Les vacances approche et je suis impatiente de partir voir d’autre pays et faire d’autres expériences. J’adore le voyages et ces chocs culturels.
Alain mon mari, profite bien de mon épanouissement sexuel. Nous aimons faire l’amour dans de endroit insolite ou idylliques aux risques de se faire surprendre.
La dernière foi, on l’a fait dans la voiture le soir,au couché du soleil en bord de plage. Je l’ai sucé et il m’a pris en levrette.
Une foi, lors d’un repas de famille il m’a sauté en levrette dans la cuisine, alors que mes beaux-parents étaient dans la salle à manger.
Ces situations donne un extraordinaire piment à nos relations.
En repensant à nos dernières vacances au Maroc, j’ai hâte de repartir. Je n’avais pas pris bris beaucoup de vêtement vue la chaleur qu’il fait las-bas, deux pièces, string, mini-short et haut léger, même pas de soutif. Ca a commencé dans l’avion. Mon passager de droite, quand il s’est assis m’a littéralement déshabillé des yeux. Il engage rapidement la conversation. Mon mari écoute d’une oreille distraite mais a bien remarqué l’intérêt que cet homme portait sur mes cuisses nue et mon large décolleté. Je suis un peu gênée mais loin d’être insensible à ses regards. A un moment je dois me rendre au toilettes et frôle de mes seins mon voisin qui affiche un sourire satisfait. Un trou d’air me fait tomber sur lui. Il en profite pour mettre ses mains sur mes fesses, prétextant me retenir. Nos regards se croisent révélant nos troubles respectifs.
« C’est un vrai bonheur d’avoir une aussi ravissante voisine. »
« Merci, c’est gentil. »
Je rougis légèrement. A ce moment là, Alain qui somnolait, ouvre les yeux et, opportuniste dit ::
« C’est vrai, ton voisin a raison. T’es magnifique ma chérie. »
Dans le file de notre conversation, nous découvrons que nous descendons au même hôtel. Je suis ravie. En me baissant pour ramasser mes lunettes, mon décolleté s’offre à son regard. Bernard, mon voisin ne peut quitter des yeux ma gorge dévoilée. Je le regarde d’un air mutin. Mais l’annonce de notre arrivée coupe court à ce jeux subtile de séduction.
Arrivés à l’hôtel, je découvre une chambre luxueuse avec vue sur la piscine de l’hôtel. Je suis encore toute excitée par ce qui c’est passé dans l’avion. Appuyée sur la rambarde du balcon,je me cambre et profite du soleil. Je ne cois pas Alain qui s’approche. Il pose ses mains sur ma poitrine puis fait glisser mon short et ma culotte. Je pousse un soupir de plaisir et me cambre un peu plus comme un appel au sexe. Il sort sa verge du pantalon et me pénètre doucement sur ce balcon.
Nous jouissons ensemble en retenant nos cries pour ne pas attirer l’attention. Je me retourne et termine de nettoyer sa belle verge avec ma bouche. Nos corps sont trempés de sueur. Nous prenons une douche amoureuse et enfilons nos maillots pour profiter de la piscine.
Arrivée au bord du bassin, nous constatons que Bernard, mon voisin de l’avion est déjà entrain de se dorer au soleil Marocain. Nous nous dirigeons vers lui qui en nous voyant affiche un large sourire. Une foi de plus il ne peut détacher ses yeux de mon corps dont le petit deux pièce ne cache pas grand chose de mes courbes plantureuses. Au lieux d’être dérangée par ses regards insistants, avec mon mari à mes côtés, je commence en fait à prendre goût à ce jeux érotique.
« Quelle coïncidence ??? » Lance mon mari gaiement.
« Pouvons-nous nous installer à côté de vous ? »
« Avec plaisir, je vous en prie. Votre bikini vous va à ravir ! Vous êtes magnifique ! »
Je capte tout de suite le sous entendu de ses compliments. En m’installant dans un transat entre les deux hommes, j’observe sous mes lunettes fumées mon admirateur.
Ma séance de sexe avec mon mari me rend encore toute chose surtout quand je remarque que Bernard ne perd pas une miette du spectacle que j’offre en m’enduisant de crème solaire. C’est alors qu’il me propose :
« Voulez-vous que je vous passe un peu de crème sur le dos et les épaules ? »
Espiègle, et voulant aiguillonner l’intérêt de mon mari, je lui réponds :
« Pensez-vous que ce soit raisonnable alors que mon mari somnole à côté ? »
Bernard, très charismatique et sûr de son sexapil, se saisit du tube de crème et me demande d’une voix qui me fait craquer :
« Allongez-vous sur le ventre et détachez votre haut ! »
Il commence par les épaules et doucement descend vers mes fesses. Provocante, je lui lance :
« Quand vous aurez fini de reluquer mes fesses, vous passerez à mes cuisses ? »
Il rigole et me donne une tape sur la fesse avant de continuer son massage sur l’arrière de mes cuisses. Je me retient de gémir de plaisir sous ces caresses. La tête sur le côté, je peux voir aussi que je ne suis pas la seule à être sensible à ce passage de crème. Son sexe commence à être à l’étroit dans son maillot de bain. Me voyant indolente, ses mains s’aventure sous mon string de bain et malaxe mes fesses. Je pousse un soupir en écartant insensiblement mes jambes. Alain capte le manége et sourit en pensant à la suite. Je sens que je mouille et il doit aussi le deviner car ses doigts s’insinuent doucement vers mon intimité. Il regarde autour de lui pour s’assurer que personne le soupsonne de ses caresse plus intime. Mon mari fait semblant de dormir. Encouragé par mon attitude, ses doigts sont tout à coup comme aspirés dans ma fente juteuse. Là je ne peux réprimer un feulement bien audible et je tends ma croupe à la caresse. Quel bonheur de me faire doigter en public à côté de mon mari par un presque inconnu.
