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Le vestiaires des rugbymen de Christian

Le vestiaires des rugbymen de Christian



Un jour Christian m’envoie un message :
«  Tu sais que j’ai fait du rugby. En tant qu’ancien, je m’occupe des moins de 20 ans. Je vous invite, toi, Sofia, tes filles, Katia, Marina et ta copine motarde Adeline avec son mari Eric pour assister à un entraînement. Ce sont 30 jeunes de 18 à 21 ans. Ton mari sera de la partie avec Eric, celui d’Adeline la motarde, ainsi que Guillaume, David, Seb, Ben et Thierry. Une fois l’entraînement fini, je vous ferais visiter les vestiaires vestiaires quand tout les jeunes seront à poil pour aller prendre leur douche. L’idée excite déjà Sofia. Gros bisous sur te jolis tétons. »
Donc, le Samedi suivant, voilà notre joyeuse bande réunie sur les gradins du stade à regarder l’entraînement des jeunes. Christian nous avait confié avant qu’il leur avait fait comprendre que si il se défonçaient bien à l’entraînement, il nous auraient comme récompense dans les vestiaires. Je comprends mieux en les voyant leurs regards et le dynamisme de leurs jeux.
A la fin de l’entraînement, Christian nous rejoint pendant que les jeunes regagnent les vestiaires.
« Alors ? Ça vous a plus cet entraînement ? Venez je vous fait visiter les coulisses. »
Dans les couloirs, résonnent les rires et les blagues des jeunes mecs. Quand nous arrivons à la porte des vestiaires avec notre clique, mon cœur bat très fort. Je suis partagée entre la peur et l’excitation. Quand les portes s’ouvrent, nous sommes accueillies par un tonnerre d’applaudissement et de sifflets. Une trentaine de jeune bien bâtis sont là devant nous dans le plus simple apparat. Trente jeunes étalons qui qui n’attendent que ça, nous sauter. Christian calme leur enthousiasme en les briefant :
« Du calme … du calme les gars ! Comme promis, comme vous avez bien bossé, je vous amène un cheptel de nanas. Vous devrez les partager avec mes amis et leurs maris. Elles sont toutes aussi chaudes les unes que les autres. Mais je vous recommande Sofia et Michèle qui sont les plus chaudes de toutes. Vous pouvez leur faire ce que vous voulez, elles seront toujours partantes. Faites-vous plaisir ! »
Ils sont nus. Ils sont beaux et musclés. Leurs regards en dit long sur leurs désirs de nous défoncer. Les commentaires salaces pleuvent. Ils nous traitent de grosse salope, chienne, pute et autres noms d’oiseaux. Notre groupe de femelles en chaleur est très excité. Ces injures nous procurent un tel plaisir que je sens une boule de chaleur grossir en moi.
Nos hommes en profite pour nous mettre à poils. Ça y est, plus possible de reculer. L’orgie est lancée.
J’ai envie de jouer la salope, d’être la pute de service, celle qui allait vider les couilles des mecs présents, sans choisir qui allait venir en moi et sur moi. Mes tétons sont très durs et la cyprine humidifie ma chatte en chaleur.
C’est à ce moment que des joueurs nous colle leurs bites dans nos bouches. Nous nous empressons de les pomper en avalant leurs jeunes verges au maximum. Rapidement, ils se mettent à nous baiser la bouche. Des mains parcourent nos corps. Une langue inquisitrice fouille mon intimité. J’ai une bite dans chaque main que je masturbe allègrement. J’ai envie qu’ils viennent en moi.
Nous sommes toute assaillies par quatre ou cinq mâles en ruts. Nous sommes heureuse d’être ainsi totalement soumises à leurs désirs. Maintenant c’est une vraie tournante. Les bites passent de l’une à l’autre de nos cul à nos bouches à nos chattes. Je ne sais plus qui me baise entre les joueurs et mes amis ou mon mari. Les vestiaires résonnent de nos cris de plaisir et des bruits des queues qui nous pourfendent. Avec sept femelles en chaleur pour presque quarante mâles en ruts, les mecs peuvent s’en donner à cœur joie. Les bites s’enchaînent à une vitesse folle dans ma gorge. Je suis incapable de dire combien d’hommes j’ai sucé jusqu’à maintenant. Une bite plus grosse que les autres s’enfonce dans ma chatte et s’active plus sauvagement que les autres. Nous sommes baisées comme des chiennes et j’adore ça.
