De retour dans ton bureau tu m’appelles aussitôt. Tu me racontes ton aventure en pleurnichant, puis tu me dis ce qu’il veut pour ce soir et que je ne peux pas le laisser faire. Que je dois tout stopper d’une manière ou d’une autre. Qu’il doit y avoir moyen de négocier avec lui, etc….
Annabelle arrêtes de pleurnicher! Te dis-je fermement. Y-a pas à négocier. Tu ne veux pas te retrouver sur le net? Alors fais ce qu’on te dit. D’ailleurs si j’en crois ton patron, tu sembles aussi y prendre plaisir, non? Oui, oui, un peu me dis-tu timidement, mais c’est humiliant parfois. Écoutes mon amour, je t’aime et je ne ferai jamais rien qui nuise à ta santé ou à ton intégrité. Mais je veux que tu écoutes cet homme. Que tu lui obéisses comme à moi. Il est hors de question que tes photos passent sur le net. Alors à demain. Après avoir raccroché d’avec toi, j’appelle aussitôt ton patron. Alors lui demandais-je, il semble que ça se passe pas mal du tout, qu’en penses-tu? Absolument répond-il, ça va même plus vite que je ne pensais. Pour ce soir tu n’as qu’à arriver chez moi vers 22 heure. N’oublies pas de prendre des vêtements propres pour qu’elle puisse se changer pour le boulot demain et aussi, sa pilule. Tu te souviens que mes acolytes dont je me porte garant, baisent sans capote. Je suppose que tu n’oublieras pas ton caméscope, je te fais confiance pour ça, termine-t-il en ricanant.
18 heure. Ton patron est devant ta porte. Alors, prête te demande-t-il? On y va. Docilement, tu le suis. L’ascenseur ne s’arrête pas dans le hall mais continue jusqu’aux parkings. Deuxième sous-sol, vous sortez de l’ascenseur. Une vingtaine de mètres et il ouvre sa voiture. Tu t’installes côté passager, il referme la portière sur toi. Il fait le tour et vient prendre sa place au volant. Mise en route du moteur, marche arrière, la voiture sort de son emplacement. Juste avant de passer la première, il te dit de remonter ta robe. Encore un peu dit-il agacé. Tu la remontes carrément sur tes hanches. Voilà, très bien comme ça te complimente-t-il et déboutonnes un peu ta poitrine, pas trop, juste deux boutons, voilà, super, là, t’es bandante! Vous sortez du parking et la voiture s’engage dans l’avenue. Lorsque la circulation le permet, il te caresse la chatte de sa main droite. Il te fait écarter les cuisses et joue avec ton clito. Bien malgré toi, ce traitement t’excite. Ton clito est sorti de son capuchon et tu commences à mouiller. Je vois que tu n’es pas insensible à la situation triomphe-t-il en riant. Toi tu rougis, impossible de contester, c’est une évidence, ça t’excite d’être dominée par ton patron avec la complicité, ça aussi c’est une évidence maintenant pour toi, de ton mari chéri. Après tout te dis-tu, autant en profiter et prendre du plaisir là où il sera.
