Mirna et Pablo (quatrième partie)
– Tout ce que j’ai lu dans le rapport… Ils disent que tu l’obligeais à faire certains trucs
– Ils disent, ils disent… Ce sont eux, les docteurs, qui l’ont soumis à cet interrogatoire, complètement dirigé, manipulé…
– Tu penses, Mirna, qu’ils ont tout inventé ?
– Non… Non. Seulement, je voulais dire que les choses ce sont passées autrement… De façon plus naturelle, tu comprends ?
– Tu veux dire que tu ne le forçais pas, c’est ça ?
– Oui, on peut dire que c’est comme ça…
– Quel âge avait-il la première fois que tu… ?
On était à la cafétéria, dans un grand centre commercial. Pablo regardait les rayons des jeux vidéo. Après notre échauffement dans la salle de bain, Mirna s’était montrée, à mon égard, beaucoup plus câline, cherchant à m’embrasser à plusieurs reprises. Elle me prit les mains dans les siennes et répondit :
– Douze…
– Putain ! Oups ! Pardon… Que douze ans ?
– Oui ! Je suis entrée dans sa chambre et il était, là, sur son lit, en train de s’astiquer… Pour ça, il était très précoce.
– Et c’est là que tu t’es dite, je vais t’aider, mon petit ange d’amour, hein ?
– …
– Tu ne réponds pas, Mirna ? Ton silence vaut une affirmation, c’est ça ?
– Sandra… Quand il me vit, il stoppa le mouvement de sa main, mais ne fit rien pour se couvrir ou se cacher de moi…
– Et, alors…
– A l’époque, on dormait déjà ensemble et j’avais déjà senti ses érections contre mon dos ou contre mon ventre…
– Salope… Continue !
– Et, quelques fois, il se frottait contre ma chemise de nuit… Et… Sandra, la première fois qu’il avait éjaculé, je crus qu’il venait de faire pipi au lit… J’avais le bas de ma chemise de nuit trempé !
– Hyperspermie, ouais, j’ai pu le constater… Dans sa chambre, ne perds pas le fil !
Je ne l’avais pas vu venir. Marc, le pêcheur voyeur, s’était approché de notre table :
– Bonjour, Mesdames !
– Tiens, tiens ! Monsieur le pêcheur du petit matin !
– Je ne vous avez pas reconnue tout de suite… habillée ; dit-il avec un irrésistible sourire moqueur dessiné sur ses lèvres. Et vous, Madame, vous êtes…
Je fis les présentations et constatai agréablement qu’une espèce de courant de sympathie s’était établit spontanément entre les deux, Mirna, qui rougit comme une adolescente, et Marc, qui ne quittait pas des yeux le décolleté de mon amie. Celle-ci lui proposa :
– Vous prenez un café avec nous ?
– Désolé… j’ai encore pas mal des courses à faire et un rendez-vous médical…
– Oh, rien de grave, j’espère, dit Mirna, me surprenant par son intérêt sincère pour ce parfait inconnu.
– Rien de grave, Mirna…Je vous verrez ce soir, au bal ?
– Quel bal ?
– Ha ! Je t’ai rien dit, chérie… Marc m’a expliqué qu’il y a un bal au village, ce soir, avec orchestre
– Vous aimez danser, Mirna ?
– J’adooore ! Mais, hélas, j’en ai rarement l’occasion…
– A ce soir, alors…
Il allait partir quand nous vîmes Pablo arriver vers nous, trois ou quatre coffrets de jeux vidéo dans les mains. Et un agent de sécurité à côté de lui. Mirna comprit tout de suite ce qui s’était passé. Elle se leva et alla à leur rencontre. Marc regardait la scène sans rien dire :
– Excusez-nous, Marc. Le garçon est le fils de mon amie. Il est autiste.
– Vous n’avez rien de quoi vous excuser. Maintenant, je comprends… En fait, c’est moi qui dois s’excuser de vous avoir importunées… Vous aviez l’air d’être plongées dans une conversation très sérieuse.
