Après avoir bu plusieurs verres d’apéro avec mon amie Martine nous sommes un peu euphoriques à cause de l’alcool.
Notre discussion dé**** sur le sexe et bêtement comme nous ne somme jamais à court d’idées saugrenues nous engageons un pari stupide.
Il faut dire que nous avons l’habitude quand nous sommes ensemble de faire des choses pas très logiques.
Le pari consiste à voir laquelle de nous deux réussira à draguer et avoir un rapport sexuel avec le plus d’hommes dans une journée.
Mon amie s’est beaucoup dessalée depuis qu’avec moi elles a couchée avec d’autres hommes que son mari qui la laisse en manque de sexe car il est toujours en déplacement et ne rentre qu’un weekend sur deux.
Elle a eu une relation sexuelle avec moi et actuellement elle entretient une relation avec une lesbienne et avec un black bien monté (elle est bisexuelle), elle a même réussit à se prostituer dans le but de me montrer qu’elle peut faire aussi bien que moi.
En conclusion nous sommes un couple de bonnes salopes et même de putains qui s’entendent à merveille.
Rendez-vous est pris pour le lendemain matin.
Le lendemain je m’habille sexy: maquillage poussé, jupe courte rouge seyante et voyante, maillot blanc ajusté qui met en valeur ma poitrine, escarpins à talons hauts.
Il est encore tôt quand je rejoins Martine (qui n’est pas en reste avec sa tenue qui ne va pas manquer d’attirer le regard des mâles) sur un parking avec un petit sac ou j’ai fourrés quelques vêtements de rechange. Surtout des culottes qui serviront de témoins de nos coïts.
Nous partons pour la ville voisine dans sa voiture.
Arrivées sur place elle se gare non loin de la gare, les rues passantes sont proches. Nous nous séparons en nous donnant rendez-vous à midi pour déjeuner ensemble.
Je déambule dans la rue principale à la recherche d’hommes qui ne semblent pas pressés ou qui flânent.
Après avoir souris, adoptée une attitude aguicheuse et envoyé vainement des signes à des passants je finis par en apercevoir un au physique avenant qui boit tranquillement un café à la terrasse d’un bar donc qui ne semble pas pressé, évidemment il me remarque et me suit des yeux, je lui souris et ne le quitte pas du regard.
Je passe devant lui sans qu’il ne réagisse, un peu plus loin je fais demi-tour et recommence mon manège en revenant vers lui pendant qu’il ne me quitte toujours pas des yeux et commence à me sourire. Je lui adresse la parole.
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Surpris il reste à me dévisager sans dire un mot. Du coup je continue à lui parler et je finis par être plus directe.
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Passé le moment de stupeur il se reprend et me propose de boire un café avec lui mais je lui dis que je n’ai pas beaucoup de temps. Après quelques minutes de discussion il est d’accord pour un coït rapide et nous nous dirigeons vers les toilettes du bar.
Une fois enfermés dans les lieux je retire ma culotte pendant qu’il extirpe son sexe du pantalon.
Il ne bande pas bien impressionné par la façon dont je l’ai abordé, je le masturbe un peu.
Je soulève ma jupe, je lui tourne le dos, écarte les jambes et me penche en avant en prenant appui sur les toilettes. Il se positionne derrière moi, sa queue bute dans la raie de mes fesses et cherche l’entrée de mon intimité dans laquelle elle finit par s’enfoncer.
Il me défonce à grands coups de reins et rapidement son membre enfle et agité de soubresauts déverse son sperme dans mon vagin.
Il se retire et s’essuie avec du papier toilettes.
Je remets ma culotte et je quitte rapidement les lieux et le bar plantant là mon partenaire éphémère.
Pendant que je retourne à la voiture le sperme coule de mon vagin.
Je monte à l’arrière de l’auto, avec un doigt je fais pénétrer ma culotte dans ma chatte histoire qu’elle soit bien mouillée puis je la retire et la pose sur le siège passager avant.
Je m’essuie du mieux que je peux avec de l’essuie tout et enfile un sous-vêtement propre.
Je me rends à la gare ou je vois que le prochain train ne part que dans une heure. je m’assois sur un banc jupe relevée et j’observe les gens.
Un homme adossé à un mur me regarde, je lui souris, il en fait de même.
Je me lève, vais vers lui et je l’aborde.
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Il est étonné par mon initiative.
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L’effet de surprise passé et après avoir un peu discuté nous prenons la direction de sa voiture.
Il met un pare-soleil sur le pare-brise et de la façon dont la voiture est garée on est très peu visibles des gens qui passent.
Installés à l’arrière je retire ma culotte et m’allonge au mieux les jambes écartées pendant ce temps il a mis à l’air une grosse verge. IL s’allonge sur moi et me pénètre sans précautions, son engin écartèle les chairs en s’enfonçant dans mon intimité.
Il m’embrasse, je réponds mollement à son baiser. une main soulève mon maillot et déplace le soutien-gorge puis caresse mes seins pendant qu’il me défonce, je remue du mieux que je peux pour l’accompagner.
