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Mon histoire partie – 6

Mon histoire partie – 6



Les semaines qui suivirent furent un véritable calvaire pour moi. Non pas que l’attidude de mon épouse à mon égard eut changé maiis je restai traumatisé par ce que j’avais vécu.
Oui, j’étais obligé de le reconnaitre, j’étais jaloux. Jaloux de se que pouvait faire ressentir Alain à ma femme, le plaisir, ce sentiment d’abandon, ce lacher prise.
Je me disais que c’était une mauvaise période à passer, qu’elle finirait par se lasser, que nous avions, elle et moi, construit une vie , sociale , familiale….
J’essayais de me persuader que , bientot, tout cela ne serait qu’un lointain et désagréable souvenir.
Petit à petit cependant , Hélène changeait.
Sa garde robe se renouvellait pour des vêtements plus courts, plus ajustés. Ses absences, et elles étaient fréquents, commencaient à empiéter sur le temps consacré aux enfants, aux sorties, aux loisirs.
Quand nous lui en faisions la remarque son aplomb à trouver des excuses me sidérait.
Un jour cependant elle nous annonça son absence pour le week end. Un séminaire de travail, important bien entendu, l’appelait à Paris.
Ce fut le début d’un rapide bouleversement.
Mes enafnts et moi attendimes en vain de ses nouvelles , son portable était toujours sur répondeur. A son retour ses explications furent tellement confuses que je préférai faire semblant d’y croire. Confuses également étaient ses idées ce dimanche soir là, sa mine faisait peur à voir. Elle s’enfuit bien vite dans la chambre et sombra dans un sommeil tellement profond qu’elle ne senti meme pas les enfants venir l’embrasser peu après
A cette époque, Vincent avait 15 ans, Caro en avait 17. Ils commencaient à se poser de sérieuses questions sur le comportement de leur mère et j’avais beaucoup d difficultés à les rassurer.

Peu après commencerent à paraitre , sur certains sites web, des annonces dans lesquelles , photos à l’appui, un dominateur proposait  » a qui voudra de baiser son esclave soumise  »
Sur ces photos, floutées du visage , je reconnaissais ma femme.
Prenant une nouvelle adresse mail pour répondre, j’obtins des détails .. C’était une bonne  » chienne » qui « acceptait tout  » , un  » cadeau  » était suggéré en contre partie. Bref, c’était édifiant.

J’avais, de mon côté, de plus en plus de mal à obtenir d’elle ce qu’elle semblait vendre à des étrangers.
Ses « migraines  » étaient fréquentes et quand , rarement, nous avions des moments intimes, ni son corps, ni son esprit n’étaient présents.
Mes caresses avaient beau être sensuelles, ma langue avait beau titiller longuement son intimité, mon sexe avait beau aller et venir longuement dans son fourreau un peu plus distendu qu’auparavant, elle lachait quelques soupirs de contentement et faisait semblant, je le voyais bien, de manifester son plaisir.

Des vidéos d’elle circulaient maintenant sur le net.
On la voyait, visage masqué par une cagoule, ici sucer un grand nombre de queues inconnues dans un bois et recevoir leur sperme dans la bouche, là se faire pénétrer à la chaine et par tous ses orifices par 3 jeunes dans une sordide cave d’immeuble.
Un autre film la montrait, nue, tenue en laisse, déambuler sur un parking de routiers. Elle montait dans leurs cabines et se faisait démonter par ces travailleurs de la route.
Une scene se passait dans une grange, elle était attachée, debout, les bras en croix. Alain lui faisait subir le fouet, la cravache laissant sa peau blonde striée de marques rouges. Ses seins étaient maltraités par des pinces, son sexe recevait sa part de coups, son anus était rempli par un gode de bonne taille. Ses cris et ses pleurs ne cessaient que quand son Maitre la prenait enfin, alternant pénétrations vigoureuses de son cul et de sa chatte avant d’éjaculer dans sa bouche.

La situation empirait.
J’en souffrai, bien sur, mais mes enfants allaient de plus en plus mal, et ça m’était insuportable.
Il me fallait réagir.
L’occasion vint quand, alors qu’ Hélène était sortie en oubliant son portable , J’interceptai un sms d’Alain qui lui annonçait qu’elle serait livrée , le lendemain soir, à travailleurs d’un chantier de la région. Suivait l’heure et le lieu du rendez vous.
Quand elle revint, un bref coup d’oeil sur son téléphone et elle nous annonça qu’elle devrait travailler tard demain soir.
Ce soir là, j’y arrivai bien l’heure.
La nuit était tombée , une dizaine d’hommes attendaient déjà devant une sorte de cabane de chantier mobile, leur faisant office de vestiaires.
Je m’avançai vers eux.
– salut les gars, je sais pour votre petite soirée.
Ils me regardèrent d’un oeil inquiet.
– ne vous inquiétez pas, je suis juste un voyeur, j’aime regarder sans être vu, c’est tout..combien il vous prend à chacun ?
– 20 euros chacun Monsieur
– ok. Vous êtes , je vous donne 400 euros au total si vous me trouvez une cachette pour que je puisse mater et si vous ne dites rien à personne.
Ils s’empresserent d’accepter mon offre.
Je me retrouvai, confortablement installé d’ailleurs, derriere un rideau, au fond d’une pièce au centre duquel se trouvait un matelas posé simplement sur le sol.
J’avais pris soin d’emporter un appareil photo et je pourrai avoir une vue imprenable sur les ébats à venir.
J’entendis une voiture arriver, 2 portieres claquer et le groupe d’homme entra suivi de mon épouse, nue, portant simplement un collier et tenue en laisse par Alain.
– voila Messieurs, la chienne que je vous ai promis. Vous la trouvez bien?
– je vous rappelle les règles, vous pouvez lui faire ce que vous voudrez pendant 2 heures, pas de coups, pénétrations avec capotes mais elle peut vous sucer nature.
Hélène était à genoux sur le canapé quand le 1er homme s’approcha. Elle tendit la main, défit sa braguette, sortit son membre et entama sa fellation.
Ce fut le signal qu’attendaient les autres qui se précipitèrent pour la tater , introduire leurs doigts dans sa chatte , son cul.
Bientot elle fut entreprise par tous ses orifices devant Alain qui, en retrait contemplait sa soumise livrée contre argent.
Durant 2 heures donc, elle fut leur objet sexuel, prenant à la chaine des sexes de toutes tailles et de toutes couleurs .
Je n’en perdais pas une miette et mon appareil fixait en silence l’orgie de ma femme.
Alain leur demanda de jouir dans sa bouche et sur elle et ils ne se firent pas prier pour juter, à tour de rôle, sur son visage et dans sa bouche entre ouverte.
J’obtins des clichés saisissants de ma femme, ruisselante du sperme de ses amants.

Pendant toute la séance elle avait subi les assauts de ces hommes assoifés de sexe sans un mot. Son regard implorait parfois Alain pour qu’il mette fin à cette séance, il était resté de marbre.

C’est ainsi que j’avais assisté au gang bang de ma femme.
Le lendemain serait houleux, la confrontation était inévitable.

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