Marc, il avait un sixième sens pour capter certaines choses qui, pour la plupart, auraient passé inaperçues. Je mis un temps pour lui répondre. Je le regardai droit aux yeux :
– Vous me plaisez, Marc… Et à mon amie, aussi.
– Vous aussi, vous me plaisez, les deux… Et pas qu’un peu ! Vous irez à la plage, cet après midi ?
– La nudiste ?
– Oui, pourquoi pas… Je sais que vous y seriez plus à l’aise.
– Vous en savez, des choses !
Il est, finalement, parti. Nous nous sommes donné rendez-vous devant la Mairie du village, à 20h30, au cas où l’histoire de la plage ne nous permettait pas de nous revoir plus tôt. Je l’observais s’éloigner, la figure élancée, une certaine nonchalance en marchant ; beau et sur de lui. Et mon minou se mit à jaillir, criant dans son for intérieur : je le veux, je le veux !
Somme toute, nous ne sommes pas allés à la plage. L’après-midi, un orage d’été s’était défermé sur la zone. Mirna, après s’être excusée devant le surveillant du magasin, avait obtempéré de lui en acheter deux des quatre jeux-vidéo qu’il avait pris des étagères. Donc, nous avions mangé quelque chose et, ensuite, Mirna est partie se reposer dans leur chambre. Pablo, contrairement à ce que je m’attendais, ne la suivit pas. Il n’avait qu’une chose dans la tête. Hélas, rien à voir à celle que j’avais dans la mienne.
– Veux-tu jouer avec moi ?
– Tu sais, Pablo, je suis nulle avec les machines
– Je t’apprendrais… Je ne suis pas nul, moi
– Et bien, jouons ! Mais, avant, je vais me mettre à l’aise
– D’accord… Je vais installer le jeu… Tu connais Call of Duty ?
– Non, Pablo… Qu’est ce que c’est ?
– Le jeu ! Dis-donc, tu es un peu bête, toi !
Il se mit à rigoler tout seul, heureux de me savoir ignare, sur qu’il allait me battre sans aucune pitié. Moi, je me suis levée et suis entrée un instant dans la chambre pour voir Mirna et lui parler. Elle était nue, sur le lit ; elle lisait :
– Tu ne voulais pas faire la sieste ?
– Non… je voulais être tranquille, une petite heure
– Ah, bon ? Et Pablo ?
– Il est avec toi, non ? Profites-en !
– Tu parles ! Il veut jouer à je ne sais pas quelle connerie… D’ailleurs, il m’attend…
– Sandra, je sais que tu te débrouilleras très bien pour jouer à autre chose, avec lui.
– OK… J’y vais, alors… Je vais mettre quelque chose qui aiguise son attention !
– Bien, ma cocotte… Mais, en premier, embrasse-moi encore une fois, s’il te plait.
Ce que je fis. Je posai mes lèvres sur sa bouche, qu’elle entrouvrit pour, avec sa langue ouvrir la mienne, tandis que ses bras m’attiraient sur elle. Du coup, je me suis trouvée, couchée à son côté et ma main, d’instinct, se dirigea vers son vagin. Elle écarta ses grosses cuisses et mes doigts trouvèrent sa fente et s’y enfoncèrent. Sa bouche s’écarta de la mienne et Mirna se mit à geindre voluptueusement. De la salle à manger, arrivaient les bruitages et la musique tonitruante du jeu vidéo.
– Fais-moi jouir ! Ouiiiii ! Fais-moi jouir, encore une fois !
J’aurais pu lui mettre ma main entière, tellement elle était ouverte et lubrifiée. Mais je me suis contenté de quatre doigts, incurvés vers le haut, lui frottant la paroi supérieur de son con, cette partie rugueuse où, selon certains spécialistes, se place notre point G . Un excitant bruit de succion et une forte odeur de sexe envahirent l’air de la chambre. Mirna se frottait le clitoris à cadence infernale.
– Oh, mon Dieu ! Que c’est booonnn ! Je vais… ffffff… jouiiiiirrrr !
