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Béatrice au parc

Béatrice au parc



Je m’appelle Béa ; je vis à Montpellier, j’ai 24 ans, je suis blonde et plutôt mignonne.

Un jour, j’ai voulu aller visiter le nouveau Polygone de Béziers.

Après en avoir fait le tour et comme il était encore tôt, j’avais garé ma voiture pas loin du jardin qui se trouve entre la gare et les allées Paul Riquet ; je suis allée me promener dans ce jardin, très agréable, avec plusieurs plans d’eau.

J’étais habillée légèrement, on était au début de l’été : un caraco blanc qui arrivait juste au-dessus de mon nombril et une jupe très courte en jean.

Dès mon entrée dans ce parc, je croisai deux Nord-Africains d’une cinquantaine d’années, plutôt costauds, qui se retournèrent sur mon passage…

Je me dirigeai lentement vers un lac où il y avait des canards ; en me retournant, je vis les deux hommes qui s’étaient retournés et qui me suivaient… Je m’immobilisai devant le plan d’eau et regardai les canards ; les hommes vinrent se placer de chaque côté de moi et me sourirent, je leur rendis leur sourire…

Puis je me dirigeai, toujours lentement, vers un sentier plus étroit et en pente, plus ombragé. Il faisait chaud et je cherchais un peu d’ombre ; j’avisai un banc, un peu à l’écart, abrité du soleil par les arbres et je m’assis, dévoilant pleinement mes cuisses. Les deux Arabes arrivèrent à leur tour et s’assirent à ma droite et à ma gauche. Ils commencèrent à me draguer, me demandant d’où j’étais, ce que je faisais, me disant qu’ils me trouvaient très jolie, qu’ils aimaient les jeunes filles blondes comme moi… Ils fixaient mes cuisses, mes seins, dont les pointes étaient visibles sous le léger caraco (je ne portais pas de soutif) puis ils commencèrent à me caresser les cheveux, puis mes joues, mon cou…

Voyant que je ne protestais pas – bien au contraire, j’appréciais la situation et commençais à sentir une douce chaleur dans mon ventre – je croisais et décroisais mes jambes. Ils me parlaient, me faisaient rire ; je me laissais aller et une main se posa sur mon genou. Moi-même, j’avais posé mes mains sur eux, à mi-cuisses en riant… La main de l’un, du genou remonta sur ma cuisse pendant que l’autre cherchait, en rigolant, à voir mes seins en écartant un peu le haut du caraco. Les deux hommes virent mes seins et les pointes dressées…

Me jugeant à point, ils me proposèrent de venir boire le thé chez eux ; ils habitaient à deux pas du jardin. J’hésitai un peu, puis j’acceptai, pour leur plus grand plaisir…

Nous nous dirigeâmes vers la sortie, passant devant ma voiture ; ils me dirent de la laisser là, ils habitaient à côté.

Effectivement, deux rues après, nous étions devant un vieil immeuble pas très haut et plutôt délabré…

Ils poussèrent la porte et je me retrouvai devant un escalier ; l’un des deux me prit par la hanche et me fit monter pendant que l’autre suivait ; je sentais son regard brûlant sur mes fesses, et je me mis à grimper langoureusement en accentuant mon balancement, à droite, à gauche…

Nous arrivâmes au deuxième étage. Dans le couloir, une porte s’ouvrit et un personnage apparut, très particulier, Arabe lui aussi, assez court, trapu, de grosses lèvres un peu comme Yasser Arafat, un regard exorbité, l’air particulièrement vicieux. Ils parlèrent un moment tous les trois, en arabe ; j’ai rien compris, mais à la manière dont il me déshabillait du regard, je pense qu’ils parlaient de moi et je souris de toutes mes dents…

Le personnage descendit pendant que les deux autres me firent entrer dans un appartement. J’avais très chaud, excitée comme une puce… Ils me firent asseoir dans un profond canapé qui m’engloutit ! Mes genoux étaient remontés presque sous mon menton ! Ils étaient ravis, car dans cette position mon string était parfaitement visible…

