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Lettre fantasmée d’une soumise

Lettre fantasmée d’une soumise



Bonjour Monsieur,

Je ne suis pas une femme parfaite, loin de là, surtout au sens où vous l’entendez.
Me permettriez-vous de témoigner de ma soumission?
Je dois préciser que je n’ai pas de maître actuellement, mais que pour moi, la soumission est permanente.
Je suis une trentenaire brune aux yeux clair, plutôt petite avec quelques rondeurs mais pas grosse. Je m’estime plutôt bien proportionnée. Je suis assez fière de mes seins en particulier car bien que naturels, les hommes qui croisent ma vie me demandent souvent si ils ont « été refaits ».
Je disais que je n’avais pas de maître en ce moment mais que je vivais dans la soumission : au Hasard.
En l’absence d’homme, le Hasard seul décide si j’ai mérité un orgasme ou pas.
Lorsque je me sens excitée et que j’ai envie de me donner du plaisir, je commence par me frustrer. Après quelques effleurements pour augmenter mon désir, je stoppe tout. Si je suis chez moi, j’adopte une tenue très légère et je m’impose une démarche très lascive mais interdiction de me toucher (le contact du tissus de ma jupe sur mes fesses et de mon chemisier sur mes seins sont déjà bien excitants).
L’étape d’après consiste à remplir mon vagin de gel lubrifiant que j’ai réchauffé à 25 degrés environ. J’en met aussi sur mes fesses et mes seins. Ainsi, j’ai une sensation proche de celle d’une femme qui aurait subie de nombreuses pénétrations avec orgasme sans capotes mais sans avoir eu elle même de jouissance… La frustration continue et le désir augmente avec le sentiment d’humiliation.
Je reste plusieurs heures ainsi, jusqu’au repas suivant que je prends à quatre pattes dans une gamelle sans utiliser mes mains.
Pour la digestion, rien de tel qu’une demi heure de marche en talons aiguilles pour s’entraîner à onduler de la croupe de manière aguichante.
Puis, il est temps de passer aux choses sérieuses…
Je place un gode ventouse sur le mur à un mètre de hauteur environ, je me déshabille complètement en un trip-tease langoureux.
Je place ensuite des pinces à linges sur les pointes de mes seins et sur les lèvres de mon sexe. C’est assez douloureux mais j’estime que c’est de mon devoir de subir cela pour avoir peut être le droit à un orgasme.
Je m’agenouille ensuite devant mon gode ventouse que je prends dans ma bouche et je m’applique, les mains derrière le dos, à prodiguer la plus langoureuse des fellations. J’alterne différents rythmes, je fais aller ma tête pour avaler le plus loin possible le gode… Je m’impose une demi heure ainsi. C’est un véritable enfer pour mes genoux, mes seins et mon sexe. C’est le prix à payer.
Puis, je me redresse et, depuis que j’ai découvert votre blog, j’ai ajouté une étape : cinq minute de retour au calme debout en position d’attente, les mains croisées derrière la nuque. Les pinces sont toujours en place et me font souffrir.
Lorsque les cinq minutes se sont écoulées, le moment est venu de les retirer en les arrachant lentement. La douleur est telle qu’il me vient assez souvent des larmes aux yeux. Pour l’atténuer, je me masse doucement les seins et le sexe ce qui fait remonter mon excitation…
Vient maintenant le moment du verdict : je demande humblement à mon maître Hasard la permission d’avoir un orgasme. Je lance un dé à six faces. Pour un résultat de 4 à 6, je peux me donner du plaisir avec mon gode vibrant. Sur un résultat de 1 à 3, il ne me reste plus qu’à prendre une douche froide pour calmer mes ardeurs… Un nouveau jet de dé m’indique le nombre de jours que j’aurais à patienter pour tenter à nouveau ma chance avec le même rituel…
Merci Monsieur de m’avoir lu et en espérant que vous jugerez ce récit suffisamment intéressant pour le publier.

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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