C’était un chaud été 1989. J’étais à cette époque hétéro – du moins je le croyais. Et c’était l’époque du minitel rose. Je draguais sur différents sites et notamment sur un site homo sur lequel j’avais plusieurs touches, mais je ne passais pas à l’acte. Le simple fait de me faire draguer comme une femelle m’excitait. Un jour je commençais un discussion avec un inconnu. Je ne savais pas alors que nos échanges et moments seraient si décisifs pour la suite. C’était un avocat italien (du moins se présenta-t-il ainsi), la trentaine, brun et bi. Sa femme était partie en vacances. Il était seul et disponible.
Nous échangeâmes des emails de plus en plus chauds. Je le sentais excité et accroché. Son fantasme était que je me glisse sous son bureau et que je le suce. Cette perspective m’excita au plus haut point et je décidais de sauter le pas.
A cette époque j’étais un jeune homme mince, blond, pas du tout efféminé. J’étais hétéro et je n’avais jamais eu aucuns rapports avec des hommes. Bien sûr tout petit je me suis intéressé aux vêtements de ma mère: j’avais ainsi fouillé ses tiroirs et découvert des slips coquins. Et j’avais essayé ses escarpins à talons – bien trop grands pour moi!!
Mon avocat italien était tout chaud et le rendez-vous fut pris en fin de journée. J’attendis avec impatience l’heure de notre rendez-vous pour ne pas arriver en retard dans ce coin du 17e arrondissement de Paris, que je ne connaissais pas bien. Mon futur amant m’attendait dans la rue. Son portrait était fidèle à sa description par minitel. J’arrivais le cœur battant telle une midinette courrant à son premier flirt. J’adore toujours cette sensation du saut dans l’Inconnu. Il me dit: « Suis-moi ».
Je le suivi donc en montant les escaliers vers son bureau, et en imaginant les trésors cachés dans son pantalon. Dans sa salle d’attente déserte, nous nous mimes à l’aise, en nous déshabillant chacun de son coté, puis il m’attira à lui, me pris dans ses bras et me roula ma première « pelle ».. Sensation surprenante et agréable cette langue me pénétrant la bouche. Ses mains continuaient à me déshabiller, me caresser. Je m’abandonnais maladroitement et je me mis à caresser son entre jambe. En bon italien il portait un slip rouge qui avait une grosse bosse, augurant un membre de belle taille.
Ce fut le cas: lorsque d’une main hésitante je fis glisse le slip sur ses chevilles, son sexe dur et raide jailli, libéré tel un diable de sa boite. Mon Dieu ce spectacle me fascinait. Un sexe droit, long 22cm d’un diamètre imposant (au moins 5,5cm) doté de 2 belles couilles rondes, grosses et poilues. Humm mm un rêve.
Paolo m’entraina alors vers son bureau sous lequel je devais réaliser son fantasme. Je passais donc docilement sous la table pour voir l’engin de près. Le contact de mes lèvres avec la peau de son gland décalotté fut un choc et la révélation que je serais une fellatrice passionnée.
Je passais ma langue avec gourmandise sur son gland. J’adorais la douceur, le satin le gout l’élasticité de la peau de son sexe. Après ces présentations, j’avalais son gland et me mis à le sucer avec gourmandise, avec délectation telle une friandise. Ma bouche l’engloutit tout entier il vint buter contre ma glotte. Je faillis m’étouffer !!!
Je m’appliquais, comme si toute ma vie j’avais sucé une aussi belle bite. Son gland était gros, violacé, et je léchais le frein dessous, le faisant sursauter de plaisir. Il n’était pas circoncis et mes lèvres jouaient avec son prépuce en le décalottant. Ma main au début maladroite s’enhardit et je caressais à pleine main maintenant ses couilles en le suçant goulument de plus en plus fort et vite. Il se raidissait de plus en plus à chaque suçon Je le léchais tout autour du gland, la hampe du sexe et descendis même sucer chaque couille. Mais là je récoltais plein de poils dans ma bouche et dû abandonner cette partie…
Je me remis à le sucer goulument l’avalant entier et aspirant fort. Au bout de ce traitement buccal, je sentis des gouttes de liquide, signe que Paolo était proche. Je le suçais avec passion, le dévorant des yeux et il était proche de l’orgasme. Je m’appliquais encore et encore l’avalant jusqu’à la glotte et l’aspirant fort. Il finit par se raidir et en étouffant un cri, il lâcha enfin sa semence dans ma bouche. Le premier jet me surpris. Mais vite j’avalais mon membre pour butiner les 3 autres jets de sperme. J’avais la bouche pleine de sa semence tiède, au gout suave. J’ouvris ma bouche fière de lui montrer ma récolte avant de l’avaler avec plaisir. Mon premier sperme d’homme (à part le mien bien sûr déjà gouté)
Son sperme était blanc, épais, tiède liquoreux suave. Je le léchais et le nettoyais avec ma langue jusqu’à la dernière goutte. Il se leva alors et m’attirant vers lui, me donna un long baiser d’amour.
Ce soir d’été, Paolo devint mon premier amant et moi sa femelle. Paolo adorait les travesties et m’entraina dans ce monde
Je devins coquette feminine en allant dans une boutique pour travesties.
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