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ma voisine mature linda

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Linda est une femme de 37ans, brune aux cheveux mi longs et bouclés, des beaux yeux couleur noisette très profond duquel on a du mal à se sortir, d’une taille de 1m71, une silhouette mince, avec des petits seins de 85b mais bien ronds, de jolies longues jambes très douces remontant sur un joli petit cu (qui est la partie, avec ses lèvres dont je fantasme le plus dessus). C’est une femme très féminine qui a divorcé plusieurs fois et qui vis seule avec sa petite fille de 7 ans. Elle adore porter de belles robes moulantes avec de vives couleurs, des petites jupes et des petits hauts qui lui vont à ravir. Elle aime plaire et jouer de sa féminité.
Vous vous demandez surement comment j’en sais autant sur elle, c’est que nous avons toujours été très proches tous les 2 et nous le sommes encore. Je vais d’abord vous raconter comment mon désir pour elle m’est venu.
Comme tout jeune homme, les hormones travaillent, et je faisais et fais encore du foot en club, mes parents ne sont jamais occupé de mon sport donc c’est ma voisine linda qui m’accompagné aux matches et venait me voir jouer. Bien sur je la trouvais belle et souvent lorsque je le pouvais je la regarder, si belle et si charmante dans ses jupes et robes moulantes. Très souvent lorsqu’elle m’invitait à diner, je m’absenter prétextant aller aux toilettes pour sentir et caresser ses dessous quelle pendait sur du fil a linge dans la salle de bains. Des dessous très sexy et féminins, des soutiens gorge de couleur jaune, rose ou rouge, avec de jolis strings de maintes couleurs. Et le soir je me caressais sur des images d’elle plein la tête, et sur les photos que j’avais d’elle, et je vous prie de croire que comme elle adorait être prise en photos, je ne me gênais guère.

Un soir d’été pour son 36eme anniversaire que l’on a fêtais tous les 3 (sa fille était parti au lit), la petite soirée fut géniale, et Linda était sexy. Elle était vêtue d’un ensemble rouge (ma couleur préférée) avec un haut rouge collant sur ses petits seins qui laisse apparaître ses tétons et son dos totalement dénudé et une jupe rouge fendue sur le coté qui suivant comment elle est assise laisse entrevoir une partie de ton string rose et puis pour relever-le tout une paire de bottes noires bien hautes. Enfin bref la soirée était très bien, nous avons beaucoup parlé, puis nous avons décidé d’aller regarder un dvd, comme dans le salon le dvd marchait plus, nous avons du aller dans sa chambre. Nous étions cote a cote, semi allonge sur son lit, je ne pensais qu’a l’embrasser et lui avouer mon attirance, mon désir insensé pour elle. Elle me demanda si je pouvais lui faire un câlin et la serrer dans mes bras, je sentais un coup de blues la traversait. Je me décidais à la serrer contre moi, très tendrement en lui passant la main dans les cheveux.
Avec linda dans mes bras, je commençais de plus en plus à bander. J’avais trop envie de lui dire et d’oser.

La télécommande se situe sur la table de nuit à mes cotes, j’aurai pu la prendre mais la se produisit un rêve que je n’osais imaginer. Ma jolie voisine passa délicatement sur moi et s’arrêta a califourchon sur moi, la jupe bien disposée de façon a ce que son string touche directement ma bosse du jean. Le temps s’arrêta, je ne pouvais plus parler, a part la regarder, si sexy ainsi.

Etais je en train de rêver, m’avais t’elle dit vraiment cela. En tout cas, son jeu de bassin me rendait fou. Mais je cédais à ma jolie tante,

Je caressais enfin son dos et pouvait descendre jusqu’à ses fesses tendrement je les empoigner sur la jupe, Linda me caressait les cheveux, et le torse de ses longs ongles.

