Comme nous habitons loin d’eux, Claire et moi ne voyons ses parents que deux fois par an : pour Noël et au moment des vacances d’été. Durant les six mois qui avaient suivi nos ébats interdits, ma belle-mère n’avait cessé de m’envoyer des mails et des textos coquins dans lesquels elle ne craignait pas les selfies très osés, nue et à visage découvert, avec des gros plans sur sa chatte toute humide et son cul grand ouvert sur une gode vibrant qui la faisait jouir d’une manière particulièrement expressive, le tout accompagnés de textes de sa composition, également suggestifs. Je craignais à tout moment que Claire découvre ces tendres obscénités. Elle aurait perçu comme la trahison ultime que ma maîtresse fût sa propre mère !
Sur l’insistance de Rose, j’ai fini par céder à sa demande : nous filmer, Claire et moi, au cours de l’ébat conjugal. J’avoue avoir subrepticement abandonné mon téléphone en position d’enregistrement, l’objectif orienté vers le lit, un soir où Claire, au moment le plus favorable de son cycle, avait très envie de câlins.
En recevant ces images, Rose a été folle de joie. J’aurais pu lui demander n’importe quoi, en échange. D’ailleurs, comme je suis un homme assez pervers, c’est bien ce que j’ai fait : je lui au demandé d’organiser un gang-bang avec des routiers, sur une aire d’autoroute, filmée par son mari qui était adepte du candaulisme. C’était début mai ; les nuits printanières restaient fraiches, mais cela n’a pas empêché Rose de se mettre à poil devant une dizaine de camionneurs de tous les pays d’Europe avant de se livrer, fragile, à leur rut brutal d’hommes n’ayant pas vu de femme depuis de nombreux jours. Ils se sont jetés sur elle et elle y a pris un plaisir manifeste, bouffant des bites jusqu’à la nausée, gavée de foutre par tous les orifices de son corps potelé, la peau ruisselante de semence onctueuse et grasse qu’elle aimait lécher jusqu’à plus soif. Comme cela s’est passé dehors, sous les yeux étonnés des touristes, les gendarmes sont intervenus pour mettre fin au scandale. Rose s’est retrouvée au poste, en garde à vue. Elle a reconnu être parfaitement consentante et même l’organisatrice de cette partie fine, et a juste regretté que le 107.7 n’en fasse pas de publicité, afin de lui amener encore plus de partenaires. Bref, j’étais piégé : je croyais qu’elle n’oserait pas et que nous en resterions là, mais elle a osé.
En retour, la demande de Rose n’a pas traîné : elle voulait organiser une partie à trois avec sa fille et moi ! Dans son mail, elle avait joint une vidéo où on voyait un homme avec deux femmes, une jeune et une moins jeune, avec un mec extrêmement bien membré ; la jeune avait un gode-ceinture et enculait la vieille tandis que l’homme la pénétrait par devant. Deux jours plus tard, nous avons reçu un colis provenant d’un sex-shop en ligne, contenant ce gode-ceinture. Claire a ouvert ce colis par erreur, sans se rendre compte qu’il m’était adressé. J’ai été bien obligé de lui expliquer la situation. Tant qu’à faire, je lui ai même montré les vidéos de sa mère dans des postures très peu chastes. Tant qu’à me mettre à table, je lui ai même avoué avoir baisé sa mère pendant qu’elle prenait son bain. J’avais peur qu’elle se mette en colère, mais elle l’a bien pris, et la situation l’ai même amusée. Nous sommes tombés d’accord pour accorder son fantasme à ma belle-mère.
Sur le champ, Claire a elle-même appelé sa maman pour lui annoncer la bonne nouvelle. Elle était assise sur le canapé, et pendant ce temps, je lui léchais la chatounette à grands coups de langue, après avoir abaissé son pantalon et sa culotte jusqu’à ses chevilles. Le mère et la fille réglaient tous les détails, les positions, notre heure d’arrivée… elles ont bavardé longtemps et ma compagne, qui serrait les cuisses et maintenait ma tête plaquée entre ses cuisses, ne m’a pas permis de me retirer, même après avoir joui plusieurs fois d’une manière particulièrement humide.