Il ralentit et s’engage sur une place libre au bord du trottoir. Tu te dis que bien que tu ne sois jamais allée chez lui, il te semble qu’il n’habite pas en ville. Alors que fait-on là? Tu ne tardes pas à le savoir. Descends! Te dit-il impérativement. Viens par ici. Il te prend par le bras et vous marchez quelques dizaines de mètres. Une ruelle. Vous tournez et quelques mètres plus loin, l’entrée borgne d’un sexe-shop. Il te fait entrer la première et t’emboîte le pas. Dedans c’est comme dans tous les sex-shops, des rayonnages de DVD ou cassettes, d’autres de jouets intimes ou de sous-vêtements sexy, d’autres encore destinés aux cuirs et fouets divers, etc…
Peu de monde. Le patron et deux clients. Bien sur à ton entrée, tous ont relevé la tête afin de voir qui était le nouvel arrivant. A leur mine réjouie, on peut penser que ta silhouette leur faisait plaisir. Reste là! Te dis ton patron, j’ai quelques emplettes à faire pour ce soir. Et il disparut dans les allées. Quand il revint, un des deux hommes le suivait avec un paquet à la main. Tu ne le voyais pas bien, impossible de savoir ce que c’était. Par contre, ton patron tenait plusieurs sachets dont un gros godemiché, ça c’était très reconnaissable, des menottes et le reste tu ne voyais pas. Il déposa ses achats sur le guichet de la caisse. L’homme, à son tour, déposa son paquet. Il dit au patron qu’il hésitait un peu, n’étant pas très sur que ça convienne à sa femme. Alors ton patron proposa aimablement, si c’était possible, que tu l’essaies pour qu’il se rende compte de l’effet obtenu. Le tenancier n’y voyait pas d’objection. Tout le monde c’est alors dirigé vers une cabine qu’il désignait. Une fois entré, ton patron te dit de soulever ta robe et de te pencher en avant. Sifflements d’admiration aussitôt de la part des trois autres. Génial dirent-ils, pas de culotte, vous avez une femme extraordinaire! Oh! Mais ce n’est pas ma femme, répond ton patron, c’est un ami qui me la prête. Hein?! S’exclamèrent les trois autres en chœur. Il vous prête sa femme. C’est incroyable ça! Oui, peut-être leur dit-il, mais il souhaitait mon concours pour lui donner le goût de l’obéissance et je dois dire que c’est très prometteur. Mais allez-y, essayez votre jouet. Pendant que le mec déballe l’objet, le responsable du sexe-shop a empoigné un flacon de gel lubrifiant. Il en fait gicler un peu sur ses doigts, puis dirige le bout du flacon vers ta rondelle et ta chatte et en fait sortir quelques gouttes. Ensuite il plaque sa main pleine de gel sur tes grandes lèvres, les malaxe un peu puis les pénètre de quatre doigts d’un coup alors que son pouce s’enfonce dans ton trou du cul. Tu as un sursaut vers l’avant mais tu ne te dérobes pas pour autant à la caresse un peu brutale. Il fait quelques va-et-vient simultanés dans tes orifices et retire ses doigts en assurant que la place est disponible et prête à recevoir l’objet en question. L’autre s’approche à son tour de tes fesses toujours exposées à la convoitise et met aussi un peu de lubrifiant sur un double gode de fort belle dimension, qu’il destine à sa propre femme. Il présente la chose à l’entrée de ton vagin. Écarte tes lèvres et pousse un peu plus avant ce phallus de silicone. Après quelques centimètres qui pénètrent sans aucun souci, l’autre bout se présente devant ta rondelle à peine ouverte par le pouce éclaireur de l’instant d’avant. Nouvelle poussée et il pénètre aussi. Il semble que cette petite séance fasse son effet. Tu te trémousses légèrement ce qui laisse à penser que tu voudrais bien que ça aille plus profondément. Ce signe suffit à notre type pour qu’il enfonce son gode à fond, sans ménagement. Il se sent d’ailleurs récompensé par tes gémissements et ton mouvement de bassin, qui ne laissent aucun doute sur le plaisir que tu prends. Alors il fait quelques va-et-vient doucement puis plus rapidement. C’est alors que le tenancier s’avance et déclenche la vibration de l’objet. Et il explique aussi que vous allez être tous surpris par ce modèle. Regardez bien dit-il et vous madame dites-nous vos sensations, c’est un tout nouveau modèle, en plus de vibrer, il est articulé et bouge à l’intérieur. Tous s’approchent et se courbent vers tes fesses ainsi exposées, avec le double gode au fond de ton vagin et de ton cul. Ils observent afin de voir si les mouvements de cette queue de substitution sont visibles ou, s’ils sont efficaces sur ton plaisir. Apparemment, seul est articulée la partie dans ton vagin car on ne voit rien au niveau de l’anus. Par contre, l’efficacité est incontestable. Tu gémis de plus en plus, ton souffle est plus court et tu ondules du bassin comme pour faire pénétrer l’engin encore plus profondément. Les bosses au niveau des braguettes des spectateurs laissent aussi penser que le spectacle s’il n’est féerique, est en tout cas bien bandant. Tu finis par avoir un orgasme et chacun peut voir la cyprine couler le long de tes cuisses ouvertes. En te retirant l’objet, le type dit qu’il est convaincu et qu’il n’hésite plus, c’est sur, il le prend. Toi tu te redresses, un peu essoufflée et le visage rougi par la position, le sang t’est monté au visage, surtout vers la fin où tu t’es laissée aller et où tu étais carrément à quatre pattes, la tête sur le matelas. Tu rajustes ta robe, tous te remercient pour le service et te complimentent sur la qualité de tes fesses et sur le spectacle offert. Une fois réglés les achats, ton patron t’entraîne vers la sortie et vous retournez à sa voiture. Le reste du trajet se passe sans autre arrêt et il se gare enfin dans l’allée d’une petite maison discrète, au fond d’une impasse. Il est déjà 20 heure.