Ce que le matin, dans la salle da bain, n’avait été qu’une impression, là, en ce moment précis, venait de se confirmer. Mirna était une femme fontaine ! Pas des jets exagérés, comme on le voit dans certains films ; non, c’était plutôt comme une éjaculation copieuse, d’un liquide transparent, similaire au sirop que l’on trouve dans les broîtes de pêche ou d’ananas.
Je sorti ma main de sa chatte totalement trempée de ce jus de femme. L’approchai de ma bouche et suçai la paume et mes doigts. Pas de gout particulier, rien qu’un peu acidulé. Mirna restai les jambes écartées, les bras étendus le long de son corps, les mains vers le haut, haletante. Une grosse auréole de sa mouille s’était formée sur le drap, entre ses jambes.
– Repose-toi bien, ma belle salope ! Lui dis-je à guise d’au revoir, tout en m’essuyant la main sur son oreiller.
Pendant que je me déshabillais, l’idée de « violer » Pablo prit une forme de plus en plus pressante. J’étais décidée. Je pris, de ma petite valise, une nuisette bleue putain, faite exprès pour ne rien cacher, et je me suis adressée vers la salle à manger.
– Tout est prêt, s’exclama Pablo en me voyant arriver, fronçant les sourcils devant ma tenue, surement inappropriée pour jouer à call je ne sais pas quoi.
– Oh, que oui ! tout est prêt, lui répondis-je, en sachant qu’il n’était pas capable de comprendre le deuxième degré de ma phrase.
– Un jouer ou multi-joueurs ?
– Comment ?
– Si tu veux jouer seule ou contre moi, me dit-il sensiblement irrité.
– Contre toi, contre toi… J’ai envie que tu me fiches une bonne raclée !
Un sourire de satisfaction très enfantin se dessina sur son beau visage. Et, après quelques explications sur les différents boutons de la manette, incompréhensibles pour une sotte comme moi, nous nous sommes mis à jouer. De suite, il comprit que la partie allait être un vrai carnage. Il n’arrêtait pas de s’exclamer :
– Tu t’es faite encore tuer ! Oh, mais que tu es bête !!!
– Eh ! Oh ! C’est toi qui ne m’as pas bien appris à jouer ! Lui objectai-je, faisant semblant d’être vexée.
Je me tenais collée à lui, nos épaules et nos cuisses, en contact permanent. De temps en temps, je posais une main sur sa cuisse, sans trop oser la remonter vers son caleçon ; ou, je le poussais de toutes mes forces pour essayer de le déconcentrer. Pas moyen. Le petit soldat restait inébranlable. Le supplice dura une bonne demi-heure. J’en avais assez soupé, de ce jeu à la con ! Je suis une femme de lettres, moi ! Du coup, je lâchai la manette, et me suis renversée en arrière, les bras en haut :
– Je me rends ! Je capitule ! Tu m’as tuée, Pablo.
– Trouillarde ! Trouillarde ! Poule-mouillée !
Etait-ce il possible d’avoir oublié à ce point que, quelques heures auparavant, je lui avais fait plein de cochonneries, que je l’avais branlé, et, même, que je lui avais lécher le cul ? Et bien, oui, c’était possible. J’étais là, à moitié nue –en me renversant en arrière, la nuisette s’était retroussée laissant mon minou à la portée de sa vue-, et lui, il s’en moquait… Je décidai de prendre les choses en main :
– Maintenant, Pablito, nous allons jouer à un autre jeu…
– Oui ? Lequel ? Lequel ? J’en ai plein, moi !
– Non, pas des tiens… Il s’appelle « Call of Sex »
– Connais pas…
Sa naïveté m’énervait autant qu’elle m’excitait. Je lui demandai d’éteindre la télé, de ranger la console, et de ne rien laisser sur la table basse. Il s’exécuta, plus perplexe que curieux. Je m’assis sur la table :
– Viens ici, mon grand ! Lui demandai-je. Non, ne t’assieds pas. Débout, oui, comme ça !