Avant que je finisse elle m’embrassa fougueusement et inséra sa langue tendrement dans ma bouche pour venir caresser ma langue, ma langue ne résiste pas beaucoup avant de lui rendre son baiser… elle tellement envie de moi que son baiser m’étouffa presque…hum…
Ç’en est trop pour moi… je décida de me livrer complètement à elle, à ses désirs, elle était si chaude. Pendant que je lui prenais la bouche, ma main continua de caresser ses jolies fesses. Nos langues ne se lâchent plus, elles s’enroulent l’une autour de l’autre. Je la prenait par les joues et l’embrassa dans le cou. Je caressai ses côtes, son ventre. Elle me plaqua la tête contre le lit et me viola presque la bouche de ses baisers fougueux. Je passa mes mains sous son haut moulant et caressa son ventre, ce qui la fait trembler et soupirer. Puis je les remonte vers ses petits seins en la débarrassant du haut. Elle se cambra de plus en plus sur moi. Je bandai très fort maintenant. Une de ses mains continua de caresser ma poitrine tandis que l’autre part s’aventurer sur ma ceinture et me l’opta. Elle gémissait quand je commença à lécher son cou, a descendre vers ses seins.Je les saisissait dans mes mains et les caressa, les pressa doucement.je les lécha, donna de petits coups de langues sur ses tétons, les prenait dans ma bouche. Elle caressa mon dos et m’embrassa sur le torse tandis que ses pieds poussaient mon jean pour me l’enlever. Je me retrouvai ainsi en boxer sous elle. Je mangeais ses lèvres tandis qu’une de ses mains s’aventura entre mes cuisses, et caressa ma queue sur le boxer de ses ongles. Pour ma part je commença à caresser sa chatte à travers ton string, elle poussa un petit cri de satisfaction et d’envie. Elle saisissait mes couilles sous mon sous vêtement qu’elle enlevai très vite. Son string devenait vite humide sous mes caresses et je fini par le mettre de coté tout en lui laissant. Elle attrapa ma main et suça un de mes doigt en me regardant avec un petit air de cochonne et en gémissant légèrement. Je l’embrassa, les lèvres, le creux du cou, les seins, le nombril et je descend jusqu’à me retrouver face à face avec ta petite fente épilée. Doucement je commençais à la lécher, à donner de petits coups de langues sur ton clito. Elle gémissait fort et se cambra en caressant ma tête et mes cheveux.

J’enfonçai le doigt qu’elle m’avait sucé dans sa chatte, tout doucement. Puis je commençai à la doigter. Elle cria car ce doigt dans sa fente lui faisait vraiment du bien et cette langue qui labourait son clito hum! Tout en lui faisant plaisir ainsi, je caressai ses seins, son bas ventre et ses cuisses. Je sentais sa mouille emplir ma bouche et j’adorai ça.

Je me mis a la regarder sans bouger, elle si belle, si sexy, en jupe a califourchon sur moi, le string décalé, son ventre, ses petits seins a nus qui pointaient, ses longs cheveux bouclés qui tombaient devant ses yeux . Elle était trop sexy, trop canon, mes sens, ma raison n’existaient plus, je la voulais.

Elle changea de position et se mettait sur le côté de façon à avoir accès à mon sexe. Elle prenait mes couilles dans une de ses mains et les pressa gentiment, les lécha un petit peu. De son autre main elle caressa le gland avec son pouce, le frein ce qui me faisait trembler de plaisirs. Puis elle branlait ma bite en entière, avec de lent va et vient en serrant bien son poing, tout en continuant de caresser mes boules de son autre main. Moi je lui caressai ses petits seins, lui caressant le dos. Elle se pencha un peu plus et lécha le bout de mon gland, lentement, elle avala le reste de ma queue et se mettait à la sucer très lentement, en enroulant sa langue autour tout en aspirant. Elle donna quelques coups de langue sur mon frein ce qui me faisait gémir, c’est si bon. Puis elle me rebranla, toujours lentement mais fermement, et me suça en même temps, en s’arrêtant par moment sur mon gland et mon frein car elle sentait que j’aimais ça, ma queue se rigidifiait encore un peu plus à chacun de ses coups de langue et elle aimait la sentir gonfler encore un peu dans sa bouche, sous sa langue. Puis nous nous redressons. Je la serrai dans mes bras.

Puis nous nous embrassions à nouveau. Je l’allongeais sur le dos, l’embrassais et caressais ses seins et sa petite chatte mouillée. Ma queue venait frotter contre sa fente et son clito. En gémissant, elle attrapa ma queue entre ses doigts et la guida vers l’entrée de ta chatte. Très lentement, tout en l’embrassant, je pénétrai en elle. Tout doucement, ma queue s’enfonça dans sa petite fente. Arrivé au fond, on s’embrassa encore et on se regarda dans les yeux. Puis, toujours lentement, je ressortais d’elle, et m’y enfonça à nouveau. Nous faisions ainsi l’amour, en nous regardant droit dans les yeux, nos visages à quelques centimètre l’un de l’autre, sans nous quitter du regard un seul instant. Je sentais son souffle dans mon cou, et elle le mien. On gémissait mais nos regards ne se lâchaient pas tandis que je la pénétrai de plus en plus vite. Ma queue glissa facilement dans sa chatte lubrifiée de sa mouille. Elle enfonçait ses ongles dans mon dos, dans mes fesses pour ne pas hurler de plaisirs. Mes va et vient étaient de plus en plus rapides et profonds. Mes couilles claquaient contre tes cuisses et ma queue cognait au fond de ta chatte. Elle gémissait de plus en plus en voyant des étincelles de plaisirs dans mes yeux sombres. Je caressais ses seins et son ventre. Ma queue gonflée à bloc s’enfonçait en elle.