Une fois à l’intérieur, la maison est plus grande qu’il n’y paraît. L’entrée est spacieuse. Il y a un grand placard penderie, un guéridon sur lequel trône un téléphone, un agenda, quelques stylos et un fauteuil âgé sans style. En face un miroir en pied permet de se rajuster avant de sortir. Cette entrée distribue plusieurs portes dont la cuisine, le salon/salle à manger, un couloir qui doit mener aux chambres et une dernière qui doit desservir une cave ou l’accès au garage. Ton patron te prend ton coupe-vent et le met sur un cintre dans la penderie. Puis il te dirige vers le couloir, ouvre la porte, t’y fait avancer et te fait entrer dans la salle de bain. Tu as tout ce qu’il ta faut ici pour te faire belle te dit-il, prend une bonne douche, pomponnes-toi et mets les vêtements que je t’ai préparés. Ensuite tu viens me rejoindre au salon. Comme tu ne peux plus l’entendre, ton patron me téléphone pour me dire que je peux venir dès maintenant, que tu seras vraisemblablement prête vers 21 heure et que tes amis arrivent à 21 heure 30. Je saute dans ma voiture et à peine vingt minutes plus tard je suis à la porte du fameux pavillon. De mon mobile j’appelle afin que tu n’entendes pas la sonnette de l’entrée. Quelques secondes et la porte s’ouvre pour me laisser pénétrer. Je ne connaissais pas les lieux non plus, alors il me fait visiter rapidement. Pour l’instant me dit-il, tu vas te mettre là, c’est mon bureau. C’est une pièce dont l’accès est par le salon. Toi mon amour, tu ne l’as pas vue encore puisque tu n’es pas rentrer dans ce salon. Je pense, ajoute-t-il que l’essentiel des réjouissances se passera ici, sur les canapés, sinon les chambres sont par là conclut-il en m’indiquant la porte du couloir. Je vais donc me poster dans son bureau, l’oreille aux aguets tout de même, et je prépare mon caméscope. J’évite de faire du bruit et je m’installe dans son fauteuil pour patienter. Vers 21 heure 10 je t’entends arriver dans le salon. Ton patron siffle sur toi d’admiration. Tu es fantastique te dit-il dans cette superbe nuisette! Cela te va à ravir. Tournes-toi, fais-moi voir l’envers…. Oui excellent, vraiment magnifique. Soulèves un peu. Ah oui! Splendide aussi ce petit string assorti. Qu’en penses-tu, ais-je bien choisi? Tu lui bégaies heu…. Oui, c’est joli. OUI qui? Éructe-t-il. Pardon, oui Monsieur dis-tu tout doucement en baissant la tête comme un enfant pris sur le fait alors qu’il dérobe quelques bonbons. C’est mieux concède-t-il, mais fais-y attention si tu ne veux pas être punie. Veux-tu boire quelque chose? Tu acceptes un verre d’eau en te rappelant toutefois, que tu risques d’avoir envie de faire pipi, et sachant comment cela c’est passé dans l’après-midi, tu hésites à tout boire. Mais il est redevenu plus paternel et t’invite à t’assoire dans le canapé à son côté. Tu te tiens bien droite, les cuisses serrées, ton verre à la main. Ensuite il passe derrière le canapé et te demande si tu as terminé de boire. Comme tu lui fais signe que oui, il prend ton verre, le dépose sur un guéridon et s’emploie à t’obstruer la vue avec un bandeau noir. Voilà ma chère te dit-il à l’oreille, à partir de maintenant, tu feras tout ce que je te dirais. Tu ne peux enlever ce bandeau. Tu ne peux rien refuser de ce qui te sera demandé par mes invités. Tu connais la sanction si tu refuses d’obéir, mais ce n’est rien à côté de la punition que je t’infligerai si tu me ridiculises devant mes amis. As-tu bien compris? Silence…As-tu bien compris? Insiste-t-il