Douce travaille dans un établissement. Celui-ci s’adresse à des adultes, mais, comme pour tout étudiant, l’année se termine par des examens.
Mardi matin les résultats, Douce au téléphone me dit sentir les angoisses monter devant le hall qui mène à son bureau. Midi les résultats sont affichés, cris de joie, quelques silences je suppose.
Douce me rappelle en début d’après-midi :
« -tu sais le groupe que j’ai dû tant aider ?
-oui
-tous ont réussi, les 12 !
-ils doivent hurler de joie
-oui et …ils pensent organiser une soirée pour fêter ça
– ils ont raison
-ben, pour me remercier de les avoir aidés, en dehors de mon travail, ils m’ont invitée.
-oui, c’est gentil
-ça ne te gêne pas si j’y vais ? Parce qu’ils font un repas, je risque de rentrer un peu tard. Tu ne veux pas venir ?
-non, quand même, je n’en connais aucun et puis je suis crevé.
-bon j’essaie de ne pas trop tarder. »
Douce n’est pas enseignante mais, pour des adultes en formation, les démarches administratives sont souvent aussi périlleuses que des études.
Je mange donc seul ce soir, tôt ; regarde un film et, sitôt couché, sitôt endormi.
C’est une sensation toute douce et moelleuse qui me fait émerger. J’ouvre un œil, la lumière est éteinte, mais je sens une bouche qui s’est emparée de mon sexe, je bande alors que je suis encore endormi. J’allume, c’est Douce qui me suce, je m’en doutais mais que fait-elle encore habillée ?
« -ça s’est bien passé ?
-oui,
-il est quelle heure ?
-5 heures
-tu rentres à peine ?
-oui » soupire-t-elle ; je sens comme une gêne.
« -qu’y a-t-il ?
-après le repas, ils ont voulu fêter leurs réussites, on est allés chez l’un d’eux et ça a un peu trainé
-vous avez fait quoi ?
-un peu dansé, un peu bu
– vous y étiez tous ?
-au début oui, et puis les 2 filles du groupe sont parties avec leurs copains
-et ?
-on a continué, les 8 garçons et moi…. et ….
comme je dansais avec l’un d’entre eux, un autre est venu se coller derrière moi en dansant ; posant ses mains sur mes hanches. J’ai réussi à les tenir mais mon cavalier a alors posé ses mains sur mes seins. Je suis serrée entre eux deux, je lâche mes hanches pour le retenir …les mains du deuxième remonte sous mon chemisier.
– tu n’as rien dit ? à aucun des deux ?
– non, je voulais juste que ça reste correct
-et ?
– ils ont baissé la lumière, ne laissant que des veilleuses et j’ai senti qu’ils se rapprochaient de nous. La musique continuait et très vite deux mains se sont emparées de mes seins (je sais la capacité de ses tétons à se dresser au moindre contact, Douce a de petits seins mais très réactifs). Je ne sais qui dégrafait mon chemisier pendant que je sentais que l’on remontait ma jupe.
– tu n’as pas pu les arrêter ?
-non, le plaisir m’envahissait, en même temps ils étaient très doux, silencieux mais attentifs.
Une bouche s’est emparée de la mienne, je n’ai pas pu résister, sa langue m’a fouillé profondément mais avec une telle douceur, puis sa bouche est descendue, aspirant mon téton gauche, le gobant pleinement, des mains caressaient mon autre sein, combien je ne saurais dire.
Mon chemisier enlevé, ils ont dégrafé ma jupe, descendu mon boxer.
Aucune parcelle de mon corps n’échappait à leurs mains et j’avoue que j’ai écarté mes jambes au maximum pour que leurs mains me découvrent. Entre mes fesses, sur ma chatte, des doigts s’insinuaient dans ma fente découvrant mon plaisir qui suintait et la parfaite douceur de mon sexe que tu avais parfaitement rasé Dimanche.
« on peut rallumer ? »
Personne ne répondit mais la lumière revint quand même.