Heureusement, je mouille intensément. Quels instants de plaisir immense. Pendant que l’un d’eux m’encule en me prenant par les cheveux, un autre s’enfonce et dans ma bouche jusqu’à m’étouffer. Nous ne sommes pour eux et pour notre plus grand plaisir que de vides couilles de vulgaire femelles qui leurs serves de sac à foutre.
Régulièrement, les joueurs nous retournent pour varier leurs plaisirs. Quand les premiers éjaculent sur l’une de nous, ils vont se faire nettoyer la bite par une autre. Je sens le goût des chattes de mes filles ou de mes amies sans vraiment reconnaître d’où sort la queue que je suce. C’est excitant. Je n’ai aucun répit entre chaque séances de baise et j’ai constamment la bouche pleine de queues ou de sperme. Nous sommes baisées à la chaîne, comme des forcenés.
Dans ma position préférées,, à quatre pattes, fesses en l’air, je dévore deux verges à pleine bouche tout en me faisant prendre par le cul et la chatte. J’encaisse les coups de reins des deux dards qui se touchent aux travers de mes parois intimes et malmenées. La bouche pleine je crie mon orgasme étouffé. Je ne sais pas comment je vais sortir de ces moments si intense de désir et d’excitation. Je sais que je risque de souffrir et que mon corps va payer cet excès. Mais je joui rien qu’à la pensée que mes filles, mes copines et moi sont les putes de service, les salopes de cette équipe de rugby qui s’offrent sans retenue à ses jeunes hommes vigoureux.
Ils tapent tous au fond de nos chattes, de nos culs et de nos bouches. Ils sont insatiables. J’ai l’impression d’avaler du sperme par litres. Ils sont déchaînés. Nous ne sommes plus que des poupée de chiffons. Soulevées, retournée, empalées sur des bites. Ils ne ressortent de nos trous que pour jouir dans nos bouches et sur nos corps. Nos seins ne sont pas en reste ? Il sont tellement malmenés que les miens sont rouge comme si j’avais reçu une flagellation. Prisent souvent en double, nos trous sont eux aussi rougis et extrêmement dilatés. Nous sommes plus que comblées et dans un éclair de lucidité, je me dis que mon homme va se la mettre une bonne semaine sur l’oreille avant de pouvoir me rebaiser, le temps de me remettre d’une telle orgie. Malgré la v******e de cette orgie, j’ai l’impression de jouir sans interruption tellement c’est dément. Dans une demie inconscience, je joue avec le sperme et j’avale comme du nectar cette abondante crème. J’en ai partout.
Mais les réserves de ces messieurs ne sont pas sans fin bien heureusement car personnellement, je n’en peux plus. On leur a bien vidé les couilles et nous toutes les sept comme de vraie loques couverte de sperme des trous dégoulinant de semence masculine .
Ils nous traînent sous les douches et nous savonnent et nous lavent sans douceur sous nos plaintes. Puis ils filent en remerciant leurs coach, nous laissant seules avec nos mecs qui maintenant nous remercient et nous cajolent suite à notre prestation.
« Vous avez été merveilleuse comme d’habitude mesdames. Merci pour votre joli dévouement ! » S’exclame Christian.
Son idée a été exaucé et je suis heureuse de l’avoir satisfait et d’avoir été parmi les chevilles ouvrières de son projet.
Maintenant, il va me falloir une bonne semaine pour m’en remettre ainsi que mes filles et mes amies.

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