J’étais peinard chez moi. Me délectant de belles images de cul sur le net , je me branlais doucement pour ne pas partir trop vite. On sonna à la porte.
Maia et Virginie se tenaient devant moi avec une superbe black. Elles étaient déguisées en écolières. J’admirais leurs jupes carreaux, les chemises blanches a manches courtes , les cuisses offertes. Leurs grandes chaussettes..
Virginie s’était fait des couettes, Maia avait relevé son col et déboutonné son haut pour laisser ses voir ses minuscules seins.
Je dévisageais cette jeune black. Son énorme poitrine tendait le tissu. Assez grande, la coupe frisée, les lèvres pulpeuses, je devinais son cul bien cambré sur ses cuisses musclées. Ses yeux noirs me fixaient sans rien dire.
Elles crièrent « JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!! »
– Ba… C’est pas aujourd’hui !!
se faufilant toutes dans mon appart, Maia me rigola au nez.
Ah bon ? ça va être ta fête pourtant !
Euh.. avec plaisir ! Mais…
On a Calculé avec Virg. ça fait un an que tu la baise et un mois, jour pour jour, que tu m’as fait aimer la sodomie !
Virginie me tapota la joue affectueusement. « Tu pourras bientôt me sauter légalement, sois patient 🙂 »
J’avais la net impression qu’elles avaient pas mal picolé ce soir. Elles s’amusaient à prendre des poses de midinettes. Se chahutaient un peu. La black prenait plaisir à ça. Elle caressait les cuisses de Virginie, posait un baiser rapide sur Maia…. leur langues s’emmêlaient, leurs mains se glissant sous les jupes.
Leurs corps se frôlaient, je voyais leurs tétons pointés de désir à travers le tissu fin, un peu transparent. aucunes ne portaient de soutien-gorges manifestement.
Le cou de la black était déjà humide de la salive de Maia pendant que Virginie léchait langoureusement le lobe de son oreille.
Maia était déjà bien excitée. Reprenant son souffle elle vient vers moi et me prit par la main.
Bon ! je te présente Nathalie. Elle a 18 ans, ça va te changer un peu ! Elle adooooore les mecs de ton âge. Nathalie ? Dis bonjour au monsieur.
elle se colla a moi, sa main caressant mon entre-jambe. Ses lèvres bien rouges sur sa peau d’ébène s’écrasèrent sur les miennes Sa langue me chercha, explora les moindre recoins de ma bouche. Je saisi son gros seins lourd, plaquant mon autre main sur son cul pour la serrer contre moi au maximum. « bonsoir » me dit-elle.
je glissais mes mains sous sa jupe. elle ne portait rien en-dessous ! j’effleurais déjà sa chatte brûlante…
– Ah ouais ! Ca commence fort !
Mes deux amours étaient mortes de rire ! Dévoilant leurs culs, elles chantèrent « Nous non plus on a pas de culoooootes !!! «
Virginie s’avança vers moi en balançant ses hanches. Ouvrant sa chemise, elle se frotta contre moi.
– T’as de quoi nous remplir toutes les trois ?
Putain ! vous tapez fort ! C’est un sacré de challenge 🙂
On va t’aider t’inquiète.. ça te plaît ?
Déballant ma bite raide de désir, je lui roula une bonne gamelle. « Devine ? »
Elle m’emmène alors vers le canapé. Retire d’une main experte mon pantalon, me pousse sur les coussins, se met à genoux devant moi et commence par me lécher les couilles en me branlant doucement. Sa langue remonte lentement vers mon gland, les yeux fixés sur les miens. Ses couettes me rendent dingue. j’appuie sur sa tête pour qu’elle me prenne bien
Maia quand à elle, s’occupe de Nathalie. Elle la campe devant moi, retire sa jupe, écarte ses cuisses et s’agenouillant aussi, commence a la lécher.
Se retournant pour me regarder de façon espiègle, elle me montra cette belle chatte qui mouillait déjà de ses doigts experts.
C’est pas adorable ça ?
Splendide !
Elle avait les lèvres bombées, lisses, bien écartées. Le rose de son vagin tranchait avec le noir de sa peau. Son clito était assez gros. Maia repartit à l’attaque.
Nathalie s’était déboutonnée et se caressait les seins. les pressant l’un contre l’autre, tirant sur ses gros tétons. Les yeux mi-clos, sa bouche entre-ouverte laissait passé des petits cris rauques.
Virginie me travaillait a grands coups d’aspiration. Elle s’occupa de mon cul. Crachant sur ses doigts, elle me les enfonça d’un coup ! Surpris je me contractai. Ma bite au fond de sa bouche, mes couilles tapèrent ses lèvres.
