… Lors de mes travaux ménagers quotidiens, il arrive que je surprenne ma salope de mère en train de se goder, cuisses bien ouvertes, sur le canapé du salon devant un dvd X. Cette sale aguicheuse prend un plaisir très sadique à me torturer l’esprit par ses plaintes jouissives et ses poses d’une provocante obscénité. L’appareil de contention que je porte entre les jambes me fait alors atrocement souffrir et il m’est pourtant impossible de détourner les yeux des prestations impudiques de cette perverse nymphomane dont les joies égocentriques sont décuplées par ma présence, je le sens bien.
Objet sexuel du père, je n’ai aucun droit en retour quant à la manifestation de mes besoins. Mon statut d’esclave m’interdit la moindre revendication personnelle. Mon existence est réduite à un corps désirable dont la cérébralité se doit d’être au service des fantasmes du couple parental. Il n’est pas suffisant, aux yeux de mes parents, que je me contente de subir leurs abus et les maltraitances en tout genre. Je dois aussi m’arranger pour y prendre un réel plaisir masochiste visible. Sur ce point crucial du contrat exigeant qui me lie à mes parents, je n’ai vraiment pas de difficultés. Je peux même affirmer que je ne pourrais pas vivre sans ce type de conditionnement pervers et très strictement défini par eux.
Ma mère, qui a elle-même rédigé une bonne partie des termes du contrat, s’amuse à tester mes résistances et la conformité de ma conduite aux règles de vie familiales. Mes érections contrariées l’excitent autant que mes maladresses et mes rougeurs émotives lorsqu’elle se met en tête de stimuler la sensualité de son fils. Ce qui accroit considérablement l’intensité de ses orgasmes, outre son penchant exhibitionniste et i****tueux évident, c’est le jeu de privation sadique qu’elle m’impose rendu si douloureux par l’appareil de contention dont mon père est le seul à posséder la clé. Incapable de contrôler un furieux et soudain désir, je suis, dans ces moments-là, contraint d’avoir mal en la regardant faire. Je crève d’envie de venir la prendre, de l’enculer, de lui gicler dedans et elle le sait, cette goule! Paradoxe étrange et étrange tentation que d’avoir sous ses yeux les grimaces et le corps maternel en transes sans pouvoir faire autrement que d’être, comme Tantale, au supplice des hallucinations!
Il me sera, comme toujours, seulement permis de lui sucer le clito (et uniquement à sa demande!) ou de lui caresser les lèvres vaginales trempées, les hanches ou les fesses, de sentir sous mes doigts trop nerveux ce corps de déesse brûlant et palpitant de vie, de l’embrasser à pleine bouche avec une fougue sans nom pendant qu’elle se fera jouir toute seule. seul un jeune homme ayant la chance inouïe de pouvoir palper sa propre mère, frémissante et tremblante sous lui, sait de quel degré d’excitation amoureuse je parle… Vous pouvez alors imaginer ce que je peux éprouver quand de telles scènes intimes se reproduisent pendant que mon paternel, cette fois très présent, me fait le cul en levrette, sur le grand lit de la chambre conjugale!
A suivre.
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