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Le coup de la panne

Le coup de la panne



Le coup de la panne

Après des folies sexuelles avec des amis, je rentre chez moi heureuse et comblée. Pleins d’image de cette journée de folie trottent dans ma tête et mon corps réagit. Je sens ma petite chatte gourmande s’ouvrir et un bouillonnement au creux de mon ventre se fait sentir. Arrivée à mon appart, j’ouvre mon ordi pour lire mes e.mails. Je suis surprise de voir que tu m’envoie déjà un message.
« Ma petite Michèle, j’ai adoré notre baise. Tu es une merveilleuse petite salope et tu suces comme une reine ou plutôt une pute expérimentée, devrais-je dire. Je te propose un truc. Pour toi se sera entièrement gratuit. Tu payeras en nature. Tu voies ce que je veux dire. Nous allons
avec des amis dans le Sud faire du camping. Nous serons à deux voitures. Donne-moi ta réponse rapidement. Je t’embrasse sur ta petite chatte qui doit encore mouiller.»
Très enjouée par l’idée de passer des vacances à moindre frais, même si le fait de donner de ma personne m’inquiète un peu, je lui réponds rapidement :
« Je suis totalement partante. Je serais ta chose durant ces vacances. 
Je suis impatiente de partir avec toi et tes amis. Gros bisous. »
Le jour du départ est arrivé. Je suis dans sa voiture en compagnie de Laure, une magnifique alsacienne. Je voie rapidement que cette fille ne laisse pas mon ami de glace.
« Laure, tu n’es pas venu avec Kévin ? »
« Non, je prends des distances. Ce salop m’a trompé avec une pétasse. »
Aie, çà plombe l’ambiance çà. Enfin bref, nous taillons la route en écoutant de la musique et au fur et à mesure les conversations s’allègent et nous n’arrêtons pas de rigoler. Rapidement, la discutions tourne sur le sexe. Bien qu’étant tous célibataires, nos vies sexuelles sont bien remplie.
Mon ami, raconte une histoire avec une auto-stopeuse qu’il avait sauté en foret. Cette histoire me trouble et j’e sens que mon string est trempé. Je devine que Laure doit-être dans le même état que moi. En rigolant elle dit à Jean-Luc:
« Tient ! J’ai jamais fait çà en forêt ! »
Il saute aussitôt l’occasion pour lui dire:
« Mais ma chérie, je suis à ton entière disposition pour combler cette lacune »
On éclate tous de rire. Jean-Luc s’aperçoit tout à coup qu’on a été distancé par les autres.
« Laure! Appelles les ! Qu’ils nous attendent. J’peux pas rouler aussi vite qu’eux avec ma vieille guimbarde. Prends mon portable. Il est dans la poche de mon pantalon. »
Jean-Luc un peu ses fesses pour que Laure fouille dans sa poche. Laure remarque que la bosse dans son jean n’est pas celle du portable. La main de Laure dans sa poche et les histoires coquines de nos aventures, semble ne pas avoir laissé mon ami indifférent.
« He Jean-Luc ! Ton portable est déchargé ! C’est pas comme ton truc à ce que je voie! » dit-elle en rigolant.
Nous éclatons tous de rire. Jean-Luc s’arrête alors sur une petite aire de repos à l’orée d’une forêt. L’air est déserte. Personne a qui emprunter un téléphone.
« Bon tant pis, on finira bien par les ratt****r.”
Mais, au moment de démarrer, impossible d’obtenir plus qu’un broutement rauque de la part de son bolide. Laure me regarde en souriant et me chuchote à l’oreille :
« Y vas pas nous faire le coup de la panne quand même ? »
Je lui réponds en ayant du mal à contenir mon rire :
« D’autant qu’il y a une forêt à côté »
Sur ces réflexions nous sommes toutes les deux prises d’un fou rire.
« Et ça vous fait rire les filles! »
En cœur nous lui répondons au milieu de notre fou rire :
« Tu …hahahah nous faits hihihi le hooouuu le coup de ha hi hihiii de la panne!»
Agacé tu nous lances :
« Alala ! Vous êtes de vrais chattes en chaleur! Vous ne pensez qu’au cul!Mais là, c’est bien une tuile. J’espère que le moteur n’est pas HS. On va attendre un peu qu’il refroidisse. »
Et nous de te répondre :
« Il n’y a pas que le moteur qui est chaud! »
Nous continuons à discuter, réessayant de temps en temps de démarrer cette gimbarde, sans succès.
« Dis Jean-Luc! Laure n’a pas dit qu’elle n’avait jamais baisé en forêt ? »
Laure me regarde d’un œil noir. Jean-Luc se rapproche d’elle et sans qu’elle s’y attende, il l’embrasse à pleine bouche. Un peu surprise, elle a un petit mouvement de recule mais elle réponds rapidement à se
baiser. Maintenant, ils s’embrassent fougueusement, leurs mains passant sous leurs vêtements. Je suis un peu en reste en jouant les voyeuses.
