On frappe à la porte. Qui cela peut-il bien être à cette heure-ci? Tu émerges péniblement des limbes. Tu t’accoutumes peu à peu à ton environnement et tu réalises que tu n’es pas chez toi. Puis d’un coup, la soirée d’hier te revient en mémoire et tu sais où tu es. Tu réponds un oui encore brumeux en te levant. La voix à la porte te dit qu’il est temps de te préparer pour le boulot. Tu as beau avoir sucé ton patron, ça n’évite pas d’aller travailler. Aucun avantage, zut! Par contre, le petit déjeuner était prêt. Jus d’orange, croissants, café, confitures, beurre, baguette fraîche, tout y était. Toujours vêtue de ta nuisette un peu chiffonnée, tu t’es attablée et déjeuner avec appétit. Ton patron est sorti de la salle de bain, t’a tendu un paquet de vêtements en te disant que la place était libre.
En ressortant de la salle de bain tu retrouves ton patron au salon et tu lui dis que tu supposes qu’aujourd’hui non plus tu ne dois pas mettre de string. Non, en effet, pas de string répond-il et même mieux ajoute-t-il en te tendant un objet, tu vas me mettre ça dans ton cul pour aller au boulot et tu le garderas jusqu’à ce soir, compris? Tu dis oui Monsieur sans savoir encore ce qu’il te donnait. Ce n’est qu’une fois dans ta main que tu découvris un « plug » de belle dimension. Vous voulez vraiment que je mette ça, Monsieur? Lui demandes-tu. Toute la journée, au travail, partout? Insistes-tu. Ben oui, c’est exactement ça et dépêches-toi, on va partir. Tu att****s le flacon de lubrifiant qui était resté sur la table basse du salon et tu retournes dans la salle de bain. La fête continue! Te dis-tu en maugréant. Puis tu t’accroupis, tu mets du gel sur le bout de tes doigts et tu prépares ton orifice, pourtant bien malmené hier soir. Ensuite tu en mets aussi sur le « plug » et tu l’enfiles doucement, avec quelques grimaces de douleur, dans ton trou du cul devenu glissant. Tu t’es relevée, as esquissée quelques pas, la « chose » s’est mise en place et tu es ressortie une nouvelle fois de la salle de bain en marchant quasi normalement. Ton patron t’attends déjà dans l’entrée, tu saisis ton coupe-vent et ton sac au passage et vous montez dans sa voiture. Il démarre, recule et s’engage dans la rue. Vous roulez en silence puis après quelques détour dans la ville, il s’arrête devant la gare des bus. Tu prends le bus dit-il, on ne doit pas arriver ensemble. A tout à l’heure. Oui Monsieur, dis-tu et tu descends. Tu repères ton départ de bus et d’ailleurs, celui-ci arrive aussitôt. Tu montes, cherches une place libre et vas t’assoire. Drôle de sensation cette chose qui se fait ressentir lorsqu’on s’assied. Mais tu ne laisses rien paraître, même si, curieusement, ce n’est pas si désagréable que ça. Comme tu as un bon vingt minutes devant toi, tu en profites pour m’appeler sur ton mobile. Bien sur tu ne peux pas me raconter ta soirée, vu ton environnement. Mais je te dis que tu ne perds rien pour attendre et que je veux tout savoir dès ce soir. Tu me dis oui en espérant bien sur que ton patron te laissera rentrer cette fois-ci.
Tu es à ton bureau depuis un bon moment déjà lorsque ta copine vient te débaucher pour aller prendre un café au distributeur. Apparemment, rien ne se remarque dans ta démarche. Ta robe légère ne te colle pas à la peau mais tout de même, on pourrait peut-être découvrir quelque chose de bizarre. Mais non, on ne te dit rien. Vous êtes là toutes les deux à siroter votre café lorsque le patron fait son entrée. Salut les filles lance-t-il jovialement. Bonjour patron répondez-vous en chœur. Ah, au fait, dit-il en se retournant sur toi, vous viendrez à mon bureau après votre café. Bien Monsieur réponds-tu en rosissant, mal à l’aise. Tu tournes le dos à ta collègue afin qu’elle ne voit pas ton trouble. Tu jettes le gobelet devenu inutile dans la corbeille et tu disparais dans le couloir, sur les talons du patron. Tu rentres machinalement dans ton bureau et refermes la porte discrètement. Instinctivement tu vérifies que le « plug » est bien à sa place. Tu ne veux pas être prise en défaut et te retrouver avec une punition insensée. Tu as décidé de jouer le jeu. En tout cas jusqu’à un certain point. Un point que tu ne connais pas encore d’ailleurs. Tu n’as aucune idée de ce qu’il se mijote dans la tête de tes deux bourreaux. Mais tu te dis que tu le sauras lorsque le moment sera venu. Mais quelque chose te dit que tu as confiance en ton mari, que tu l’aimes, qu’il t’aime et que quoi que tu en dises, tu es prête à faire beaucoup pour lui faire plaisir. Tu dois bien te l’avouer aussi, même si on t’a forcé la main, tu as aussi pris beaucoup de plaisir hier. Tu te dis que tu vis une aventure pleine d’imprévus, de surprises, de rebondissements. Au moins ta vie n’est plus monotone, même si elle n’était pas triste auparavant, là au moins, elle est plus qu’agitée. C’est donc ragaillardie que tu pénètres dans le bureau de ton patron. Vous m’avez demandée Monsieur? Demandes-tu quand même un peu craintive. Oui! Répond-il d’un ton sec. As-tu conservé ce que je t’ai confiée? Fais-moi voir ça, approches! Tu fais les quelques pas qui te séparent encore du bureau et te voilà devant ton boss, offerte, résignée, obéissante, consentante. Soulèves-moi ta robe! Exige-t-il. Tournes-toi. Il peut ainsi voir que tu lui as obéi. Que l’objet est toujours dans ton anus qui se dilate un peu. Il tire un peu dessus et le remet en place en te claquant une fesse. Très bien, dit-il, je suis content de toi. Pour te récompenser, aujourd’hui tu peux aller aux toilettes quand tu veux et ce soir, tu rentres chez toi. Mais tu devras m’appeler pour que je t’autorise à retirer le « plug », compris? Oui, Monsieur, très bien, le remercies-tu. Mais n’oublie pas pour autant que tu dois m’obéir à toute heure conclue-t-il. Il est tout à fait possible que j’ai besoin de toi dans la journée, allez, file à ton bureau, c’est tout pour l’instant.