Cela ne dure pas longtemps avant qu’il n’éjacule dans mon ventre et se retire.
Pendant qu’il s’affaire de son côté je remets ma culotte et sors de l’auto en lui disant au revoir.
Je regagne notre voiture pour m’essuyer et changer mon sous-vêtement qui est maintenant taché, je le pose sur le premier que j’ai sali.
Je vois qu’une culotte est posée sur le siège conducteur, Martine a eu un rapport sexuel elle aussi.
Je repars en chasse ce qui ne me prend pas très longtemps.
Un homme flane et passe le temps en regardant les vitrines des magasins, il a visiblement du temps à perdre. Intensionnellement jee le percute. C’est lui qui s’excuse.
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Il se défend et nous continuons à parler puis finalement il me propose de boire un verre.
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Nous parlons un moment avant qu’il ne se décide et m’emmène en voiture dans un chemin dans la forêt qui borde la ville. Pendant le trajet je caresse une de ses cuisses et son sexe par dessus le pantalon histoire de le mettre en condition.
Nous descendons de voiture, adossée au capot j’écarte les jambes puis avec une main j’écarte ma culotte pour qu’il aie accès à mon sexe.
Il a sorti son pénis et à l’aide d’une main le présente devant ma chatte. D’une poussée il est en moi puis s’active tout en pétrissant mes seins. Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que sa gueue n’augmente encore de volume et soit agitée de soubresauts pendant qu’il arrose mon vagin en soupirant.
Nous rajustons nos vêtements et il me ramène en ville.
Je vais m’essuyer et changer de culotte dans notre voiture. Une deuxième culotte est posée sur le siège conducteur: Martine tient la cadence.
Je retrouve mon amie devant une cafétéria ou nous mangeons à mes frais après avoir bu un apéritif. Elle me dit qu’elle a les fesses mouillées car elle n’a pas eu le temps de se nettoyer et changer de culotte après s’être fait sauter par un troisième partenaire.
Pendant le repas nous commentons nos frasques sexuelles.
Je lui demande si elle veut que l’on arrête mais elle est têtue et veut continuer trouvant cela amusant.
Rapidement l’après midi nous repartons à la chasse aux mâles.
Assise à la terrasse d’un bar je joue les salopes en regardant les passants avec insistance avec un air aguicheur et la jupe bien remontée pour montrer mes cuisses et ma culotte, avec l’attitude que j’adopte les hommes doivent savoir à quoi s’en tenir à mon sujet.
Je me fais draguer par un homme puis sauter sans fioritures debout le dos collé au mur dans les toilettes du bar.
Ensuite un homme m’emmène dans la forêt à l’endroit ou je suis déjà allée ce matin, je me penche en avant et me tiens à un tronc d’arbre pendant qu’il me prend en levrette. Je refuse ce qu’il veut ensuite: une fellation ou une deuxième pénétration prétextant que le temps m’est compté et que je ne veux pas rater mon train.
Un autre homme se soulage dans ma chatte en levrette derrière les arbustes dans un parc de la ville situé pas loin de mon lieu de drague.
Une fois mon vagin arrosé de sperme je refuse quand lui aussi veut poursuivre nos ébats prétextant que je suis pressée, que l’on m’attend et que je suis déjà en retard.
Ce qui compte c’est de me retrouver avec la culotte tachée de sperme comme preuve que je me suis faite sauter.
L’après-midi passe vite et un dernier partenaire veut faire ça dans une chambre d’hôtel, j’accepte car je n’aurais pas le temps de me faire sauter une fois de plus.
Arrivée dans la chambre je me mets nue pendant qu’il en fait autant, je lui fais une pipe et il en profite pour arroser ma gorge puis il s’allonge sur moi et me pénètre. Il caresse mes seins et triture les tétons tout en m’embrassant. Nous remuons ensemble jusqu’à ce qu’il éjacule dans mon vagin.
Nous nous rhabillons et quittons l’hôtel puis partons chacun de notre côté.
Je suis en train de me nettoyer et changer de culotte quand Martine arrive et en fait autant.
Heureusement que nous en avions prévu suffisamment de de rechange.
Je compte et inspecte ses culottes pendant qu’elle en fait autant pour les miennes.
Elle s’est fait sauter par six hommes différents et moi sept. j’ai gagné le pari.
Elle m’explique qu’elle a perdu du temps car certains de ses partenaires allaient trop loin pour trouver un endroit tranquille et deux lui ont demandé de leur faire une pipe en plus ce qu’elle n’a pas osée refuser.
Elle m’invite dans un restaurant on nous buvons un apéritif et du vin en dînant. Le repas est bon.
L’alcool aidant nous rions beaucoup, sans nous soucier des gens qui dînent autour de nous, en commentant ce qui s’est passé dans la journée.
Une fois qu’elle à payée l’addition elle me dit que cela ne lui a rien coûté car c’est l’argent qu’elle vient de gagner dans la journée avec les partenaires qui ont réclamé une pipe, un service qu’elle a monnayé.
Vu notre complicité et notre état d’esprit. nous n’avons pas fini de faire des grosses bêtises.
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