Tu aimes ?
Oui…Oui, continues
Plus ?
Hein ?…. Vas-y oui !
Tout en continuant à me sucer, elle s’enduisit la main de vaseline qu’elle avait caché en prévision 😉
C’était la première fois qu’on me fistait. Heureusement que ses mains étaient petites, je n’en aurais sûrement pas supporter plus ! Fermant les yeux, je m’abandonnais à cette nouvelle sensation. Mélange de plaisir et de douleur. la chaleur de Virginie enveloppant mon sexe, je la sentais me fouiller à fond..
ça devenait torride. Nos halètements, les bruits de succion m’excitaient encore plus !
« qui s’occupe de moi ? » Réclama Maia. « viens là » lui répondis-je. Assise face à moi, se tenant à mes épaules, elle s’empala. La tête en arrière, sa langue se léchant les lèvres de plaisir, elle bougea son bassin d’un rythme soutenu. Ses petits seins tendus attendaient que je les morde ce que je fis avec plaisir mes mains pétrissant ses fesses.
Nathalie et Virginie nous rejoignirent sur le canapé. Leurs bouches exploraient la moindre parcelle de peau de l’autre . Se doigtant mutuellement, leurs corps se cambraient de désirs. J’admirais leur jeunesse, cette fougue avec laquelle elles s’abandonnaient à leur fantasme. Quelle douceur sous ma main !
De l’autre, je fouillais le cul de Maia, sentant ma bite à travers elle.
Perdu dans mon plaisir, je lui inondais la chatte…
Oh merde ! Excuses moi !
T’inquiète ! Deuxième surprise, je prend la pilule rien que pour toi maintenant ! Mais bon… On a pas fini nous ! On va dans la chambre les filles ?
Se prenant par la taille, les voilà parties. Captivé par leurs petits corps, je les suivi, le sourire béat. « C’est le paradis ! » pensais-je.
Elles se jettent sur le lit, commencent à retirer la chemise de l’autre en se roulant des pelles. Je les arrêtais tout de suite « Non ! s’il vous plaît. ça m’excite de vous voir avec ! »
Nathalie, la chemise rejetée sur ses épaules, agita son orgueilleuse poitrine sous mon nez. « C’est vrai que vous êtes un sacré pervers ! » rigola-t’elle.
leurs corps s’emmêlent, se frottent, froissent mes draps. Maia suce les seins de Virginie. La langue de Nathalie s’enfonce dans le moindre trou qui passe.. Ce n’est plus que volupté… L’une s’allonge, l’autre s’assoit sur son visage, la dernière dévore ces chattes en se doigtant nerveusement. Chacune pense au plaisir de tout le monde… l’odeur de leurs sexe remplie ma chambre.
Assis dans un coin, admirant le spectacle, leur petits cris comme une douce musique à mes oreilles, Je me caresse, sentant ma bite se durcir de nouveau. Enfin prêt, je me dirige vers elles.
Maia me fit un clin-d’oeil « Ah ? C’est reparti les filles ! allez hop ! à genoux ! »
Les voilà devant moi, les corps bien cambrés, les mains écartant leur fesses au maximum. « Tu veux laquelle ? » Rigolaient-elles. « Honneur aux invités » répondis-je en saisissant Nathalie.
Son vagin m’aspire totalement, ses fesses claquent sur mon pubis de plus en plus vite. Je me penche pour saisir ses seins lourds. Les deux autres restent à quatre pattes à côté de nous. Se branlant furieusement, leur bouches avides cherchent celle de cette fantastique black. Leurs jus coulent le long des cuisses.
Me redressant, je ne me lasse pas de caresser leurs fesses offertes, mes doigts les enculant au hasard.
Je n’y croyais pas. La prochaine fois, je filme le tout !
La pression monte, je vois des rigoles de sueurs coulé sur le dos de Nathalie. Sa tête penchée en arrière, je saisi ses cheveux en tirant bien fort.
Nos cris de jouissance se mêlent. « BAISE MOI ! BAISE MOI ! » crie-t’elle ! Mes deux amours rient et halètent en même temps. Leurs regards fiévreux cherchent le mien.
Nous finîmes par jouir tous en même temps. J’éjacule sur ce cul d’ébène. Maia, comme à son habitude, s’empressa de le lécher.
Epuisés, nos corps serrés les uns contre les autres, on se délectaient de l’odeur de nos sueurs. Le bout de nos doigts frôlaient ces chairs offertes.
Virginie se redressa, le sourire aux lèvres. « ça vous dit une douche tout les 4 ? »
…. bon….Ba c’est reparti !
Fin (pour l’instant…)
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