En allant déjeuner avec ton amie et collègue, tu as l’impression que tout le monde te regarde bizarrement. Tu crois que tous s’aperçoivent que tu marches avec un truc dans le cul. D’ailleurs il ne te dérange pas vraiment, c’est même le contraire maintenant que tu t’y es habitué, tu trouves même ça excitant. Le jus qui sourd de ta fente en témoigne. C’est un peu comme les boules de geisha que tu avais testées une fois au boulot. Personne ne se doutait que tu avais ça dans la chatte et toi tu mouillais culotte sur culotte, en te retenant pour ne pas gémir en public, voir même jouir. Mais le repas se passe très bien. Vous discutez de choses et d’autres. Tu es même plutôt enjouée et ta copine te le fait remarquer. Tu dis que oui, ça va bien, tu es heureuse, il fait beau et chaud et c’est bientôt les vacances. Tu ne le dis pas à ton amie mais tu penses que pour toi les vacances, c’est aussi échapper quelques temps à certaines contraintes. Enfin, tu l’espères, allez savoir, avec ces deux pervers!
Le soleil est toujours là quand vous sortez du restaurant. Vous retournez à votre travail en devisant gaiement et en riant, comme deux collégiennes qui font l’école buissonnière. Au pied de l’ascenseur, le liftier vous fait son habituelle blague plus ou moins salace, et vous vous engouffrez dans la cabine en pouffant comme des gamines. En arrivant chacune à votre bureau, vous avez retrouvé votre sérieux, surtout toi Annabelle qui te demandes alors ce que sera l’après-midi. Tu te remets à l’ordinateur et le froid de la moleskine te rappelle, en t’asseyant, que tu es nue sous ta robe. En position assise, tu sens également le « plug » te rentrer un peu plus dans l’anus et te le dilater d’avantage. Mais tu te concentres à nouveau sur ton dossier. Le temps passe sans que tu ne regardes la pendule lorsque ton interphone crépite. La voix que tu reconnais immédiatement te demande de venir dans son bureau de suite et d’une manière plutôt impérative. Un coup d’œil à ta montre, il est presque 17 heure. Tu abandonnes clavier et souris, te lèves et vas frapper à la porte du Maître. En pensant à ce mot, ton corps est parcouru d’un frisson. Mais en même temps, une drôle de sensation te vient de ton bas ventre. Commencerais-tu à y prendre goût te demandes-tu alors que tu pénètres dans son bureau? La réponse ne te vient pas que déjà il te dit d’approcher. Tu es à côté de lui. Tu touches même le bras de son fauteuil. Il passe une main sous ta robe, par derrière. Te flatte les fesses et va vérifier que tu as toujours ce truc dans le cul. Il tire un peu dessus puis le remet en place. Il explore plus avant et découvre avec bonheur que ta chatte est humide. Et alors petite cochonne?! Te dit-il, la salope qui est en toi se serait-elle réveillée? On dirait que tu te régales d’avoir ça dans le fion? Je me trompe? Hein? Réponds-moi demande-t-il en te claquant les fesses. Non Monsieur, vous avez raison. Réponds-tu d’une petite voix honteuse, je m’y suis habitué et il est vrai que ça m’excite. Bien, bien, parfait s’exclame-t-il satisfait, on va pouvoir évoluer alors! Et en disant cela, il att**** son téléphone et tu n’es même pas surprise quand il t’annonce que c’est moi qui suis au bout du fil. Salut me dit-il, je suis avec ta femme dans mon bureau et figure toi que je viens de découvrir, à l’instant, que cette pute prenait du plaisir à se balader avec son « plug » dans le cul! Tu le crois ça? Je réponds que la seule chose qui me surprenne c’est que ça arrive si vite. Sinon je ne suis pas vraiment étonné. Alors me dit-il en reprenant la parole, ce soir elle rentre chez toi comme prévu. Tu lui retireras le « plug » et tu lui mettras à la place ce que je t’ai confié. Au moins jusqu’à ce qu’elle se couche. Pour le reste tu fais ce que tu veux. Demain elle le remettra pour venir au boulot comme aujourd’hui. Voilà, sur ce je te laisse parce que ta pute va me sucer maintenant, allez, bye, à plus. Ton patron raccroche son téléphone, pousse sur son bureau pour faire reculer son siège à roulettes et pivote, jambes écartées, bien calé sur son dossier de cuir. Alors, qu’attends-tu? Dit-il sévèrement, tu n’as pas entendu? Occupes-toi de moi, j’ai une grosse envie de te jouir dans ta délicieuse petite bouche de salope!
Ajouter un commentaire