En attendant les vacances d’été, nous nous sommes entrainés, Claire et moi, à l’utilisation du gode-ceinture. Je suis devenu son giton soumis, complètement nu dans notre appartement durant tous les week-ends, et mon cul servait de logis à sa tige de plastique. Elle me branlait avec sa main pendant qu’elle me pilonnait avec beaucoup d’énergie et d’enthousiasme, ou bien c’était moi qui m’astiquais. À chaque fois, elle recueillait mon sperme dans un tasse et je devais tout boire.
Deux mois plus tard, nous sommes arrivés chez mes beaux-parents Michel et Rose, qui nous attendaient avec impatience. Tellement d’impatience qu’ils étaient nus pour nous ouvrir leur porte, et Michel, à quatre pattes et tenu fermement en laisse, bandait comme un cerf en rut tout en suçotant les pieds de sa femme qui, en retour, boxait ses testicules avec ses orteils recroquevillés en boule. Il faut dire que son pénis venait de passer ces deux longs mois enfermé dans une cage dont Rose détenait la clé et que sa femme ne l’avait libéré qu’en entendant sonner l’interphone annonçant notre arrivée.
Claire et moi aurions pu nous dévêtir et passer immédiatement à l’action, mais nous avions planifié de prendre notre temps : Rose nous a offert le thé et des biscuits de sa confection, et nous lui avons raconté notre voyage en voiture, qui avait duré six longues heures. Je conduisais, pendant que Claire avait déjà revêtu son gode-ceinture par-dessus ses vêtements et se masturbait comme un homme, à une seule main. Les camionneurs que nous dépassions la regardaient depuis leur cabine, éberlués, et elle leur souriait. Ils klaxonnaient, faute de pouvoir nous ratt****r, et nous nous imaginions que certains, inspirés par ma belle, s’empoignaient le braquemard tout en tenant le cerceau de l’autre main. L’un d’entre eux a essayé de jouer à Duel de Spielberg, mais il n’y est pas parvenu, jusqu’à qu’il nous retrouve dans une aire de repos où nous étions assis devant un café. Claire l’a invité à la rejoindre dans les toilettes des hommes où il a essayé de la prendre de force, mais le monsieur avait présumé de ses forces et c’était elle, au contraire, qui l’a obligé à la sucer, puis à baisser son froc pour qu’elle le sodomise sans ménagement, la tête fourrée au fond de la cuvette. C’était tout juste s’il ne s’est pas noyé quand elle a tiré la chasse. Il n’était pas près d’oublier ces chiottes, par ailleurs dégueulasses.
Tout en racontant cette excitante histoire, Claire se caressait encore le gode-ceinture et s’est procurée un orgasme de cette manière. Puis elle m’a demandé de me déshabiller et, comme prévu, et j’ai pénétré Rose pendant que sa fille lui explorait la rondelle anale avec sa bite artificielle. Nous étions tous les trois debout, dans la cuisine. Depuis l’immeuble en vis-à-vis, on pouvait nous voir par la fenêtre ouverte. Il y en avait même qui nous observaient avec des jumelles. Michel a continué à lécher les pieds de sa femme, ce qu’il n’avait pas cessé de faire durant le récit de notre voyage, conformément à ce qui lui avait été ordonné.
Michel et moi sommes restés nus durant tout le restant du séjour, servilement à la disposition sexuelle de nos moitiés. Cependant, tandis que je restais un esclave privilégié et relativement épargné par les brimades, Michel était méprisé comme un déchet immonde, servait le plus souvent de WC humain, abreuvé à la pisse et nourri à la merde, et dressé à coups de cravache. J’avais pitié, mais lui, au contraire, m’a dit qu’il était très heureux en servant des femmes tout en abandonnant complètement sa dignité d’homme.
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