Il faut que je comble une lacune, je n’ai jamais décris Claire encore!
Claire, 28 ans, donc, 1m68, une 50taine de kilo, cheveux long, brune, yeux noisette, un adorable petit cul, et des seins qui tiennent bien en main (85c), bien ferme et de jolies tetons. Ah, et abricot rasé de près!
Un mois s’est écoulé. Quand mon père était absent (souvent!), je passais la nuit chez claire, la rejoignant vers 22/23h jusqu’à 6h30, l’heure ou je me levais pour le lycée.
Il arrivait, aussi que je la rejoigne en rentrant du lycée, si ma belle-mère etait encore au travail, elle rentrait après 18h, donc comme claire etait chez elle vers 16h30, si je finissais tot, ça nous laissait du temps pour coucher ensemble. Dans ces cas là, c’etait n’importe ou dans sa maison. Ah ça, on s’est régalé, elle m’initiant petit à petit, à me lacher, m’invitant a osé.
Sa cuisine, sa salle de bain, son salon, contre la porte d’entrée……. et la nuit, son lit. etait le théatre de nos ébats intenses, mais surtout de plus en plus passionnés.
Un lundi soir, une semaine avant les vacances de paques, ça faisait pas loin de 2mois que claire et moi baisions comme des fous, elle vient mangé chez nous.
A table, elle discute avec sa soeur, lui expliquant que ce midi, en mangeant avec Fanny (une autre instit dans son école), elles ont parlé des vacances, que Fanny a appris que quelques anciens ami(e)s de leur promo, se retrouvaient à la montagne, qu’ils avaient tous louer un grand chalet et que fanny et elle etaient les bienvenues pour la semaine.
Elle lui explique qu’il y aura Paul, qui etait amoureux d’elle, du temps ou elle etait avec son ex, qui la draguait sans arret malgré qu’elle soit en couple, et que, vu que maintenant, elle est célibataire, et que ce Paul etait bien mignon, elle serait ravi d’y aller et de le revoir.
Le repas se finit, moi tirant la tronche.
Mais, juste avant de partir, elle me dit, devant sa soeur : »ca te dirait devenir, tu as fait un super trimestre (ce qui etait vrai) tu merites bien un peu de vacances ludique!? »
« Je veux bien, mais il faudrait que mon père soit Ok ».
Caroline, de me repondre : « Bah, t’inquiète pas pour ça, claire a raison, tu le merites bien, et je me charge de le convaincre ».
On débarasse, Claire rentre chez elle et moi, un triste comme pas possible et surtout jaloux à cause de ce « Paul », je pars au lit, bien décidé à ne pas aller la rejoindre.
Vers minuit, ne me voyant pas venir, Claire toque à ma fenêtre.
« bah qu’est ce que tu fous? Je t’attends depuis plus d’une heure à poil dans le lit? » me dit elle.
« Ah, c’etait pour moi? Pas pour Paul t’es sur? »
« T’es vraiment un couillon! Je t’avais dis, je veux me marier, avoir des enfants, et que toi et moi, c’etait pas exclusif! si ça te convient plus, on peux très bien tous arreter »
« Mais, non, mais bon, oui, je suis jaloux et alors! j’aime comment on est, j’ai pas envie de passer la semaine a te voir dans les bras de ce Paul, c’est tout ».
« Allez, arrete de faire la tête, et vient, j’ai froid, et j’ai grave envie de toi! »
On traversa le jardin en courant dans la nuit, rentrant dans sa maison, et direct au lit. Je l’ai baisé avec hardeur, à deux reprise, ne la laissant mm pas passer par la salle de bain avant de remettre ça. Comme toutes nuits, on s’est endormi l’un dans les bras de l’autre.
J’ai passé la semaine à ruminer à cause de ce Paul, mais sans oublier de bien profiter, me disant qu’après ces vacances, peu etre ne voudrait elle plus de moi.
Le vendredi soir arriva, ma valise etait prete, j’etais en vacances, et je finissais tot (15h le vendredi). Je suis rentré, et j’ai attendu Claire, esperant qu’elle aurait une envie avant que nous prenions la route.
A ma grande deception, une fois Claire rentrée, elle me dit, « allez zou, en voiture, ma valise est deja dans le coffre, met la tienne et on s’en va »
On partit, vers 17h. A 19h, on s’arreta pour manger dans un mcdo. on repris la route, et vers 21h, enfin, on arriva à la station. La nuit était tombée, et, elle cherchait une adresse dans les rues, moi cherchant un chalet du regard.
Elle finit par rentrer dans le parking sous terrain d’un immeuble, et en se garant me dit « bouge pas, reste dans la voiture, je reviens ».
Effectivement, 5 min apres, elle revient et me dit « prends les valises et suis moi »
Un peu perplexe, car je m’attendais à un chalet, alors que là, ça ressemble à un immeuble résidentiel je lui dis « il est zarb ton chalet ». Elle se retourne en souriant, mais sans rien dire.
