J’ai toujours été très proche de ma sœur. Bon, évidemment, il y a eu des moments de disputes comme entre n’importe quel frère et sœur, mais je trouve que notre relation était bien plus forte que les relations fraternelles de notre entourage.
Et pour tout avouer, j’ai toujours eu une attirance physique pour ma sœur. C’est une superbe femme de 23 ans. Elle est blonde aux yeux bleu, dotée d’une superbe poitrine proéminente (malheureusement je ne saurais pas vous dire son tour de poitrine, je ne lui ai jamais demandé). Elle mesure 1m63 pour une cinquantaine de kilo sûrement. D’ailleurs, son physique à l’allure de bimbo lui ont coûté pas mal de préjugés à son sujet. Beaucoup de garçons à son école la voyait comme la fille juste bonne à avoir des rapports sexuels, avec rien dans le ciboulot. Mais elle pouvait trouver du réconfort avec moi, je ne la traitais jamais de cette façon. D’ailleurs, pour prouver au monde que c’étaient bien des préjugés, elle s’est lancée dans des études de droit, qu’elle suit toujours actuellement.
Mais malgré cette attirance physique, je ne l’ai jamais vu autrement que comme ma sœur. Je n’ai jamais eu de pensée salace ou coquine envers elle. L’i****te était quelque chose d’immoral à mes yeux.
Mais plus les années passaient, plus c’était difficile de retenir en moi mon désir pour elle. Nous étions très proche, on pouvait discuter de n’importe quoi, sans tabou sans honte. C’est d’ailleurs grâce à ça que je savais tout (ou presque) de sa vie sexuelle. Parfois lorsqu’elle me racontait une de ses aventures, j’étais un peu énervé envers le gars qui avait couché avec. Je ne me rendis compte que plus tard que c’était en réalité de la jalousie.
Une fois, je suis allé la voir dans sa chambre, j’ai ouvert sa porte sans frapper et elle était en sous-vêtements. J’ai vite refermé la porte en m’excusant mais elle a dit que c’était bon, qu’elle n’était pas tout nue. Donc je suis rentré, et je ne pus m’empêcher de reluquer son corps quasi dénudée dans de fines lingeries noires. C’était la première fois que j’ai été franc avec moi et que je reconnus avoir un certain désir pour ma sœur. Le soir même, dans mon lit, je n’avais pas su trouvé le sommeil. Ces images de Kelly dans son soutien-gorge noir et son string noir restaient dans ma tête. Je me surpris même à avoir une érection, mais il n’était pas question que je me masturbe. Un peu énervé contre moi-même d’avoir ce genre de pensées, je me forçais à m’endormir. Quelques heures après, je rêvais d’elle…
Le lendemain matin, c’était un samedi, je me réveillais vers 10h et quelle fut ma surprise en sentant mon boxer mouillé. Non, ce n’était pas de l’urine, mais bien du sperme. J’avais fait un rêve érotique! Je ne m’en souvenais que par quelques réminiscences, mais au fond de moi je savais que j’avais adoré.
Des mois passèrent puis une année, l’effet des images dans ma tête avait cessés. Je n’étais plus obsédé par ma sœur. Mais quelque chose avait changé dans notre relation. Je n’aurais pas su dire quoi sur le moment, mais maintenant que j’y repense nous nous étions rapprochés encore un peu. Il y avait plus de contact physique entre elle et moi. Nous étions un peu comme deux ado qui se chamaillent, se chatouillent, se bagarrent gentiment pour découvrir le corps de l’autre. Il n’était pas rare que dans nos contacts physiques je touchais accidentellement la poitrine de ma sœur. D’ailleurs tout cela me rappelle qu’une fois j’avais fais exprès de palper son sein pour rire. Elle m’avait dit : « Hé je te permets pas ! », en me donnant une petite baffe tout en rigolant.
On passait de plus en plus de temps ensemble. Mes parents l’avaient remarqués aussi. Ma mère avait dit une fois à table lors d’un dîner qu’elle était contente qu’on soit si proche, parce qu’elle n’avait jamais eu l’occasion avec son propre frère. Mon père quant à lui a ajouté que ça changeait par rapport à quand on était petit, car on se disputait tout le temps et pour un rien. Je me rappellerais toujours de ce repas, car lorsque mon père avait dit ça, ma sœur et moi nous sommes regardé dans les yeux et on s’est souris mutuellement, avec une pointe de timidité pour ma sœur. Moi, certaines idées commençaient à fuser dans ma tête…
Mais tout commença vraiment il y a deux ans, lors d’une soirée où nous étions seuls elle et moi à la maison. Nos parents étaient partit manger chez des amis et ils ne rentreraient que très tard. Kelly avait proposé que nous regardions des films et j’avais tout naturellement accepté. Et comme nous étions seuls, nous en profitions pour boire quelques bières dans la réserve de papa. Mais cela ne nous a pas suffit, alors je suis allé chercher la bouteille de vodka rouge que je gardais. C’est seulement après avoir bu la moitié que nous pouvions enfin sentir les effets de l’alcool.
A un moment du film, le héros embrasse la fille dont il vient de sauver. Ma sœur se mit à dire tout haut:
— C’est un baiser de nul ça! Les vrais baisers sont fait avec la langue!
— Parce que t’es une experte en baiser peut-être.