en élevant la voix. Résignée, tête basse, dans un souffle, tu lui dis oui Monsieur, j’ai compris. Très bien conclut-il alors que la sonnette de l’entrée retentit. Ah! Voilà de la compagnie dit-il en se levant. Puis il disparaît dans la-dite entrée. Tu entends des bruits de voix étouffés, impossible de distinguer les paroles, tu supposes que ton patron donne ses consignes une dernière fois. Tu entends la porte du placard, des bruits de cintre, puis des pas et enfin la conversation se rapproche. Lorsqu’ils te découvrent, ils se regardent sans rien dire, puis font un signe avec le pouce levé en direction de ton patron, afin de lui faire savoir leur approbation. Il leur répond en les invitant à s’assoire et leur propose un verre tout en se dirigeant vers son bureau, d’où il vient me sortir. Je sors sur ses talons et il fait comprendre à ses amis en leur montrant son annulaire, puis moi, puis toi, que je suis ton mari. Ah font-ils de la bouche sans qu’aucun son n’en sorte. Tu entends ensuite le choc des verres qui se touchent, la bouteille qu’on débouche et le glouglou du liquide qu’on verse. Nouveau bruit de verre, on trinque à ta santé te dis-tu.
Soudain, on te prend par un poignet et on te fait te lever. Tu t’exécutes sans un mot. La main te dirige, tu avances. Stop. On te lâche le poignet mais tu sens une autre main remonter sur ta cuisses. Tu ne peux éviter un frisson et un léger retrait réflexe. Mais la main te tient la cuisse et tu te remets dans la position initiale. La main maintenant te flatte une fesse, puis s’insinue dans la raie, écarte tes rondeurs et descend vers ton entre-jambe. Une seconde main de l’autre côté a pris possession de l’autre fesse. Les deux propriétaires de ces mains t’obligent par leur légère traction, à écarter tes jambes. Alors sans ménagement, l’un te fouille le vagin de plusieurs doigts tandis que l’autre force l’entrée de ta rondelle. Ton string n’est plus qu’un souvenir. Ils finissent par te l’enlever complètement, puis reprennent possession de tes orifices. Tu sens une nouvelle présence devant toi. Tes seins deviennent la proie de deux autres mains qui te les malaxent, pincent tes tétons par dessus ta nuisette. Mais elles passent rapidement dessous, te la soulèvent et t’obligent à lever les bras. La nuisette a aussi disparu. Tes nichons sont aussitôt réinvestis. Cette fois on te les suce, on te les pétrit, on te tortille les bouts. Tu sens maintenant une tête entre tes jambes, tu dois les écarter d’avantage, et une langue vient titiller ton clito alors que trois ou quatre doigts vont et viennent dans ta chatte. L’autre a dû prendre un lubrifiant car tu a l’impression que ce sont au moins trois doigts qu’il t’insère dans l’anus. Tu n’avais jamais imaginé un tel scénario, mais tu es bien obligée de reconnaître que tu es vraiment excitée. D’ailleurs on te le fait savoir. Celui qui te bouffe la chatte dit, entre deux coups de langue, la salope! Elle mouille pas qu’un peu! Et l’autre derrière n’est pas en reste et ajoute « et du cul aussi, ça rentre tout seul, quelle pute! ». Après tu distingues à nouveau le bruit des verres qui s’entrechoquent. Puis on te fait bouger de place. On t’appuie sur les épaules. Tu te baisses et tu finis par comprendre que tu dois te mettre sur le ventre, sur la table basse. Tu t’exécutes. Ensuite on te glisse un gros coussins sous le ventre, ce qui a pour effet de remonter tes fesses. Puis on t’attache les mains chacune à un pied de la table. Tes jambes sont laissées