Depuis qu’un grand distributeur de carburants a décidé de faire des prix discount tout en gardant la forme d’une station service « normale », j’ai recommencé à y aller. Celle où je vais dans ma ville a l’avantage d’être tenue par une belle maghrébine, Malika. J’ai pris l’habitude de la saluer lorsque j’y vais et j’évite soigneusement la pompe distributrice où l’on paye directement par carte bancaire pour aller à celles qui me permettront d’aller payer à sa caisse. La dernière fois que je suis allé me servir, il n’y avait personne et je lui lance avec un grand sourire « Alors, comment ça va aujourd’hui ? ». Elle me répond, avec le même sourire « Bien, merci mais… ». « Mais quoi ? » lui dis-je. « Oh, rien mais mon ordinateur plante régulièrement depuis ce matin… ». Je lui réponds « Ça ne doit pas être bien grave, si vous voulez, je peux regarder de qu’il a votre ordinateur ». Elle me répond « Si vous avez le temps et si ça ne vous dérange pas, d’accord ». Elle appelle alors : « Samia, tu peux venir me remplacer un moment ! ». Je vois alors arriver une autre maghrébine, aussi mignonne que Malika, plus jeune qu’elle et un peu plus enrobée, des seins généreux, un beau cul, plus volumineux que celui de Malika et un peu plus petite qu’elle.
Je vais garer ma voiture un peu mieux que là où elle était, juste devant une pompe et je rentre à nouveau dans le magasin. Malika a disparu et je demande à Samia « Où elle est ? ». Je passe alors derrière le comptoir et Samia, la cousine de Malika, me conduit dans un réduit de deux mètres sur deux qui abrite un bureau, un ordinateur bien sûr et des rayonnages où se tiennent des classeurs. Gain de place où tu nous mène !!! Malika est debout face à l’ordinateur et essaye de le faire démarrer. Je rentre dans le « bureau » et Samia referme la porte sur nous. Nous voilà tous les deux, Malika et moi dans ce qui est un réduit, sans fenêtre et à peine plus grand qu’un placard à balais.
Je la laisse manipuler la souris de l’ordinateur et je me place derrière elle. Autant le dire tout de suite, je suis « sur » elle, tellement l’espace manque. De fait, je me cale contre son cul et sa chaleur ne tarde pas à me chauffer la bite qui immédiatement se met à enfler. Je regarde ce qui se passe sur l’écran de l’ordinateur et de fait, il ne se passe pas grand chose. Il se passe davantage de choses au niveau ce nos bassins respectifs à Malika et à moi. Elle, elle se met à remuer du cul et moi, ma bite est vraiment à l’étroit dans mon pantalon, je bande comme un salaud. A un certain moment, elle tourne son beau visage vers moi et me dit : « C’est moi qui vous fait cet effet ? ». Je lui réponds : « Oui, je dois l’avouer, vos formes et votre chaleur sont exquises et de plus, je dois vous l’avouer, ça fait un certain temps que je ne me suis pas retrouvé dans un espace aussi réduit avec une si belle femme comme vous ». Le compliment la touche et elle me dit : « Oui, je comprends, mettez votre instrument à l’aise ». Je ne me le fais pas répéter deux fois et je fourrage dans mon pantalon pour mettre ma bite en position verticale pour qu’elle puisse de développer plus facilement ».
Nous continuons, l’un sur l’autre et nous finissons par trouver pourquoi son ordinateur plantait, un redémarrage de l’ordinateur et voilà que tout repart normalement. Elle me dit : « Merci beaucoup, je ne sais pas comment vous remercier ». D’un rire gêné, je lui dis : « Je pourrais bien vous dire comment mais je n’oserais pas ». Elle me répond : « Oh ! Grand dégoûtant », avec un grand sourire, en me regardant d’un regard appuyé dans les yeux et passant sa main sur la bosse que forme ma bite dans mon pantalon. Nos lèvres se rapprochent et se soudent dans un baiser fougueux, langues nouées et agiles. Elle défait rapidement mon pantalon et sa main déballe ma bite qui se dresse devant elle. Un « hummm !!! » semble dire qu’elle en apprécie et la vigueur et la taille. Elle commence à la branler, gentiment au début puis de plus en plus vigoureusement. Brusquement elle s’arrête, elle se met face à la table, baisse son pantalon et son slip et me présente ses fesses, en disant : « On n’a pas beaucoup de temps, baise moi vite ! ». Je lui passe un doigt entre la raie des fesses et atteint sa chatte qui dégouline de cyprine, l’odeur qui se dégage de sa chatte, brune et imberbe, est enivrante, surtout dans un espace surchauffé et réduit.
