Voilà, notre périple à travers la France est terminé, mais pas mes péripétie coquines. Sur le retour, nous nous arrêtons dans un gîte pour couper le trajet en deux. Malgré les grosses averses de pluie, la température est lourde et nous décidons de laisser la porte fenêtre entrebâillée. Durant la nuit, je ressent comme une présence dans notre chambre. J’allume la lampe de chevet et sursaute en voyant deux hommes dans la pi&ce. Alain se redresse aussi brusquement faisant tomber le drap et dévoilant ma nudité. Nous n’avons pas le temps de réagir que l’un d’eux immobilise mon mari alors que l’autre, avec une force peu commune m’embarque et me ligote sur une chaise.
Les deux cambrioleur fouille la chambre sans succés. Nous avions tout laissé dans la voiture. L’un des deux individu dit à l’autre :
« Y a rien à tirer ici ! On se casse ! »
« Tu rigoles ? Regarde la vieille salope ! Y a à manger dessus plus que dans la pince d’un crabe ! »
Je frémis en les entendant parler de moi ainsi alors que mon mari tente de se défaire de ses liens. Impossible d’appeler au secours avec ce scotch sur la bouche.
En me fixant d’un air vicieux, le plus balèze m’écarte les jambes avec son pied en disant :
« A défaut de grives on va manger une poulette. Rassure-toi ma salope, on va pas te faire de mal au contraire. On va te faire couiner devant ton bonhomme ! »
Ils se mettent aussitôt à me malaxer les seins en en parlant de façon très vulgaire et à me fouiller la chatte. Je serre les dents pour ne pas gémir de leurs caresses. Mais quand il me pénètre brusquement plusieurs doigts dans mon vagin, je ne peu retenir un cri de surprise. D’abord crispée, je me dis qu’il vaut mieux me laisser aller pour ne pas avoir mal. Sans que je le veuille, mon corps réagit à ces manipulations et une excitation malsaine m’envahit. L’autre type s’attaque à mes tétons qui durcissent instantanément. Je me met à couler sur la main de l’autre agresseur qui dit à son pote :
« Elle aime ça la bourge ! Elle pisse sur ma main ! »
Il montre sa main luisante de cyprine à son ami et ils éclatent tout les deux de rire. Se tournant vers Alain qui est fou de rage mais bande comme un turque, ils lui dise :
« Tu vois ? Ta meuf aime et tu vas l’entendre gueuler bientôt comme une truie ! »
Sans attendre, celui qui joue avec mes seins sort sa queue et la présente devant ma bouche. Il enlève le scotch en me menaçant :
« Si tu hurle ! J’te claque la gueule compris salope ? »
Je lui fais signer de la tête et ouvre mes lèvres pour l’accueillir. Je commence à le sucer avec tout mon savoir. Il semble satisfait car il dit à son pote :
« Elle suce comme une vrai pute la bourge ! Viens l’essayer ! »
Me voilà rapidement avec deux belles bites à dévorer. Elles sentent fort, mais ça ne me gêne pas, au contraire. Trop excités, ils me maintiennent la tête à deux mains et m’enfonce leurs tiges à tour de rôle au fond de ma gorge. Je sens qu’ils vont jouir. L’un des deux éjacule dans ma bouche et j’avale comme par habitude. Pendant que l’autre me libère pour venir me baiser, l’éjaculateur précoce vient me lécher les seins et me mordiller les tétons. C’est trop bon.
Il me possède d’un coup de rein s’enfonçant sans difficulté dans mon vagin juteux. Je ferme les yeux et me laisse porté par l’extase du moment. Ses coups de queue sont puissants et me remplissent avec bonheur. Je viens à la rencontre de cette verge inconnue et rapidement je pousse des plaintes de plaisirs. M’offrant à cette saillie sans détour, j’ouvre le yeux pour regarder mon mari en lui disant :
« Oh mon chéri, il va me faire jouir ! Comme il me défonce bien ! »
Celui qui utilise mes seins remarque que mon homme n’est pas indifférent à ma saillie et dit à son acolyte :
« Regarde le cocu, y bande comme un âne de voir sa grognasse se faire sauter ! »
Il se dirige vers mon homme et, enlevant son scotch, il lui ordonne :
« Dis qu’t’aimes voit ta grosse se faire mettre par mon pote ! Tu voir ta grosse salope comme elle jouit sous sa queue ? »
Devant son exigence, Alain d’un voix blanche répète :
« Oui ! J’aime voir ma femelle se faire saillir et gueuler comme une chienne en chaleur sous vos bites ! »
Mes cris résonne dans la pièce. Je suis totalement sous l’emprise de mes agresseurs et quand dans un grognement libératoire, il se vide dans mon vagin, j’exulte dans un cri strident et l’accompagne dans sa jouissance.
Quand il se retire, sa queue encore bandée, un filet de jute relie son gland à ma chatte.
L’autre rebande et tient bien à profiter encore de moi. Sachant pertinemment que je vais me laisser faire, il me détache et me met à quatre pattes sur le lit devant mon homme. Il me prend en levrette et aprés quelques allé et retour pour bien lubrifier sa queue, il ressort et en écartant mes globes fessier, il présente son gland sur mon œillet. Alain est aux première loges pour constater l’avancée de la du cambrioleur dans mon cul. En grimaçant, j’accepte ce mandrin qui me dilate le petit trou. Quand il pousse d’un coup pour s’enfoncer jusqu’à la garde, je ne peux retenir un cri . Devant mes yeux, je vois Alain qui éjacule en m’aspergeant de son sperme sans avoir pu se branler tant il est excité. Pendant que je me fait massacrer le cul, l’autre qui rebande me fourre sa verge souillée de sperme et de ma mouille dans la bouche. Alain ne débande pas et réclame à nos agresseurs de le libérer pour participer. Ils acceptent et aussitôt mon homme se met en position pour prendre ma chatte. Mes trois amants se déchaînent et je n’arrête pas de leurs demander de me baiser plus fort. Un orgasme fulgurant m’emporte faisant jouir mes assaillants qui me remplissent allègrement tout mes orifices. Quand ils se retirent, je m’écroule sur le lit anéantie et heureuse. Mais les mâles n’en n ‘ont pas fini avec moi.
L’un des mecs me présente sa queue et lance :
« Nettoie moi la bite putain et après tu fera celle de mon pote et de ton mec ! »
De bon grès, je les lèche et une foi fait, ils repartent comme ils étaient venus en disant :
« Si vous êtes encore là demain, laissez la porte ouverte ! On se fera un plaisir de aire gueuler ta pute ! »
Les vacances se termine en beauté et Alain a pris beaucoup de plaisir à me voir me faire démonter par ces deux racailles.
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