– Mais… Maman…
– Maman dort la sieste, Pablito… Tais-toi et laisse toi faire…
– Mmm…
– Enlève ton t-shirt…
Pablo s’exécuta et ôta son t-shirt de la guerre des étoiles, restant débout, devant moi, droit comme un piquet. Assise, ma tête était à la hauteur de son ventre, à quelques centimètres. Son caleçon orange commençait à gonfler à vue d’œil. Je posai mes deux mains sur ses épaules, et les glissai lentement, tout au long de ses bras. Je pris une de ses mains et me l’approchai de ma bouche. Un par un, je lui suçai les doigts, je les léchai comme s’ils étaient de petites bites. Puis, je répétai l’opération avec l’autre main. Sa respiration se faisait de plus en plus agitée. Un regard sur son caleçon me confirma son très haut degré d’excitation. Il fallait libérer la bête !
Je tirai son caleçon vers le bas, lentement. D’abord, son pubis noir, touffu ; puis, la base de son pénis, large comme mon poignet, beaucoup plus sombre que la peau de son torse, déjà bien matte… Et, cette merveille que la mère nature lui avait offerte apparut à mes yeux, dressée, puissante. Je pris mon temps à lui baisser le calcif jusqu’aux pieds et, en le faisant, le bout de sa bite toucha mon visage. Je faillis sortir ma langue, rien que pour la lécher un petit coup. Mais, je me suis contenue, voulant porter son excitation au paroxysme.
Je saisis sa bite avec ma main droite et tirai sa peau vers le bas pour bien la décalotter. Je la tenais dans ma main et ma langue s’est mis à lui lécher les testicules. Habile, l’autre main lui pelotait ses fesses rebondies. J’avais très envie de lui sucer la queue, mais plus encore de m’empaler sur lui. Je levai la tête et vus qu’il m’observait attentivement :
– Maman te fais, ça ? Lui dis-je en lui lapant le gland.
– Oui… je suis sa sucette gourmande.
– Et tu lui as déjà mis ta sucette dans sa foufoune ?
– Non, maman ne veut pas…
– Mais, toi, tu aimerais, n’est-ce pas ?
– Si, j’aimerais…
– Mais, tu lui mets d’autres choses, non ?
– Eh… Oui, oui…Mmm
Pablo avait du mal à articuler. Je lui léchais toute sa verge sans me l’introduire dans la bouche. J’avais faufilé un doigt entre ses fesses, lui titillant l’anus :
– Quelles choses, bébé ?
– Aaah ! Ouiii ! Elle me donne…Aaah ! des jouets qui font…Mmm ! du bruit !
Je savais que j’étais en train de jouer avec du feu. Je savais que si je continuais à l’exciter de la sorte, il allait jouir sans me laisser le temps de m’enfourcher sur ce divin pieu. En même temps, l’idée de connaitre plus de détails de leurs cochonneries, m’excitait davantage.
– Et sa petite rondelle ? Tu lui mets aussi des choses dedans ? J’appuyai ma question en lui enfonçant un doigt dans la sienne.
– Oui, ma maman aime beaucoup… Aïe, je sens… Mmm… je sens que ça vient…
Il allait jouir. Si j’arrêtais mon petit jeu pervers, j’aurais encore une chance de passer à la face deux. Mais, j’ai opté par lui donner ma bouche. Je mourais d’envie de sentir son foutre inonder mon palais. Alors, mes deux mains assirent ses fesses et je m’enfonçai sa bite dans ma bouche, aussi profondément que je le pus.
– Ahouahou ! Ouffffff ! Bon ! C’est bonnnnn !
Je crus que j’allais m’étouffer. Le premier jet de sperme me força à me racler la gorge, de telle façon qu’un filet de foutre m’était sorti par les narines. Je me suis écartée pour respirer, comme on sort de l’eau par manque d’oxygène. Mais, sa bite était une sacrée pompe à foutre, un gicleur sans fin. Pas besoin de le branler. Il avait mis le pilote automatique. En quelques secondes, tout mon visage était couvert de son nectar blanchâtre et visqueux. Ça dégoulinait de partout, de grosses larmes de foutre tombaient sur ma nuisette. Je ramassais avec mes doigts tout ce que je pouvais pour le savourer goulument. Pablo me regardait, avec un sourire d’oreille à oreille.
– J’aime beaucoup ton jeu ! On refait une partie ?
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