Tout en fouillant mon coquillage, il empaume mon sein gauche et titille mon téton. J’ai envie de prendre sa queue dans la bouche. Alain se redresse et demande à Bernard :
« Alors, elle est bien étalée la crème ? »
Bernard est un peu gêné et stop immédiatement ses caresses. Mais Alain poursuit :
« Et si nous allions boire un verre dans notre chambre ? »
Bernard accepte avec enthousiasme et nous voilà réunis autour d’une coupe dans notre chambre. Alain en trinquant lui dit :
« Alors ? Elle vous plaît ma femme ? »
« oui ! Elle est ravissante et très….. »
« Très chaude c’est ça ? Chérie pourquoi gardes-tu ce bikini ? Montre à notre ami comme tu est bien roulée ! »
Je n’attendais que que ça. Je me met au milieu du salon en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, le deux moment de tissus volent et je me retrouve nue sous les yeux avides des deux hommes.
Là, j’ai pris l’initiative. Je me suis rapproché de Bernard comme une chatte. Je lui ai ai caresser le visage. Puis j’ai enlevé son tee shirt et tout en embrassant ses tétons, j’ai descendu son maillot de bain pour libérer le diable qui ne demandait qu’à être libéré de cette contrainte. Alain nous observe et c’est l’envie qui le submerge plus que le piquant de la jalousie.. Ca l’excite de plus en plus de me voir m’occuper de cet homme devant lui. Je m’agenouille et enfin je peux déguster cette verge si convoitée. Je le suce goulûment, tout en massant ses couilles.Alain sirote son champagne en me voyant sucer notre rencontre de vacances. Agenouillée nue, mon cul cambré au regard avide de mon mari, une queue dans la bouche, Alain a bien du mal à ne pas venir me prendre le cul.
Alain n’y tenant plus, se glisse entre mes jambes et commence à me lécher l’abricot. Je me cambre plus pour accueillir la langue de mon mari et mieux lui offrir ma fente suintante de cyprine. Me gémissement sont éttoufé par la queue de Bernard qui s’active dans ma bouche. Je retire la verge de ma bouche pour implorer à mon mari de me prendre en levrette pendant que je continue de sucer Bernard.
« Alain ! J’ai envie de sentir ta queue ! Défonce-moi la chatte et fais-moi jouir comme une chienne!!!! »
Alain me pénètre alors en douceur dans mon écrin bien ouvert et lubrifié. Quel bonheur ! Il commence doucement ses vas et viens pour accélérer de plus en plus le rythme. Prise par ces deux hommes,je sens la jouissance monter en déferlante.
Puis Bernard a eu envie de me sauter. Alain est sorti de ma chatte et je me suis allongée, jambes écartées sur le lit. Il plonge sans difficulté dans mon antre lubrifié à souhait et se met à me buriner pendant qu’Alain, une idée derrière la tête agace mon petit trou. Il pointe alors son gland turgescent sur ma rondelle lubrifiée. Il pousse petit à petit et mon trou se dilate doucement. Bernard s’arrête de me défoncer le temps qu’Alain termine sa progression dans l’étroit conduit. Je grimasse un peu d’avoir ces deux gros engin en moi. Mais le plaisir est à son comble quand les deux hommes se mettent à me sauter en rythme. Je crie de plaisir sous leurs assauts. Je suis comme en transe et lance des insanités :
« Salauds !!!!!!!!!! Défoncez-moi comme une grosse chienne que je suis!!!! Je suis votre pute!!!!!! Votre salope!!!!!! Putain que c’est bon!!!!!!!!! Défoncez-moi par tous les trous!!!!!!!!!!!!!!! Faites-moi jouir comme une putain, gros salopards!!!!!!!!!!!!!…………. »
Mon orgasme explose avec une puissance que je n’aurais jamais pu imaginer. Les deux mecs se lâchent aussitôt en moi dans des grognement bestiaux.
Épuisés de temps d’émotions, Nous prenons un temps pour nos remettre et trinquons aux débuts de nos vacances avec notre nouveau partenaire de jeux. Ca a duré tout le temps de notre séjour au Maroc. Vous comprenez mieux pourquoi je suis impatiente de repartir maintenant ?
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