Ils préparèrent du thé, puis me servirent…

Une main se posa sur ma cuisse gauche, puis une autre sur la droite ; je me laissai aller sous les caresses puis ils m’embrassèrent dans le cou, me chatouillant, puis remontèrent sur mes joues, cherchant mes lèvres, et les trouvant… Une langue s’insinua, cherchant la mienne ; je rendis le baiser aux deux hommes et je gémis lorsqu’une main enveloppa ma chatte. Mes cuisses s’écartèrent d’elles-mêmes. L’autre homme passa sous mon caraco, caressant mes seins, puis soulevant le fin vêtement et me téta les mamelons, passant d’une pointe à l’autre…

Mes mains partirent en exploration et se refermèrent sur d’énormes bosses… Très vite, ils se libérèrent, me montrant leurs belles queues que je pris dans mes mains, les branlant pendant qu’ils me débarrassaient de mes vêtements. Je me retrouvai en string et commençai à sucer lorsqu’on tapa à la porte. L’un des deux se leva, avec sa superbe érection et alla ouvrir : c’était le troisième de tout à l’heure qui revenait avec un sac de victuailles. Il entra dans la pièce, cherchant à me voir. Mon premier réflexe fut de mettre mes mains sur mes seins nus, mais comme ma chatte était bien visible sous le string léger et trempé, je n’en fis rien et je me laissai contempler pratiquement nue. L’homme sortait ses emplettes du sac en bavant, les yeux exorbités…

Les deux autres avaient repris leurs attouchements et je voyais nettement la bite hyper-tendue du troisième ; je repris une queue dans la bouche, pompant puis sortant ma langue pour lécher le gland, puis passai à l’autre sous le regard halluciné du trapu…

Ils m’entraînèrent dans la chambre ; sur le lit, les caresses redoublèrent. Le troisième était entré lui aussi dans la chambre et regardait avidement. L’un me malaxait la chatte, puis il passa sous le string et m’enfonça un doigt ; je gémis de plus belle… Puis l’autre me fit descendre le string et m’écarta en grand les cuisses, offrant la superbe vision de ma chatte au plus vieux qui n’en pouvait plus… L’un des deux me passa sa langue entre les lèvres et m’aspira le clitoris ; je me cabrai en poussant un cri de souris et j’avalai la bite de l’autre.

Le troisième était comme fou ; il s’assit au bord du lit et sa main se posa sur mon mollet, le caressant, remontant doucement. J’étais dans un état… Sa grosse bouche se posa sur moi et remonta lentement ; l’autre lui laissa la place pour que je le suce aussi. J’alternais les deux bites, puis je sentis la bouche et les grosses lèvres du plus vieux et sa langue chaude et humide qui passa sur ma fente… Ah, que c’était bon ! J’ai eu un formidable orgasme, puis l’autre voulut me baiser et se positionna avec sa grosse queue ; il la promena sur ma chatte puis me l’enfonça. Il me baisa un moment puis changea avec l’autre.

Le trapu s’était déshabillé à son tour et sa queue n’avait rien à envier aux deux autres ! Lorsqu’il me la présenta devant ma bouche, j’ouvris en grand et je l’engloutis. Il eut un gémissement de plaisir et je crus qu’il allait jouir… Les deux autres continuaient à me prendre et mes orgasmes s’enchaînaient, puis l’un me prit par derrière en levrette avant de me sodomiser. Le troisième voulut me baiser lui aussi : il se mit sur le dos et je m’empalai sur lui pendant que l’autre me remettait sa bite dans les fesses. Il ne restait plus que ma bouche et je pompai la dernière queue.

Le trapu jouit abondamment dans ma chatte en criant son plaisir en arabe, l’autre dans mon cul, et enfin je reçus des giclées abondantes au fond de ma bouche ; j’ai avalé tout ce que j’ai pu, et mon ultime jouissance a été à la hauteur des trois autres…

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