mon slip tout en continuant son monologue.
_ Les cas de cancer des testicules, surtout chez les hommes de votre âge, sont très fréquents.
Ma verge est énorme. Il palpe mes couilles comme s’il ne remarquait rien.
_ Il faut vous habituer à contrôler vous même ce genre d’anomalie éventuelle. Une grosseur incongrue peut apparaître et rapidement dégénérer.
Je tente de me maîtriser mais je sent que je commence à souffler un peu trop fort. Il continue sa palpation, de plus en plus brutalement.
_ L’un des symptômes les plus courants se traduit par une douleur vive lors des palpations.
A ce moment, il appuie beaucoup plus fort sur une de mes couilles et je ne peux réprimer un couinement de souffrance.
_ Vous avez eu mal, demande-t-il innocemment. Ou est-ce dû encore au fait que vous soyez une petite douillette ?
Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. Ce type m’humilie et je le laisse me presser les parties sans rien dire comme la dernière des tapettes. Et pourtant, je commence à aimer ce jeu pervers et malsain. Je sais que s’il frôle ma bite, j’éjaculerai sans pouvoir me retenir. Je ne suis plus moi même lorsque je réponds :
_ Vous m’avez fait un peu mal, docteur.
Je cris franchement lorsqu’il me pince cruellement le téton droit par surprise. Je vais protester lorsqu’il avance son visage à ras du miens et murmure :
_ Pas possible ! Là, ça a fait mal ! Vous voyez la différence ?
J’acquiesce silencieusement. Il reprend sa palpation. Maintenant je bande tellement que l’érection devient douloureuse.
_ Donc si vous avez eu mal, c’est qu’il y a peut être un risque, même infime, de lésion.
Il appuie à nouveau sur mes couilles jusqu’à ce que je gémisse à nouveau de souffrance.
_ Vous voyez, ricane-t-il. Je vous ai à peine touché.
Des larmes plein les yeux, complètement sous l’emprise de mon bourreau, je demande masochistement, en rajoutant au cruel jeux :
_ Vous croyez que c’est grave, docteur ?
_ Je n’ai malheureusement pas le temps d’approfondir la consultation aujourd’hui. Mais revenez demain à midi et je pourrai vous ausculter BEAUCOUP PLUS sérieusement.
En disant cela, il me fixe droit dans les yeux, de son regard sadique et dominateur. Il ajoute :
_ Nous serons tranquilles. C’est important car je serai peut être obligé de vous infliger un toucher rectal pour vérifier que le mal est localisé. Peut être même serais-je contraint de pratiquer quelques manipulations sur votre verge. Pour le moment, je ne dispose pas d’assez d’éléments pour vous donner un diagnostique sérieux. Rhabillez-vous et soyez là à douze heures trente précise… !
Il retourne à son bureau remplir les papiers et ne m’adresse plus la parole.
Alors que je remets ma chemise, je me dégoutte. Je sais que dans l’état d’excitation obscène où je me trouvais, il aurait pu me faire n’importe quoi. Je me vois à genoux devant lui avec sa queue dans la bouche et cette seule image suffit à me faire éjaculer dans la cabine. J’expulse une quantité hallucinante de sperme, le corps secoué de spasmes irrépressibles. Atterré à l’idée qu’il a pu m’entendre, je récupère une poignée de mouchoirs en papier dans la poche de ma veste et me met pitoyablement à quatre pattes pour essuyer ma semence qui englue le sol immaculé de la cabine. A ma grande honte, alors que je viens juste de tout essuyer péniblement, les mouchoirs saturés de foutre dans la main, je me retourne pour voir le docteur dans l’encadrement de la porte, un rictus amusé sur le visage, me tendant , d’une main une feuille d’aptitude, et de l’autre des kleenex :
_ Pour vous ! Et je crois vraiment que cette seconde consultation s’impose…
Écarlate, je quitte le cabinet.
Je passe le reste de la journée dans une sorte de brouillard diffus, comme pour occulter cette expérience aussi dérangeante que malsaine. De retour à la maison, je fais un point sur ce qui est arrivé. Je mets mon comportement sur le compte d’une faiblesse passagère et décide de faire l’impasse sur cette épisode de ma vie. A nouveau pragmatique et lucide, confiant en ma virilité et mon hétérosexualité, je baise ma copine avec fougue. C’est lorsque je viens de sortir ma queue tendue de sa chatte et qu’elle va s’asseoir sur moi pour enfoncer mon membre entre ses fesses pour une sodomie profonde, que je repense au docteur. Ma bite, déjà en érection, prend encore plus de volume au seul souvenir des mains qui palpaient brutalement mes testicules. Tandis que mon gland s’enfonce dans l’anus de Sylvie, j’att**** mes couilles et me met à les serrer jusqu’à ce que la douleur devienne insupportable, comme pour me punir de mes pensées troubles. Je fais alors basculer ma partenaire, la maintenant à plat ventre, puis je la défonce violemment, alternant son vagin et son trou du cul sans ménagement. Au départ, surprise par tant de brutalité, Sylvie tente bien de se débattre mais je l’immobilise implacablement, pilonnant ses orifices. La surprise et la douleur passée, elle s’abandonne à cette étreinte bestiale, m’encourageant à l’enculer toujours plus fort jusqu’à la jouissance finale. Repue, elle s’endort entre mes bras. Quant à moi, je n’ai toujours pas joui, la tête pleine de scènes ou le docteur m’ordonne d’exécuter des actes dépravant et immondes. Sans même toucher à mon sexe, ces images sales et avilissantes m’amènent à ma seconde éjaculation de la journée. Torturé par la culpabilité, je mets très longtemps à trouver le sommeil.
A suivre…
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