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Le Stage d’Elodie 3

Le Stage d’Elodie 3



Le stage d’Elodie, suite…

Me voilà plongée dans le bain. Je ne peux absolument pas cacher ma nudité. La réprimande que j’ai reçue me suffit car je ne sais pas ce que pourrait être la punition. Le Maître s’approche de moi et me force à poser mes doigts sur le tampon encreur afin de relever mes empreintes. Chacun de mes doigts se retrouvent enduit d’encre et déposés sur la fiche en carton qui as servi d’inventaire de mes affaires. Une fois cette formalité effectuée, c’est au tour de la Maîtresse de venir et elle m’inscrit un numéro d’écrou au dessus du sein droit, puis sur le pubis et enfin sur la fesse gauche. Me voilà reconnue comme la prisonnière n° F 1147. Je garderais Ce numéro pendant toute ma détention. D’ailleurs à partir de ce moment à chaque fois que le couple veux me parler ils utiliseront uniquement ce numéro. De cette façon je suis un peu plus dépersonnalisée. Le numéro à été inscrit au henné donc je vais le garder très longtemps visible. La Maîtresse m’intime l’ordre « F1147 mains dans le dos». Bien évidemment je m’exécute de suite et me voilà avec les menottes dans le dos. Elle m’emmène dans un coin de la pièce afin de prendre mes photos anthropométriques face les deux profil et de dos. Toutes les photos sont faites entièrement nue donc je ne cache rien.

Puis le Maître me dit que je vais passer à la douche avant d’aller rejoindre la cellule. Je dois marcher devant lui et obéir à ses commandements pour rejoindre la douche. Nous sortons de la pièce, prenons un long couloir. Je marche devant lui honteuse qu’il puisse me découvrir ainsi. La pièce des douches n’est pas très grandes environ 2 mètres au carré. Le sol est en ciment et sur un mur une rangée de 5 pommeaux de douche. La Maîtresse qui nous à suivie me désigne de me mettre sous le premier pommeau, retire les menottes et me tends un bout de savon. Je dois donc me laver sous la surveillance du couple. De plus je ne peux régler la température de l’eau car il y a un seul robinet automatique qui délivre de l’eau. C’est donc très en deçà de la température idéale mais je me dépêche de finir la toilette. Bien sur elle sera rapide. Le couple ne s’est pas fait prier pour m’indiquer où je devais m’appliquer pour la toilette. Je suis presque en larmes devant les humiliations que je subis depuis mon arrivée.

Voilà ma douche s’achève, car le Maître me dit d’accélérer le mouvement, je redonne le bout de savon à la Maîtresse mais je n’ai rien pour m’essuyer. Bien sur je leur demande mais pour toute réponse je reçois un ordre de tendre mes poignets. Ça y est j’ai les menottes à nouveau mais les mains devant c’est moins dur à supporter que dans le dos. A ces entraves s’ajoute une laisse pour me conduire vers ma cellule. Je suis donc tirée par le Maître vers ma nouvelle demeure.

Au bout du couloir, nous sortons à l’extérieur. C’est la première fois que je découvre ou je suis. Cela semble une grande propriété avec des arbres. Nous traversons un chemin en graviers et moi avec les pieds nus ce n’est pas évident surtout tenue en laisse par les menottes. J’entends le hennissement des chevaux. Puis nous arrivons devant un bâtiment qui est en fait une écurie à chevaux. Notre petit équipage longe la totalité des écuries, il y a quelques chevaux. Vers la moitié du bâtiment une porte en bois. Pour y accéder après que la Maîtresse ait ouvert la porte il faut se baisser. Puis je rentre à la suite du Maître. Je découvre une partie des écuries mais là il n’y a pas de chevaux ; c’est séparé par une cloison en bois. Les stalles sont beaucoup plus petites et je découvre des lits. Donc ce sont bien des cellules. Nous avançons vers le milieu de la partie réservée aux pénitents.

La Maîtresse s’arrête, devant une stalle, ouvre la porte et me pousse dedans. La porte se referme. Voilà ma cellule. Un guichet s’ouvre dans la porte, la Maîtresse me dit « F1147 avance tends tes mains ». Je m’exécute passe les mains dans le guichet et elle me retire les menottes. Je recule et le guichet est refermé.
Me voilà dans mon nouveau domaine.
Le sol est en ciment, il n’y a aucune fenêtre, la cellule mesure 2 mètres au carré. La lumière provient de l’éclairage du couloir. Nous sommes en permanence dans une pénombre entretenue. C’est très petit. Sur un mur il y a deux matelas en mousse recouverts d’une housse en plastique. Le sommier c’est une planche de bois. Ce sont des lits superposés. Je doute que cela soit confortable. Dans un coin un sceau hygiénique en métal avec un couvercle. Les murs montent hauts et sont en pierres. La porte de la cellule est en bois jusqu’à 1 mètre de haut puis en barreaux. Cela permet de voir dans le couloir pour les prisonnières mais aussi que les surveillants nous inspectent sans possibilité de se cacher. Le guichet est fait juste à la limite du bois et des barreaux.
La porte est fermée par une serrure et deux targettes en hauts et en bas.

Je découvre sur la bannette du haut une paire d’espadrilles et une tenue carcérale. Cela se résume à un sac de toile de jute auquel on a pratiqué une ouverture pour la tête et deux pour les bras. Bien sur je l’enfile, d’ailleurs il y a mon numéro cousu sur les deux faces. Une fois habillée, je découvre que cette tenue est ridiculement courte, car elle me descend que sous le pli fessier. Mais au moins ce ne sera pas la nudité complète. Je m’imagine aussi qu’une autre prisonnière doit être ma codétenue puisqu’il y a deux lits.
Je m’assoies sur le lit du bas. Ma tenue se relève exagérément et mes fesses touchent la housse plastique du matelas.

A suivre…

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