libres. Enfin, façon de parler puisque elles sont tenues écartées par nos amis. J’en vois un qui vient se positionner devant toi. Il s’est déshabillé, comme les autres d’ailleurs, et il se met à genou afin d’avoir la bite à hauteur de ta bouche. Il te prend la tête à deux mains, te la relève un peu et présente son gland à tes lèvres. Tu devines ce que c’est et tu ouvres la bouche. Il t’enfile sa queue tendue aussitôt et exerce des va-et-vient comme s’il te baisait. Pendant ce temps ton patron a mis à la disposition de ses amis, le matériel qu’il a acheté un peu plus tôt, plus, probablement ce qu’il détenait déjà auparavant. L’un de ses amis se saisit d’un assez gros gode ainsi que du flacon de gel lubrifiant, lorsqu’un autre lui fait remarquer que vu ce qui coule de ta chatte, il n’est nul besoin d’un lubrifiant. Moi mon amour, je dois dire que je me régale. Depuis le début je filme presque tout et notamment, tes fesses dans cette position, où l’on voit bien ta chatte ouverte, tes grandes lèvres gonflées et le haut de tes cuisses mouillé par ton excitation évidente. Je filme toujours lorsqu’on t’introduit le gode. D’abord il joue au bord de tes lèvres. Il monte et descend jusqu’à ton clito tendu hors de sa gangue. A chaque passage tu sursautes et relèves tes fesses. Un gémissement assourdi sort de ta bouche emplie par la bite du troisième. Puis le gode vient à l’entrée de ton vagin. Tu bouges le bassin comme si tu appelais la pénétration. Une légère poussée et la tête de la fausse queue disparaît dans ton antre humide et chaud. Elle ressort. Tu relèves d’avantage tes fesses. Tu le veux ce gode. Alors il s’enfonce de nouveau. La tête, puis un peu plus, ça glisse tout seul tellement tu mouilles. Une dernière poussée et il disparaît entièrement dans tes entrailles jusqu’aux fausses couilles qui l’ornent. L’homme fait des va-et-vient jusqu’à presque le faire ressortir. Tu gémis toujours la bouche pleine de la queue qui te lime et grossit entre tes lèvres. Je suis là à filmer lorsque je vois apparaître un second gode entre les doigts d’un autre. Celui-ci est plus fin du haut mais plus long aussi. Cette fois c’est ta rondelle qui est visée. Une giclée de lubrifiant atteint ta rosette et la pointe du gode est aussitôt posée à l’entrée. Il te masse un peu dans un mouvement circulaire en appuyant légèrement. Ces deux actions conjuguées font pénétrer le gel et enduise le gode. Il me semble bien aussi que ton excitation te fait ouvrir le trou du cul ma salope! D’ailleurs, l’un d’eux fait remarquer que ça rentre tout seul et le gode est rapidement avalé et disparaît, lui aussi, presque entièrement au fond de ton cul. Alors que deux des hommes te labourent les trous avec les deux godes, on voit le troisième avoir le souffle de plus en plus court, transpirer, les veines de son cou sont dilatées, ses yeux se révulsent et dans un cri sourd, il explose dans ta bouche sans te lâcher la tête néanmoins, ce qui t’oblige à déglutir si tu veux respirer convenablement et donc, à avaler une bonne dose de foutre qu’il vient de déverser par saccades. Il retire ensuite sa bite ramollie de ta bouche tandis que tu avales les dernières gouttes de sperme. Sa respiration redevient normale et toi tu retrouves la tienne. Il s’essuie le front avec une serviette que lui tend notre hôte et vient s’asseoir dans le canapé en affirmant que nom de dieu ça fait du bien de se vider les couilles dans cette belle petite pute! Ces deux potes lui sourient tout en magnant les