J’ajuste ma bite sur sa chatte et je la pénètre d’une coup. Ça rentre facilement grâce à sa mouille mais je sens à la vigueur de son conduit vaginal que ma bite contre son cul pendant qu’on travaillait sur l’ordinateur l’avait déjà fait jouir. Je commence à la pilonner tout en passant une main par devant pour lui branler le clitoris. Et bien m’en prend car son clito est une pièce rare par sa dimension et par son excitabilité. Dès que ma main atteint son clito, elle se met à haleter de plus en plus fort. Tout à coup, je vois la tête de sa cousine Samia qui entrouvre la porte et Malika, qui ne perd pas le nord lui dit dans un souffle : « Tu y auras droit quand j’aurai fini !». Beau programme qui s’annonce !!!
En attendant, je baise Malika avec délectation. Mes mains palpent ses nichons. Je passe mes mains sous son tee-shirt pour les sentir davantage. Je m’insère sous son soutient gorge pour lui exciter les pointes et augmenter sa jouissance. Maintenant, elle ne halète plus simplement, elle gémit !!! Je suis un peu inquiet pour les clients qui viennent qui risquent de s’interroger s’ils entendent ces bruits mais je me dis que la musique d’ambiance doit les couvrir ! Quand je sors ma bite de sa chatte, elle est entourée d’une mousse blanchâtre que forme sa mouille épaisse et gluante. J’en prends un peu sur mes doigts et les porte à ma bouche pour les sucer : un vrai nectar. J’en reprend et lui donne mes doigts à sucer en lui disant : « tiens, goutte ton jus !!! » et elle me suce les doigts avec force. J’ai envie d’arrêter de la baiser un instant pour lui lécher la connasse tellement ça a l’air d’être bon mais l’étroitesse du local m’en dissuade et ej continue à la fourrer. Je sens les contractions de son con qui commencent et je me dis qu’elle ne va pas tarder à jouir. Je lui glisse alors à l’oreille : « Tu veux mon jus dans ta chatte ou sur ton cul ». Et me répond : « Dans la chatte, j’en peux plus, envoie le moi ». Je continue à faire mes va et vient sachant que je peux décharger au fond de sa connasse et je me libère en lançant mes puissants jets de foutre chaud en lui tenant les hanches pour la garder encore plus près de mes cuisses.
D’avoir super bien joui, je m’effondre de plaisir sur son dos. Le répit est de courte durée car je sens mon foutre et sa mouille s’écouler sur ma bite et je me relève. Elle se relève aussi avec un grand sourire aux lèvres. Elle remonte rapidement son slip, enfermant ainsi mon reste de sperme et de sa mouille, et son pantalon. Elle rectifie un peu sa coiffure, ses cheveux sont courts, ça va vite et sort rapidement en me disant avec un sourire : « Toi, tu bouges pas, je t’envoie Samia ! ». Je suis un peu inquiet car je viens de jouir super bien et j’appréhende un peu mais je me dis que j’ai de la ressource pour faire à nouveau jouir une partenaire. De fait, je n’ai pas longtemps à attendre car Samia arrive avec un grand sourire aux lèvres, des lèvres couleur framboise et pulpeuses, des lèvres de bonne suceuse quoi !!! Elle ne se pose pas de questions et j’ai à peine le temps de la regarder que ses lèvres sont sur les miennes et que sa langue se mêle à la mienne. Ses mains se portent sur ma bite encore enduite du produit de nos ébats avec sa tante. Je me dis qu’elle sait y faire la jeune !!!