Après 3 étages de monter avec nos valises, elle s’arrete devant une porte, j’ouvre la bouche pour parler, mais elle pose sa main, et me dit « chut, pas un mot tant que je ne te l’ai pas dis. »
Elle ouvre la porte, entre, je la suis, ferme la porte derrière moi.
C’est un appartement, pas une chambre d’hotel. Un petit salon cuisine, un balcon qui donne sur la montagne, une chambre et une salle de bain. On est très loin du chalet pouvant accueillir 10 personnes!
« Pose les sacs, va t’assoir sur le lit, ne dit rien, ne fait rien, attends moi »
Je rentre dans la chambre, m’assoie au pied du lit et j’attends.
Elle arrive quelques minutes plus tard, nue, s’approche de moi, s’assoie sur moi, me faisant face.
« Ecoute, toute cette histoire de chalet, c’etait des conneries, je voulais qu’on soit tranquille, qu’on puisse partir toi et moi et profiter d’être seul.
Tu te rappelle le mois dernier, quand ma soeur a failli nous surprendre apres notre escapade sous la douche? Elle m’a demandé si j’avais quelqu’un, qu’elle me trouvait rayonnante, heureuse etc. Je lui ai dis que non, j’etais seule, mais que je me sentais effectivement très bien, bien mieux que depuis ma rupture.
J’ai réfléchi à ce qu’elle m’a dit, et j’ai réalisé que c’etait depuis qu’on etait ensemble, que j’etais bien avec toi, que j’etais heureuse, que je m’eclatais au lit, et qu’on s’entendait super bien. Je sais que tous cela ne pourra jamais se faire au grand jour, notre difference d’age, le fait que ma soeur soit marié à ton père, que je veuille me marier, avoir des enfants, mon taff!
Mais je m’en fou, pour le moment, je veux profiter à fond.
« Je t’aime »
J’etais comme fou, je l’ai prise dans mes bras, serrer contre moi « Je t’aime aussi tu sais… »
« Je sais, fait moi l’amour, prends moi »
Je l’ai soulevé, bandant comme un ane dans mon jean, elle m’a déboutonné, enlever mes fringues, puis s’est remise sur moi, son petit abricot completement trempé, et s’est enfoncé sur moi, jusqu’à la garde, mes mains sous ses fesses pour la soulever et lui imprimer un va et viens soutenu, lechant ses tetons tout dur tour à tour. Après quelques minutes ainsi, elle s’est sortie, s’est mise à 4 pattes au bord du lit. « Viens vite, je la veux encore » Et moi debout, m’accrochant à ses hanches, je l’ai pénétré à nouveau, y allant sans aucune retenu, ses cris et gémissement m’excitant tellement
« Je vais jouir mon amour »
« Oh oui, rempli moi encore et encore, jouit en moi, je t’aime »
N’y tenant plus dans un dernier coup de rein plus appuyé que les autres, j’inondais sa chatte trempée.
On s’est allongé, transpirant, riant, s’embrassant amoureusement.
Ainsi à commencer notre semaine au ski. Au ski est un bien grand mot, nous avons passé notre temps à faire l’amour.
Le balcon a été notre terrain de jeux dès notre 1ere nuit. Nous avons aussi expérimenter le plaisir de faire ça dehors, en promenade, dans la neige. Le meilleur ayant peu etre été dans les oeufs qui montaient du pied de la station au début des pistes. Cette coquine à chronometrer le trajet la 1ere fois, et lors de notre seconde ascension, rien qu’elle et moi dans la cabine, elle a baissé sa combi, s’est tourné face à la vitre, et m’a crié « Dépèche toi de venir, on à 8 min! »
Je l’ai prise sans aucune retenue, la faisant crier dans cette bulle suspendue dans le vide.
A plusieurs reprise, osant de plus en plus, mes doigts se sont aventurés le long de sa raie, mais à chaque fois, j’essuyais un refus « désolé mon chéri, c’est pas mon truc la sodomie ».
Nous sommes rentrés, mais elle m’a fait promettre de ne pas s’en tenir qu’a elle, de chercher quelqu’un de mon coté aussi, malgré notre amour l’un pour l’autre, il fallait que nous rentrions « dans le rang » du moins en apparence.
Depuis cette épisode « ski », et ce depuis bientot 23 ans, bien qu’elle soit mariée avec enfant, nous continuons de nous voir.
L’éloignement, nos vies font que cela est bien moins souvent qu’a cette époque, mais, quand l’occasion nous en est donnée, nous en profitons encore.
On a fini par se faire griller par sa soeur, au bout d’un an à peu près. Elle a gardé le secret, c’est une des des seules personnes qui l’ait jamais su.
Je vous raconterai la suite, une autre fois, mais l’épisode « ma 1ere fois » est terminé.
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