godes. Puis il décide en ce concertant du regard qu’il faut passer à l’étape suivante. Le petit gode est retiré de ton cul et on y met celui que tu avais dans la chatte. La dilatation de ton trou permet aisément d’y introduire la tête du gode et une fois le gland disparu, le reste n’a aucune difficulté à suivre. D’ailleurs à entendre tes gémissements, on devine que les va-et-vient qu’on te fait, t’excitent au plus haut point. C’est alors que ton patron revient avec un énorme gode noir. Il clame que c’est son dernier achat à ton intention et qu’il espère que tu vas apprécier sa générosité. L’un de ses amis s’en empare et le brandit comme une matraque. Tout le monde rigole de voir cet engin énorme. Il fait au moins trente centimètres de long et sept ou huit centimètres de diamètre au plus large. Bien que tu sois mouillée comme une chienne en chaleur, il l’enduit de gel et le présente à l’entrée de ton vagin. Bien sur tu sens ce nouvel intrus, mais tu n’as aucune idée de sa taille. Toi tu ne l’as pas vu. Tu gémis toujours sous les coups du gode dans ton cul quand tu sens que deux mains t’écartent la chatte. Ton trou béant est vite comblé par l’intromission du nouveau gode. D’abord deux ou trois centimètres qui te laisse à penser que c’est le même que précédemment, puis une légère douleur te ramène à la réalité. Là, tu te dis qu’il doit s’agir d’autre chose. Tu ne vois rien bien sur mais tu es à l’écoute de ton corps. La pénétration se poursuit. On le ressort. On le remet mais un peu plus loin. On le ressort à nouveau et on le renfonce un peu plus. Tout le monde est attentif alors que je filme l’opération. L’autre gode est toujours au fond de ton cul mais personne n’y touche plus. Le manège continue. On le sort, on le rentre. Petit à petit, alors que l’énorme gode est à moitié entré, on voit tes fesses bouger légèrement. Ta respiration semble aussi se raccourcir. Encouragé par ces signes, on t’enfonce l’objet un peu plus profondément. On commence à exercer un va-et-vient. Je zoome sur ta chatte et, bien qu’on ait mis du gel lubrifiant, ce que je vois couler de ta fente de salope, c’est ton jus petite pute. Tu aimes ça! Tu aimes cette énorme queue qui cogne au fond de ton vagin. Sale chienne que tu es! Tu as à peu près vingt cinq centimètres de bite noire dans la chatte et c’est ça que tu aimes! J’en reviens pas mon amour. Je savais que tu étais une chaude. Je pensais bien que tu pouvais faire une soumise. Mais là tu m’épates, c’est de la grosse bite de black que tu veux?! J’y crois pas…….. D’ailleurs tout les autres autour de moi se régalent aussi. Les va-et-vient on repris aussi dans ton cul en plus de ta chatte. Tu gémis de plus en plus. Tes fesses sont relevées au maximum. Plus, que ce que le coussin te permettait. C’est toi qui va au devant de ces pénétrations. Je ne peux rien dire puisque je ne suis pas sensé être là, mais si je pouvais je te crierai que tu es une vraie grosse salope de pute. Que t’es une bouffeuse de queue, une videuse de couilles, un sac à foutre, un garage à bites, une truie! Je ne filme plus tellement je suis excité et c’est ce moment que tu choisis pour avoir un orgasme. Ton corps se tend. Tu cries ton plaisir et tu retombes, molle, sur la table alors que la cyprine coule à flots en sortant de ta chatte que quelques spasmes agitent encore. Les trois hommes regardent leur hôte en faisant des moues admiratives et ils retirent les deux godes de tes orifices. Ça s’arrose crie ton patron en allant rechercher