Jamal n’avait jamais sodomisé personne car il n’avait jamais osé demander çà à sa femme. Nous en avions parlé et je lui avais proposé de l’initier, puisque moi je pratiquais cette variante sexuelle depuis déjà longtemps, aussi bien en tant qu’actif que passif, en fréquentant périodiquement certains parcs boisés où se rencontrent les gars pratiquant ce genre d’exercice.
Dénudés complètement dans une chambre d’hôtel, je suis très agréablement surpris par la taille de son zob (18cm) et par sa belle paire de couilles bien rasées, pendantes et bien pleines. J’ai hâte de le sentir dans mon cul ! Je prends donc sa queue dans ma main, je commence à le branler mais comme il bande immédiatement, je commence une longue fellation pour le mettre en bonne condition.
je suce bien son gland et le lèche avec ma langue, introduisant légèrement la pointe de celle-ci dans la fente de son urètre, puis je gobe entièrement sa bite jusqu’au fond de ma gorge et la promène dans ma bouche, le pompant vigoureusement avec beaucoup de salive, en la frottant à l’intérieur de mes joues, tout en lui palpant ses couilles avec une main et en lui introduisant un doigt dans le cul avec l’autre, ce qui le fait frémir de plaisir, et, lorsque je le sens prêt à éjaculer, je cesse de le sucer et je me mets à quatre pattes sur le bord du canapé en lui disant de venir m’enculer.
J’écarte bien mes fesses avec mes deux mains pour lui offrir ma rosette, Jamal présente alors son gros gland bien mouillé sur ma rondelle humide et s’enfonce lentement dans mon trou, étroit mais déjà détrempé, ce qui me fait bander instantanément. Il s’arrête un moment au fond de mon cul, savourant la sensation d’être en moi pour la première fois.
– Je peux continuer Karim ? J’y crois pas, je t’encule, c’est super, et c’est bon, c’est encore mieux qu’une chatte, c’est plus serré !
– Vas-y, nique-moi Jamal ! Tu vas aimer çà mon vieux, tu me fais bander comme un âne et je sens bien ta grosse pine s’enfiler dans mon cul ! Tu ne peux pas savoir comme c’est bon de se faire sodomiser, on a l’impression d’être violé, tu devrais essayer car c’est une sensation extrême de se sentir soumis et possédé et de se rendre compte qu’on aime çà !
Nos deux corps se remettent en mouvement, fusionnant dans le plaisir, mon meilleur ami m’att**** les hanches et me baise plus sauvagement, son gros zob rabote allègrement mon tunnel, ses couilles bien pendantes cognent sur les miennes à chaque aller retour. Il commence à y prendre goût le voyou et il se déchaine, pendant que je me branle très lentement pour ne pas cracher mon jus trop tôt.
– Oh oui, mon Karim, c’est super de te fourrer le fion, tu aimes mon zob, hein, dis-le !
– Oui, oui, j’aime ton zob, c’est trop bon de se faire mettre une bite dans le cul ! Pour une première fois, tu encules déjà comme un pro ! C’est super bon, bourre bien mon cul, Jamal ! Vas-y…Baise-moi à fond…Viole-moi, nique ta femelle !!!
Mes paroles l’excitent davantage et il me pilonne furieusement, labourant ma gaine déjà trempée, en grognant comme un a****l en rut, puis lentement et longuement, en me claquant ou en écartant les fesses.
– Oui, oui, Jamal, défonce-moi, encule-moi, ramone-moi ! Je te veux tout au fond de mon ventre ! Laboure-moi encore, encore et encore, ne t’arrête pas, je suis tout à toi ! Je veux que tu jouisses dans mon cul !
Il me plante le cul en martelant fortement mes fesses et se promène dans mon conduit en alternant des mouvements lents avec d’autres beaucoup plus rapides. Je trouve ça très excitant comme situation, pour quelqu’un qui encule pour la première fois, il est doué et manifestement il adore çà.
Je me retire de sa queue et lui demande de se coucher sur le dos, je me présente accroupi face à lui et m’empale doucement sur son zob bien tendu.
Je commence alors à le pomper avec mon cul en montant et en descendant en appui sur mes jambes, je lui titille le bout des seins en même temps, ce qu’il semble apprécier tout particulièrement vu son regard.
– Tu aimes çà hein, mon Jamal, je me doutais que tu avais envie de foutre ton zob dans un petit trou bien serré, bien mouillé et bien chaud !
Au bout d’un moment, je me retire à nouveau, lui tourne le dos, je prends son pieu bien raide, et je l’enfonce dans mon cul trempé de mouille, mon trou le gobe complètement et le suce par des va et vient lents et réguliers.
-Putain, Karim, je vois bien mon zob rentrer et sortir de ton trou, c’est extra, c’est bon comme çà ! Vas-y, pompe-moi le nœud, vas-y à fond ! Çà glisse bien, écrase-moi les burnes ! Oh Karim, tu as un beau cul et tes fesses sont bien fermes, c’est bon, c’est bon ! Putain, Je vais jouir comme jamais ! Ouvre-toi, oh oui, je sens que je vais gicler, oh !!!
-Vas-y, prends ton pied ! Vide tes couilles dans ma chatte de salope, elle est toute à toi mon chéri, je veux sentir ta semence me couler dans le cul !
Mes sphincters se contractent alors pour bien serrer son zob dans mon étroit fourreau, pendant que j’accélère ma branlette pour parvenir à gicler en même temps que lui. Il me démonte alors le trou avec une accélération inouïe en me tenant bien les hanches et, après quelques ultimes coups de reins, il propulse par à coups une quantité phénoménale de sperme chaud que je sens gicler dans mon ventre, et couler le long de mon tuyau puis de ma raie.
N’en pouvant plus de me retenir, j’explose alors moi aussi en crachant de longs jets de foutre par saccades, ce qui a pour effet de comprimer à nouveau mes sphincters sur son zob encore bien dur qui continue lentement de me limer.
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