Je l’embrassais, nos langues s’attiraient et entraient dans une danse endiablée. Elle s’appuyait fort contre mes fesses et croisait ses jambes autour de moi. Elle se mettait ensuite sur le ventre, relevant d’une main sa jupe.

Je les caressait du bout de la langue, je parcourait chaque centimètre de ses fesses, que j’adorai, tout en lui caressant le dos, je glissais ma langue sur sa raie et la léchait de haut en bas et m’attardant sur son petit trou. Je le titillait et le pénétrais du bout de la langue par des petits va et viens. Je sentais une envie folle de la prendre sauvagement. Soudain, je craquai. Je me relevais, la soulevais et la plaquais contre les barreaux du lit la mettant à 4 pattes. Je l’embrassais encore et encore. Elle claqua ses mains contre le mur et commença à gémir tandis que je commençais à caresser son anus avec mon index. De mon autre main, je caressais ses seins, les pressait dans ma main, tortillait ses petits tétons. J’enfonçai mon pouce dans son petit trou du cul. Elle cria de plaisir et d’envie.

Je donnai une claque sur ses cuisses, la tirait par les cheveux et viola sa bouche de baisers vigoureux pendant que je continuai de malaxer ses seins de mon autre main. Petit à petit, j’enfonçais ma queue grosse et dure dans son petit trou. D’abord le gland, puis la verge.Doucement, j’arrivai à l’enfoncer en entière dans ton cul, tout en continuant de l’embrasser en lui massant les seins et les tétons. Puis je ressortais ma queue, entièrement, et l’enfonçai cette fois tout d’un coup, bien au fond de ton cul, violement, jusqu’aux couilles qui claquaient contre ses fesses. Elle hurla de douleur et de plaisirs. Puis je m’accrochai à ses hanches, à ses fesses, à ses seins, et entrepris de lui labourer le cul. Ma bite frottai terriblement dans son anus, elle la sentait bien aller et venir au plus profond de d’elle, car ses ongles étaient plantés dans ma nuque. Ses fesses contre mes abdos, une de mes mains qui sa baladait de sa jolie chatte a son ventre plat, a ses seins, a son cou, et l’autre qui tenait ses doux cheveux bouclés du coté pour me permettre de l’embrasser et de lui titiller le lob des oreilles, ce qui la faisait encore plus gémir. A le regarder ainsi, elle n’en fut que plus belle encore.

Je la pénétrai de plus en plus vite, de plus en plus profondément, de plus en plus sauvagement et violement. Mes couilles claquaient contre ses fesses. J’aventurais une main contre sa chatte en même temps. Je branlais son clito, et enfonça deux doigts dans sa fente que je masturbai rapidement. Ma queue s’afféra à la défoncer. Je faisais des va-et-vient entiers, la sortant complètement et l’enfonçant entièrement. Elle allait jouir, je le sentais. Je la prenais ainsi encore un bon moment. Puis ses genoux se mirent à trembler. L’orgasme montait en elle. Elle se cambra et donna des coups de reins contre ma queue. J’accélérai encore le rythme, même si cela était difficile maintenant. Elle sortait d’une main ma queue et s’allongea sur le dos, et m’attira vers elle me chuchotant que je devais jouir en elle, dans sa petite chatte. Je m’y enfonçai facilement et reprenais la cadence en ne cessant de l’embrasser. Puis elle jouissait. Elle hurla longuement, alors que je continuais de la prendre. Son corps tremblait violement, ses jambes frémissaient. Son orgasme dura ainsi plusieurs dizaines de seconde. Je sentais le mien affluer. Je m’accrochais à ses hanches, jouant au plus profond de sa bouche avec ma langue et dans un ultime coup de reins, je m’engouffrais encore plus profondément en elle, mes couilles claquaient contre ses cuisses et mon sperme chaud jaillissait. J’ai jouis dans son doux et fabuleux vagin. J’étais sur un petit nuage, dans un autre monde, jamais je n’ai été aussi heureux de ma vie. Nous poussions tous les 2 un cri de plaisir étouffé par nos baisers. Nous restions enlacés quelque temps a nous caresser, a nous embrasser, collés l’un a l’autre.

Je la câlinais, lui donna de le tendresse et pleins de bisous et lorsqu’elle fut endormis, je la couvrais en m’attardant sur son visage. Je la regardais tendrement. Depuis linda et moi, nous nous revoyons toujours autant mais a part des regards et des jeux de pieds, je n’ose rien faire.

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