les verres et la bouteille de scotch. Il revient en portant son plateau alors qu’on te détache de la table. On te fait assoire dans le canapé et le whisky est servi. Je sors ta pilule de ma poche et la tends à ton patron. Il te donne un verre d’eau et te met la pilule dans la main. Prends ça te dit-il, ton petit mari a pensé à toi tu vois. Façon de parler puisque tu as toujours un bandeau sur les yeux. Chacun sirote son verre. La conversation arrive bien entendu sur tes prouesses. L’un d’eux assure que tu suces comme une déesse, l’autre dit que tes seins sont fermes et magnifiques, le dernier ne tarit pas d’éloges sur tes fesses rebondies, douces et bien rondes mais tous sont d’accord pour louer tes orifices sans nul doute un bienfait de la nature. Toi tu es assise entre deux d’entre eux. Mine de rien, tout en discutant, ils ont recommencé à te peloter. Ils jouent chacun avec un de tes nichons. Ils pincent les tétons, les malaxent. Parfois, l’un quitte tes seins et t’écarte les cuisses afin de jouer avec ton clito. Puis je vois ton patron se lever et t’att****r les poignets pour te sortir du canapé. Il fait assoire le troisième à la place que tu viens de quitter et te dit de te mettre à genou. Il te guide jusque devant le canapé où sont ses trois amis, t’appuie sur les épaules et comme tu touches leurs jambes, tu comprends rapidement ce qu’on attend de toi. Tu te rapproches de toi-même, att****s le premier pénis à ta portée et commence à le sucer. Ce dernier prend rapidement de la vigueur dans ta bouche, alors tu passes au suivant. Tu fais quelques allers et retours de l’un à l’autre afin de maintenir leur érection, puis ton patron te soulève en te prenant sous les bras. Il fait signe à un de ses potes de s’allonger sur le dos par terre et il te fait t’empaler sur sa queue raide. Un second se place derrière toi et il t’encule sans ménagement. Le trio que vous formez ondule à chaque coup de rein, les deux hommes tentent d’accorder leur tempo. Le troisième en profite pour venir se faire sucer en te prenant la tête à deux mains sur le côté. Voilà un bien bel équipage que je m’empresse de fixer non pas sur la pellicule, mais sur le disque de mon caméscope. Le spectacle est génial! Te voir là, nue, belle, chaude, excitée, une bite dans la bouche, une dans la chatte et une autre dans le cul, c’est un vrai bonheur. Tu es magnifique! D’une main tu te caresses un sein en triturant ton téton, de l’autre tu masses les couilles de celui que tu suces, manifestement tu prends ton pied. Le premier qui vient, c’est dans ta bouche. Il est secoué de spasmes. A chaque mouvement, c’est une giclée de foutre qui t’arrive dans la gorge. Il se retire et tandis que tu avales, deux ou trois autres giclées t’atteignent au visage. Ça coule sur tes joues et ça dégouline sur tes seins. Les deux autres s’activent toujours dans ta chatte et ton trou du cul, et c’est toi qui a un violent orgasme qui t’agite le corps de tremblements. Ensuite, quasiment simultanément, les deux autres jouissent dans tes trous. Ils râlent aussi tous les deux en donnant leurs derniers coups de rein. Quand il se retire de ton cul, on voit le sperme qui en ressort en coulant le long de ta cuisse. Puis on t’aide à te lever et c’est de ta chatte que suinte le foutre. A peine sur pied on te remet à genou et ton patron exige que tu nettoies ses amis avec ta bouche. Alors tour à tour ils s’approchent de toi et tu te mets à les sucer afin d’enlever tout le sperme qui restait sur leur queue.