— Bien sûr, dit-elle. J’étais la meilleure de mon école!
Je me mis à rigoler.
— Je suis très sérieuse, ris pas!
— Prouve-le alors! Dis-je désinvolte.
— Approche, me répondu-t-elle.
Sur le coup, je ne fus pas surpris, sûrement parce que j’étais saoul. Je me contentais de m’approcher d’elle et de faire ce qu’elle dit. Elle me pris alors le menton avec une main et m’embrassa langoureusement. Nos langues se mélangèrent, fouillant la bouche de l’autre. C’était le meilleur baiser de ma vie, je pense. Nous restions à nous embrasser comme ça pendant une ou deux minutes. A un moment, elle me fit sortir ma langue de ma bouche et la suça avec ses lèvres d’un léger teint rose clair.
Puis je l’embrassais dans le cou pendant qu’elle me tenait la tête, ses doigts dans mes cheveux. Je pouvais entendre son souffle s’accélérer. Ma main gauche palpait son sein droit, mon autre main caressait son cou. C’était un baiser plus que passionné. Puis ma main glissa sur sa cuisse pour arriver près de son entrejambe. Mais elle m’arrêta :
— On ne peut pas faire ça… Me dit-elle tout bas.
Je continuais à l’embrasser puis lui dit:
— Mais je te veux tellement!
— Moi aussi… Mais on ne peut pas… Je suis ta sœur…
— Tu es surtout la plus belle femme qui m’ait été donné de rencontrer.
Elle n’avait pas su quoi répondre, mais je savais que ça l’avait touché puisque sa bouche s’était collé encore plus fort contre la mienne.
— Il faut qu… Il faut qu’on arrête, continua-t-elle.
— Tu as raison, ajoutai-je. Mais c’est si bon…
Je pouvais sentir le goût de la vodka rouge sur ses lèvres. Mais un bruit stoppa brusquement ce moment de plaisir. C’était une portière. Ma sœur et moi nous nous éloignons l’un de l’autre, pendant qu’elle eut réajustée son soutien-gorge et son t-shirt, je vais voir à la fenêtre. Photos
— C’est eux? Demande ma sœur.
Je lui fais signe que oui de la tête. J’ai à peine le temps de me retourner que ma mère ouvre la porte d’entrée.
— C’est nous! On est rentrés plutôt finalement, Jacques, l’ami de votre père, a eu un malaise.
Voyant que ni ma sœur ni moi ne disons un mot, ma mère se posa des questions.
— Vous êtes bien silencieux tous les deux. Vous vous êtes disputés?
— Non… Répondit ma sœur timidement.
— Alors qu’est-ce qu’il y a?
— Ben rien, finis-je par dire.
Puis mon père revint de la cuisine:
— Moi je sais pourquoi ils sont silencieux… Ils ont bu de la bière! Ils ne s’attendaient pas à ce qu’on rentre si tôt, alors ils n’ont pas eu le temps de cacher les bouteilles vides.
— Vous savez que votre père et moi détestons l’alcool, même si vous avez l’âge. Pas d’alcool dans la maison!
On s’excusa et je filais à toute vitesse dans ma chambre. Kelly, elle, resta dans le salon. Mon cœur battait très vite, j’ai vraiment eu peur que nos parents se doutent de quelque chose. On l’avait échappé belle.
Une plus tard, quand le film devait sûrement être fini, j’entendis quelqu’un monter. C’était Kelly. Elle toqua dans ma chambre, et je lui dis d’entrer. Elle n’avait plus l’air saoul du tout, moi non plus d’ailleurs. L’adrénaline de la situation précédente avait sûrement dû remettre nos cerveaux en ordre.
J’étais couché sur mon lit à écouter mon mp3. J’enlevais mes écouteurs pour mieux l’entendre. Elle, elle s’assit sur le bord du lit, à mon opposé. Il y eut quelques secondes de silence très embarrassantes.
— En y réfléchissant, commença-t-elle, il n’y a pas eu vraiment grand-chose?
— C’est vrai, acquiesçai-je. On a rien fait de sexuel, c’était pas un i****te.
i****te, j’avais mis le mot dessus. Il s’était passé quelque chose dans le regard de ma sœur en entendant ce mot, mais encore aujourd’hui je ne saurais dire quoi.
— Alors on oublie tout?
— Oui, c’était juste une bêtise qu’on a fait parce qu’on était bourrés, rien de plus.
Elle me sourit, comme rassurée.
— Allez, bonne nuit alors. Elle se pencha pour me faire la bise puis hésita une seconde. C’était assez embarrassant. Et dans un moment de confusion, nous avons voulu nous faire la bise en même temps, ce qui a fait que nous nous sommes embrassés sur le coin des lèvres. Et je pus encore une fois sentir l’odeur de ses cheveux, la douceur de sa peau. Elle resta une poignée de secondes devant mon visage à me regarder dans les yeux. Je ne sais pas ce qu’elle pensait, peut-être se souvenait-elle du compliment que je lui avais dis sur sa beauté. Puis, dans un élan de folie, elle m’embrassa sur la bouche, rapidement et partit de ma chambre tout aussi vite. Je touchais le bout de mes lèvres avec mes doigts. J’avais la poitrine rempli de je ne sais quelle sensation. J’étais heureux et triste à la fois. C’était peut-être le dernier baiser que je recevais d’elle…
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