Je vois qu’ici, on sait aller vite et que chaque minute compte car sa bouche a rejoint ma bite encore bien alanguie et elle commence à me la sucer d’une langue experte. Elle réalise une véritable toilette de ma bite, nettoyant mon sperme et la mouille de sa tante. Elle m’excite en me disant : « Elle est bonne ma tante, elle t’a bien fait jouir, tu as aimé sa chatte, tu as vu comme elle mouille !!! C’est une vraie fontaine, tu vas voir la mienne comme elle est bonne aussi !!! ». Ces mots et la langue experte de Samia ne tardent pas à ranimer ma bite qui recommence à pointer. Comme il y a de la marge avant que je sois en mesure à nouveau de juter, je me laisse faire avec plaisir tout en lui palpant ses gros nibards qu’elle presse contre mes jambes. Elle se relève, m’embrasse goulûment sur la bouche ce qui me permet de goûter nos jus mêlés de sa tante et le mien, et me dit : « A toi maintenant ! ». Elle baisse rapidement son pantalon et son slip, les gardant aux chevilles et la voilà assise sur la table, les cuisses largement écartées me dévoilant sa chatte grassouillette, d’un brun sombre et sans un poil. Je vois juste son clito qui forme une petite bosse, signe qu’il doit être aussi développé que celui de sa tante, « Ça tient de famille » je me dis en moi-même en même temps que ma bouche se rapproche de la belle connasse de Samia pour la lécher et lui sucer le clito. Ma langue s’insère dans le sillon de sa chatte et je récupère un flot de mouille que j’avale avec joie. Je commence à donner des petits coups de langue sur ses grandes lèvres et sur son clitoris que je suce par moment. Elle mouille comme une salope et halète de plaisir. Je veux alors commencer à la branler avec mes doigts mais là elle m’arrête et me dis : « Je suis encore vierge de là et je veux le rester ! Vas plus bas !!! ». Je comprends ce qu’elle veut dire et je pointe alors ma langue sur sa rondelle, encore plus brune que sa chatte. Je darde ma langue dans son trou du cul et, ô surprise, ça rentre comme dans du beurre. Je comprends alors ce qu’elle veut dire, vierge de la chatte, alors c’est son cul qui prend tout !!! Ma bite, je je branle doucement de ma main, se met à bondir en pensant que je vais enculer cette brunette, un vrai bonheur !!! Je lui rentre alors un doigt dans le cul et le tourne dedans pour lui élargir la rondelle et lui donner la souplesse voulue pour pouvoir la baiser plus facilement. Un deuxième doigt rejoint le premier et je fais des vas et vient. Samia est aux anges car en même temps que je lui branle le cul, je continue à lui lécher la chatte.
Je me relève et pointe alors ma bite vers sa rondelle qui est maintenant suffisamment assouplie. Je présente mon gland, je pousse un peu et le voilà rentré. Je pousse un peu plus et la moitié de ma bite est rentrée. Un troisième coup et la voilà entrée jusqu’aux couilles. Samia a les yeux fermés et elle commence à jouir vraiment, véritable adepte de la jouissance par le cul. Je démarre mes va et vient dans son boyau anal, c’est serré, c’est trop bon. Ses fesses sont au ras de la table et elle s’avance encore pour s’empaler davantage sur ma bite. Elle est face à moi et je vois sa chatte luisante de mouille. Pendant que je lui tiens les hanches, Samia s’astique le clito et sa main s’agite frénétiquement dessus, en même temps qu’elle le pince par moment pour s’exciter encore plus. Mes mains quittent ses hanches pour m’emparer des ses gros lolos. Ils sont durs et souples et mes mains les malaxent pour sa plus grande jouissance et… la mienne.
En dépit du manque de place, Samia trouve le moyen d’agiter son bassin sur ma queue, son cul se contracte me déclenchant des torrents de plaisir. Je me répands alors dans son cul en jets de foutre chaud et crémeux. Je continue quelques va et vient pour finir de me vider la queue de mon foutre et quand je la ressors, un paquet de liquide blanchâtre s’écoule de sa rondelle. Je vois alors la main de Samia se diriger vers son trou du cul pour répandre mon jus sur le pourtour de ses fesses et porter ses doigts à sa bouche. Je vois que la jeune est une vraie pro de la jouissance et sait comment faire pour y arriver et l’augmenter. Elle se relève alors en se pendant à mon cou et m’embrasse à pleine bouche, me faisant goûter mon sperme qu’elle a léché du même coup. Elle me dit : « C’était très bon !!! on pourra refaire ça quand tu veux !!! ». Elle remonte alors son slip et son pantalon, enfermant mon reste de sperme et sa mouille abondante comme l’avait sa tante avant elle. Je fais de même et nous sortons tous les deux de notre réduit après avoir embrassé à pleine bouche Samia une dernière fois.
Malika est en train d’encaisser un client. Je la laisse finir. Samia va prendre sa place à la caisse et Malika vient me rejoindre pour me dire au revoir. On se fait la bise et Malika me glisse à l’oreille : « Tu as enculé ma nièce !!! alors ? Elle est aussi bonne que moi ? ». Elle ne me laisse pas le temps de répondre sachant le dilemme dans lequel elle me place avec cette question et elle s’empresse d’ajouter : « Je sens que mon ordinateur av tomber à nouveau en panne !!! ».
Ajouter un commentaire