« -vous êtes belle, madame
-et si douce de partout,
-il en a de la chance votre mari
– depuis le temps que chacun rêvait de vous baiser
-faire l’amour, c’est pas pareil
-comment on fait, là, on est 8 ? »
Nous étions tous encore debout, l’un vint se coller par derrière contre moi, ses mains de mes seins à ma chatte entretenaient le feu qu’ils avaient allumé. Deux de ses doigts me pénétrèrent puis remontant ma fente trempée commencèrent à titiller mon clitoris. Sa bouche à mon oreille :
« – vous voulez qu’on vous baise ?
– oui,
-ensemble ou chacun son tour ?
-chacun son tour !
-ici, ça ira ?
-oui
-on va tirer au sort pour savoir dans quel ordre. Il y a des dés ici ?»
La banquette eut tôt fait de s’ouvrir. Je m’y assis, des mains sur mon épaule me firent m’allonger.
Le premier qui fit un « 6 » vint se présenter entre mes cuisses, se déshabilla ; sa raideur lui permit de mettre rapidement un préservatif (les malins, ils avaient bien mijoté leur coup). Couché sur moi, sans aucune aide de ses mains, il me pénétra, lentement mais sans s’arrêter, sa bouche ouvrit la mienne, ses mains malaxant mes tétons qui n’en demandaient pas moins.
Les miennes alors parcoururent son dos, ses fesses bien fermes, accompagnant les va et vient de son sexe en moi. Il me baisait et le faisait bien, sous les regards de ses copains qui continuaient à tirer au sort les tours suivants.
Il jouit, je jouis, il se retira, un autre le remplaça, me baisa et ainsi …
« -Tu te souviens de Jean ?
-oui, tu m’en as parlé, celui un peu rêveur mais beau gosse ?
-oui, il était le dernier du tour »
Il se mit au dessus de moi, m’embrassa, remonta et mis son sexe, avec sa capote enfilée sous mes yeux
« -vous voulez vous tourner ? »
Ce que je fis sans lui répondre. Sa bouche partie de mes épaules, descendit ; atteignit mon cul où elle s’infiltra entre mes fesses, ses mains sur mes hanches me tirèrent vers lui, me faisant mettre à genoux, il écarta mes fesses pour en lécher mon trou du cul. Le salaud, il avait de la vaseline, s’en enduisit un doigt qui me pénétra alors, lentement toujours. Sa bite que j’avais aperçue, longue certes mais pas trop large se présenta à mon anus, je m’ouvris à sa pénétration. D’un seul mouvement, un seul, il vint au fond de moi, y resta quelques secondes, se recula pour mieux y revenir et plus fort.
J’ai crié, fort mais c’était de jouissance. Alors sous les yeux de tous, je me faisais enculer et j’aimais ça. Quand il eut déchargé dans mon cul, un regret me vint, que la capote qu’il avait (et heureusement) n’avait pas permis à son sperme de m’inonder.
Quand il se retira, j’étais épuisée, me laissais retomber sur le dos.
« -vous êtes bonne, madame, on vous aime »
Quel plus bel hommage pouvais-je avoir ?
« Voila, tu sais tout ; je me suis rhabillée, je suis rentrée ; compatissants sur ma fatigue certains voulaient me raccompagner, mais je voulais être seule un moment avant de me blottir dans des bras.
-que comptes-tu faire, à leur propos ?
-rien, ils en ont fini avec le centre. Et puis ils ne m’ont pas violé, certes c’était un peu un piège, mais je n’ai jamais eu l’impression que je ne pouvais pas les arrêter ; je me suis laissé faire et j’ai aimé, beaucoup même.
-il est tard, tu devrais dormir
– oui, et puis demain, en fin d’après midi, il y a la publication des résultats d’un autre groupe, je dois y être pour les dossiers.
-ils sont combien dans ce groupe ?
-10, pourquoi ?-
Mais Douce s’endormit, d’un bloc, je ne pus faire pareil.
Demain ?
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