Rapidement, vous passez sur les sièges arrière. En vous regardant par la vitre de la voiture, je me tripote par-dessus mon string. Jean-Luc lui retire son tee-shirt, dévoilant un soutif noir, quasiment transparent,
tandis qu’elle lui ôte sa chemise. Il lui embrasse le cou en lui malaxant les seins. Jean-Luc lui retire son soutif devenu tout à fait inutile. Laure commence à respirer vraiment fort. Il lui arrache presque son pantalon, dévoilant joli noir, dans lequel JL glisse une main. Son sexe est trempé et se premier contact sur son clitoris est comme un éclair pour elle. Elle commence à gémir et se cambre sur la banquette. JL accélère la caresse au rythme de sa respiration haletante et la pénètre de deux doigts, la faisant presque crier. Laure est rapidement saisie d’un puissant orgasme.
Je suis frustrée mais ne veux gâcher ce moment en intervenant. Ils commencent à parler un peu :
« Tu sais Jean-Luc, je veux juste te dire que je ne veux pas quitter Kevin, alors si tu penses qu… »
Il lui pose un doigt sur ses lèvres.
« Je n’attends rien de toi. J’ai juste envie de te sauter!”
Laure lui sourit. JL jettes un coup d’œil dehors et me voies rouge d’émotion. Il n’y a toujours personne mais nous regardons la forêt.
Nos regards se croisent et nous rions. Ils sorte alors de la voiture sans prendre la peine de se rhabiller. Jean-Luc m’embrasse au passage et je sens le gout sucré de Laure sur tes lèvres.Tu prends une couverture dans le coffre pendant que Laure à son tour m’embrasse fougueusement sous le regard amusé de notre ami. Nous nous enfonçons tous les trois dans la forêt. Nous ne pensons plus au problème de la voiture. Arrivés dans une petite clairière isolée,Laure et Jean-Luc reprennent leurs baisers et leurs caresses. L’instant est magique. Je me mets nue et me caresse comme une damnée en les regardant. Laure commence une Fellation magistrale digne des miennes tout en se tripotant la chatte. Je me colle à JL et l’embrasse à pleine bouche. Nos langues se mêlent et il me fouille maladroitement ma chatte trempée. Nous gémissons tous. Ils entament ensuite un 69. Pendant qu’elle suce encore plus profondément dans cette position la langue experte de Jean-Luc titille son clitoris ruisselant de mouille. Elle est totalement inondée. Il lui bouffe littéralement la chatte lui arrachant des grognements de plaisir. Jean-Luc lui écartes ses fesses, les malaxes. Je me mets derrière elle et lui fait une feuille de rose. Ma langue tourne autour de sa rosette et pointu lui pénètre le petit trou.
J’entends ses gémissements étouffés par la queue dans sa bouche. Elle stope sa fellation pour s’empaler sur le sexe bien dressé de Jean-Luc.
J’en profite pour poser ma chatte sur sa bouche et, alors que Laure commence des va et vient profond en gémissant, je pelote ses magnifique seins en l’embrassant tendrement. A ce moment-là, nous ne pensons qu’à prendre notre plaisir que nous procure cette bite à nos chattes brulantes de désir. Les seins magnifique de Laure ballotent au rythme effréné de cette étreinte sauvage. Laure et moi nous mordons nos lèvres pour ne pas crier notre plaisir. Nous changeons de position. Laure se met à quatre pattes et JL la pénètre profondément dans une levrette endiablée. Je me mets sous elle en 69 et je lui suce le clito alors qu’elle léchè ma chatte
offerte. De tant à autre je lèche les couilles de JL qui tient Laure par les hanches en lui donnant de puissants coups de reins. Elle se met à crier, à gémir.
« Oui oui encore oui c’est bon défonces moi bien haaaa oui !!!! »
Elle a joui encore une fois, et un jet de cyprine coule dans ma bouche.
Nous approchons nos bouches de la queue de JL pour partager son nectar. Nous le suçons frénétiquement à tour de rôle jusqu’à ce qu’il se lâche dans nos bouches. Nous en avalons avec gourmandise sa crème onctueuse. Jean-Luc effondré de plaisir et nous regardes nous peloter et nous embrasser en partageant son sperme qui forme un filet entre nos deux bouches. Il savoure juste l’instant pour profiter de la chance d’avoir deux magnifiques salopes juste pour lui. Nous retournons ensuite à la voiture. Tu tentes de redémarrer la voiture. Le moteur s’ébroue en lâchant une bouffée de fumée noire.
Nous repartons en rigolant, Les vacances commençent bien.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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