Un dernier verre est servi, puis chacun rentre chez lui en remerciant ton patron pour cette très agréable soirée. Ils te remercient aussi et te félicitent encore pour ta beauté et surtout pour le plaisir que tu leurs as donné. Moi-même je récupère mon étui où je glisse le caméscope, je laisse derrière moi les fringues que je t’ai apportées et je file à l’anglaise. Ma dernière vision en quittant le salon, c’est toi toujours nue et les yeux bandés, assise bien droite dans le canapé, attendant l’éventuelle suite des évènements. Après avoir raccompagné tout le monde, ton patron revient au salon, se plante devant toi, te retire ton bandeau et te dit que maintenant c’est à son tour d’avoir une petite gâterie. Tu ne réponds rien mais tes deux mains se dirigent instantanément vers sa braguette dont tu descends le zip. Tu défais ensuite sa ceinture, le dernier bouton et le pantalon tombe à ses pieds. Tu masses son sexe à travers son caleçon. Il est déjà en bonne forme semble-t-il. Tu glisses alors ta main à l’intérieur. Ce contacte achève de le redresser. Tu décides de baisser aussi le caleçon, dernier rempart de l’objet que tu convoites. Pour plus d’aisance tu te mets à genou te retrouvant ainsi avec sa bite juste devant le visage. Tu joues tout d’abord avec ses couilles. Tu les masses, les soupèses, les suçotes ou les avales carrément. Puis tu t’attaques à son membre. Tu le lèches doucement en partant des couilles et en remontant jusqu’au gland. Une main malaxe toujours les bourses alors que l’autre a empoigné la queue et la branle sans ménagement. Ta bouche est maintenant ouverte sur le gland. Ta langue joue avec le frein. Soudain tu l’engloutis. La tête d’abord. Puis tu la ressors et tu branles sa verge avec vigueur. Tu ralentis et tu reprends son gland dans ta bouche. A ce moment il t’appuie sur la tête et force tes lèvres. Tu n’as pas d’autre choix que d’ouvrir plus tes mâchoires. Il s’enfonce jusqu’à la garde. Il est au fond de ta gorge. Tu as du mal à respirer. Tu as des hauts le cœur. Il ressort enfin. Un filet de bave reste accroché entre le bout de sa bite et tes lèvres. Tu retrouves ta respiration. Tu le branles de nouveau et tu le reprends en bouche, mais à ton rythme cette fois. Il te laisse faire. Alors tu peux l’avaler tout entier mais à ta façon. C’est une chose que tu sais bien faire, mais il ne faut pas te forcer. Ton patron l’a compris et d’ailleurs l’expression de son visage en dit long sur sa satisfaction. Tu suces, tu branles, tu pétris. Doucement par moment, puis plus rapidement. Tu sors la bite de ta bouche et tu l’engloutis dans la seconde suivante. Ce traitement ne tarde pas à faire de l’effet à ton patron. Son souffle c’est considérablement raccourcit. Sa bouche est ouverte, ses yeux en arrière. Le moment approche. Il pose ses mains sur ta tête mais te laisse toujours agir seule. Mais quand il sent l’éjaculation proche, il se saisit de ta tête à deux mains, te la maintient fermement et baise ta bouche jusqu’à l’explosion finale. A chaque spasme qui le secoue, tu sens une giclée de foutre dans ta gorge. Il avait de la réserve te dis-tu, car ça n’en finit pas. Chaque salve est accompagnée d’un râle, tel un ours s’accouplant avec sa belle. Il se retire enfin. Tu peux déglutir et finir d’avaler le sperme qu’il t’a déversé dans la bouche. Tu retrouves aussi une respiration que tu avais bien du mal à gérer avec cette queue, de belle taille ma foi, et cette quantité de foutre qui t’envahissait les joues. Ceci fait, tu le reprends en bouche afin d’éliminer toute trace de sperme, devançant ainsi ses désirs qu’il n’aurait sûrement pas manqué de t’imposer. Au moins auras-tu évité une punition possible.
Il est satisfait. Il te le dit. Il te dit aussi d’aller prendre une douche et il t’indique ta chambre. Tu es heureuse de voir que tu n’est pas obligée de dormir avec lui. Toutes ces émotions et surtout tout ce que tu as subi en si peu de temps, t’ont épuisée moralement et physiquement. Tu sens que tu vas dormir comme une masse. A peine auras-tu le temps de penser à la journée du lendemain et aux suivantes. Que va-t-il encore t’arriver penses-tu sous la douche bienfaisante. Maintenant que tu t’es prêtée à ce jeu, malgré toi certes, mais tu n’as pas vraiment résisté te dis-tu, que vont-il inventer. Que devras-tu faire de plus que ce soir? Jusqu’où sont-ils prêt, ton patron et ton mari, à aller? Et toi, jusqu’où es-tu prête à consentir ta soumission? Tu en es là de tes réflexions lorsque ta tête touche l’oreiller. Tu dors déjà.
Ajouter un commentaire